"Le Soleil" rsl lu dans 100% des familles ca­nadiennes • françaises de 0iip1x*i LE SOLEIL

TIRAGE CERTIFIE PAR L’A. B. tQUEBEC. VENDREDI 8 JUILLET 192736e Année No 157 Température : Averses

LE TIR Ar,E DU “SOI * L”

certifiepir TA.B. ^4. tà k deux iéme journal frarn

EDITION QUOTIDIENNE PRIX: JX CENTINS

Nouvellesbrèves...

SIX MORTS DANSUNE EXPLOSION I—Bruxellf*:- S (P.C. -Six person- j

nés ont ét^ tu^es dans une explo-1 sion à Arendonok. près <le Tupnhout. ’ L’aooident s'est produit dans une i fabrique de dymamite. l<os dégâts I /na’ériels sont peu élevés.

UN AUTRE RECORD D’ALTITUDE

Washington, 8 (P.C.)—Le lie ut. Champion, de la marine américaine a été NCNNUU1 hier p^r U National Aeronautic Ass’n comme ayant éta­bli un nouveau record mondial d'al­titude pour les hydravions en s'éle vant à 37,995 pieds à W ashington le 4 juillet, courant C'est 4..VX), pieds de plus que le record pré<'é~ * dent. I

LES ILES HAWAI SECOUEES PAR DES IRRUPTIONS VOLCANIQUESLE KIUUEA, ENDORMI DEPUIS

DES SIECLES, SE REVEILLE ET CRACHE DES TORRENTS DE LAVE

MS. I.ABRIE EST REMIS EN LIBERTE

LA TERRE TREMBLE

Seward, Alaska. <S. Deux se­cousses sismiques très distinctes ont été ressenties ici, à cinq heu- re« avant-hier soir

NORTH-HURON

Ottawa. 8. I*. C Onapprend que les mandats pour l'é­lection complémentaire de North- Huron vont être probablement émis i d’ici une couple de semaines

MORT D’UN CHEF INDIEN

Saskatoon, Sask . 8. p (Le chef Thunder Child, ou l’En­fant, du Tonnerre, le dernier des chefs indiens qui signèrent en 1876 le traité avec la Couronne qui re­mit les terres de l'Ouest aux An­glais, est décédé sur la réserve de Thunder Child U 29 n 4 près la nouvelle reçue ici, hier

ON NE SUFFIT PLUS

Le repré- Penn., a dé-

New-York. 8 J» («entant Shreve. d'Erie elaré. hier soir, que les étrangers en-1 traient en fraude aux Etats-l nis en tel nombre que les agents fédéraux ne j suffisaient plus h les déporter 11 ap-i f>ert que 30,000 matelots sont entrés f dans le pays en désertant leurs navires t durant les 12 derniers mois

SERVICE DE VOYAGEURS PAR LES A»RS

<'édar Point, Ohio. 8. P. (’.,— J Cinq grosses compagnies de chemin de fer envisagent l’à propos de com­pléter leur service de voyageurs au moyen d'un service d'aéroplanes, a an­noncé hier soir William-P. McCracken, jeune sous-secrétaire du commerce pour l'aviation. Aucune de ces compagnies n'a encore conclu d’arrangements dé­finitifs. mais il ne fait guère de doute qu’un grand progrès aura été accom­pli d’ici la fin de l’année “Les che­mins de fer. dit M. McCracken, devront tét ou tard compléter leur service fer­roviaire par un service aérien. Toute la question est de savoir s’ils vont s’y mettre tout de suite ou attendre Dans la première alternative ils n’au­ront qu’à s'entendre avec les compa­gnies aériennes fonctionnant déjà."

LE COMTE DE LESSEES DECORE

Montréal. 8. Spécial au “Soleil" . Le consul géné­ral de France vient de faire parvenir officiellement au comte de Lesseps, de la part du gouvernement de» Etats- Uni», le diplôme de la Dis­tinguished Service Cross. Cette distinction lui avait été attribuée pour les servi­ces éminents qu’il avait rendus comme aviateur, aux armées américaines à Sl-Michel, pendant la guer­re.

Rappelons que le comte J. de Lesseps, qui réside dans ce pays depuis plus de quinze ans, est l’un des tout premiers aviateurs qui aient survolé le Canada, et le premier qui ait survolé Montréal.

Depuis cette époque il n’a jamais cessé de s’occuper d'aviation et il est actuelle­ment à Gaspé, où 11 a ac­cepté, encore pour cette an­née, la direction des servi­ces aériens de la Compa­gnie aérienne Franco-Cana­dienne qui exécute des tra­vaux de cartographie dans cette région.

Les indigènes pris de____terreur, jettent desfruits sauvages e tautres offrandes dansle feu pour apaiser Pele, la déesse du VolcanUN LAC EMBRASE

Hilo, Havtaii, 8 'P.C. L’énor­me Kilaiea, volcan endormi de­puis des siècles, s’est réveillé hier, vomissant des torrents de

! lave par son cratère. Halemau- mau, 4,000 pieds au-dessus du niveau de la mer, a tremblé

I comme le géant renaissait à laJvie-

Des indigènes des îles Hawaii l jetèrent de fruits sauvages et ' autres offrandes dans le feu 1 pour apaiser Pele, la déesse du I volean.

Avis de l’éruption imminente avait été donné par le sismo­graphe de l’observatoire non loