L'armée algérienne et le F. F. S. lutteraient de pair - RERO DOC

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Conseils de modérationfrançaise à Alger

et à Rabat

A PARIS : J. DONNADIEU

De notre correspondant partic ulier :A lire les informations sur le grave

conflit algéro-marocain , on pourraitcroire que la France s'en désintéresse.Certes , elle reste silencieuse, maiselle n 'en est pas moins agissante.

Le venin du conflit algéro-marocainest entretenu par les promesses pé-trolières de régions désertiques !

(Photopress)

Comme la Tunisie, la République ara-be unie , la Syrie, l'Espagne, la Liguearabe, la France est intervenue àAlger et à Rabat pour conseiller lamodération et offrir seB bons offices.

Le général de Gaulle, on le sait,n'aime pas la diplomati e sur la placepubli que. De plus, il doit ménager lessusceptibilités de l'Algérie, ancien ter-ritoire français , et du Maroc , ancienprotectorat. Ayant récemment acquisl'indépendance , ils souffriraient malune intervention publique de l'ancien-ne métropole. C'est pourquoi , commeme le disait un diplomate ami , toutse fait discrètement.

La France s'est bien gardée deprendre position dans le conflit. Ce-pendant , les sympathies elyséennesvont davantage à Hassan II qu 'à M.Ben Bella. Le roi du Maroc est le filsde Mohammed V, compagnon de lalibération. Le président de la Répu-blique al gérienne a longtemps séjour-né dans les prisons françaises d'où ildonna son approbation aux accordsd'Evian.

Pin en dernière **nneû!lepage sous le titre V>»OnS6ll5

L'armée algérienne et le F. F. S. lutteraient de pairBataille à coups de règlements à Berlin - Ouest !Un accord intervient dans la «guerre du poulet »Mon Général, vous n'avez p as été trop bousculé ?

L'arméeLes combats continuent à la

frontière algéro-marocaine, com-mentés par des informations etdes démentis fréquents. C'estainsi que Rabat annonçait audébut de l'après-midi d'hier lebombardement d'un village ma-rocain, information démentiepeu après par l'Algérie.

Celle-ci procède actuellementà un recrutement de grande en-vergure. Plus de 40 000 hommesse seraient déjà annoncés etd'autre part, des médecins sesont enrôlés pour renforcer lesservices sanitaires.

Le FFS de son côté a violem-ment accusé le régime d'avoirhypothéqué une partie du terri-toire national pour satisfaire sasoif de pouvoir. Rejetant entiè-rement sur M. Ben Bella la res-ponsabilité de ce conflit, le FFSa affirmé sa volonté de ne pascéder un pouce de terrain à l'en-nemi.

Confirmant cette violente pri-se de position, une rumeur courtselon laquelle «LE COLONELMOHAND, CHEF DES TROU-PES CLANDESTINES, AU-RAIT PROPOSE DE METTRESES HOMMES A LA DISPOSI-TION DU GOUVERNEMENT».

II s'agirait de la part de l'op-position kabyle, de s'allier avecle régime Ben Bella pour sau-vegarder l'intégrité du territoirenational.

Lors d'un grand meeting, tenuà Constantine, des universitaireset des représentants de tous lesmouvements de jeunesse ontlancé des diatribes acerbes con-tre l'attitude du gouvernementmarocain. Ils ont d'autre partaccusé ouvertement les Etats-Unis et se sont indignés que ceconflit soit né par la faute d'undespote à la solde de l'OTAN.

(AFP, UPI, Impar.)

BatailleC'est un convoi de militaires

de Sa Gracieuse Majesté , cettef ois, qui a été bloqué par lesSoviétiques à la limite des zonesEst et Ouest à Berlin.

Les soldats soviétiques vou-laient f aire descendre les hom-mes des véhicules pour les dé-nombrer. Les Britanniques s'ysont énergiquement ref usé; d'oùl'incident.

Cependant, après de longuesdiscussions, les soldats de gardeà la «f rontière» ont laissé passerle convoi.

La petite histoire dément tou-tef ois l'impassibilité des soldatsde la Reine, car une partie duconvoi, dont les hommes étaientlassés d'attendre, est retournéeà ses cantonnements...

La bataille des règlements depassage se poursuivra-t-elle ?

(AFP, UPI , Impar.)

Un accordOn se souvient qu'au cours de

leur dernière réunion, les minis-tres de la CEE avaient consentiune faible réduction sur lesdroits de douane imposant lesvolailles en provenance desEtats - Unis. Cette « aumône »avait été mal accueillie parces derniers.

Or voici que l'affaire rebondit.Le Conseil des ministres des Sixa finalement accepté de con-sulter le GATT, organisme in-ternational spécialisé dans laquestion des droits de douane,pour lui soumettre le conflit.

Le problème est de savoirmaintenant dans quelle mesureles deux parties tiendront-ellescompte des avis du GATT. Selonla CEE, ceux-ci ne représente-ront qu'une base de négociationsfutures...

(AFP, Impar.)

Mon GénéralComme on s'y attendait, le

général et Madame de Gaulleont été gratif iés, à leur arrivéeen Iran, d'un accueil délirant.

Sur le trajet du cortège, prèsde 800 000 personne s s'étaientmassées pour acclamer les deuxhommes. Le général a reçu desmains du maire les clés de lacité.

En arrivant sur une place, laf oule était si bruyante que legénéral de Gaulle a f ait arrêterla voiture et en est descendu...pour serrer des mains.

Mais ses admirateurs, tout enpoussant i des vivats, ont f orcéles cordons et on ne vit bientôtplus que le képi du président.Quand le shah réussit enf in àrejoindre son hôte dans la f ouleen délire, il lui demanda : «Mongénéral, j' espère que vous n'avezp as été trop bousculé /» (AFP.)

Erhard: mieuxqu'Adenauer !

Le nouveau chancelier f édé-ral, M. Ludwig Erhard, a étéélu hier par le Bundestag. Il aremporté 279 suf f rages alorsque 250 lui auraient s uf f i .

On n'a pas manqué de remar-quer qu'il avait recueilli vingtvoix de plus qu'Adenauer, lors-que ce dernier s'était représentéen 1961.

L'opposition sociale-démocratea réuni 180 bulletins négatif s.Le Parlement allemand compteau total 499 membres.

Pour ce qui touche la compo-sition du nouveau gouverne-ment, on note qu'il conserveral'équilibre des partis représenteset même au point de vue conf es-sionnel.

On voit ici M. Erhard recueil-lant les acclamations des dépu-tés ; à sa gauche, on distingueM. Adenauer.

(AFP , UPI , Impar.)

Ben Bella, Nasser et Israël« La Voix de la Résistance », or-

gane international qui paraît àBruxelles , et qui est for t bien ren-seigné , a dénoncé depuis longtempsles anciens nazis, parfois des di-gnitaires hitlériens qui sont deve-nus les conseillers de Nasser , etparmi eux le chef de la police égyp-tienne. Tous se camouflent sousdes noms arabes. Cela a été vé-rifié et est devenu une sorte desecret de Polichinelle. On sait enoutre que des ingénieurs et des ex-perts de l'ancien Troisième Reichont aidé l'Egypte à fabriquer desfusées. On se souvient de ce scan-dale. Le général Fahrmbacher aavoué avoir , pendant qu'il les com-mandait jusqu 'en 1958, à lui seulfai t venir d'Allemagne en Egypte67 experts pour les forces terres-tres. On sait qu'au cours d'unprocès un spécialiste , travail-lant pour Nasser , a assuré que« l 'Egypte a acquis une quantité decobalt pouvant supprimer toutevie en Israël ¦». Mais « la Voix dela Résistance » dans son numérod'août-septembre signale en outre

que le ministre des Anciens com-battants d'Ahmed Ben Bella et sonhomme de confiance, MohammedSaïd , est un ancien W a f f e n S. S.Tout cela est rapporté par M . Ed-mond Naegelen , ancien Gouverneurgénéral de l'Algérie , dans le « Jour-nal du Parlement ».

Faut-il nous étonner de cettedernière révélation ? Certainementpas, si l'on n'a pas oublié que leprésident de la République algé-rienne est l'un des partisans lesplus fanatiques de l'arabisme etl'homme lige du dictateur égyp-tien. Certes le panarabisme nas-sérien a déjà subi deux échecs as-sez rudes.

Mais , Gamal Nasser n'en a paspour autant renoncé à son desseinessentiel : la destruction totale del'Etat d'Israël. Il semble bien au-jourd'hui que, pour le réaliser Nas-ser compte peut-être plus sur sonfidèle disciple Ben Bella que surl'inconstante Syrie et les pays duMoyen-Orient qui l'ont passable-ment déçu. La destruction de l'Etat

par Rémy ROURE

d'Israël dont il serait l'artisanprincipal et, par suite le bénéfi-ciaire, lui permettrait enfin , parla force même des choses, d'accom-plir le destin qu'il s'est donné àlui-même : devenir le héros et lechef du panarabisme victorieux.Ben Bella , il y a un an, alors qu 'iln'était pas encore le maître del'Algérie avait , on s'en souvient ,dans la chaleur d'un discours, pro-mis à Nasser 100.000 hommes pourdétruire Israël. Il n'a pas oublié sapromesse. Le 21 mai dernier, sansêtre encore président de la Répu-blique , mais simplement chef dugouvernement , dans un discours àl'Académie militaire du Caire, il apromis, sans f ixer le ch i f f re dese f f e c t i f s , la participation de l'Algé-rie à «la bataille historique de laPalestine ».

Pin en dernière D-,-, B,_ II —page sous le titre Den 06113

/^W PASSANTOn a dit que le génie est une longue

patience...Mais doit-on en inférer qu'une lon-

gue patience finit forcément par êtredu génie ?

— Dans ce cas-là, m'a dit mon amiJules, tous les automobilistes qui s'ar-rêtent aux feux rouges de l'AvenueLéopold-Robert peuvent être considéréscomme des cerveaux d'élite dépassantde beaucoup le niveau moyen de nospopulations, pourtant fort intelligenteset qui ont généralement les yeux enface des trous...

— Jules, lui ai-je demandé anxieuse-ment , tu ne serais pas par hasard tom-bé sur la tête ?

— Pas du tout mon vieux. Et un rai-sonnement impeccable va t'en fournirla preuve. En effet. On a « assaini » lacirculation sur notre grande avenue, pro-mue au rang de route plus ou motnsnationale. Mais si tu t'arrêtes aux car-refours où le flot motorisé est réglé parles feux tu t'apercevras vite que cer-taines couleurs ont nettement la préémi-nence sur d'autres. Ainsi alors que lesfeux rouges sont plus fréquents et dis-posent d'une durée double ou triple, lesfeux verts, eux, se révèlent nettementinsuffisants. C'est à peine si une douzai-ne de voitures ont le temps de s'engouf-frer lorsque la verdure jaillit. Toutescelles qui viennent derrière voient déjàsurgir le jaune qui les avertit de stop-per. Et c'est ainsi que chaque chevalierdu volant fait chez nous l'apprentissaged'une longue patience. Si tu ajoutes àcela les automobilistes dont les réflexessont bernois, et les piétons qui se préoc-cupent peu de la couleur du machin , tupourras aisément te rendre compte dugénie auquel on atteint dans une seulejour née. Ne pourrais-tu pas demander ànotre excellente police de régler ce con-flit d'arc-en-ciel circulatoire et de nousdonner une espérance (le vert) qui éga-le au moins l'amour vif (le rouge) ?

J'ai promis à Jules de transmettresa requête tout en lui faisant observerqu 'à un carrefour il y a généralementcroisement de quatre voies, ce qui im-plique forcement une attente double.Mais le bougre m'a répondu :

— Demande déjà un plus grand vert.Ça m'évitera de voir rouge toutes lesfois que le jaune commence.

Le père Piquerez.

Vous entendez mal, n'hésitezpas à le reconnaître

Les conseils de «l'Homme en blanoV v

— Comment dites-vous ?Phrase banale qui revient d'in-

nombrables fois dans nos conver-sations. L'on n'écoutait pas son in-terlocuteur, ou bien un bruit sou-dain a couvert ses mots... ou bienencore on entend mal.

Mal entendre ! Quelle femme l'a-vouera ? Etre myope ou privé d'o-dorat , passe encore, mais mal en-tendre, on croirait qu'il s'agit d'unemaladie honteuse, d'une tare donton serait responsable ou d'un signede sénilité précoce. Dénonçons toutde suite l'absurde erreur : il peutadvenir que des gens jeunes et sainsentendent mal ou n'entendent pasdu tout. Il est infiniment rare queleur cas soit désespéré.

Mais comment sait-on que l'onentend mal ? La surdité est uneinfirmité hypocrite , qui se développeavec une extraordinaire lenteur par -fois sur une p ériode de plusieurs an-nées. Il existe ainsi partout descentaines de milliers de sourds quis'ignorent.

Comment perd-on l'ouïe ? Ce peutêtre d'abord à la suite d'une otitedéclenchée par une maladie infec-tieuse telle que la coqueluche, larougeole, la scarlatine et même lasimple grippe. Le rhume banal peutaussi rendre sourd. Dans ces cas-là, l'infection de la muqueuse du nezse transmet par la trompe d'Eus-tache à la caisse du tympan : onentend alors mal ou pas du tout.Le spécialiste conseillera un traite-ment par sulfamides ou antibio-tiques afin de guérir l'inflammation.Cette surdité temporaire, la moinsgrave, disparaîtra sans laisser detraces.

Les antibiotiques et les aspirinesà haute dose affectent parfoisl'ouïe.

Les troubles de la circulation etl'artériosclérose peuvent aussi pro-voquer des bourdonnements et unecertaine surdité. Une très grandefatigue , une maladie pulmonaire,des malformations et, enfin, legrand âge, peuvent aussi af fe cterl'ouïe. Enfin des lésions d'une par-tie de l'oreille interne appelée « li-maçon » et des lésions du nerf au-ditif peuvent entraîner la surdité.

Il faut distinguer deux types desurdités, assez différentes : celle del'oreille moyenne que l'on peut sou-vent secourir à l'aide d'appareils etquelquefois grâce à une interven-tion chirurgicale, et la surdité pro-voquée par les lésions du « lima-çon » et du nerf auditif.

Comment les distingue-t-on ? Unsourd de l'oreille moyenne entendgénéralement au téléphone et pa-

radoxalement , entend mieux dansle bruit, dans un métro ou dans untrain, en particulier, que dans lesilence. Il parle bas, et parfois sibas qu'on a du mal à le compren-dre.

Le sourd par lésion du systèmeauditif, au contraire, entend mal autéléphone et plus mal dans le bruitque dans le silence. Il a tendanceà parler trop fort , et c'est de luiqu'on dira qu'il « crie comme unsourd ».

Ce sont la des indications trèsgénérales. Seul le diagnostic de l'o-to-rhino-laryngologiste leur donne-ra de la valeur. Il faut , en e f f e t segarder de traiter soi-même cetteaffection.

Attention à la tige avec laquellevous faites la toilette de votre con-duit auditif : elle doit toujours êtremunie d'un tampon de coton à sonextrémité.

Il est un type de surdité que seulel'intervention chirurgicale peut gué-rir : c'est l'otospongiose , due à laformation dans l'oreille d'un tissuspongieux qui finit par altérer lacavité de l'oreille et arrêter les vi-brations sonores. Ce sont surtout les

femmes qui y sont sujettes, a cer-taines périodes de leur vie : pendantla puberté, les grossesses, l'allaite-ment et la ménopause. L'interven-tion est relativement facile et« classique » ; elle ne mérite aucu-ne alarme et la convalescence estrapide.

Si l'on conseille l'avis médicalavant l'achat d'un appareil , c'estque les app areils auditifs ne sont

par le Dr André SOUBIRAN

pas tous construits sur le mêmeprin cipe. Le détail exact de leur mo-de de fonctionnement importe peu ,pourvu que l'appareil soit bien adap-té au type de la lésion à corriger. Cequi compte surtout, c'est la limita-tion de leur puissance ; il existe ene f f e t des appareils qui contrôlentl'intensité du son et évitent de« surcharger » l'oreille.

Il faut savoir aussi que la chi-rurgie permet désormais de guérirdes surdités consécutives à la per -fora tion du tympan, grâce àune petite gre f fe prélevée dans l'o-reille même.

Une forte insuffisance en vitami-nes A, B et E peut à la longue fa -voriser un affaiblissement du nerfauditif. Ceux et celles qui ont donctendance à mal entendre pour cetteraison, se trouveront bien d'un ré-gime de fromages , de salades ver-tes, de germes de blé et de levurede bière, pratiqué pendant plusieursmois et même plusieurs années.

Souvenez-vous que l'on peut pren-dre froid à l'oreille aussi bien qu'auniveau des reins. Un plongeon dansune eau trop froide ou une trop lon-gue exposition à l'air glacé , un longvoyage dans une voiture décapotéepeuvent également faire baisserl'acuité auditive pendant un ou plu-sieurs jours. La pêche sous-marineet la voiture >de tourisme ont leursp sp its inconvénients : n'oubliez pasque l'une est interdite" à tous ceuxqui souffrent ou ont souffer t d'o-tite, et n'oubliez pas non plus, avantles randonnées à cent à l'heure, denouer un foulard autour de votretête.

Les corrections aux enfants s'im-pose nt quelquefois comme une bon-ne pratique éducative. Mais que vousayez, ou non, la main leste, atten-tion cependant à la gifle ; la pau-me de la main violemment appli-quée sur l'oreille produit une com-pression brutale de l'air dans leconduit. Le tympan peut céder etsaigner plus ou moins gravement.Si votre enfant travaille mal enclasse, suit diff icilement ses petits

camarades, si ses professeurs le dé-clarent inattentifs , faites examinerses oreilles — et aussi ses yeux.

Renoncez , s'il vous plaît , à touteméfiance ou répugnance à l'égarddes appareils acoustiques : c'est undomaine où l'on a fait depuis deuxou trois ans des pro grès étonnants.Les derniers types à transistors sonttout à fait légers et incassables et,

pour les femmes, des appareils mi-nuscules que l'on fixe dans le creuxde l'oreille et que l'on oublie, telle-

ment ils sont commodes. Il existeégalement des montures de lunettesde type spécial qui comportent dansleurs branches des transistors invi-sibles.

Mal entendre, c'est devenu uneinfirmité d'hier.

(Dessins de Dominique Lévy)Droits réservés Opéra Mundl

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Bâle jBâloise-Holding 396 400 1Ciment Portland 8000 7800 d .Hoff. -Roche b. 1. 50700 50300Durand-Huguenin 5500 d 8800 d :Geigy, nom. 19675 19640

GenèveAm. Eur. Secur. 129 "j> iAtel. Charmilles 1730 1730 .Electrolux 125 MJ û 'Grand Passage H15 ""? ¦Bque Paris-P.-B. 332 »1 .Méridionale Elec. 13% " d IPhysique port. 820 tif .Physique nom. 620 °f :Sécheron port. 805 »«Sécheron nom. 655 bsu °Astra 5% 5% :S. K. F. 347 360

LausanneCréd. Fonc. Vdois M» «30Cie Vd. Electr. 975 d 975Sté Rde Electr. 710 710 ,Bras. Beauregard 3400 d 3400 dChocolat Villars 1365 1450 0Suchard «A» 2025 1860i d .Suchard «B» MOOOci lMOOoAt. Méc. Vevey W« .9,90C. - - Cossonay 587S ^bOO cl

•;, „ 9t!5 «B"TauLOi-ie Vevisy U76 1250 dZyma S. A. 450 0 455 0

Cours du 15 16Zurich[Actions suisses)

Swissair 345 d 349Banque Leu 2450 d 2460Union B. Suisses 3910 3900Soc. Bque SuisBe 3065 3055Crédit Suisse 3220 3205Bque Nationale 645 d 645 dBque Populaire 1995 1985Bque Com. Bâle 490 d 490 dConti Linoléum 1470 1460Electrowatt 2500 2490Holderbank port. 1065 1065Holderbank nom. 920 d 910 dInterhandel 4065 4025Motor Columbus 1677 1665SAEG I 86 d 86 dIndelec 1270 1260Metallwerte 2010 2020 oItalo-Suisse 975 990Helvetia Incend. — 2200 dNationale Ass. 5500 d 5500 dRéassurances 3960 3970Winterthur Ace. 990 990Zurich Accidents 5H25 2225Aar-Tessin 1610 1590 dSaurer 2150 2145Aluminium 6150 6160Bally 1925 1920Brown Boveri«A» 2770 2770Ciba 8575 8510Simplon 805 805 dFischer 2110 2110 dJelmoli 1890 d 1885Hero Conserves 7200 7200Landis & Gyr 3270 3260Lino Giubiasco 875 d 875 dLonza 2410 2415Globus 5g50 d 6000Mach. Oerlikon 1015 1010 dNestlé port. 3740 3730Nestlé nom. 2255 2240Sandoz 8725 8740Suchard «B» n g oo 11750Sulzer 43fii i 4350Ursina 8900 0300

Cours du 15 16Zurich(Actions otrnngnr e .si

Aluminium Ltd 118 117Amer. Tel. & Tel. 559 556Baltimore & Ohio 152 153 dCanadian Pacific 137 138Cons. Natur. Gas 280 d 279 dDow Chemical 252% 254Du Pont 1055 1059Eastman Kodak 478 478Ford Motor 230% 228Gen. Electric 338 339General Foods 372 372General Motors 338 339,Goodyear 173 174 dInternat. Nickel 283 263Internat. Paper 149% 149 dInt. Tel. & Tel. 211% «1Kennecott 337 338Montgomery 164 163 hNation. Distillers 111 111Pac. Gas & Elec. 138% 136PennsylvaniaRR 84% 83%Standard Oil NJ. 299 301Union Carbide 463 468U. S. Steel 238% 239F. W. Woolworth 318 319Anglo American 124% 124%CialtalO-Arg.El . 39 34%Machines Bull 239 ~Hidrandina I2%d 12%0Gen. Min. & Fin. — —Orange Free State 63% 83Péchiney 152 150 dN. V. Phillp 's 177% 177%Royal Dutch 192% 195Allumettes Suéd. — 142Unilever N. V. 169% 169%West Rand 47 d 47 dA E G 512 514Badische Anilin 741 555Degussa 553 740Demag 515 511Farbenfab. Bayer 577 578Farbw. Hoechst 526 526Mannesmann 226 218Siemens & Halske 598 598Thyssen-Hiitte 209 199%

Cours du 15 18

New YorkAbbott Laborat. 109 HOAddressograph 61s/s 617/.Air Réduction 53V. 53%Allied Chemical 51% 52%Alum. of Amer. 67'/. 68%Amerada Petr . 72Vs 74%Amer. Cyanamid 56'/. 587.Am. Elec. Power 38% 36%Amer. Home Prod. 6lV. 62%American M. & F. 18% 185/8Americ. Motors 21 '/. 21%American Smelt. 84% 88Amer. Tel. & Tel. 129 130%Amer. Tobacco 28 28%Ampex Corp. 18 18Anaconda Co. 49% 50%Atchison Topeka 28'/. 29%Baltimore & Ohio 35'/ 8 35VsBeckmann Instr. 65'/s 67%Bell & Howell 23V. 24Bendix Aviation 49'/. 50V.Bethlehem Steel 33'/ B 33%Boeing Airplane 331/j 33'/.Borden Co. 84V. 65%Bristol-Myers 112% 116Brunswick Corp. nV. 12Burroughs Corp. 267s 27%Campbell Soup 100% lOOVsCanadian Pacific 32% 32'/»Carter Products 77% 73%Cerro de Pasco 32% 33'/.Chrysler Corp. gis/. 95Cities Service 62V. 65'/aCoca-Cola 103V. 104%Colgate-Palmol , 45V8 45%Commonw. Edis. son/a 50V.Consol. Edison ae1/. 88%Cons. Electronics 35 35%Continental Oil 60% 61'/sCorn Products 57»/, 53Corning Glass tg2 200Créole Petroleum 3g% 3g%Douglas Aircraft 20'/s 22VsDow Chemical 58% 59%Du Pont 246 244%Eastman Kodak no% 111%Fairchild Caméra 445/, 4g8/9Firestone 3g 331Ford Motor Co. 52 ;}.i 53%i",en . Dynamics 23% 24Gen. , Electric 7%% 7gi/,

Cours du 15 18

New. York <sui ,e>General Foods Sjjî f 88%General Motors „_ a/ B ffGen. Tel & Elec. f J Î 27%Gen. Tire & Rub. ",, ^/iGillette Co *?/.' 33s/sGoodrich Co ^nv 54/2Goodyear ffi* 40'/.Gulf Oil Corp. «''¦ 49V.Heinz « 447/,Hertz Corp. «* 47%Int. Bus. Machines 4'" 490%Internat. Nickel °l . 61%Internat . Paper J*',8 35Int. Tel. & Tel. f»S 49V.Johns-Manville ~ ~ 48Jones & Laughlin »'• 63'/.Kaiser Aluminium 3° 36V.Kennecott Copp . J

» 7514Korvette Inc. »' '- 38Litton Industries ' (7 80%Lockheed Aircr. ^ t f r 35Lorillard ™* 45VsLoulsiana Land 80/1 80Magma Copper 29 29%Martin-Marietta 18 /s 18V.Mead Johnson 22 23'/.Merck & Co 1013 101%Minn. -Honeywell l23f 123Minnesota M.& M. °2 1 » 63Monsanto Chem. 57 /. 553/8Montgomery 38 A 37;/.Motorola Inc. 70l/a 73National Cash 76V. 773hNational Dairy 65% 65%Nation. Distillers 25s/8 26National Lead 74 73%North Am. Avia. 48'/. 49v /sNorthrop Corp. 19'/. 19'/.Norwich Pharm. 35% 36V»Olin Mathieson 42 42Pacif. Gas & Elec. 31*/i 32V.Parke Davis & Co 33 34V.Pennsylvania RR 19'/s 19%Pfizer & Co. 50V. 53»/,Phelps Dodge 62 61%Philip Morris 75% 75%Philli ps Petrol. 52'/» 53Polaroid Corp. 164V» 104 HProcter & Gamble 7U Vis 80Radio Corp. Am. 787* 82Republic Steel 42',4 43

Cours du 15 18

New York (8ul,a|

Revlon Inc. 43V. 43'/.Reynolds Metals 34% 35%Reynolds Tobac. 40'/. 41

1 Richard. -Merrell 54% 55V., Rohm & Haas Co 131 133%

Royal Dutch 44% 45%, Sears, Roebuck 98V. 98%1 Shell Oil Co 43% 44%1 Sinclair Oil 44% 45V.

Smith Kl. French 64% 65'/iSocony Mobil 68 88%South. Pacif. RR 33V. 34V.Sperry Rand 18V. IWi

, Stand. Oil Calif. 65% 64'/.Standard Oil NJ. 69Vs 70V.Sterling Drug 30'/. 30%Texaco Inc. 67V. 68%Texas Instrum. 81% 87V.Thiokol Chem. 21% 21V.Thompson Ramo 48% 49%Union Carbide 107'/. 107%Union Pacific RR 40 40United Aircraft 41% 42%U. S. Rubber Co. 48'/. 4B%U. S. Steel 55% 56%Universel Match 14s/. 14%Upjohn Co 45'/. 47%Varian Associât. ig»/8 19V»Wa*ier-Lambert 25 25'/.Westing. Elec. 3g% 40VsXerox corp. 304 310Youngst. Sheet 123 1245/.Zenith Radio 66'/. 89V.

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lisez l'Impartial

I EN GRANDE PREMI èRE SCALA Un susp ense p ermanent

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I

Samedi et dimanche à 17 h. 30P R O L O N G A T I ON ¦ » M U LÂTRFQQF avec NINON SEVILLA

On vient d'apprendre la mort , sur-venue à Lausanne mercredi matin,de M. Paul-Henri Gagiiebin, secré-taire central de la Fédération siùssedes ouvriers sur bois et bâtiment,vice-président de l'Union syndicalesuisse..Le défunt qui a consacré toute savie au mouvement syndical, était néà La Chaux-de-Fonds, le 31 décembre1898. Au cours de sa longue car-rière, il fut chargé de missions trèsimportantes sur le plan national etnotamment dans le domaine du BITet fit partie de nombreuses com-missions extraparlementaires dansles cantons romands et sur le plande la Confédération.

Une personnalité décèdeà Lausann e

Du charme, de l'élégance , du chic.

1 i

*~^ ~~~ jusqu'au 20 octobre ^—

Apres avoir abrite le rythme, lachanson et l'illusion, le podium deMODHAC a vu défiler , hier soir, l'é-légance, le charme et la beauté.

Les vedettes de la soirée avaientpour nom : Denise, Sylvie et Marie-Christine, sympathiques et jolismannequins.

* # *L'affluence des visiteurs ne tari t

pas au cours des jour s. La petitescène de Mode et Habitation a déjàété entourée par beaucoup de per-sonnes, mais tous les records d'af-fluence ont été battus hier au coursdu défilé de mode.

* . *On approche, parait-il, à grands

pas du 10.000e visiteur. Ce nombrerisque bien d'être atteint aujour-

MODE et HABITATION

Quatre familles italiennes habitantLa Chaux-de -Fonds ont absolument

tout perdu dans la catastrophe

Don Giuliano Bonci de retour de Longarone, nous dit :

Hier , à peine de retour à La Chaux-de-Fonds, Don Giuliano a eu l'amabi-lité de nous fournir tous les rensei-gnements utiles concernant les fa-milles italiennes domiciliées en villeet dans la région , touchées par lacatastrop he de Longarone.

Dès les premières heures de cettetragédie , ces familles furent alertées

Don Giul iano Bonci à son retour deLangarone. (Photo Impartial.)

par télép hone et purent se rendre surplace , en voiture , pour tenter de re-tiouver leurs parents ou leurs biens.Quel ques-unes sont déjà de retour.

Quatre familles italiennes de notreville ont tout , absolument tout perdu:parents proches et éloignés, ainsi queles quel ques biens qu 'elles possé-daient là-bas. Dans une seule de cesfamilles , on compte vingt morts. Nouscompatissons à leur immense détresse.

D'autres Italiens habitant chez nous(une vingtaine), bien que moins tou-chés par le drame , dép lorent cepen-dant la mort de quelque parentéloi gné. La plupart ont perdu leursbiens.

Don Giuliano , qui a assisté auxopérations do déblaiement , garde unsouvenir extrêmement douloureux deC( !tte tragédie. Lorsqu 'il en parle , sesyeux reflètent la vision trag ique , apo-calypti ques , de cette vallée de la mortaux villages détruits ; de ces voiesde chemin de fer tordues , de cesroutes défoncées, de ces cadavresméconnaissables que l'on doit réunird'urgence dans des fosses communes,

dans la crainte d'une épidémie. De-puis dimanche , les hommes qui tra-vaillent là-bas, doivent mettre desmasques et des gants. Les hélicoptèresvont et viennent sans interruptionpour apporter les secours aux survi-vants. Ces derniers font preuve d'uncalme courage dans l'épreuve et l'af-fliction. Ce sont des montagnards dunord de l'Italie, leur dignité a frappé

Don Giuliano qui a parlé à p lusieursd'entre eux.

Un montagnard a relaté les circons-tances qui lui ont permis de survivre.Il gardait ses troupeaux sur la mon-tagne qui domine le barrage. Depuisune semaine, il avait remarqué queses bêtes étaient très agitées. Pres-sentant que quelque chose d'insolitese préparait , il décida tout à coup dechanger d'endroit. Deux heures aprèsson départ , il voyait la montagne -80 millions de mètres cubes de terreet de roche — s'écrouler dans leseaux du barrage , dans un fracas épou-vantable.

Don Giuliano a terminé son récit. Ilreste silencieux. Il pense à ce qu 'il avu encore et qu 'il n 'a pas dit. Il pensaà ses protégés , les Italiens qui sontdans nos murs , et aux autres , ceuxqui sont restés là-bas...

D. D.

Haroun Tazieff, chasseur de volcansAu cinéma Scala

Hier soir, le Club alpin suisseavai t invité l'explorateur HarounT a z i e f f , l'auteur de «Entre ciel etterre» et des «Rendez-vous du dia-ble».

C'était une aubaine pour lesChaux-de-Fonniers , car le conféren-cier ne pouvait visiter que quatrevilles de Suisse , étant appelé dansle monde entier.

Dans un exposé préliminaire , Ha-roun Tazie f f a rappelé les diversesétapes de la volcanologie.

Jusqu 'en 1860 environ, celle-ci étaitessentiellement descriptive. Le phé-nomène lui-même n'était pas ana-lysé. Dès cette époque , la volcano-logie devient peu à peu analytique ,le phénomène est un sujet de re-cherches et d 'études. La période quiprécède la deuxième guerre mon-diale marque de grands progrès dansl'étude des volcans, mais les moyenstechniques manquent , notammentcertains instruments de géophysi-que. Depuis une douzaine d'annéesseulement , un grand mouvement aété donné pour connaître l 'intérieurde la planète. Chose paradoxale , onconnaissait mieux la composition dusoleil et de certains astres qui setrouvent à quelques milliers d 'années-lumière, que celle de notre bon-ne vieille planète...

L'écorce superficielle de notreglobe est de 80-100 km. d'épaisseur.L'écorce terrestre est à la terre , ceque la coquille est à l' oeuf : unemince couche, par rapport à la mas-

se. A l 'intérieur de la terre se trou-ve le magma : des roches en fusion ,à la fo i s solides et liquides , révé-lées grâce à l 'étude des ondes séis-miques.

Le premier objectif poursuivi parles volcanologues est , précisément , deprévoir les éruptions volcaniques. Lespopulations qui vivent près de cer-tains volcans peuvent ainsi être éva-cuées en cas de danger imminent.Le deuxième objectif consiste à uti-liser l'énergie volcanique à des f insindustrielles. Il existe déjà quelquescentrales expérimentales dans lemonde.

Faisant suite à cet exposé , deuxf i lms ont été présentés au public.Un f i l m documentaire sur le Strom-boli , volcan «classique» qui sert de« laboratoire » aux volcanologues.Puis un f i l m sonore remarquable,¦(Exploration du Lac de Lave duNiragongo» (Congo belge) .

Haroun Taz ief f est le premier àêtre descendu profondément à l'in-térieur du volcan, en 1048. Il a

fa l lu dix ans pour réunir les fondsnécessaires à la mise sur piedsd'une expédition sc ientifique com-plète , laquelle a étudié ce cratère en1948. Images saisissantes représen-tant ces hommes descendant lente-ment au fond de ce g o u f f r e enfumé ,campant , à quelques centaines demètres du lac de lave incandescen-te. Vision hallucinante de ces sil-houettes s'approchant à 50 centimè-tres du lac de lave en fus ion !

D. D.

Un tour„ EN VILLE

Qu 'est-ce que le Chaux-de-fonnier ?

On l'a souvent défini de ma-nière plus ou moins heureuse,essayant même parf ois de rac-courcir son nom à rallonges, jele veux bien, j nais combien har-monieux.

Le préfe t Haldimann , donttout le inonde sait qu'il f u t unexcellent journaliste vient d'en-richir notre dictionnaire locald'une nouvelle définition qui meplaît. Et à vous ?

€ Le Chaux-de-fonnier vapartout , et se veut de partout ;il se f lat t e de tout connaître —ou presque. Il étonne le monde:entendons par là, sans nulleforf anter ie, ceux qui viennentchez nous et s'émerveillent denous trouver tels que nous som-mes, la modestie nous tenantlieu d' orgueil , et l'orgueil de mo-destie. Au demeurant , l'habi-tant de ces lieux n'a qu'un dé-fau t , parfois assez , outrageuse-ment apparent : celui de ne passavoir considérer ses propres ri-chesses : qu'il s'agisse des arts ,de l'économie, des trésors ' deson patrimoine ».

J' ai extrait ces lignes du dis-cours prononcé , le vendredi 11octobre , à l'occasion de l'ouver-ture de « Mode et Habitation »,par le préfe t Haldimann. Ledernier discours de ce magis-trat que j' ai entendu ! Mais ,avec ce métier-là, il en auravraisemblablement prononcéquelques-uns depuis ! Tous aus-si spirituels !

Champi

Hier matin, à 11 h. 30, circulant SUTun scooter , M. Antoine Schaeffer , deFleurier, roulait sur la rue J.-P.-Zim-mermann , en direction du nord. A lahauteur de la rue du Temple-Alle-mand , il négli gea d' accorder la prioritéde droite à un taxi conduit par M.G. Sabbattini , de La Chaux-de-Fonds.

A la suite de la collision , le pas-sager du scooter , M. Aeschbach , deFleurier , a été légèrement blessé etconduit par les soins du taxi à l'hô-pital pour un contrôle.

Et hier soir , à 18 h. 55, au volantd'une voiture , M. Peteranetsch Tho-mas , domicilié à La Chaux-de-Fonds ,circulait sur la rue du Parc en direc-tion est. A la hauteur de la rue d«l'Abeille, il négligea d'accorder lapriorité de droite à une autre véhi-cule conduit par M. Pierre Schmid.

Les dégâts matériels aux deux véhi-cules sont légers.

Deux prioritésde droite !

IMode etHabitation

| Jusqu au 20 octobre

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L'homme d'affaires ne manque pasde s'arrêter à ce stand pour admirerune nouveauté sensationnelle « letrieur automatique de la monnaie ».On y voit également une gamme trèsétendue de modèles allant de la pe-tite caisse à la grande machine comp-table. Elles font l'étonnement ducommerçant par leurs perfectionne-ments techniques jamais égalés àce jour.

21031

CHAUSSURES BERGERA réuni en son stand une collec-tion extraordinaire des récentescréations de chaussures et de bottessuisses et étrangères. Remarquable-ment présenté, cet ensemble spécia-lisé constitue un véritable centre do-cumentaire du parfait connaisseur,auquel le profane aura plaisir às'adresser.

21055HERTIG VINS

ne présente à son stand que ses ex-clusivités et une partie de ses im-portations directes choisies parmiles meilleures marques.Ce sont tous des produits de hautequalité agréablement présentés sousun habillage parfait.

21137

OUEST-LUMIERENAEGELI & CO.

présente dans un stand bien acha-landé tous les articles indispensablesà la bonne ménagère ; tels que fri-gos, cuisinières électriques, machinesà laver le linge, entièrement automa-tiques, mach 'nes à laver la vaisselle,tous ces appareils sont munis desderniers perfectionnements.On y admire également une nouveau-té qui sera appréciée par tout lemonde, un apparei l électrique pourla confection de la fondue bourgui-gnonne.De charmantes demoiselles vous fon tégalement la démonstration de lamachine de cuisine par excellence« Kenwood-Swiss », ainsi que du farmeux « Grillswiss » dont la réputa-tion n'est plus à faire.

21057MOTTIER & CO. - FLEURISTES

concrétisent dans un ensemble .re-marquable les nombreuses possibi-lités qu'offrent les fleurs dans ladécoration de l'habitation — les nou-velles tendances de la mode ; car ily a aussi une mode dans l'art floral— y sont également représentées defaçon suggestive.

21058

d"hui dans la soirée et l'heureuxvisiteur ou visiteuse sera dignementfêté.

* * *Nul doute que les visiteurs se-

ront en grand nombre ce soir aussi.D'une part ifin d'être l'heureux

élu, le 10.000e visiteur, et pour assis-ter dès 20 h. 45 au défilé de modequi déroulera ses fastes une foisencore. Et personne ne s'en plain-dra.

* * *La réussite du d é f i l é fut

totale. Huit maisons de la place,Arielle, Excelsior, Hecklé, Weber ,Berger, Dolly-Modes. Coryse -Salo-mé et Coiffure et Création, ontoeuvré avec enthousiasme et raffi-nement pour permettre cette mani-festation élégante présentée par M.Henri Bloch, et accompagnée aupiano par Gérald Bringolf.

* * *La soirée se termina dans l'am-

biance avec les Fellows et encoredes twisteurs de la ville, dont leswing déclencha des applaudisse-ments frénétiques.

LE FLANEUR.

AMEUBLEMENTS LEITENBERGLes meubles à combiner vous per-mettent d'aménager à l'infini et avecgoût votre intérieur. Venez admirerà leur stand la salle à manger enpalissandre de RIO et le derniermodèle de salon recouvert de skaïet tissu.

21056CHS WEBER - MAROQUINERIE

La diversité des articles de voyageet la grande gamme des modèlesde sacs de dames présentées sontun des attraits de ce stand.

Fabriqués dans des cuirs les plusdivers, ils donnent, aux visiteurs,l'occasion de se documenter sur lesdernières nouveautés.

21059

CORYSE-SALOME - PARFUMERIECe stand est le paradis des dames,elles ne manquent pas d'admirer sesparfums de luxe, ses eaux de Colo-gne et tous les produits de beauté,ainsi que sa collection de bijouteriedes grands couturiers parisiens.

21039TOULEFER S.A.

ne présente à son stand que desnouveautés : chauffage à gazbutane ou propane, à mazout (lafameuse marque suisse « Vampir ».Une machine à laver « Ignis » super-automatique 5 kg., pour le prix deFr. 1 890.—.Un merveilleux petit gril électrique« Mélior » fort pratique par sa sim-plicité et d'un prix très modeste deFr. 125.—.A l'entrée de l'exposition une frai-seuse à neige norvégienne fait l'ad-miration du public.

21030MAISON DROZ & CO. - VINS

fidèle à la tradition, présente à sonstand, par ailleurs très évocateur ,un remarquable choix de vins finsqui ne manque pas d'intéresser unenombreuse clientèle d'amateurs.

21032FLORES - FLEURS

Dans un cadre admirable, exposeune sélection de fleurs qui enchantetous les visiteurs.Ses arrangements et décorationscharment et parlent au cœur.

21033NUSSLE S.A.

présente dans son stand (le plusgrand de l'exposition ) 43 appareilsménagers : grils, mixers, toasters,frigos, machines à laver le linge,machines à repasser, cuisinières,machines à laver la vaisselle, fou r-neaux, etc. Parmi les nouveautés, lesmaîtresses de maison admirent par-ticulièrement la cuisinière télégui-dée « Homann ». Les messieurs sontattirés par la machine à bricoler« Black + Decker ». Et ceux qui pos-sèdent une ancienne machine à laverprofitent de la grande action de re-prise « Indésit ».

21034

i MODHAC A l'occasion duTOÔflSisiteu^!

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P Pavillon des Sports ...sera fêté aujourd'hui ! 1

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LA TOUR DES PRISONSTour comtale de Neuchâtel

Par privilège spécial , je suis allé enprison — ou plus exactement : j e suismonté 'dans la Tour des Prisons. Cequi n'est pas tout à fai t pareil.

Je m'étais fa i t une idée assez vague ,mais que je croyais possible , de cevieux bâtiment. Je m'imaginais ytrouver des cellules , un geôlier , peut-être un gendarme ; en tout cas deséléments de vie , certes peu aimable ,mais tout de même réelle , active. Jef u s surpris , une fo i s à l'intérieur.

Il est vrai que les murs de cettetour sont suff isamment épais p ourque l'on ne puisse deviner ce qu 'ilscachent derrière leurs tonnes de ma-çonnerie. En outre , l' extérieur del'édifice à lui seul mérite une visiteattentive. Ne serait-ce que pour admi-rer les styles si nettement marquésde sa construction, avec tout parti-culièrement cette ceinture étonnantede blocs de roc non taillés qui pa-raissent simplement entassés les unssur les autres.

Quant à l'intérêt historique de no-tre Tour des Prisons et à sa valeurmilitaire au cours des âges , ce sont làdes fai ts exposés de faç on magis-trale par M. Jacques Béguin , archi-tecte et historien, dans son très belouvrage illustré sur le Château deNeuchâtel. Un livre dont nous con-seillons vivement la lecture aux per-sonnes intéressées p ar ces questions.

La porte s'ouvreMuni d'une clé comme je ne pour-

rais certes pas en mettre un trous-seau dans ma poche , j 'ai ouvert laporte massive , au pied de la Tour.J' ai tourné le commutateur électri-que, à ma gauche , et la lumière éclai-ra ce sombre réduit. Ensuite , je me

Au pied de la Tour , une porte massive. (Photos Porret.

suis engagé dans l'escalier de boisappliqué contre les murailles.

Au premier étage , première surpri-se : il y a là un cachot semblable àcelui du Château de Valangin , queconnaissent tous les Neuchâtelois.C'est à dire une cellule en bois , mas-s i f , montée de toutes pièces sur place ,avec une très petite porte que l'on nepetit franchir qu 'accroupi , et des fer-rures remarquables. Longueur , lar-geur et hauteur ont moins de 2 mè-tres. Un véritable cachot pour con-damné à mort , sinistre, et qui nousfai t froi d dans le dos.

Deux étages au-dessus : deuxièmesurprise : une geôle semblable à laprécédente. Mais pas trace de prisonmoderne : les cellules actuelles sonttoutes installées dans le bâtimentcontigu ; aucune d' elles n'existe dansla Tour des Prisons.

Tour comtaleou Tour des prisons ?

Il y a peu de temps , une personneparticulièrement attachée à l'histoireet au passé de notre ville , nous fai-sai t part d'une idée qui nous avaitparu plaisante : pourquoi donc appe-ler « Tour des prisons » un bâtimentoù ne se trouve aucun prisonnier ?Ne serait-il pas plus indiqué de dé-nommer celui-ci « Tour comtale », cequi lui donnerait un cachet historiquemérité et à ne pas négliger à notreépoque de tourisme intensif ? Car ene f f e t , les visiteurs de Neuchâtel se-raient certainement davantage inté-ressés par une « Tour comtale » évi-demment ancienne — que par .me« Tour des prisons », dont l'appella-tion ne dénote pas nécessairementl'époque de construction.

Nous avions été , plein ement d' ac-cord avec cette suggestion. Toutefois ,

La Collégiale vue de la p late-forme supérieure.

sur place , nous hésitons. Les deuxsinistres cachots que nous venonsde visiter nous font penser que cettetour, hélas , reçut beaucoup plus sou-vent la visite de prisonniers enchaî-nés que celle des Comtes de Neuchâ-tel.

Seul dans cette tour énorme, puis-sante, restée solide et ferme au longdes siècles, avec devan t nous l'un deces terribles cachots , nous rêvonsaux soupirs et aux râles des prison-niers , au bruit des chaînes lourde-ment remuées , au pas des gens d'ar-mes qui vont et viennent autour deces chambres fortes. Il y a bien làde quoi se réjouir de ne pas être néà l'époque de ce « bon vieux temps »où la fantaisie d'un homme puissantet haut placé pouvait nous envoyer

sans retour possible dans lun de cesboitons que l'on ne quittait guère quepour la chambre des tortures oul'échafaud !

Alors... Tour des prisons ?... ouTour comtale ?...

Nous proposerions , pour mettretout le monde d'accord : « Tour com-tale de Neuchâtel - anciennes prison sde la Ville ». Il y aurait certainementlà un atout publicitaire p our les tou-ristes visitant notre ville.

Et voici l'air pur !Nous continuons de monter l'esca-

lier de bois — et la port e qui s'ouvrefinalement devant nous nous obligeà nous courber en deux : nous débou-chons sur la dernière pl ate-forme, enplein air, par un passage vraiment-étroit et bas.

En nous redressant, nous soupi-rons d'aise : nous avons le ciel bleuau-dessus de nous ! Et une vue splen-dide dans toutes les directions.

A l'ouest : le Mont-Aubert , et le lac— un lac infini qui se perd dans lalumière du couchant. Plus près denous : Serrières ; puis l'Evole , Trois-Portes , ces quartiers encore sauvésde l'aspect de banlieue si regrettablequi abîme ailleurs l'entrée de laville. Beaucoup de verdure entre lesmaisons et les villas , beaucoup dejardins et même des vergers, des vi-gnes. Jusqu 'à quand ?... Derrière lehangar des trams on voit très bienla petite grève et les points blancsdes nombreux cygnes qui se prélas-sent sur l'eau bleue.

Au sud : le lac aussi et la rive d' enface. Détail amusant : en regardantpar les mâchicoulis, il semble vrai-ment que l'eau de la baie de l'Evolearrive jusqu 'au pied de la Tour.

A l'est : une cavalcade de vieux toitbrunis dont la chevauchée dégringole

la colline du château p our s 'élargirau centre de la ville , puis s'ouvriren éventail des bords du lac jusqu 'auforêts de Chaumont. Toute une partde la ville que l'on devine ainsi , ma-gnifiquement bien ; une bousculadede tuiles sombres, de cheminées, delucarnes entre lesquelles on devinele contour des rues et des ruelles.Une vision vraiment unique de Neu-châtel vu d'en-haut.

Mais c'est en direction nord que lavue est la plus pittoresque. Toutd'abord , on peut admirer la Collé-giale comme on ne la voit de nullepart ailleurs. Etant placé un peu plushaut qu'elle , il nous est possible de lavoire d'un seul coup d'œil, de saface ouest j usqu'aux tours , sa pierrejaune, chaude et lumineuse se déta-chant d'une ceinture de verdure. Ilen est de même pour une partie duChâteau , à droite — et \ gauche 'pourles murs crénelés, l'ancien fossé et lejardin du Prince. Le tout appuyé auxforêts de Chaumont.

Neuchâtel : ville de tourismeCe spectacle est si plaisa nt , si lumi-

neux que nous avons oublié les ca-chots de tout à l'heure. La vision deNeuchâtel admirée du haut de laTour comtale nous a évidemmentrappelé toutes les tours , tous les bef-f ro is , tous les clochers , tous les pha .res du haut desquels nous sommesmontés, marche après marche , de laMer du Nord à la Médit errannée, del'Atlantique à la Mer Noire. Et sin-cèrement , sans prétentio n inutile,nous pouvons a f f i rmer que rarement ,la vue o f f e r t e du haut de ces édificesf u t aussi belle que celle dont nousavons joui en cette occasion-ci. Nousen avons même ressenti une telle sur-prise et un tel enthousiasme que nousen avons fai t part a M . Alex Billeter,l'actif directeur de l'ADEN.

M. Billeter s 'est alors souvenud'avoir lui-même contemplé Neuchâ-tel du haut de cette tour, lors des mo-bilisations. Mais à cette époque , l'ac-cès de la plate-forme était moins aiséque maintenant. L'escalier est actuel-lement en bon état ; la lumière élec-trique ""t illée, les c.nr-hots sontprêts à fair e frémir les visiteurs , etde la plate-f orme supérieure la vueest unique. Espérons donc que l'an-née prochain e, l'ADEN aura pu vren-dre les quelques dispositions néces-saires pour que les visiteurs puissentmonter en grand nombre sur notreTour comtale, anciennes prisons de laVille de N\ :hâtel !

Robert PORRET

La Tour de la Prison

DES CHAMOIS ET DES BOU QUETINSDu pont des Isles à Areuse

Si elle trouoe i i' nrgent qui luimanque (elle dispose de 25.000 frsshoiron et if lui en faudrai t 60.000)la commission chargée de la sur-v eillance de la réseroe naturelle duCreux du Van , que présid e notreancien député , M. Jules-F. Joli/, deNoiraigue , introduira dans le parcde, la Ferme Robert des cerfs etdes bouquetins-

Ces animaux seraient destin és àêtre ensuit e relâchés dans la ré-seroe.

Voilà un projet qu 'on ne peutqu 'npprouuer car il aurait peut-êtred'heureuses incidences sur la oiedes quelque 200 chamois qui oioentactue/lement nu Cre,ux-du-Van.

On sait que , du 23 au 28 sep-tembre dernier , in chasse au cha-mois a été autorisée , sous condi-tions , au sud de la résero e et que16 bêtes (12 femelles et i mâies)ont été abattues -

Voilà qui est bien peu. Mai s, nel' oublions pas , la chasse ne pou-uait se pratiquer que dans la partie ,du district de Boudry délimitéecomme suit : le bord du lac , del' embouchure de l'Areuse jusqu 'à lafrontière oaudoise , du bord du lacjusqu 'au Creux-du-Van , de la fron-tière u aurfoise jusqu 'à l'Areuse.

On aoait autorisé cette chasseparce que, maintenant , grâce aux

mesures de repeuplement prises parles autorités , les chamois abondent.Ils courent même le risque d'êtredécimés par des épiz ooti es et, sil'hiver était trop rigoureux , ces cha-mois, ne par v enant pas à trou oerde nourr i ture , p ourraient en pâtircruellement. Dan s certaines régions.la perte ders e f f e c t i f s , duran t Inmnuu aise saison , est de 40 %.

Bien sûr , cet hioer , on sait déjàque l'on mettra des meules de foinen plein air à l 'intention des cha-mois puisque la nourriture qu 'onleur a offerte, Chiner dernier , cesont les heures et les cheu reuilsqui l' ont mangée, I Mais si ces cha-mois prenaient la décision de créerd' autres cellules , dans les enoiron s,la solution serait par faite.

Qui sait , en lâchant dans la natu-re, les cerfs et les bouquetin s quise seront habitués au parc de laFerme Robert , peut -être paruiendra-t-on à faire fuir quelques chamois.

C'est ce qu 'e.spère la commissionchargée de la surveillance du Creux-du-Van. Si elle réussiss ait dans sonentreprise , on n 'assisterait plus auxfrictions qui se sont pro duites, enseptembre . entre des protecteursdes animaux et des chasseurs dechamois.

R. T ..

Anniversaire médical aux Brenets(pf ) — L Association neuchâteloise

des Médecins omnipraticiens s'est réu-nie aux Brenets, sous la présidence duDr Pétremand , de Peseux , à l'occasiondu 10e anniversaire de sa fondation.Elle a entendu des exposés des Dr Bizeet Billod sur les « Cabinets de groupe »et les expériences réalisées au « Centremédical des Brenets ».

Les participants , avec leurs invités,au nombre d'une soixantaine, visitèrentensuite le Centre médical et ne tarirentpas d'éloge sur son agencement. Ils fé-licitèrent les initiateurs de cette « au-dacieuse entreprise » ainsi désignée parM. J. Guinand , président de commune,qui espère par cette réalisation, assu-rer 'des soins de qualité à ses adminis-trés et faciliter la tâche de leurs mé-decins. Signalons eue le Centre est com-

plété par l'installation de deux cabinetsdentaires.

La commémoration de cet anniversai-re se termina par un diner servi àl'Hôtel « Touring Jura », au cours du-quel on entendit : le Dr G. Valingot,président du syndicat national des Mé-decins omnipraticiens français ; M. J.Guinand, président de commune ; leDr W. Schneider, président du Grou-pement des médecins omnipraticiensvaudois et Me H. Schûpbach , secrétaire-juriste de la Société neuchâteloise demédecine.

Les discours prononcés reflétèrent lespréoccupations des autorités communa-les et des médecins concernant l'avenirde la médecine générale. Elle est ac- :tuellement compromise par un recru-tement insuffisant des représentants der.p t art.

AU TR RUNAL DE POL CE DU VAL - DE - RUZ(d) — Préside par M. Gaston Beuret ,

assisté de M. Marc Monnier . substitut-gr ef f ier , le Tribunal de police a siégé ,à Cernier, à l'Hôtel de Ville.

Ivresse au volantLe 12 juin, vers 23 h. 30, P. K., cui-

sinier, à La Chaux-de-Fonds , circulaitau volant de sa voiture, descendant laroute de La Vue-des-Alpes , directionNeuchâtel. Arrivé à l'entrée du villagede Valangin, près de la scierie Aiassa,son véhicule sortit de la route, man-quant le virage, vint se jeter contre untas de planches. Rejeté sur la route, ilf i t un tonneau et finalement se renversasur le toit , près d'une barrière, à proxi-mité de la propriété Touchon.

P. K ., accompagné de plusieurs per-sonnes, se rendait à Berne.

Au cours de l'enquête , il a reconnuavoir circulé beaucoup trop vite et c'estau moment où il a voulu freiner qu'ilaurait dérapé sur la chaussée et perdula maîtrise de son véhicule.

Le prévenu fu t soumis au bréathaly-ser qui révéla une alcoolémie de 1,1 %«et à une prise de sang qui donna 1,3%,.

P. K. comparait, assisté de Me C.Grosjean , avocat à La Chaux-de-Fonds .Il reconnaît tous les chefs d' accusationqui lui sont reprochés , sauf celu id'ivresse au volant , prétendant , malgréle résultat des analyses , qu 'il était apteà conduire , ayant toutefois reconnu ,

FLEURIERLA COMMISSION SCOLAIRE

ADOPTE LE BUDGETfbm) — La Commission scolaire de

Fleurier a siégé sous la présidence deM. J.-P. Blaser. Elle s'est principale-ment penchée sur le budget 1964 quiprévoit une charge sensiblement iden-tique à celle de l'année en cours. Letotal des dépenses s'élève à 313,119 fr.pour l'enseignement primaire , et 17,630francs pour l'enseignement ménager.Le budget tel qu 'il fut présenté à l'as-semblée a été adopté à l'unanimité.

En remplacement de Mlle Stuckki ,qui quitte l'enseignement pour causede mariage , il a été fait appel à MlleJosette . Koenig f fille du président decommune) , actuellement en stage àDombresson. Elle entrera en fonctionà fin octobre.

On espère pouvoir ouvrir , au prin-temps prochain , une classe de dévelop-pement. Cependan t , un épineux pro-blème se pose quant à trouver un lo-cal où loger cette nouvelle classe. Com-me ce problème urgent se pose égale-ment pour d'autres locaux scolaires , onsonce à la construction d'un pavillon,éventuell ement à l' est du collège deLongereuse, Une commission spécialede 5 membres a été nommée pour étu-dier cette importante question.

devant le juge d' instruction , avoir tropd' alcool dans le sang.

Me Grosjean, dans sa plaidoirie , es-saye de faire ressortir qu 'il s'agit d'uneivresse discrète que l'on peut encoreadmettre comme limite permise. Quantaux autres chefs d'accusation, il plaidecoupable.

Le juge ne pouvant guère admettrela théorie du mandataire du prévenu etconstatant que les éléments du dossiervont à l'encontre de ses dires , con-damne' P. K. à une peine ferme detrois jours d' emprisonnement , à 50 f r .d' amende et aux frais arrêtés à 178f r. KO.

Des soldats remercientLe commandant de la Cp. mot. 13

nous communique :La Cp. mat. 13 ad hoc , composée

d'officiers, sous-officiers et soldats dela presque totalité des cantons suisses,a stationné du 7 au 19.10.1963, aux Ge-neveys-sur-Coffrane et à Coffrane.

Grâce au temps clément, la principaleactivité portant sur des tirs à balless'est soldée par un résultat positif.

Toutefois , si ce cours a bénéficiéd'aussi bonnes conditions, chacun seplaît à reconnaître, qu'il le doit engrande partie au bon accueil que la po-pulation locale a fait à nos militaires,et à la compréhension que le comman-dant a reçu des autorités. Nous sai-sissons cette occasion, pour remerciervivement tous ceux qui , par leur bon-ne volonté et leur indulgence, ont con-tribué à nos excellents contacts réci-proques.

C'est avec un souvenir durable de cebeau Val-de-Ruz que chacun rentreradans son foyer.

GENEVEYS-sur-COFFRAMEAssises des comptables

L'Ordre neuchâtelois des experts-comptables (ONEC) a tenu ses assisesaux Geneveys-sur-Coffrane , sous laprésidence de M. Jean-Pierre Maré-chal.

A près avoir li quidé diverses affai-res internes , il s'est occupé de larevision de la loi fiscale neuchâte-loise qui est en cours. Il a notam-ment approuvé le mémoire adressépar le Conseil de l'Ordre aux dépu-tés de la Commission financière duGrand Conseil.

L'assemblée s'est terminée par unecauserie fort instructive de Me Jac-ques Mey lan , avocat , sur l' officialisa-tion de la profession d' expert-comp-table.

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SONVILIERDE LA DISSOLUTION

DE LA FANFAREA L'EPURATION DES EANX

(ed) — Dans sa dernière séance, leC. M. a pris acte avec regrets de ladissolution de la fanfare municipale. LaDirection militaire du canton de Ber-ne a donné son autorisation pour l'u-tilisation des nouvelles installations dustand de tir. Des remerciements toutspéciaux vont à la Commune bourgeoiseet à la Société de tir pour les rénova-tions et améliorations splendides quiont été apportées au stand. Le Conseila pris note que les agriculteurs du cer-cle II d'inspection du bétail à Mont-Soleil , ont décidé la création d'unecaisse d'assurance du bétail. M. ChsNicklès, député, avait auparavant don-né tous les renseignements utiles auxagriculteurs rassemblés le 25 septem-bre 1963. Il est décidé de mettre unesomme de 3500 francs au budget a dis-position du corps des sapeurs-pompiers.

S'occupant activement du problèmede l'épuration des eaux usées, il a euun entretien important avec M. Ingold ,chef de l'Office cantonal de l'utilisa-tion et de l'épuration des eaux usées.Ce dernier a laissé entendre que le pro-jet de Sonvilier serait probablement en-globé avec ceux de St-Imier et Ville-ret.

CORTÉBERTLe Conseil municipal

a pris diverses décisions(p) — Le Conseil a décidé de faire

encaisser les arrérages d'impôts par voiede poursuites et envisage également laremise en état de la charrière de l'En-vers détériorée par l'orage survenu lanuit du jeudi au vendredi 19-20 sep-tembre. Le bureau de vote pour lesélections au Conseil national est cons-titué comme suit : Président , M. RobertKobel fils ; membres : MM. PierreLiechti, Jean Schmoker, Pierre-AndréSteiner Synèse Jolidon et Edmond Mon-nier. Pour la Montagne MM. Jean Gei-ser et Ernest Fuhrer. Le scrutin seraouvert les vendredi et samedi 25 et 26octobre, de 19 à 20 heures et le di-manche 27 octobre, de 10 à 14 heures.

La liste des taxes de chiens dont l'é-tat comporte 74 taxes à 15 fr. et' 9 à7 fr. 50 (externes) , prend force de loipar prononcé du Conseil municipal. Ce-lui-ci a pris acte du programme d'ac-tivité des sociétés locales durant l'hiver1963-64.

Pour les lotos, la période fixée par la

direction de la police cantonale se si-tue entre les 2-3 novembre 1963 et les11-12 janvier 1964, arrêté qui sera com-muniqué au cartel des sociétés avec lesindications utiles.

La vaccination contre la poliomyéliteaura lieu très probablement vers finnovembre 1963. Les inscriptions sontreçues par le Secrétariat municipal, etpour tous renseignements les intéresséssont priés de consulter les avis pla-cardés aux tableaux d'affichage.

REUCHENETTELa fin d'une escapadefac) — Depuis dimanche, une fa-

mille de Vellerat sur Courrendlinétait sans nouvelles de son chef. Cedernier, âgé de 26 ans, avait pris lafuite après avoir forcé le compteurélectrique pour s'emparer des quelque100 francs qu 'il contenait.

Hier, vers 3 h. du matin , lors d'unepatrouille, les gendarmes de Reuche-nette furent intrigués par le rougeoi-ment d'un feu dans une carrière si-

tuée entre Sonceboz et La Heutto.C'est là que le jeune mari fut retrou-vé. Il se réchauffait tranquillementAu cours des deux jours d'escapade,il avait dépensé tout l'argent dérobédans la région de Neuchâtel et deBienne. Déjà au printemps de cetteannée, cet homme avait agi de la mê-me manière. La police le recueillitpour le reste de la nuit au local dela « passade » puis elle le remit auxautorités compétentes de Moutier.

MAUVAISE CHUTE A L'USINE(ac) — Hier, au milieu de l'après-

midi, à la fabrique de ciment, M.Erwin Lall, monteur de nationalitéallemande a fait une chute et s'estcassé le fémur. Il a été tranportéà l'hôpital de Bienne.

EPAUVILLERSCONTRIBUTIONS

(x) — La contribution de l'Etat auxfrais de gestion de l'Agence communalede compensation sera de 566 francspour l'année écoulée.

En outre, la commune supportera unedépense de 235 francs en faveur desfrais résultant des allocations familia-les dans l'agriculture. Cette participa-tion concerne également l'exercice 1962.

Au Tribunal de district : deux condamnationsBIENNE

(ac) — Le Tribunal de district a tenuaudience, mercredi matin, sous la pré-sidence de M. O. Dreier.

Il s'est occupé d'abord d'une affai-re d'attentat à la pudeur des enfants.

B a Infligé au coupable, F. S., né en1922, ouvrier de campagne, 7 moisd'emprisonnement, avec sursis pendant3 ans. S. paiera les 200 francs de fraisde procédure. Ce fut ensuite le tourà un jeune homme de 20 ans, M. G., àprendre la place au banc des accusés.Le prévenu a déjà commis un vol àGenève. Dans le temps d'épreuve quilui avait été octroyé il a recommencéses délits. Ayant travaillé un jour dansun garage de Bienne, G. s'est aperçuqu'il pouvait se faufiler dans l'entre-prise entre midi et 1 heure pour seservir dans la caisse.

C'est ce qu 'il fit à cinq reprises de finjuin au début de septembre de cetteannée. Il put ainsi mettre la main sur1065 francs. Enfant de parents divor-

cés, G. a été élevé par une tante àMorges. Il n'a pas eu la possibilité en-suite de faire l'apprentissage d'électri-cien qu'il désirait. Il a été facteur,maçon, représentant, et s'est laissé en-traîné par une mauvaise compagnie.

Le tribunal l'a condamné à 10 moisd'emprisonnement, sous déduction de12 jours de préventive subie, au paie-ment des 300 francs de justice. Le jeu-ne voleur a tout de suite été reconduità Witzwil, où il a déjà commencé depurger sa peine.

COLLISION ENTRE CYCLISTES(ac) — Hier peu avant midi, à l'an-

gle quai du Haut, rue Bubenberg, unecollision s'est produite entre deux cy-clistes. L'un de ceux-ci, M. André Jean-neret, 71 ans, s'est fracturé le fémur.Il a été transporté à l'hôpital de dis-trict.

Journalistes brésiliensà Neuchâtel et dans le Jura

Les journalistes brésiliens au Contrôle F. H., à Neuchâtel

Mard i soir, sept journalistes brési-liens, des plus importants quotidiensde Rio de Janeiro et de Sao Paulo, ontété reçus à Neuchâtel au cours d'undiner où ils eurent l'occasion de pren-dre contact avec des confrères du can-ton. Ils étaient conduits par M. Jonas,secrétaire de la Fédération horlogère,et furent également salués par M. Per-regaux , secrétaire de la Chambre suissede l'horlogerie. Reçus très cordialement,les journalistes brésiliens, dont plusieursconnaissent for t bien l'Europe, ont ma-nifesté le plaisir qu'ils éprouvaient àvisiter notre pays. Leur programme,conçu et réalisé par le CIPR, est à vraidire assez chargé. Ils sont arrivés di-manche à Genève, ont visité lundi leCERN et l' exposition « Montres et Bi-joux ». Mardi , ils appréciaient l'archi-tecture remarquable des bureaux d'ad-ministration Nestlé et se reposaient lesoir à l'hôtel Beaulac à Neuchâtel , oùeut lieu le dîner précité. Mercredi , aprèsavoir visité sous la conduite de M.Blank , directeur de la FH , le Centredu contrôle technique de la montre, etassisté à une démonstration des fameuxautomates Jaquet-Droz , ils se rendaientà Saint-lmier, où ils furen t accueillisaux Longines pour une visite de lag/ ande manufacture du Vallon. Enf in ,ils couchaient à Bienne pour reprendre

le lendemain le bâton du pèlerin. Jeudien e f f e t , nos confrères brésiliens assis-teront au défilé du deuxième corps d'ar-mée qui a lieu à Dubendorf. Vendredi,visite à Granges des fabriques Assa etEska, puis réception par les autoritésfédérales . Samedi est prévu un pro-gramme folklorique à Interlaken, vi-site de l'aérodrome de Kloten et départpour la mère-patrie...

Souhaitons à nos excellents confrèresbeaucoup de plaisir dans leur péripleà travers notre pays . Pour l'instant , lebeau temps leur tient f idèle compagnieet on en a trouvé le reflet dans leurbonne humeur et l'intérêt cordial qu'ilstémoignent aux divers aspects de notreactivité nationale.

Aveux presque completsAprès l'incendie des Bayards

Le juge d'instruction de Neuchâtelcommunique :

Dans la nuit du 30 septembre au 1eroctobre 1963, la ferme de Fritz Mathysaux Bayards, a été complètement dé-truite par un incendie. La ferme étaitalors inhabitée, son propriétaire étantberger au Chalet de la Mayaz sur Ste-Croix , où il fut alerté.

Certains indices permirent d'orienterles recherches contre un nommé W.B., de Placemont sur Couvet, familierdu propriétaire, et un comparse qui s'é-taient fait conduire en automobile auxBayards dans la nuit du sinistre.

Arrêtés, tous deux le 5.10.1963, W. B.contesta toute activité coupable, tandisque J.-P. W., habitant Culliairy surSainte-Croix faisait des aveux com-plets.

Réentendu, W. B. est entré dans lavoie des aveux, déclarant qu'il avaitdéjà , la nuit précédente, cherché à in-cendier la ferme, avec un autre com-parse, E. N., habitant Sainte-Croix.Arrêté, celui-ci a aussi avoué.

Tous trois disent avoir agi à l'insti-gation du propriétaire Mathys, qui avaitfait des préparatifs en vue de l'incen-die.

Mathys, qui a été arrêté, conteste tou-te activité délictueuse et avoir eu con-naissance de ce qui se tramait. Il pré-tend qu'il est victime d'une vengeance.

Selon les incendiaires, Mathys auraitpromis de les rétribuer largement unefois en possession des indemnités d'as-surance qui devaient lui être versées.

Après l'incendie, W. B. et J.-P. W.avaient disparu, alertés des soupçons

portés contre eux par les commentairesde presse. Ils lisaient les journ aux ! IIa fallu faire de nombreuses démarchespour arriver à les arrêter. (Réd. — Noussommes les premiers à souhaiter unemeilleure collaboration entre les auto-rités judiciaires et la presse !) Ilsétaient restés en contact avec Mathysqui les renseignait et leur avait remisde l'argent pour subsister.

Neuchâtel

COLLISION

Hier, en fin de matinée, M. Thuil-lard Willy qui circulait en direction deNeuchâtel sur la route des Falaises, adépassé un poids lourd tout en effec-tuant une présélection pour sortir dela route, à gauche. A ce moment sur-venait un véhicule en sens inverse.Malgré tous les efforts des deux chauf-feurs pour éviter la collision , celle-cise produisit , causant des dégâts auxdeux véhicules.

RENTREE DES CLASSES

(lw) — Le semestre d'hiver a débutépour les classes des Bois et du Cerneux-Godat , après quatre semaines de va-cances qu'on aurait souhaitées plus en-soleillées. Maîtres et élèves ont abordéavec entrain cette période , la plus pro-fitable au travail intellectuel des éco-liers. Mlle Devain , souffrant de brû-lures dont elle fut atteinte au coursde la préparation d'un repas de société,n'a pu reprendre sa classe déciméed'ailleurs par l'épidémie de coqueluchequi règne en ce moment aux Bois. Lacommission scolaire a fait appel unefois de plus à Mlle Fleury, institutriceretraitée à Saignelégier pour assurer leremplacement.

LES BOIS

MOVELIERHier et auj o urd'hui

(by) — Village et commune du dis-trict de Delémont, sur la route deSoyhières à Lucelle, par la Combe auLoup, à 7 km. N.-O. de la station deSoyhières.

Paroisse avec Mavelier et Mettemberg.Moderswilre en 1188 , Movilir en 1255.

Au X H e siècle, ce village avait sesnobles : Wecelo en 1260, Rodolphe deMovilir en 1260 , bienfaiteurs de Lucelle.Cette famille disparut au XVe siècle.

L'abbaye voisine de Lucelle possédaitpresque tout le fond territorial de Mo-velier et la collation de la paroisse.

Avec Pleigne, Roggenburg et Bourri-gnon, MOVELIER appartenait auxcomtes de Thierstein. C'est en 1454 quecette seigneurie f u t réunie par achat àl'Evëché de Bâle.

L'église, dédiée à Saint Germain.datede 1591.

En 1865 un incendie détruisit unebonne partie du village et la maisoncuriale.

Outre l'agriculture et le commerce dubois, Movelier avait ses tisserands .

En 1870, le village de Movelier comp-tait 347 habitants ; en 1880, 330 ; en1890, 299 ; en 1900, 272 ; en 1910, 286 ;en 1920 , 290 ; en 1930, 288 ; en 1941, 299 ;en 1950, 350 ; en 1960, 384.

Il est donc réjouissant de constaterque ce village a repris vie après une dé-population constante de 1870 à 1950.

Comme partout ailleurs, l'agricultureest quelque peu abandonnée en faveurde l'industrie.

Deux scieries et une fabrique depierres f ines occupent une vingtained'ouvriers. Bon nombre de personnes serendent chaque jour dans les usines dela vallée de Delémont et à Moutier.Un service de car postal facilite cesdéplacements.

Puisse ce sympathique vilage conti-nuer sa marche ascendante. Ceci esttout à l'honneur de sa population labo-rieuse, f idèle aux traditions chrétiennesancestrales.

PAYS NEUCHATELOIS : • PAY S NEUCHATELOIS

COURSE SCOLAIRE(sd) — Les enfants des classes des

Petits-Ponts et Plamboz ont été hierfaire leur course d'automne auxGorges de l'Areuse. Leur joie de pou-voir découvrir et admirer , entre les ro-chers, la rivière où se mirent les tein-tes flamboyantes de cette saison , seraune belle récompense de l'aide qu 'ilsont apportée à leurs parents, pendant,les derniers travaux des champs.

BROT-PLAMBOZ

UN NOUVEAU SUCCES

(ad) — Participant au championnatnational à Monza, le champion auto-mobiliste Sydney Charpilloz, pilotantune Elva Mark 7 en Catégorie sport 1000à 1300 cm3, a remporté une nouvellevictoire qui le classe au 2e rang duchampionnat suisse dans sa catégorie.Toutes nos félicitations.

SOCIETE CYNOLOGIQUE

(ad) — Dimanche 6 octobre avait lieuà Porrentruy le championnat de l'Ami-cale jurassienne de cynologie. M. Geor-ges Pahud, membre de la société, s'estdéplacé pour représenter le club. Il aété classé 2e dans la classe de défen-se III, avec 566 points et mention « ex-cellent ». Très beau résultat de sonchien Aldo qui est entré dans sa 13eannée.

TAVANNES

Triste découverte(hf) - Le corps d'un employé, d'une

entreprise travaillant en régie pourles CFF, a été découvert, mardi aumilieu de l'après-midi, dans les WCde la gare de Reconvilier.

La victime qui avait succombé àune crise cardiaque était un ressor-tissant italien, né en 1905. Les cons-tatations d'usage ont été faites par leprésident du Tribunal de Moutier etle médecin local.

DELÉMONTPollution de la Birse

Le Conseil exécutif du canton deBerne a chargé sa direction des tra-vaux publics de retirer, avec effet im-médiat, l'autorisation provisoire, déli-vrée en 1955 à la fabrique Dizière S. A.,Delémont, de déverser ses eaux rési-duaires. La Direction des travaux pu-bliques a accordé un délai de recours de30 jours. Cette maison a fait usage dece droit, mais le Conseil d'Etat a re-jeté le recours et fixé au 1er novembrela date jusqu'à laquelle les eaux pour-ront encore être déversées dans la Birse.

RECONVILIER

C3

(ad) — Mercredi , en fin d'après-midi,Mme Blanche Devaud s'est éteinte dou-cement à l'Hôpital de Moutier , où elleavait été conduite la semaine passée, àla suite d'une malheureuse chute dansson appartement. Il y a un peu moinsd'un an que notre doyenne avait étéfêtée pour ses nonante ans ! A la fa-mille en deuil, nos sincères condoléan-ces.

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ETUDE DE Me CHARLES GERMIQTJET

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i

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Plus que deux équipes sans le moindre point en quatrième ligueLe championnat de l'Association cantonale neuchâteloise de football

A la suite des matches de diman-che dernier, il ne reste que deuxclubs de quatrième ligue sans lemoindre point, soit : CorceUes II etLe Parc II b ! Par contre, on trouveencore cinq équipes n'ay ant p erduaucun point : Boudry II , Buttes I a,Hauterive II , Etoile II b et Gene-veys-sur-Coffrane.

Groupe 1Boudry II paraît être solidement

installé au commandement à lasuite de sa victoire nette (4-2) surLe Landeron pourtant prétend antau titre. Derrière le leader on trouveBéroche, cette équipe s'étant payéle luxe de battre Espagnol par 8 à 0!

CLASSEMENTJ G N P Pts

1. Boudry II 6 6 0 O 122. Béroche 6 4 2 0 103. Le Landeron 6 4 1 1 94. Serrières lia 6 3 2 1 85. Cortaillod II 6 2 2 2 66. Gorgier 6 2 0 4 47. Cressier 5 1 1 3 38. Espagnol 6 1 1 4 39. Salnt-Blaise II 5 1 0 4 2

10. Chàtelard 6 0 1 5 1

Group e 11Dans ce group e, une équipe est

supérieure à toutes les autres, c'estButtes la . Dimanche, opposé à sespoursuivants immédiats, Noiraigue,le leader s'est imposé par un sec7 à 0 ! Ainsi après six rencontresdans ce groupe II , on compte déjàun fu tur champion (quatre pointsd'avance) ou tout au moins un trèsgrand favori.

J G N P Pts1. Buttes la 6 6 0 0 122. Noiraigue 6 3 2 1 83. Audax II b 6 3 1 2 74. Serrières II b 5 3 0 2 65. Auvernier II 6 2 2 2 66. Couvet II 6 2 2 2 67. L'Areuse 6 3 0 3 68. Sadnt-Sulpice 6 0 3 3 39. Môtiers 3 0 2 1 2

10. Colombier n 5 1 0 4 211. Buttes Ib 5 0 2 3 2

Groupe 111C'est dans ce groupe que la situa-

tion est la plus incertaine. En e f f e t ,après cinq journées de championnat,on compte trois équipes au comman-dement et toutes trois sont imbat-tues : Etoile II b, Hauterive II etGeneveys-sur-Coffrane. Dimanche,les Stelliens ont battu CorceUes IIet Geneveys-sur-Coffrane en a fa i tde même en recevant Aud ax II a.Le troisième larron Hauterive étaitau repos. Derrière ces « vedettes »,on trouve un second club du Val-de-Ruz, Dombresson, prêt à s'inté-grer au groupe des pré tendants encas de défaillance d'un de ceux-ci.Aucun match nul n'a encore étéenregistré !

CLASSEMENTJ G N P Pts

1. Etoile nb 5 5 0 0 102. Genev.-s-Coffr. 5 5 0 0 103. Hauterive II 5 5 0 0 104. Dombresson 6 4 0 2 85. Audax Ha 5 3 0 2 66. Le Locle III b 6 3 0 3 67. Chx-de-Pds III 4 1 0 3 28. Fontalnemel. ni 5 1 0 4 29. Comète II 5 1 0 4 2

10. CorceUes II 5 0 0 5 011. Le Parc Ilb 5 0 - 0 5 0

Groupe IVEtoile II a et Le Locle II a n'ont

pas été en mesure de se départageret l'on retrouve ces deux équipes entête du classement avec trois pointsd'avance sur Le Parc II a, cette der-nière équipe ayant triomphé à St-Imier. Comme les Parciens ont unerencontre en retard, ils peuvent, encas de victoire, rejoindre les pre-miers ce qui nous vaudrait (commedans le groupe I I I ) la présence entête du classement de trois équipes.Aucun des autres clubs ne paraîten mesure de venir s'intégrer à cetrio... du moins dans l'immédiat 1

CLASSEMENTJ G N P Pts

1. Etoile Ha 6 5 1 0 112. Le Locle Ha 6 5 1 0 113. Le Parc lia 5 4 0 1 84. Ticino II 6 3 0 3 65. Floria II 6 2 1 3 56. Gen.-s.-Coffr. II 4 1 1 2 37. Saint-lmier III 5 1 1 3 38. La Sagne III 6 1 1 4 39. Superga II 4 1 0 3 2

10. Sonvilier II 6 1 0 5 2

Juniors interrégionauxDans cette catégorie de jeu , une

grande surprise a été enregistréedimanche, la défai te du leader

Berne à Bienne. Autre résultat sur-p renant, l'échec des Chaux-de-Fon-niers contre le dernier du classe-ment Xamax... Aux hommes du dé-voué « Banos » de nous démontrerque ce n'était là qu'un accident. LeLocle, malgré une belle résistance,a dû s'incliner devant Gerlafingenet du même coup « prendre » la lan-terne rouge. Saint-lmier avait a f -faire à trop for te pa rtie contreYoung-Boys et les deux points sesont envolés.

j G N P Ptf1. Berne 5 4 0 1 82. Bienne 5 4 0 1 83. Young-Boys 5 4 0 1 84. Chaux-de-Fonds 5 3 1 1 75. Saint-lmier 5 3 0 2 66. Berthoud 5 3 0 2 57. Gerlafingen 5 2 0 3 48. Biberist 5 1 0 4 29. Xamax 5 0 1 4 1

10. Le Locle 5 0 0 5 0André WILLENEB.

Encore huit équipes invaincues4e ligue jurassienne

Les leaders dos à dosGr. 13 : Reuchenette et la Rondlnella

ne sont pas parvenus à se départager ,mais USBB, battu à Orvin, n'a pas suprofiter de l'occasion pour les rejoindreen tête du classement. La Neuvevilleet Orvin gagnent 4 places au classe-ment.

J G N P Pts1. La Rondinella 6 4 2 0 102. Reuchenette 5 4 1 0 93. USBB 6 3 0 3 64. La Neuveville 5 2 0 3 45. Orvin 5 2 0 3 46. Lamboing 3 1 1 1 37. Evilard-Macolin 5 1 1 3 38. Longeau 5 1 1 3 39. Ceneri 4 1 0 3 2

Sonceboz dépassé par GrunsternGr. 14 : Grunstern, net vainqueur à

Nidau, s'installe seul en tête, Sonce-boz et TJSBB n'étant pas parvenus à sedépartager.

J G N P Pts1. Grunstern 5 5 0 0 102. Sonceboz 5 4 1 0 93. TJSBB b 6 4 1 1 94. Aurore 6 2 3 1 75. Reuchenette 5 1 2 2 46. Bienne 5 1 1 3 47. Perles 5 1 1 3 38. Nidau 6 0 3 2 39. Longeau 5 0 0 5 0

Reeconvilier prend la têteGr. 15 : Véritable bouteille à encre

que ce groupe. Dimanche dernier, Mou-tier écrasait Reconvilier, le leader. Di-manche, les Prévôtois ont été battuspar Rebeùvelier par 4 à 0 et c'est Re-convilier, vainqueur de Perrefitte, moinsbrillant que la saison passée, qui re-prend le commandement.1. Reconvilier 5 4 0 1 82. Rebeùvelier 5 3 1 1 73. Moutier 5 3 0 2 64. Court 5 2 1 2 55. Delémont 6 2 1 3 56. Bévilard 6 2 1 3 57. Perrefitte 4 1 1 2 38. Courrendlin 4 0 1 3 1

Défaite du leaderGr. 16 : La modeste réserve de Glo-

velier, après avoir ravi un point à Mer-velier, a battu un autre prétendant,Corban. Ce dernier reste néanmoins entête du classement, ses poursuivantsétant restés au repos.1. Corban 4 3 0 1 62. Courroux 4 3 0 1 63. Mervelier 3 2 1 0 54. Vicques 3 2 0 1 45. Glovelier 4 1 2 1 46. Courtételle 5 2 0 3 47. Delémont 3 1 1 1 38. USI Moutier 4 1 1 2 39. Movelier 4 0 1 3 1

Les Genevez, Le Noirmontou Les Bois ?

Gr. 17 : Ces trois équipes dominentce groupe. Bien que jouant toutes àl'extérieur, elles ont triomphé. Notonsle score fleuve obtenu à Saignelégierpar les Noirmontains : 16 à 3 ! A ladécharge des vaincus disons qu'ilsétaient privés de 6 de leurs meilleurséléments.

J G N P Pts1. Les Genevez 5 5 0 0 102. Le Noirmont 5 4 0 1 83. Les Bois 5 4 0 1 84. Saignelégier II 5 3 0 2 65. Corgémont 4 1 1 2 36. Les Bois n 4 1 0 3 27. Les Genevez II 3 1 0 2 28. Lajoux 5 0 1 4 19. Tramelan 4 0 0 4 0

Encore un leader battu

Gr. 18 : A Lugnez, Bure a réussi l'ex-ploit de battre le leader qui cède saplace à Chevenez qui a pris aisément lemeilleur sur Fontenais.

J G N P Pts1. Chevenez 6 5 1 0 112. Lugnez 6 4 1 1 93. Grandfontaine 5 4 0 1 84. Bure 4 3 1 0 75. Cornol 6 3 0 3 66. Fontenais 4 2 1 1 57. Fahy 5 1 0 4 28. Damvant 5 1 0 4 29. Chevenez II 4 0 0 4 0

10. Bure II 5 0 0 5 0

Le concours des FrètesDans le cadre merveilleux du Châ-

teau des Frètes s'est déroulé dimanchele traditionnel concours hippique. Ré-sultats :

Débutants : 1. Daniel Allemand sur« Darius » ; 2. Jean-Pierre Nicolet sur« Gina » ; 3. J. M. Nicolet sur « Youpa-la ».

Première série : 1. Daniel Allemandsur « Intrépide», 8 p.; 2. Gilbert Armsur « Casino », 15 ; 3. René Kleck sur« Cymbal III », 20.

Deuxième série : 1. André Barbey, sur« Vogleya », 4 p., l'0"8 ; 2. André Robert ,sur « Valanza », 7 p., l'12"2 ; 3. Georges-André Nicolet sur « Olympia », 7 p., 1'23"2.

Obstacles : 1. Daniel Allemand sur« Intrépide », 1 m. 55 ; et Roger Jeanne-ret sur «Obmacht », 1 m. 55 ; 3. AndréBabsty, 1 m. 45.

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Shakespeare et la scène élisabéthaine

I j LeHres f \r\s ^VrWi^MCP

OUR rendre compte d' un spec-tacle de la « Royal Shakes-peare Company », il convient

d'abord de préciser la di f f érenceentre « l'ordre italien » et « l'ordreèlisabéthain », car il est impossiblede dissocier l'œuvre littéraire dela scène pour laquelle elle f u t écrite.

Louis Jouvet , dans une préface àla Pratique pour fabriquer scènes etmachines de théâtre de Nicola Sab-battini, chef machiniste du XVI esiècle né et mort à Pesaro, opposeen e f f e t « l'ordre italien » qui f a i tde la scène une boite à illusion oùla machinerie n'a de noblesse quepar la noblesse des poè tes, à « l'or-dre èlisabéthain » où la machinerie,renonçant à ses interventions habi-tuelles, crée la scène la plus abs-traite et la plus propic e à une pureexécution dramatique.

Rien en e f f e t dans le Théâtre deStratford-sur-Avon ne rappelle letrompe-l' œil italien et ses décors auxperspectives magiques. Aucun rideaune masque, avant le début de l'ac-tion ni à son terme, les quelques ac-cessoires signif icati fs posés sur tevaste plateau de la scène pour aiderle jeu des acteurs. Pas de tricheriesur ces tréteaux. Le spectateur seradonc contraint de participer auspectacle dans la mesure même oùtoute liberté est accordée à sonimagination. C'est bien le « trem-plin à rêves » décrit p ar GastonBaty.

Les pièces de Shakespeare , quiportent et contiennent en elles touteleur représentation, auxquelles onne peut rien ajouter ou retranchersans les altérer ou les falsi f ier , trou-vent ici un instrument parf ai t . Obli-

gés à de multiples changements delieux , sans avoir le temps ni lesmoyens de les réaliser, leurs metteursen scène parviennent , par l'inven-tion de plans divers en profondeuret en hauteur, à placer l'action dra-matique dans une perspective cons-tamment renouvelée et, sans modi-fication des structures, à passer descelle en scène par des localisationsdif férentes . Sur ce point , Louis Jou-vet précise : « Purifiée de toute fe in-te médiocre ou basse, c'est en An-gleterre que la machinerie connaîtson expression cartésienne. Elle s'in-tègre ici da?is la scène et satisfaitaux énormes exigences du poète parune véritable architecture scénique.L'édifice et l'œuvre dramatique s'é-galent , se servent et se complètentl'un l'autre. »

Le dispositif cependant ne s u f f i tpas. Pour Vanimer il faut encore ,indépendamment de metteurs enscène d'un renom indiscuté : PeterBrook , Cl i f ford Williams et le f r an-çais Jacques Duchesne, plus connusous le pseudonyme de Michel Saint-Denis, des comédiens doués qui ac-ceptent , par désir de bien jouer , unestricte discipline spirituelle, vocaleet corporelle.

Stratford-sur-Avon doit au grandacteur David Garrick le premi er f e s -tival organisé en septembre 1769.Dès cette époque , les fanatiques de

par Jacques CORNUShakespeare vinrent en foule assis-ter à des spectacles médiocres , sem-ble-t-il , la fermeture des théâtresen Angleterre durant de nombreusesannées par les Puritains du XVIIesiècle ayant eu pour e f f e t de rom-pre avec la tradition élisabéthaine.Marmontel , l'auteur des Contes mo-raux , se félicitait qu'on abrégeâttous les jours Shakespeare et qu'onle châtiât. « Le célèbre Garrick , di-sait-il , vient tout nouvellement deretrancher , sur son théâtre , la scènedes fossoyeurs dans Hamlet et pres-

que tout le cinquième acte. La pièceet l'auteur n'en ont été que plusapplaudis. »

Aujourd'hui , sur les tréteaux nus,le poète triomphe grâce à la jeunes-se et au talent de ses interprètes ,à l'audace intelligente de ceux quiles dirigent. Tout est restitué , —avec quel art ! — le sublime et leburlesque , le tragique et le paillard ,la grandeur et l'extravagance , lemerveilleux et le bouf fon . JamaisCaliban , dans la Tempête, n'eut le

relief hallucinant de celui que jevis, esclave noir conscient de saservitude et brandissant dans ungeste phallique l'os qu'il ronge. Ja-mais n'opéra plus subtilement lecharme d'Ariel gouverné par le bonmage, qui se sert de son art sansesprit de vengeance mais pour con-traindre seulement ses ennemis aurepentir. Jamais je ne f u s touchécomme ce soir d'un été déclinantpar l' apaisement de Prospéro :« N ous sommes fa i t s de la mêmeé t o f f e que les songes et notre pe-tite vie, un songe la parachève... »

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fe.

GIUSEPPE VERDIGiuseppe Verdi fut durant sa vie

un compositeur très populaire. L'I-talie tout entière vénérait le créa-teur de « Rigoletto » ( 1851); sa po-pularité, faite d'enthousiasme et devénération, reflète la mentalité dupeuple italien tout entier qui aimeses grandes oeuvres : « Le Trouvère »(1853) , «La Traviata » (1853) , «LeBal masqué » (1859) , «La Force duDestin » (1862) , « Don Carlos »(1867) et « Aïda » (1871). Verdi eutdonc la joie de voir ses opéras re-présentés durant sa vie. Ses deuxderniers chefs-d'oeuvre furent créésen 1887 : « Otello » et en 1893 : « Pal-

staff ». Verdi , riche et honoré, exer-ça même vers la fin de sa carrièreune véritable action nationale et so-ciale. On sait en effet que sa venuedans une localité de la péninsule im-pliquait automatiquement des fes-tivités (cortèges avec fanfare jouantles airs les plus populaires de « Ri-goletto », réceptions avec discourspatriotiques, etc.).

Les seize ans d'interruption dansla production indiquent que Verdiétait un chercheur ; il y avait pluschez lui que le simple désir de serenouveler (nous pensons à RichardStrauss) , il y avait aussi un désird'épuration et de perfection qui l'aobligé à remettre en question tousles problèmes du théâtre lyrique. Ladirection prise par Wagner étaitprécise : l'opéra, avec lui, devenaitoeuvre « symphonique » plus quedramatique ; l'orchestre participait àl'action et n'accompagnait pas uni-quement. Est-il nécessaire d'évoquer,aujourd'hui encore, la différence

fondamentale qui sépare un opérade Wagner et un opéra de Verdi ?Chez ce dernier, l'orchestre accom-pagne (comme dans les premiersopéra), l'orchestre participe à l'ac-tion (comme dans « Otello » et « Fal-staff») et surtout, l'orchestre necouvre jamais le chant. Les solistessont non seulement toujours enten-dus ; leurs parties vocales ont undessin mélodique dont on peut ad-mirer autant l'expression (l'air finald'« Aïda») que l'aspect dramatique(«Otello») . Les romances, les stret-tes, les duos, les ensembles de Ver-di n'illustrent pas uniquement lebel canto ; ces morceaux de bravou-re, si bien écrits pour la voix, don-nent en plus au chant sa principaleraison d'être : la peinture des sen-timents. Le choeur de « Nabucco »(1842) « O mia patria , si bella e per-duta » était chanté dans les rues deMilan parce que la musique de Ver-di peint les sentiments patriotiquesdu peuple italien. Volontairement,nous n'évoquons ici qu'un seul as-pect psychologique : l'exaltation del'amour de la patrie. Ce sentimentn'est pas le plus important ; cepen-dant , il a beaucoup contribué à don-ner son prestige et sa réputation àcelui dont l'acte de naissance (dansle duché de Parme) est rédigé en

français. Jusqu'au Congrès de 1815,certains « départements des Alpes »,après les victoires de Napoléon , ap-partinrent à la France. Que de pa-tience, ensuite, pour réaliser l'hégé-monie italienne. Ardent patriote,Verdi , indirectement par ses opérasa contribué à donner au peuple lesens de l'unité et de la grandeur.

Lui qui fut toujours si humble,il répondit à ceux qui voulaient l'ho-norer et faire de lui un « duc deBusseto » qu'il refusait car il étaitpaysan. « Sono un paesano » répon-dit-il à tel admirateur. A la mémoirede Manzoni, l'auteur des PromessiSposi et ardent patriote, Verdi écri-vit l'admirable Requiem que les mu-siciens d'Hilvertum exécutèrent à laSalle de Musique, il y a deux ans.

M.Une heure avec Baillods

Avec Baillods, pas de problème ! En-core faut-il le savoir... Connaissancefaite , et à peine lui ai-je demandé unpeu timidement (en j ournaliste habituéà essuyer force rebuffades ) s'il voulaitbien se prêter au petit jeu des questionset des réponses, que lui, déjà , me donnedu « tu » le plus simplement du monde :

— Ecoute, moi j' y vois pas d'incon-vénient, pour une fois que l'artis te au-rait la parole , et pas seulement sescritiques .

— Eh bien ! commençons immédiate-ment. Je demande régulièrement auxChaux-de-Fonniers installés à l'étrangerpourquoi ils ont quitté leur patrie.

— Par amour du sud ; bien que nédans le Jura, le soleil m'a toujoursattiré , spécialement la Provence, poursa variété, son caractère . L'occasiond'occuper une ferme à La Valette-du-Var, entre Hyères et Toulon, a été irré-sistible. Du même coup, j' ai choisi lacampagne , contre la ville : d'abord ony mène une vie plus saine, et qui mepermet d' exercer toute sorte de métiers,à côté de la peinture.

— On sent le rapport étroit qui vouslie à la campagne jusque dans votreart , et pas seulement dans le choix desmoti fs ; mais cela depuis toujours , alorsqu 'attribuer à l'influence directe de laProvence ?

— L'éclat des couleurs, sûrement.Maintenant, si j' ai évolué dans ma f a -çon de peindre , c'est allé de soi, natu-rellement, sans recherche, sans inten-tion préalable consciente : je peinsd'instinct , moi. Je n'ai aucune « façonde faire », aucune marque de fabrique.Oui, il y a bien, à la base, une recher-che de structurer les surfaces , une pour-suite de la construction architecturale ,en somme ; puis , je simplifie mes tonsautant que possible , surtout ces der-nières années ; et aussi les motifs queje réduis : mes toiles sont peut-êtreplus légères, aérées , moins chargéesqu'avant.

— Et entre dessin et zones de cou-leur, une relation nouvelle, non ?

— C'est-à-dire qu'avant , et encoreen 60, 61, j'étais beaucoup plus sousl'emprise des travaux de décoration ,dans mes toiles. C'était assez attendu ,puisque la décoration : graf f i t i , fresques ,mosaïques, occupe la moitié de monactivité artistique. Ces travaux imposentdes restrictions techniques que la toileignore. Ainsi, mon dessin limitait deszones de couleur. Aujourd'hui il a « re-culé », il court sur des niasses de fon d,plus librement.

— Qu'est-ce qui importe le plus enart, pour vous ?

— Essayer d'être soi, et c'est le plusgrand combat. Pour moi , ça signifie va-rier sans cesse : source d'ennuis conti-nuels , évidemment. Ce qui ne veut pasdire se distinguer à tout prix ! Mais ne

pas ressembler à ceci ou à cela. Qu 'ondise un jour : ça ressemble à du Bail-lods... Et je crois qu'avec la sincérité , larecherche de la personnalité doit abou-tir. A condition d'être vraiment sincèreà la base, j'insiste. Parce qu'il n'y a pasqu 'une manière de peindre . Personnel-lement , je pense que ma peinture est ensanté ; et même brutale, un peu brus-que, comme moi.

— Bien qu 'ici et là vous soyez assezprès des abstraits, vous n'avez jamaisvéritablement procédé à des recherchesnon-figuratives.

— Non, ça ne correspond pas à montempérament . Pourtant j' apprécie lesgrands représentants de l'art abstraitau même titre que les maîtres du passé.Chose bizarre, Picasso et ceux de sagénération, Léger par exemple, prennentplus d'importance pour moi qu'aupara-vant ; encore s'agit-il plus d'impressionsque d'influence. Ce qui prime chez moien peinture, c'est l'ambiance, l'atmo-sphère ; le personnage s'y insère sansautre, se lie à l'ensemble sans prendreplus d'importance qu'un épi de maïs. Letout est baigné de lumière, ou au con-traire trempé dans l'eau. De là vientl'unité de la toile ; de ce caractère élé-mentaire qui la domine en lui appor-tant un climat, une température. Jevoudrais suggérer l'œuvre au public ,plus que la lui imposer. Qu'on puisse« entrer dedans », la vivre, la réinventer,

la refaire en quelque sorte. J'évite l'œu-vre « fer mée », hermétique, qui se p ré-sente d'un seul bloc.

— N'avez-vous pas de préférence pourcertains thèmes, traités d'une façon oud'une autre ?

— Tu as vu tout de suite que lesmondanités ne m'intéressent pas. Cafconc, boulevards , etc. Et je ne suis pasun rêveur. Plutôt les pieds bien sur laterre. Ma source d'inspiration , toujoursla même, part aussi de la terre : paysan ,tourbier , mineur, ouvrier, tout le pro-blème humain, quoi ! Et aussi les thè-mes religieux, que j' aime bien.

— C'est vrai, ça; tous vos vitraux ,fresques , mosaïques et sculptures surbois à l'église catholique et à la cha-pelle St François du Locle, tiennentleur place dans votre œuvre. Et pourfinir , si j'ose vous demander vos pro-jets...

— Si tu y tiens, je vais te le direentre nous. J' ai du travail , c'est en-tendu, après cette exposition , ma qua-trième de l'année. Alors pour m'en re-mettre, comme j' en ai bientôt assez, etdu moment que je suis dans le Jura parces beaux jours , je m'en vais profiterpour prendre un grand bol d'air fraissur le haut de la montagne, un jour oudeux ; ça me fera un bien fou , je n'at-tends plus que cela.

G. CASSINA.

Un nouveau roman d'Âldous HUXLEYLITTÉRATURES ÉTRANGÈRES

La critique ne s'est guère montréetendre et compréhensivc à l'égard de« Ile », (Pion , Collection « Feux Croi-sés »), cela tient sans doute à ce queles idées qu'Huxley exprime dans cetteoeuvre sont jugées inopportunes ou ré-trogrades par rapport à celles que l'au-teur présentait dans « Le meilleur desmondes », son livre le plus célèbre.

N'éxiste-t-il aucun lien de penséeentre « La philosophie éternelle », « Lapaix des profondeurs », « Le meilleurdes mondes » et « Ile » ? Peu apparem-ment, mais il y a néanmoins toujourschez l'agnostique Huxley, ami et colla-borateur de Krishnamurti, une préoc-cupation Idéaliste, constructive, mêmesi celle-ci apparaît bien hérétique auxyeux de la majorité.

A. Huxley situe Faction de son ro-man dans une île du Pacifique qu'ilappelle « P a l a » ; ses habitants ne sontpas des « primitifs » et ils ont su ha-bilement puiser aux différentes sour-ces des civilisations occidentale etorientale et opérer un tri parmi toutesces tendances afin d'en tirer le meil-

leur possible. Cette ile incarne doncen quelque sorte une synthèse de l'O-rient et de l'Occident, et ses habitants,qui vivent en vase clos, tentent d'éla-borer une sagesse pratique et valable.

Cette sagesse, elle se réclame notam-ment du bouddhisme primitif , parceque ce dernier est agnostique et con-vient au type psychologique d'AldousHuxley. Il est évident que cette mora-le peut paraître un peu austère etsubtile à la majorité des esprits occi-dentaux , même à ceux qui sont déta-chés du christianisme, mais ce qui im-portune davantage les mêmes espritsce sont les acrobaties philosophiquesauxquelles se livre l'auteur à proposdes concepts bouddhiques.

II y a eu incontestablement un élé-ment artificiel dans le syncrétisme pré-conisé par Huxley et celui -ci n'a pastiré de tout ce mélange une doctrineacceptable et pratiquement l'expériencede Pala a échoué. En définitive, «Pa-la » n'est plus du meilleur Huxley,mais nous ne le condamnons pas pourautant.

A. CHEDEL.

NOMMER UN-~ OBJET, c'estsupprimer trois quarts de la puis-sance du poème qui est faite dubonheur de deviner peu à peu ;le suggérer, voilà le rêve.

Mallarmé.LES BRAVES GENS ne savent

pas ce qu'il en coûte de temps etde peine pour apprendre à lire.J'ai travaillé à cela quatre-vingtsans, et je ne peux pas dire enco-re que j'y sois arrivé.

Goethe.

TOUT CE MONDE visible n'estqu 'un trait imperceptible dansl'ample sein de la nature. Nulleidée n'en approche. Nous avonsbeau enfler nos conceptions au-de-là des espaces imaginables,nous n'enfanterons que des ato-mes au prix de la réalité des cho-ses. C'est une sphère dont le cen-tre est partout , la circonférencenulle part.

Pascal.JE CONSIDERE la musique

dans son essence comme impuis-sante à exprimer quoi que ce soit :un sentiment, une attitude, un étatpsychologique, un phénomène dela nature, etc. L'expression n'a ja-mais été la propriété immanentede la musique.

STRAWINSKY.CE QUI NOUS IMPRESSIONNE

dans une oeuvre d'art est bien ra-rement l'oeuvre en elle-même,mais l'idée que les autres s'enfont , et c'est pourquoi sa valeurcommerciale subit d'énormes chan-gements.

G. Le Bon.LES OEUVRES D'ART sont

d'une infinie solitude ; rien n'estpire que la critique pour les abor-der. Seul l'amour peut les saisir,les garder, être juste envers elles.

Rilke.BEAUCOUP D'HOMMES ont

raison d'affirmer l'Invariabilité deleurs opinions, mais tort de s'envanter. C'est montrer qu 'ils n'ontrien appris depuis le jour où ellesse sont formées. Une preuve aussiévidente d'ignorance ou d'imbéci-lité ne s'affiche pas.

G. Le Bon.LE PASSE ne nous fascine pas

dans la mesure où il ressemble ànotre temps ; ce qui nous fascinece sont les formes que l'homme aprises sur la terre, et à traverslesquelles nous tentons de leconnaître.

Malraux.

Des bombes atomiques ont mis finaux manœuvres du h corps d'armée

La surveillance des manœuvres s'est effectuée partiellement par hélicoptères.Ici, par exemple, le col. div. Hanslin inspecte la progression d'une unité

blindée. (Photopress.)

ATS - Le colonel commandant de corps Uhlmann, commandant desmanœuvres du corps d'armée de campagne 2, a donné le signal de lafin des manœuvres, hier matin, à 10 h. 30. Ces manœuvres, qui avaientdébuté dimanche soir, ont engagé 40.000 hommes, 6000 véhicules et prèsde 500 chevaux.

Les opérations ont pris la tournureprévue , mercredi à l'aube. La 8e di-vision (bleu) commandée par le divi-sionnaire Ernst repassa l'Aar et gagnasans mal ses positions de retrait der-rière le front tenu par le corps d'ar-mée.

Plusieurs bombes atomiques de pe-tit calibre furent larguées à tour derôle par «bleu» et par «rouge» entre1 h. 30 et 8 h. 45 du matin , ainsi àAesch , Zaeziwil , Birrwil, Schmied-rued , Schoeftland , Dagmarsellen , Trien-gen et Reitnau (bleu) et Dielsdorf etOberrohrdorf (rouge). Les explosionsatomiques de rouge qui avaient pourbut de bloquer les axes de la valléene purent pratiquement empêcher laretraite de bleu.

Au cours d'une conférence de pres-se, le commandant de corps Uhlmannconstata avec satisfaction que l'ob-jectif des manœuvres avait été, selonlui , pleinement atteint.

Dans sa conclusion , il a soulignéque ces manœuvres avaient offert denombreuses occasions de «rôder» lesdivisions de campagne nouvellementformées ainsi que la nouvelle ordon-nance des troupes de 1981. Le degréde mobilité manifesté par ces unitéspermet d'affirmer qu 'un résultat po-sitif a été obtenu.

D'autre part , le comportement de latroupe , considéré des points de vuede la tactique et du combat , a étéexcellent.

Un avion militaires'écrase

ATS — Un pilote d'un appa-reil du type «Hunter» , faisantpartie d'une double patrouillea dû utiliser son siège éjecta-ble au-dessus du secteur deMutschellen, hier à l'aube, lorsdes manœuvres du 2ème corpsd'armée.

Alors que l'appareil s'écrasaitle pilote put sauter en parachu-te. Il a été hospitalisé. Ses bles-sures ne semblent pas êtres denature grave.

Les vendanges valaisannes ont débuté hier(vs) — Le Valais a connu hier, une

journée d'intense activité. Les ven-danges ont en e f f e t débuté officielle-ment et un peu partout les charspleins de réserve ont envahi les rou-tes.

Comment s 'annonce la récolte ? Sidans l'ensemble, les blancs sont aussinombreux, on s'attend en revanche à

une récolte approchan t de 6 mil-lions et demi de litres dans les rou-ges contre 8 millions l'an passé. Ceux-ci ont en e f f e t moins bien supportél'hiver rigoureux et très long dontnous avons été gratifiés. Le pinotnoir en particulier sera nettementmoins abondant. Du point de vuequalité , les di f férents sondages e f f ec -tués laissent entrevoir une intéres-sante perspective surtout si le beautemps se maintient. Ainsi par exem-ple, pour un Johannisberg, on a son-dé dans une cave de Sion 85 degrés.C'est d'ailleurs ce chi f fre qui a étéretenu cette année pour la Dôle.

Autre fait à signaler, l'entente par-faite entre producteurs et encaveursce qui provient sans doute du f aitqu'en Valais, on paie essentiellementla vendange sur la base de la qua-lité, ce qui incite les producteurs àapporter davantage de soins à leurrécolte.

NoyadeATS - Un garçonnet de 2 ans, le

petit Léo Meier, est tombé dans unétang de 50 cm. de profondeur , situéà Ottenbach, près d'Affoltern sur l'Al-bis, et s'est noyé.

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Un aliéné se pendsur un chantier

V (vs) — On- vient d'identifier le corpsde l'individu qui s'était pendu sur unchantier près de Monthey. Il s'agit deM. Andréas Loetscher, marié et pèrede famille, habitant Agarn, dans leHaut-Valais, qui se trouvait en trai-tement à l'hôpital psychiatrique.

AU TESSINDécès d'une personnalité

ATS — Le Docteur Alfonso Fran-zoni vient de décéder à Locarno, dessuites d'une longue maladie. Né le24 novembre 1884, à Locarno, ledéfutn étudia la médecine à Genèveet Bâle, et fit des stages à Napleset Leysin.

Le docteur Alfonso Pranzoni étaitun apôtre de la lutte contre la tu-berculose.

Le défunt fut notamment prési-dent de l'ordre des médecins du can-ton du Tessin, vice-président d'hon-neur des médecins suisses, ainsi quemembre de la commission fédéralepour la lutte contre la tuberculose,de la commission fédérale pour lesexamens de médecine et de la com-mission administrattive du Sanato-rium d'Amhrl-Piotta.

Il l'a échappé belle !(vs ) — Alors qu'il soignait son

bétail, un agriculteur de Vouvry aentendu des appels angoissés venantd'une route forestière. La police futalertée et découvrit un homme gi-sant au bas d'un talus. Il s'étaittrompé de route dans la nuit et avaitfait une grave chute. Souffrant demultiples blessures, il a été trans-porté à l'hôpital de Monthey.

Quelques mètres plus bas, il au-rait fait une chute de 200 mètresdans les rochers. Il s'agit dans lesRochat, domicilié à Chesel (VD).

Pour LangaroneATS - Le Conseil d'Etat et le Con-

seil administratif de la ville de Ge-nève ont décidé de verser chacun unmontant de 10.000 francs à la Croix?Rouge suisse en faveur des victimesde la catastrophe de Longarone, celaen considération des liens étroits ettraditionnels qui unissent Genève etl'Italie et en témoignage d'estime àl'égard des nombreux Italiens exer-çant leur activité à Genève et dont uncertain nombre sont originaires de larégion sinistrée.

Les enfants sont en dangerATS - Selon le bureau d'études pour la prévention des accidents,

onze enfants ont de nouveau perdu la vie en septembre dans des acci-dents de la circulation routière. Cinq enfants étaient âgés de moins de5 ans. C'est en se lançant sur la chaussée qu'ils furent happés par desvéhicules. Un enfant a été tué alors qu'il était à trottinette et quatrealors qu'ils roulaient à vélo.

Selon le nouveau code de la circulation routière, les conducteursdoivent faire tout particulièrement attention aux enfants. Ils sont tenusde réduire leur vitesse et de klaxonner, si des enfants se trouvent sur lachaussée. Le cas échéant, ils doivent s'arrêter.

De leur côté, les parents sont tenus de veiller que les enfants nejouent pas sur la chaussée.

Pour les enseignantsATS — Une réunion d'experts sur

les conditions sociales et économiquesdu personnel enseignant du premieret du second degrés, convoquée parl'Organisation internationale du tra-vail se réunira du 21 octobre au 1ernovembre au B.I.T.

24 experts provenant des ensei-gnants et des autorités et organismesemployant des enseignants partici-peront à ces travaux de même quedes représentants de l'Unesco, du Bu-reau international d'éducation ainsique des observateurs d'organisationsinternationales non gouvernementales.

Horlogerie et costume

On a créé à Evolène, la première industrie de ce village , l'horlogerie. Onpeut ainsi voir maintenant des femmes en costume du pays se pencher sur

l'établi. (Photopress.)

Lâcher de ballonsATS — Dans le cadre des manifes-

tations qui marquent cette année lecentenaire de la Croix-Rouge, la com-mission du centenaire de la Croix-Rouge en Suisse, d'entente avec lasection genevoise de la Croix-Rougede la jeunesse, organise un lâcher deballons sur la plaine de Plainpalais ,cela afin d'associer la jeunesse à lacommémoration du centenaire.

Aide suisse à CubaATS —i Le Conseil fédéral a décidé

de mettre à la disposition de l'am-bassade de Suisse à Cuba un don demédicaments destinés aux victimesde l'ouragan.

La radioactivité diminueATS — La commission fédérale de

la radioactivité communique :La moyenne mensuelle de la radio-

activité a encore considérablementdiminué en comparaison du moisd'août. Elle s'élève au Jungfraujochà 6 (10), au Weissflujoch à 3,5 (6),à Locarno à 2 (3,5] et à Payerne à 2(3) picocuries par mètre cube.

Deux morts en montagneATS - Il y a dimanche 8 jours qu'un commerçant de Langenthal entre-

prenait avec une compagne de Hutwil une excursion en montagne dansje massif de Rosenlaui. Le temps s'était brusquement modifié et la neigeétait tombée en haute altitude. Le mardi, les deux touristes n'étant pasrentrés, la station de sauvetage du Club Alpin, section Oberhasli, futalarmée.

Toutefois, en raison du mauvais temps les recherches de la colonnede secours restèrent sans résultat jusqu'à jeudi. Les deux touristes nes'étant pas inscrits dans aucun livre de cabane, on ignorait leur butd'excursion. Ce n'est que vendredi, qu'une équipe de secours découvritleurs corps à 150 mètres environ au-dessous de la cabane des Dossen.

On suppose que les victimes auront perdu leur chemin dimanchedéjà dans le brouillard et la neige et seront mortes de froid d'ans lapremière nuit.

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Edith PIAF et Jean COCTEAUDu «Bel indifférent» à la mort

Le monde de la chanson et desarts est en deuil.

Deux géants nous ont quittés.Edith Piaf la pathétique « enfantde la balle » et Jea n Cocteau , le gé-nial « enfant terrible » on été réu-nis dans la mort à quelques heuresd'intervalle.

Cette terre généreuse qui a donnéau monde tant d'êtres exceptionnels ,s'est montrée une f ois encore im-pitoy able, en reprenant subitementdeux des nôtres parm i les plusdoués.

Cet air sombre,un peu traqué...

« Non rien de rien, non, je neregrette rien. »

Plus qu'un chant, c'était un criqui sortait de la bouche douloureu-se d'Edith Piaf. Un cri de vérité,tour à tour plaintif , grave, presquesolennel , vibrant , toujours émou-vant. Un aveu surtout ; l'aveu d'u-ne femme qui a lutté toute sa viecontre le malheur, sans jamais ca-pituler. En l 'écoutant, chacun sesentait solidaire de cette étrangepetite femm e à la silhouette chéti-ve, au visage un peu ridé, qui ap-paraissait sur la scène avec cet airsombre, comme traqué , ce front obs-tiné sur lequel tombait par momentune mèche rebelle, tordue parl'adversité.

La souffrance personnifiéeA travers sa douleur , c'était no-

tre souffrance qui s'exprimait , lasouffranc e universelle , la vie avecses hauts et ses bas, l'existence avecses bons et ses mauvais souvenirs.Edith Piaf , c'était notre dénomi-nateur commun, notre porte-parole ;sa voix savait si bien reproduire nospropres sentiments que , d' emblée, en

Yves Montand peu de temps aprèsla mort d'Edith Piaf.

l'entendant , l'auditeur s'identifiaità elle. De là cette popularité dontjouissait la chanteuse , et cette im-mense tristesse qui s'est emparée denous au moment où s'éteint cettevoix.

Enfant de la balleEtonnante destinée que celle

d'Edith Piaf !Sa naissance tout d'abord.Nous sommes en 1915 , il est 5 heu-

res du matin. Un couple fatiguérentre à la maison, 72, rue de Bel-leville . Soudain , l'homme — qui estclown au Cirque d'Hiver — entendsa femme pousser un cri et la voits'aff aisser au pied d' un bec de gaz.Il court à la recherche d'une am-bulance. A son retour, il se trouveen présence d' un attroupement aumilieu duquel des gardiens de lapaix discutent : — c'est vous lemari ? demande l'un d' eux. Et bien !je vous annonce que vous venez d'ê-tre père d'une petite f i l le .

Jean Cocteau sur son lit de mort. (Photos Dalmas)

Une attitude bien typique d'Edith Piaf pendant son tour de chant

Edûh-Gwvanna Gassion était néesur le pavé de Paris, au pied d'unréverbère , dans l'aube blafarde quise levait sur la Capitale.

Déjà la souffrance...Puis ce fu t l'abandon de la ma-

man qui quittait deux mois après lefoyer conjug al. Recueillie tout d'a-bord par sa grand-mère maternelle ,— qui était p auvre — Edith f u tensuite élevée par sa grand-mèrepaternell e qui était for t riche... L'in-telligence de l'enfant s'éveillait. El-le adorait l'étude et faisait degrands progrès.

Un jour , elle avait cinq ans —elle rentra de l'école avec une fortemigraine. Elle se coucha , dormit unmoment puis se réveilla : — Quelleheure est-il , demanda-t-elle ? —Cinq heures de l'après-midi. — Cen'est pas possible , il fa i t nuit ! Leciel venait de se fermer pour Edith.Elle était aveugle. Quelques annéesplus tard , elle recouvrait la vue.Un miracle s'était produit.

Ce petit bout de femme...A 15 ans, pour vivre , Edith chan-

te dans les rues , dans les cafés , dansles foires. Elle accompagne le cirqueCaroli dans sa tournée en Belgique.Elle lave , repasse , fait la cuisine,admire le clown et... reçoit des cla-ques.

En 1937, elle fai t ses débuts dansun ^ cabaret parisien , encouragéepar Maurice Chevalier. La « MômePiaf » est née ! En 1939 , elle débu-te au music-hall : c'est le succès.Elle fai t la connaissance d'un an-cien docker : Yves Montand , qu'elleaidera à devenir une vedette , com-me elle aidera Eddi e Constantine ,Félix Marten et , plus tard , CharlesAznavour , à devenir eux aussi desvedettes de music-hall.

En 1946. elle chante « Les troiscloches » avec les Compagnons dela chanson. Son départ pour l'Amé-rique marque les débuts d'une gran-de carrière internationale.

En 1958, la maladie fai t son ap-parition. Elle reviendra à l' assautà diverses reprises. Pendant cinqans, la vie d'Edith Piaf ne seraplus qu 'une longue lutte contre lamaladie , entrecoupée de moments derépit , pendant lesquels elle chantetout ce que son cœur généreux etsensible lui dicte.

L' année dernière , elle semblaitperdue. Une fois encore son extra-ordinaire vitalité eut raison pourun temps du mal qui l'envahissait ,et elle épousait Théo Sarapo. Maisle mal était inexorable. Elle estmorte deux jours après , le premieranniversaire de leur mariage.

On ne verra plus désormais surla scène cette silhouette chétive etpathétique , mais on entendra encorelongtemps la voix déchirante , vi-brante de sensibilité et d' amour , decelle qui a chanté envers et contretout : « La vie en rose » .

Jean Cocteau — qui avait écritpour Edith Piaf « Le bel ind if fé -rent » — apprenant la mort de lachanteuse , avait déclaré : « J' aibeaucoup de chagrin , c'était uneamie admirable , d' une grande gé-nérosité. »

L'émotion a été trop forte pourle cœur du poète : à 14 heures , soit6 heures après la mort de la chan-teuse , il s 'ef fondrai t , sans connais-sance , victime d'un infarctus dumyocarde.

La mort , personnage importantdans l'œuvre du disparu , l'a surprisdans sa propriété de Mïlly-la-Foret ,et elle a opéré rapi dement. Jaloux ,le destin n'a pas perm is que quel-qu'un s'interpose. Aussi , lorsque lemédecin et le curé arrivèrent entoute hâte , était-il trop tard. Lepoète se trouvait déj à de l' autre cô-té du miroir sans tain qui , dans sonf i lm « Orphée », symbolise le pas-sage de la vie à la mort .

Une existence tout entièreconsacrée à la poésie

et à l'artJean Cocteau était né le 3 juillet

1889 à Maisons-Laff it te , dans unefamille d'agents de change. Il f i t sesétudes à Paris, au Lycée Condorcet.

A vingt ans , il publie son prem ierlivre « La lampe d'Aladin », suivide son premier recueil de vers « Lep rince f rivole ».

En 1919 , paraît son premier ou-vrage important « Le Potomak »,qui tient à la fois de l'essai et duroman. « Plain-Champ », considérécomme son chef -d' œuvre p oétique,date de 1923 ; son roman le pluscélèbre « Les enf ants terribles », pa-raît en 1929.

Il est auteur dramatique avec« Orphée », « La voix humaine »,« Le sang d'un poète », entre autresœuvres. Dessinateur, il a illustré ungrand nombre de ses ouvrages etpeint di f férentes fresques.

Ses fi lms les plus marquants ontété « L'étemel retour », « La belleet la bête », « Les parents terribles ».

Jean Cocteau a écrit égalementdes arguments de ballet , comme ce-lui de « Parade », pour Serge de Dia-ghilev , que décora Picasso.

L'éternel adolescent« Prince des poètes », essayisie,

chroniqueur artistique et littéraire ,metteur en scène au cinéma, au-teur de pièces de théâtre... les fa -cettes du talent de Jean Cocteauétaient multiples.

Sous les apparences d'un dilet-tante , cet esthète apportait tant depassion dans chacune de ses entre-prises , qu'il n'est pas aisé de sa-voir laquelle lui tenait vraiment àcœur , laquelle n'était pour lui qu'unamusement passager... En ef f e t ,rien n'était plus éloigné de lui quela sévérité et , même sous l'habit vert ,en dépit des honneurs qui s'étaientaccumulés sur lui au f i l des années,il gardait cette allure d'éternel ado-lescent que rien n'avait réussi àblaser.

Jean Cocteau est peut-être leseul écrivain de notre époque qui

Charles Aznavour vient d'apprendrela nouvelle de la mort d'Edith Piaf.

pliqué : « L'anti-académisme est de-venu une des formes du conf ormis-me l »

Il a été lié avec Marcel Proust ,avec Alain Fournier , André Gide,François Mauriac, Picasso, Diaghi-lev pour lequel il écrivit « Parade *,avec Straivinsky qui composa lamusique de son « Oedipe roi ». Coc-teau découvrit le talent de Ray-mond Radiguet , dont la mort à20 ans , l'a profondément boule-

Le « prince des poètes », romancier , essayiste, dessinateur , auteur depièces de théâtre , metteur en scène au cinéma... (Photopress)

ait occupé constamment le devantde la scène , tant en France qu'àl'étranger. Du jeun e protégé de lacomtesse de Noailles qui , à 20 ans ,publiait son premier poème , jusqu 'àl'académicien célèbre , dont le der-nier poème « Requiem » , représenteune sorte de testament spirituel ,Jean Cocteau a fai t preuve d'uneétonnante diversité d'expression ,tout en restant f idèle à lui-même.

Le non-conformisteLe personnage était fascinant.

Doué d'une prodigieuse culture, ilavait le sens du mot qui fai t f lè -che, du rapprochement imprévisi-ble . Il avait en plus le génie duparadoxe qu'il maniait fort habile-ment. Lorsqu 'il avait été élu à l 'A-cadémie fr ançaise, certains luiavaient reproché de s'être laisséaller , lui, Vanti-conformiste , à bri-guer cet honneur. Il avait alors ré-

versé. Il encouragea d'autre partles débuts de Jean Marais.

L'épitaphePressentant la mort qui s'appro-

chait , Jean Cocteau avait rédig écet épitaphe , extrait du p oème« Requiem » ;

« Mieux vaut écrire sur ma tombeCet épitaphe : Je débute.

Halte pèlerin mon voyageAllait de danger en dangerIl est juste qu 'on m'envisageAprès m'avoir dévisagé. »Maintenant que le « prince des

poètes » n'est plus , il nous est per-mis de « l'envisager ». Il nous endonne l'autorisation posthum e. Maisce n'est pas une tâche facile . Com-me le remarque cet autre grand poè-te, Louis Aragon : « C'est très d i f f i -cile d' en parler. »

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L'entraînement des fondeurs helvétiquesSommartel un nouveau Macolin ?

Les participants au cours préolympique, de gauche a droite , au deuxième rang : Willy Junod , le moniteur ,M. A. Metzner , Hans Amman, Franz Kâlin , et Oetiker. Au premier rang, de gauche à droite, GeorgesDubois, Hans Obérer , Jean-Pierre Jeanneret, Aloïs Kàlin et Karl Hischier. ( Photo Impartial.)

C'est en effet dans ce magnifique site que nous avons surprisles skieurs nordiques de notre équipe nationale. Ce n'est pas lefait d'un hasard si ce lieu a été choisi par la Fédération suissede ski. Cet été, les Alpins avaient été réunis dans ce lieu rappelantpar son climat et sa situation Macolin, siège de l'Ecole fédéralede sports. Les skieurs se sentent d'ailleurs chez eux au Petit-Som-martel, car le tenancier de cet établissement n'est autre queCharles Schneider, frère du regretté Georges.

Une joyeuse cohortemais...

Bien entendu il n'est pas faciled'approcher une équipe de skieursde fond , car celle-ci utilise, pour sonentraînement , un vaste terrain !

L'ardeur ne fait pas défautà ce cours.

Aussi n'est-il pas surprenant quenous ayons trouvé le restaurant videau milieu de l'après-midi. Il y avaitbien quelques charmantes tou-ristes « léchant » de magnifiquescornets à la crème, mais ce n'étaitpas là le but de notre visite ! MmeSchneider néanmoins nous tuyautasur la direction prise par nos f o n -deurs... soit l'Est. Fort de ce rensei-gnement nous avons fa i t confianceà notre (bonne) étoile et du mêmecoup pris la direction de La Sagne...A l'entrée du villag e , dans les

champs traversant la vallée, nousavons rejoint une joyeuse cohortevêtue des trainings bleus ou rougesde l'équipe nationale. Sous la direc-tion de M.A. Metzner, Georges Du-bois, Hans Amman, les frères Aloïset Franz Kàhlin, Hans Obérer, WillyJunod , Franz Oetiker, Konrad Hi-schier et Jean-Pierre Jeanneret sedirigeaient en un cross activementmené vers Tête-de-Ran. Comme onle voit, les grandes distances n'e f -f rayent pas les fondeurs et les e f f o r t snon plus !

Des séances biencomprises

Les sélectionnés sont cantonnésau Petit-Sommartel , et c'est là qu'ilsprennent leurs repas. Par contre,l'entraînement proprement dît alieu soit à proximité de l'hôtel oudans les magnifiques pâturages dusommet neuchâtelois.» Chaque jour ,nous dit M. Metzner, nous commen-çons par une heure trente de miseen train, puis nous nous livrons à

Course à travers champs

Exercices d'assouplissements en groupe

des exercices d'assouplissements etde marche à travers champs, cettemarche est fai te en «déhanchements»tels ceux pratiqués par le fondeurà ski. Nous avons également tra-vaillé sur une piste avec une trèsfor t e pente. Nous partons aussi pourde grandes randonnées destinées àdonner la résistance à nos coureurs.Chasserai , Le Chasseron, Tête-de-Ran , etc., ont reçu ou recevrontnotre visite au cours des quinzejours attribués à ce cours. Si l'am-biance est très bonne au sein de cessport i fs , il est évident que celle-cin'exclut pas une discipline stricte,sieste après les repas et pas deveillée tardive» . -, .

« Ils » méritent bien ça...On peut approuver la décision de

la Fédération suisse de ski d'avoirréuni les skieurs de fond en uncamp national à la veille des gran-des compétitions nationales, inter-nationales et olympiques. Chacunconnaît l' e f f o r t demandé aux skieursde fond , cette magnifique discipline ,mise en valeur dans notre contréepar des hommes ayant noms, Frei-bvrghaus , Bernath, Soguel , Bieri,Portmann, Monnier ou encore plusprès par les frères Huguenin et Al-phonse Baume de La Brévine, lesRey, etc. On note avec une vivesatisfaction la présence, parmi cessélectionnés , de Georges Dubois deLa Chaux-de-Fonds , de Willy Junoddes Cernets et celle de Jean-Pierre

Jeanneret de La Brévine, commequoi la relève se fa i t petit à petit.Michel Rey viendra à la f in dé cettesemaine rejoindre ses camarades etDenis Mast qui, pour le moment, està Sommartel, mais blessé. AlphonseBaume a demandé à être dispenséde ce cours.

Nous ne voudrions pas terminerce papier sans remercier chaleureu-sement M. A. Metzner de son accueil« à l'improviste » entre deux pé-riodes d'assouplissements. Nul doutequ'avec un tel « meneur de jeu » nosskieurs de fond ne fassent uneexcellente préparation avant l'appa-rition de la neige. La seconde se-maine , c'est l'ancien champion suisseKarl Hischier qui assumera l'entraî-nement. Quant aux fondeurs , nousleur souhaitons plein succès et sur-tout dans l'immédiat le beau temps!

André WILLENER.

Il y a vingt ans déjà...

Voici l'équipe du F.-C. La Chaux-de-Fonds de l'année 1943 ; on sait quecette formation avait acquis sa place en ligue nationale à la fin de lasaison précédente. On reconnaît sur cette photo , debout de gauche àdroite, Stelzer , Hugi, Vuilleumier, Van Gessel, Roulet , Jacot , Griffond ,Béguin et Charles Daepp, soigneur. A genou, Streun , Trello Abegglen ,

Brbnimann, Burger .Volentik et Fausch.

C'est en effet , le 17 octobre 1943, que le F.-C. La Chaux-de-Fonds,rentrant victorieux de Lugan o (3 à 1), — cette victoire lui valait dumême coup la première place du classement — était victime d'un graveaccident de train tn gare de Schupfheim. Cette catastrophe allait causerla mort de quatre personnes, dont le dévoué et compétent soigneur desMeuqueux, Charles Daepp. On dénombrait 27 blessés dans cet accidentdont plusieurs membres du F.-C. local, soit Van Gessel, Trello Abegglen ,Roulet , Cachelin et Perroud. C'est le jeudi 20 qu 'eurent lieu les obsèquesde M. Charles Daepp au milieu d'une foule considérable et recueillie.MM. Voumard, président du F.-C. La Chaux-de-Fonds, André Boand, aunom des amis personnels du défunt, et Freytag, au nom de la MaisonSpillmann, prirent la parole au crématoire.

PIC.

Le F. -C. La Chaux - de-Fondsétait victime d'un accident de train

Bon spectacle de catch à la Maison du PeupleC'est devant un très nombreux pu-

blic que se sont déroulés les quatrecombats de catch prévus au meetingde la Maison du Peuple. Chacun saitque ce genre de sport repose sur lespectacle et sur les qualités de co-médiens des d i f féren ts acteurs. A cetitre on peut taxer les hommes pré-sents d'excellents.

Une lacune peut-être , l'arbitre troppassif... ne jouan t pas le jeu et , dece fait , nuisant à l'unité du spec-tacle. Par contre le public ((marcha»à fond lors de la rencontre entreZappra et Williams, ce dernier su-perbe athlète noir remportant tousles su f f rages et la victoire. JackyCorn, bien connu en notre ville , oùil f u t à l'a f f i che à plus d'une re-prise prit le meilleur sur un TeddyBoy excellent dans la comédie (il semit la salle à dos en quelques ins-tants !). Mais pourtant le meilleurcombat de la soirée f u t celui mettan t

face à f ace l'Italien Minelli et leFrançais Rabou. Ces deux hommesont fai t preuve d'une agilité surpre-nante et ils ont conquis le public ,non par des coups tordus (ou e f f e tfac i le) , mais p leurs qualités ath-léthiques et acrobatiques. Bien en-tendu ce combat a bénéficié de l' ap-port des spectateurs italiens qui ontencouragé , de la voix et du geste,leur représentant. Est-ce à ce fai tque l'on doit attribuer la victoire dece dernier ? Une question sans ré-ponse.. .

En ouverture de ce meeting, deuxSuisses (Bersano et Frainier) se sontlivrés un combat sans grand e anima-tion et en « téléphonant par trop lescoups ». Malgré ces quelques remar-ques le spectacle f u t de bonne qua-lité et suivi p ar de nombreuses p er-sonnes de sexe fémini n... A quand uncombat entre ces dames ?

A. W.

SUISSE- TUNISIEBOXE

à La Chaux-de-FondsIl se confirme que la rencontre

internationale officielle entre laTunisie et la Suisse se dérouleraau Pavillon des Sports de LaChaux-de-Fonds, le 29 novembre.Nous reviendrons sur cet événe-ment de la saison pugilistique.

v

Ç FOOTBALL JLa Coupe des vainqueurs

de CoupeA Odense, en match retour comptant

pour le premier tour de la Coupe desvainqueurs de Coupe , Lyon a battuOdense par 3-1 (mi-temps 2-1). Vain-queur par le même score du match al-ler , Lyon est qualifié pour les huitièmesde finale. A Ploesti , Petrolul Ploesti abattu Fenerbahce Istanbul par 1-0 (mi -temps 1-0). L'équipe turque, qui avaitremporté le match aller par 4-1, estdonc qualifiée pour les huitièmes definale.

La Coupe de la Liguefrançaise

A Aix-en-Provence, en match allercomptant pour les demi-finales de laCoupe de la Ligue française, Strasbourga battu Aix-en-Provence par 2-0.

COUPE DES VILLES DE FOIREServette encore battu

A Genève, en match retour comptantpour le premier tour de la Coupe desvilles de foire, Spartak Brno a battuServette par 2-1 (mi-temps 1-1). Vain-queur du match aller par 5-0, l'équipetchécoslovaque est donc qualifiée pourle prochain tour.

Autres résultatsA Belgrade, OFK Belgrade a battu

Juventus Turin par 2-1 (mi-temps 0-0).L'équipe italienne ayant remporté lematch aller sur le score de 2-1, un troi-sième match est nécessaire. A Gand ,la Gantoise et F. C. Cologne ont faitmatch nul 1-1 (mi-temps 0-0). Vain-queur du match aller par 3-1, le F. C.Cologne est qualifié. A Berlin , AS Romaa battu Hertha Berlin par 3-1 (mi-temps 2-1). Le match retour aura lieule 30 octobre, à Rome.

A Milan , en match aller comptantpour la finale de la Coupe interna-tionale des champions , AC Milan abattu Santos par 4-2 (mi-temps 2-01.Le match retour aura lieu le 13 no-vembre, à Rio de Janeiro.

Milan a battu Santos

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JEUDI 17 OCTOBRESOTTENS : 12.10 Le quart d'heure du

sportif . 12.30 C'est ma tournée ! 12.44Signal horaire. Informations. 12.55 Lefeuilleton : Les Aventures du Baron deCrac (12) . 13.05 Mais à part ça! 13.10Disc-O-Matio. 13.45 Œuvres de Jean Bi-net 16.00 Le rendez-vous des isolés16.20 Causerie-audition. 16.50 Le Ma-gazine de la médecine. 17110 Intermè-de musical. 17.15 La semaine littérai-re. 17.45 Chante Jeunesse. 18.00 Bon-jour les jeunes ! 18.30 Le Micro dansla vie. 19.00 La Suisse au micro. 19.15Informations. 19.25 Le Miroir du mon-de. 19.45 La bonne tranche. 20.20 Lemonde est sur l'antenne. 21.30 Le con-cert du jeudi , par l'Orchestre de cham-bre de Lausanne. 22.30 Informations.

2e Programme : 19.00 Emission d'en-semble. 20.00 Vingt-quatre heures de lavie du monde. 20.15 Le feuilleton : LesAventures du Baron de Crac (12). 20.25Entre nous. 21.20 Le Magazine de lamédecine. 21.40 L'envers du disque. 22.15L'anthologie du jazz .

BEROMUNSTER : 12.20 Nos compli-ments. 12.30 Informations. 12.40 Jodelset musique populaire. 13.30 Sortons detable en musique. 14.00 Emission fé-minine. 14.30 Disques. 15.20 Le disque

historique. 16.00 Actualités. 16.05 Re-portage. 16.30 Musique de chambre.17.30 Pour les jeunes. 18.00 Disques.18.45 Chronique commerciale. 19.00 Ac-tualités. 19.20 Communiqués. 19.30 In-formations. Echo du temps. 20.00 Dis-ques. 20.20 ...bis an das Ende der Ster-ne, pièce de P. Haltiner. 21.45 Raretésmusicales. 22.15 Informations.

MONTE-CENRI : 12.30 Informations.12.40 Disques variés. 13.00 Journal. 13.10Toto-Chansons. 13.45 Disques. 16.00Journal. 16.10 Valses. 16.25 Orchestre C.Dumont. 17.00 Bussola aperta. 17.30Airs italiens. 18.00 Le carrousel des mu-ses. 18.30 Chansons piémontaises. 18.45Rendez-vous avec la culture. 19.00 Dis-ques. 19.10 Communiqués. 19.15 Infor-mations. 19.45 Chansons. 20.00 Rome :Assemblée générale de la Société euro-péenne de culture. 20.30 Airs d'opéras.21.30 Chronique musicale. 21.45 Piano.22.00 Mélodies et ry thmes. 22.30 Infor-mations. 22.35 Caprice nocturne.

Télévision romande13.50 Défilé du 2e Corps d'armée.

20.00 Téléjournal. 20.15 Vu pour vous.20.30 L'Europe en chantant. 21.30 Préfa-ces. 22.15 Dernières informations.

Télévision suisse alémanique13.50 Défilé du 2e Corps d'armée. 17.30

Pur unsere jungen Zuschauer. 19.30 En-glish by Télévision. 19.45 Politique mon-diale. 20.00 Téléjournal . 20.15 Film. 21.45La foire aux livres de Francfort. 22.15Informations. Télé.iournal.

Télévision française12.30 La séquence du jeune spectateur.

13.00 Journal. 16.30 Pour les jeunes.16.55 Joé chez les abeilles. 17.08 Cara-vane IC 16. 17.28 A nous l'an 2000. ia.13Devinette. 18,18 Les travaux et les jours,18.40 Histoire d'un instrument. 19.00 In-formations. 19.15 Annonces. 19.20 L'hom-me du XXe siècle. 19.40 Feuilleton. 19.50Bonne nuit les petits. 20.00 Journal.20.30 L'Europe en chantant. 21.30 Ciné-ma sans étoiles. 22.00 Tribune. 22.30Journal.

VENDREDI 18 OCTOBRESOTTENS : 7.00 Bonjour à tous ! 7.15

Informations. 7.20 Propos du matin. 8.30Les écrivains célèbres du XVIIe siècle.9.15 Emission radioscolaire. 9.45 Dis-ques. 10.15 Reprise de l'émission radio-scolaire. 10.45 Musique populaire argen-tine. 11.00 Emission d'ensemble.

BEROMUNSTER : 6.15 Informations.6.20 Par monts et par vaux. 6.50 Pro-pos sur votre chemin. 7.00 Informations.7.05 Disques. 7.30 Pour les automobi-listes et' les touristes voyageant enSuisse. 11.00 Emission d'ensemble.

MONTE-CENERI : 7.00 Marche. Con-cert. 7.15 Informations. 7.20 Intermèdemusical. 8.30 Cours d'espagnol. 7.45 Al-manach sonore. 11.00 Emission d'en-semble. 12.00 Musique variée.

RENSEIGNEMENTSCommuniqués

(Cette rubriqus n'émane pas de notrerédaction; elle n'engage pas le journal . )

Les Eclaireuses lancent un appel.Samedi 19 octobre, dès 9 heures, à la

Croix-Bleue, une vente de vêtementsd'hiver , d'occasion, propres et en bonétat , pour petite et grands, est organi-sée. U y aura également un grand standde jouets et de livres usagés. Aucuneobligation d'achat. Pendant la journée,un buffet bien garni, et le thé tradi-tionnel réconforteront tous les visiteurs.Le soutien du public nous est précieuxet nous comptons sur son appui. Venezen nombre, vous rendre compte del'activité des éclaireurs dans la région.Entrée libre. Le même jour , à 20 h. 15,à la Croix-Bleue également , soirée ré-créative.La Guilde du film...

...poursuit son triomphal « Festival1963 » et a inscrit au programme desamedi 19 octobre, à 17 h. 30, au cinémaRitz , le véritable chef-d'œuvre d'humourde Frank Capra, « Vous ne l'emporterezpas avec vous », avec James Stewart,Jean Arthur, Lionel Barrymore, MischaAuer, Edward Arnold, etc. Version ori-ginale. Inutile de rappeler qu 'il faut voirce film, qui a passé dernièrement du-rant 30 semaines à Zurich et a triomphéet passe encore en ce moment à Paris.Il est recommandé de prendre ses billetsà l'avance, s. v. p.En grande première au cinéma Ritz

« Tous les plaisirs du monde » No 2.Faut-il rappeler la formule de ce vé-

ritable festival de variétés : la réuniondans une même production des attrac-tions les plus sensationnelles qui sedonnent dans les cabarets et music-halls des cinq continente au momentprécis où le film est réalisé. Citons quel-ques-uns des extraordinaires numérosque le réalisateur Francesco Mazzei, agroupés dans cette fabuleuse revue enTechnirama et en Technicolor : Al Hirtet son fameux jazz-band de New-Or-léans — Les Ballets Sous-Marins desEverglades de Miami - L'Equator Clubde Nairobi - Le Can-Can de l'hôtelTropicana de Las Vegas - Le Carnavalde Rio de Janeiro filmé d'une manièreinattendue - Kim Darvos, qui joue sibien avec son ombre - Rita Renoir -etc.. En résumé, les attractions les plusextraordinaires, représentant deux heu-res d'un spectacle dont la qualité et ladiversité laisseront au public un sou-venir ineffaçable.

Cinéma Eden.«A toi de faire mignonne », le tout

dernier grand succès de Eddie Cons-tantine qui retrouve dans ce film à sen-sations de Bernard Borderie d'après unroman de Peter Cheney, son personnagede prédilection, «Lemmy Caution» agentdu F. B. I.

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Qu'est-ce que « Le vice et la vertu »..?L'aventure de deux sœurs prises, l'unepar vertu , l'autre par perversité dansl'enfer nazi. En tête d'une importantedistribution, Robert Hossein , le colonelS. S. fanatique et glacé, et Annie Gi-rardot , perverse et froide, dominentleurs excellents partenaires dont O. E.Hasse, parfait général allemand nonnazi. « Le vice et la vertu »... le paro-xysme des passions ! Jamais Vadimn'a abordé un sujet aussi fascinant !C'est sensationnel au sens propre duterme. Partout ce film connaît un suc-cès conséquent.A la Scala : Tunnel 28.

Dès ce soir , à 20 h. 30, en matinéesamedi, dimanche et mercredi, à 15 h.,vous pourrez suivre le récit authentiqued'une périlleuse évasion qui a pourthéâtre « le mur de Berlin ». Un dramepoignant à suspense permanent. Lepoint névralgique de l'Europe est ainsile départ d'une histoire bouleversanteet véridique écrite avec des larmes etdu sang. C'est à Berlin même que cefilm courageux a été réalisé, il ne faitque montrer la vérité. Admission dès16 ans.

Samedi et dimanche, à 17 h. 30, enprolongation « La Mulâtresse », un desfilms les plus sensuels encore jamaisofferts au public, avec Ninon Sévilladans le rôle principal. Vous participerezà l'ambiance sensationnelle du « bem-be », sorte de strip-tease cubain.En grande première... Une époque riche

en splendeur et cruautés : La prin-cesse du Nil - Une œuvre colossale...(dès ce soir au Palace) .Le charme prenant et profond de

l'Egypte ancienne. Pour un hommequ'elle aime, une danseuse séduisantedéfie les Pharaons. Un film mouvementéet passionnant tout en Cinémascope etcouleurs. Linda Cristal , Pierre Brice,Armando Francioli, John Barrymore jr.

complètent la distribution de ce filmd'action de l'Unlversal Internationalcorp. Dès 16 ans.

Le « Bon film » sous le patronage d'Al-fred Hitchcock vous présente samediet dimanche à. 17 h. 30 :« Saboteur » ou « 5e colonne ». Mys-

térieux, angoissant, captivant commeseul un film de ce grand maître peutl'être. C'est un film d'espionnage dontle succès fut très grand. Constructionrigoureuse, abondance des détails pré-cis, toujours colorés d'une touche d'hu-mour. « Saboteur » a été réalisé en 1942.C'est dire l'immense intérêt que cetteprojection suscitera : A voir absolument(au cinéma Palace) en version fran-çaise. Dès 16 ans.Vente du P. O. P.

Samedi et dimanche, à l'Ancien Stand(salle du rez-de-chaussée) , la tradition-nelle Vente du P. O. P. déroulera sesfastes. Elle présentera une belle variétéde stands : objets folkloriques, livresprogressistes, ouvrages de dames, et sur-tout son fameux Marché aux Puces etson stand gastronomique où l'on dégus-tera les bricelete neuchâtelois et lescrêpes bretonnes. Samedi, en soirée, leprogramme sera des plus attrayanteavec l'Orchestre de Balalaïkas de L.Birukof et les J 3 de la Chanson. Ondansera dès 23 heures. Dimanche,l'après-midi des enfante sera agrémentéde ravissants films de marionnettes.

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De Marchi, Maria-Pia-Victoria , fillede Luigi-Francesco, manœuvre, et deIrma-Carmela née Tarzariol , de natio-nalité italienne.

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et Wahli Heidi-Christine, Bernoise. —Wafler Eric-Adrien, employé de com-merce, Neuchâtelois et Bernois , et Haus-heer, Ines-Gisèle, Neuchâteloise et Zu-richoise.

DécèsInhurn. aux Eplatures : Schild , Wer-

ner-Otto, fils de Werner-Joseph et deHerminie-Marguerite née Carré, né le9 mars 1945, Soleurois.

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mignonne.CINE PALACE : 20.30, La Princesse du

Nil .CINE PLAZA : 20.30, M. Hobbs prend

des Dacances.CINE REX: 20.30, La porte aux 7 serrures.

Le Pays de la mort.CINE RITZ : 15.00, Les gags de Chariot.

20.30, Tous les plaisirs du monde-CINE SCALA : 20-30, Tunnel 28.DEUTSCHE KIRCHE : 20-30, ED. Allianz

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No1 "Je tiens à l'hygiène. Même les enfants savent que le caféfiltré selon la méthode Melitta est meilleur. On jette le cornet avec lemarc , la boisson ne contient ni nuages ni marc : voilà ce que j 'ap-précie par-dessus-tout. »

No 2 «Le café contient des matières qui n'en améliorent pas laqualité. J'ai découvert que le filtrage Melitta intercepte ces matières,de sorte que le café est plus aromatique. Aux gens ayant l' estomacdélicat , je recommande de ne boire que du café filtré selon laméthode Melitta , car il convient mieux à l'organisme. -

No 3 «Dans la vie agitée et fiévreuse du bureau , je trouve qu'unetasse de café Melitta est un véritable bienfait. Je support e particu-lièrement bien le café filtré , car il stimule sans exciter. C'est pour-quoi mes collègues et moi-même avons toujours à portée de la mainun filtre-tasse Melilta, dont nous ne voudrions plus nous passer.-No4 «Pendant mes voyages d'affaires, je dois fréquemment prendremes repas au restaurant , où l'on m'a servi... toutes sortes decafé ! Depuis qu'existe le filtrage Melitta, je n'ai plus de troublesd' estomac comme autrefois , et je suis plus calme. Melitta m'en-thousiasme !»

Conditions : Chacun peut participer à notre concours , bien en-tendu à l'exception de nos collaborateurs et collaboratrices. En-voyez-nous votre solution sur carte postale adressée à Melitta S.à r.l.case postale , Zurich 9/48. Pour la solution, indiquez le chiffre exactà côté de là lettre correspondante, par exemple A3, B 4, etc. Dites-nous en même temps si vous possédez déjà un filtre Melitta, etsi oui de quel numéro (grandeur) . Prière d'écrire très lisiblement ,sn caractères d'imprimerie , notamment aussi votre nom et votreadresse. Dernier délai pour l'envoi des réponses : 15 novembre 1963!date du timbre postal). Le tirage au sort des solutions exactes auraieu par devant notaire. Pas de correspondance, et le résultat dutirage au sort est inattaquable. A partir du 1 er décembre a. c, l'indica-tion de la solution exacte et la liste des vingt premiers gagnants se-ront déposées dans tous les magasins vendant des articles Melittast où l'on pourra se procurer d'autres formules de concours. Les lau-réats recevront leurs prix encore avant Noël. Allez-y gaiment , etoonne chance ! MELITTA S.à r.l.

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Qu'importeau vent de mer

FEUILLETON DE « L'IMPARTIAL s» 63

par Hélène BERJAC(Droits réservés Opéra Mundi)

Novembre finissant accrochait aux arbres delongs écheveaux de brume blanche, s'enroulantautour des troncs et des branches. Il y avaitdans l'air une immobilité inquiétante, la petitetroupe approchait de la lande de Bodmin. Undes écuyers retint son cheval et se penchavers Kennington.

— Le brouillard est épais, dit-il ; il est trèsdifficile de s'orienter.

— Il faudra surtout nous méfier , dit Ken-nington, des bandes rebelles qui s'infiltrentdans la région , jusqu 'au cœur de laCornouailles.

Ils pressèrent leurs chevaux. Surgissant dela lande, un vent coupant les courba sur leursmontures.

Soudain, Kennington fit signe à ses compa-gnons de s'arrêter . Porté par le vent d'est ,leur parvint un appel de clairon, puis, un ins-

tant plus tard , à l'ouest , un autre lui répon-dit, plus éclatant.

— Les rebelles, dit l'un des hommes d'unevoix étouffée.

— Mais nous risquons d'être encerclés ! s'ex-clama Kennington.

Un écuyer glissa de son cheval , plaqua sonoreille sur le sol ; sa cuirasse résonna contrela terre dure et froide avec un bruit de gong.

— Une troupe, probablement importante,s'approche, dit l'écuyer après avoir écouté unmoment.

— Eh bien ! dit à son tour Kennington, lasituation n'est guère brillante : à droite et àgauche, la route est bordée de marais ; devant ,en direction de Launceston, une troupe s'avancevers nous, à la rencontre d'une seconde troupede rebelles, dont nous avons entendu le clai-ron derrière nous. Autrement dit , nous som-mes complètement cernés. Que faire ?

Un des écuyers suggéra :— Nous poumons couper à droite, au tra-

vers du marais, et nous trouverions des che-vaux chez Jérémie Norton, un de nos partisans,pour poursuivre notre route.

Ayant mis pied à terre, ils cinglèrent leurschevaux d'un coup de plat de sabre. Les bêtesaffolées s'élancèrent sur la route de Launces-ton. D'un pas assuré, l'écuyer s'engagea alorsdans les marais, difficiles à distinguer à causede la brume blanche qui stagnait sur le sol.

Soudain, avec un cri perçant, 11 s'enfonça

dans l'eau boueuse jusqu 'à mi-corps, bientôtinvolontairement imité par ses deux autrescompagnons.

Saisi par l'eau glaciale, l'écuyer dit d'unevoix entrecoupée :

— By Jove ! Excusez-moi, Mylord, cette dam-née brume m'a trompé ; pourtant j e connaisle marais, je suis né par ici.

Reprenant son souffle avec peine, Kenning-ton proféra :

— Ecoutez...Surgissant de la brume, un vol de canards

sauvages déboucha au-dessus de leurs têtesavec un grand froissement d'ailes.

— Ces sales bestioles m'ont effrayé, s'ex-clama Kennington . Je ne peux pas résister àce froid , sortons d'ici.

— Patience, Mylord , répliqua l'écuyer ; jecrois maintenant pouvoir m'orienter.

Pataugeant avec des gestes maladroits, ilsne faisaient que s'enfoncer plus profondément.A ce moment, l'éperon de Kennington se pritdans une racine et, malgré les efforts de sonvoisin, le malheureux disparut un instant sousl'eau verdâtre. Aidé par son compagnon, ilémergea ruisselant et le souffle coupé.

Leur guide prit la parole.— Mylord , il vous faut un bon feu, sinon

vous allez attraper la mort. Hâtons-nous degagner la demeure de Jérémie. J'ai heureuse-ment retrouvé mon chemin.

Comme ils s'apprêtaient à partir, un bruit

de voix les atteignit . Intrigués par la présencedes chevaux démontés, les rebelles en tra-quaient les cavaliers. Pendant le temps quedurèrent les recherches, les trois hommesdurent rester immobiles et muets, le ventreétranglé par l'anneau glacé de l'eau.

Dix fois de dangereuses ombres parurent lesfrôler ; une prière oubliée montait aux lèvresmortes du plus jeun e des écuyers, et aucundes deux autres ne songea à se moquer , par-tagés qu 'ils étaient entre la souffrance ' et lacrainte.

Quand les Têtes rondes de Cromwell renon-cèrent à leur gibier, les malheureux ne pou-vaient plus remuer leurs membres affreuse-ment engourdis. Après de douloureux efforts ,ils réussirent à s'extirper de cette eau fangeuseet à gagner la terre ferme. Kennington étaitle plus atteint, un lent et incessant tremble-ment agitait son corps; il paraissait incapablede faire un pas et son visage bleui inquiétaitles deux écuyers. Rien à proximité pour trou-ver de l'aide et de longues heures de marcheles séparaient encore de la ferme de Jérémie.

Les écuyers se concertèrent : 11 fallait à toutprix atteindre ce seul refuge possible, le ventmeurtrissait leurs visages et raidissait leursvêtements mouillés sous la cuirasse. Titubants,ils s'engagèrent sur la route froide , hostile, deLaunceston.

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enlevé dans sa 65e année après une douloureuse maladie supportéei

avec vaillance.

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«Monty » et l'OTAN en désaccordUPI — Apres avoir conféré durant une heure avec le président Ken-

nedy, M. Dirk Stikker, secrétaire général de l'OTAN, et M. Thomas Fin-letter, délégué américain auprès de cette organisation , ont annoncé que lesEtats-Unis ne soumettront en décembre au Conseil de l'OTAN aucune pro-position de diminution de leurs troupes d'Europe.

M. Stikker a a jou lé que la discus-sion avec le président Kenned y avaitété «très ut i le et très franche» , en cequi concerne la mise sur p ied <4'uneforce nucléaire atlantique multilaté-rale, le secrétaire général de l'OTANa déclaré qu 'il pensait que certainsprogrès avaient été faits dans cettevoie.

M. St ikker a précisé qu 'à son avis

crainte d'être accuséB de pratiquerune politi que d'apaisement.

« Il n'y a pourtant rien de mal àl'apaisement, pourvu que cela se fassedans les deux sens, a dit Lord Mont-

la force de dissuasion française neserait pas préjudiciable à l'OTAN. Ila rappelé à ce propos que la Gran-de-Bretagne dispose déjà depuis uncertain temps d'un armement nuclé-aire autonome. Il a laissé entendrepar ailleurs que la politique fran-çaise devrait se modif ier — ce quine paraît pas être le cas dans lescirconstances présentes — pour quel'on puisse envisager une inté gra t ionde la force de dissuasion françaisedans une force nucléaire a t lant i que.

MONTGOMERY :«Trop à l'Ouest,

trop peu à l'Est»UPI — Le maréchal , Lord Montgo-

mery, a exprimé l'opinion que lesOccidentaux ont concentré de tropgrandes forces en Europe et que cesforces pourraient être plus utilementemployées en Orient.

Les dirigeants occidentaux, a-t-il dit ,reculent devant un règ lement desproblèmes en suspens en Europe , de

gomery. Les puissances occidentalessont « sur-garanties » dans la seulerégion — l'Europe occidentale — où iln 'existe aucun danger, étant donné lapuissance de l'organisation de dé-fense occidentale et la puissance nu-cléaire de l'Occident (...).

» Le danger est à l'Est. Nous de-vrions réduire nos forces en Allema-gne et déployer des forces plus nom-breuses à l'est de Suez. »

L'or, pilier du système communiste( U P I ) —¦ Dans un article intitulé

«L 'URSS sans pain» , le journal ita-lien «Il Tempo» écrit :

«Les manières agréables et pres-que respectueuses adoptées récem-ment par Krouchtchev envers Ken-nedy ont surpris l 'opinion publiquedu monde libre.

»La raison , débarrassée des eu-phémismes habituels , en est la

f a i m : f a i m de céréales , de far ine ,de pain , la raison la plus redouta-ble peut-être qui peut renverser lesdynasties , les gouvernements, lesrégimes. La f a i m n'est pas une plai-santerie...

»Le secours est venu des pays ca-pitalistes qui ont des excédents decéréales... la Russie n'est plus legrenier de l'Europe... les pays durideau de f e r vivent maintenantgrâce à l 'apport de nourriture dumonde capitaliste...

»Pour autant que l'on sache, leblé acheté aux Etats-Unis et au Ca-nada est payé grâce à l'esclavageéconomique et aux bas salaires desouvriers des mines d'or soviétiques,tandis que les céréales américainessont produites par des travailleursà haute paie.

nL' or est devenu le pilier du sys-tème du rideau de f e r : une con-clusion dont on ne trouve nulle tracedans la doctrine marxiste.»

UN EVENEMENTp ar j our

? tî Ainsi , l'Assemblée nationale a 4'/, voté le statut des objecteurs de

^^ conscience. La votation a eu lieu 4'/ dans l'indifférence générale, du fait ^^

de l'acceptation tacite préalable des ^^

groupes politiques.

^ Voilà un exemple qui mériterait 5;

^ d'être suivi (non pas celui de Fin-

^^ différence , mais du statut des 4

^ objecteurs de conscience!). ^2 En effet , hier , à Florence, un ^'s prêtre et un journaliste ont été con-

^4 damnés pour « apologie de délit » ^

^ dans des circonstances qui méritent ^i d'être connues. ^

$ A la suite de la condamnation à gJ six mois de prison d'un objecteur 3

^ de conscience catholique, le R.P. ^

^ Balducci avait accordé une inter-

^^

view au directeur d'un journal flo- ^^

rentin, M. Pizauti. Là, ce prêtre ^

^ avait déclaré qu 'il trouvait « admis-

^^

sible pour un catholique de refuser ^

^ de revêtir l'uniforme ». Plainte...

^^

acquittement en première instance... ^

^ recours du ministère public... la

^^

Cour d'appel de Florence a finale- ^^

ment condamné les deux prévenus. ^S; Oui, il serait temps que l'exem- ^

^ pie de la France statuant sur le cas !}

6 des objecteurs de conscience soit ^

^ suivi. Par l'Italie, peut-être. Et par ^

^ la Suisse aussi ! ^

\ P. Ch. |

ë Ut*Ut D E R ï V MÈ R E

DELÉMONTTrois piétons renversés

(mx) — Hier soir, à 20 h. 45, unjeune garçon boucher de Delémontdescendait en voiture le village deVicques. A la hauteur du restaurantde la Fleur de Lys, il heurta troispiétons.

Ceux-ci, très grièvement atteints, ontété conduits à l'hôpital de Delémontoù l'on ne peut encore se prononcersur leur état.

MOUTIERAccident de travail

(mx) — Un tourneur d'une entre-prise de Moutier, M. Roland Hug, néen 193B, demeurant à Corban a étévictime hier après-midi vers 16 h.d'un grave accident de travail. Ildevait polir une tige de métal et mitson tour en marche avant de l'avoirfixée. La tige fut alors violemmentprojetée en arrière et l'ouvrier lareçut en plein visage.

Conduit à l'hôpital, on diagnostiquaplusieurs fractures de la face, du pa-

lais et du front. Un œil a égalementété touché, mais il ne parait pasperdu.

Assemblée nationalealgérienne renvoyée

AFP — Le président Ben Bella , dansune très brève déclaration faite auxdéputés algériens réunis en séanceà 23 h. 15, hier soir, a demandé àl'Assemblée nationale « devant la gra-vité de la situation », de renvoyer sestravaux, afin , a-t-il dit , que chacunpuisse prendre la place qui lui re-vient sur le terrain.

Pas d'armes nucléaires sur orbiteAFP. - La résolution sur l'interdiction de la mise sur orbite d'armes

nucléaires a été présentée à la Commission politique de l'assemblée aucours du débat sur l'arrêt des essais nucléaires par M. Padilla Nervo(Mexique), au nom des dix-sept membres «actifs» de la conférence dudésarmement de Genève.

Le représentant du A/lexique a demandé l'interruption du débat surun point d'ordre pour soumettre la résolution. Il a rappelé que MM.Gromyko et Kennedy avaient exprimé à l'assemblée générale le désirde leur pays de conclure un accord à ce sujet. Il a été suggéré que laCommission politique confère à cette question «le caractère d'urgenceet de solennité qu'elle mérite en interrompant son débat actuel sur l'arrêtdes essais nucléaires, pour adopter le nouveau texte à l'unanimité et dèssa prochaine séance».

Conseils

Mais ' tout cela ne l'a pas empê-ché de les violer , notamment en ex-propriant les Français sans leur pro-mettre des indemnités raisonnables.

De plus , Hassan II est à la têted'un régime qu 'on pourrait qualifierde conservateur et il ne cache pointses sympathies pour l'Occident. BenBella , au contraire , est un révolution-naire qui a déjà procédé à certainesnat ional isa t ions et qui poursuivra danscette voie. C'est aussi un partisan duneutralisme , mais qui entretient demeilleures relat ions avec Moscouqu 'avec Washington.

On a de sérieuses raisons de croireà Paris que le confli t actuel a étéprovoqué par M. Ben Bella pourcréer une diversion à ses difficultésd'ordre intérieur. Mais il ne pensaitpas que la réaction du Maroc seraitsi vive. Le roi Hassan II a saisi l'oc-casion qui lui était offerte pour ten-ter de résoudre le confl i t f rontal ierné au lendemain de l' octroi de l'indé-

Un représentant du roi du Maroca fait état d'une carte éditée en 1943par l' institut géograp hique français , oùHassi-Beida et Tindjoub fi gurent enterritoire marocain. A vrai dire , laplupart des cartes sont beaucoupmoins précises. Cela se comprend , cailes frontières n 'ont jamais été situées.Ce n'était pas nécessaire , car il s'agis-sai t de ré g ions désert iques. Mais de-puis la découverte de mine ra i s diversel surtout de p étrole , le Sahara aacquis une très grande importance.

La France n'a pas l'intention depréconiser telle ou telle solution. Maiselle est intervenue à Alger et à Rabatpour que la guerre ne vienne pascompromettre l'existence de ces payset empêcher la création d'un Maghrebuni qui permettrait à l'Afrique , duNord de vivre pacifique et prospère.

James DONNADIEU.

Ben BellaNous pourrions, avec M. Edmond

Naegelen, nous demander si les sub-sides versés par la France à BenBella serviront à combattre le peu-ple israélien, son ami et allié... Ilest vrai, que le président algérien a,en ce moment quelques sérieux em-barras. Dans un meeting organisépar les chefs de la rébellion Kabyle ,l'une de ceux-ci , n'a pas manqué derailler la présomption de Ben Bel-la : « Ben Bella, s'est-il écrié, veutenvoyer 100.000 hommes à Nasser,50.000 hommes en Angola, 50.000 enMozambique, que sa is-je encore ? —et cela dans un pays de 12 millionsd'habitants. Croit-il que l'Algériecompte 50 ou 60 millions d'habi-tants ? » Et le chef Kabyle ajoutaitcruellement, à propos des nationa-lisations et des « Comités de ges-tion » ? « Le peuple meurt de f a i mpendant qu'opèrent les Comités dedigestion... »

Ben Bella, même f lanqué de sonministre, ancien W a f f e n - S . S. auraf o r t a f f a i r e pour convaincre sonpeuple d' aller combattre pourNasser.

Rémy ROURE.

La vallée du Piave enterre ses morts

Près de 2000 des 3000 victimes de la catastrophe du barrage du Vaiontont pu être retrouvées , et l'on procède au plus vite à leur enterrement

afin de parer à une menace d'épidémie. (Photopress)

Reuter — L'agence Tass a annoncéque les ambassadeurs soviétiques àParis et à Bonn s'étaient rendus au-près des ministres des affaires étran-gères de France et de la Républiquefédérale allemande pour obtenir deséclaircissements sur un accord decoopération , établi en vue de la miseau point de puissants réacteurs ato-miques, et qui aurait été conclu entrel'Administration française de l'énergieatomique et la maison Ouest-alleman-de « Siemens Schuckert Werke ».

Citant un communiqué du ministèresoviétique des affaires étrangères,Tass a indi qué que les réacteurs puis-sants produisent des quantités consi-dérables de plutonium qui pourraitêtre utilisé pour la production d'armesnucléaires. « Il va sans dire que touteaction devant permettre aux revan-chards Ouest-allemands d'obtenir desarmes nucléaires, a poursuivi l'agenceTass, est contraire aux accords in-ternationaux en vigueur , et ne peutqu 'affecter la sécurité de l'URSS etd'autres pays européens. »

Mutinerie au CongoReuter - Les milieux gouvernemen-

taux de Léopoldville ont annoncé mer-credi qu'un certain nombre de sol-dats congolais, en garnison à Lulu-abourg, ont été mis aux arrêts. Ilscomparaîtront en conseil de guerrepour avoir déclenché mardi une mu-

• t'inerie.Cent vingt soldats de la 2e compa-

gnie de gendarmerie ont pris part àla mutinerie, qui a été écrasée par lescadets de l'Académie militaire. Ungroupe d'une vingtaine de rebelless'est enfui avec ses armes.

Accident de manœuvresUPI. - Un jeune militaire, Gilbert

Cadet, 19 ans, a été tué au cours demanœuvres qui se déroulaient au campmilitaire de Suippes (Marne).

Des soldats du 68e RALD, régimenthabituellement stationné en Allemagne,effectuaient des exercices de tir lors-que Cadet qui servait une pièce futatteint par la culasse au moment durecul.

Blessé grièvement à la tête , il futaussitôt transporté par hélicoptère àl'hôpital de Châlons-sur-Marne où ildécéda peu après son admission.

La viande de veauseva taxée !

AFP. — La viande de veau serataxée, indique-t-on au Ministère desfinances français, si au cours desprochains jours les services de con-trôle relèvent des hausses excessi-ves dans les prix de vente au dé-tail de cette viande.

Un réacteurfranco-allemand ?

Un de plus !UPI - Les Etats-Unis ont procédé

à leur septième essai nucléaire sou-terrain depuis la signature du traitéde Moscou.

L'essai a eu lieu dans le Nevada etl'explosion était d'une force «inter-médiaire», c'est-à-dire inférieure à unmillion de tonnes de TNT et supé-rieure à vingt mille tonnes de TNT.

L'octogénaire dormaitdans la f erme en f e u

De notre correspondant particulier :

L'autre nuit, un incendie a ravagéun immeuble du village des Hôpi-taux-Vieux, dans le Haut-Doubs. Cetimmeuble abritait un café-tabac, uneexploitation agricole et l'apparte-ment du fermier, M. Michel Maire.

Si lui et sa femme, alertés par unevoisine qui avait vu les flammes s'é-chapper du toit , furent prompte-ment dehors, il n'en fut pas de mê-me de leur père, M. Emile Maire,âgé de 83 ans. Il dormait dans sachambre que cernait déjà le brasieret sa surdité empêchait que lui par-viennent les appels. C'est son ne-veu qui se précipita jusqu'à son lit,l'éveilla et le tira de justesse de lafournaise. Le pauvre homme a mê-me perdu dans l'affaire l'une despointes de ses moustaches propre-ment grillée.

Les causes du sinistre qui a prisnaissance dans le bûcher paraissentpurement accidentelles.

Le Sénat et la f orcede f rappe

ATS — En matière de pol i t i que , lesprises de position d'un part i sontondoyantes et diverses. On en a en-core eu un exemple , hier , au Sénatoù , par le biais de questions orales ,M. Habib-Deloncle , qui représentaitle gouvernement, a dû débattre de laforce de frappe.

Le principal at taquant fu t M. Guille(SFIO) qui termina son interventionpar une proposition assez étonnantequand on sait que les socialistes ontmaintes fois reproché au général deGaulle d'user et d'abuser du référen-dum.

« Le pays, a aff i rmé M. Guille, doitpouvoir se prononcer sur son destin ,dire si oui ou non il veut une forcede frappe ruineuse et inefficace , ouadhérer aux accords. M'adressant augouvernement, je lui dis : Vous affec-tionnez les référendums , organisezdonc celui-là et le plus tôt possible. »

Mais cette fois-ci , c'est le gouver-nement qui , par la voix de M. Habib-Deloncle , a dit non au référendum.

AFP. — Soixante morts et vingtblessés du côté portugais, tel a étéle résultat d'une récente embuscadetendue par les combattants natio-nalistes de Guinée portugaise entreMansoa et Enxale, au nord du fleu-ve Geba.

Les faits sont révélés dans uncommuniqué du Parti africain pourl'indépendance de la Guinée et duCap vert publié à Conakry.

C'est la première fois, semble-t-11, que les combattants nationalistesengagent une telle lutte dans cetterégion.

Selon des renseignements parve-nus à Conakry, les forces portugai-ses auraient lancé une importantecontre-offensive dans cette région.

Combats en Guinée

1 En pages : i

2 Les conseils de l 'homme en [blanc i

ii 5 Avec Haroun Tazieff au pays '! de l'enfer... - Mode et Habi- i

tation à La Chaux-de-Fonds7 La Tour de la prison de

Neuchâtel> 9 Condamnat ions à Bienne *i

13 Chez les clubs de football de [4e ligue

» 15 Lettres , Arts , Musiquei

16 Bombes atomi ques et manœu-', vres en Suissei 19 Hommage à Jean Cocteau et !

à Edith Piaf ;[ 21 L'équipe suisse de ski à

Sommartel• 23 Renseignements!

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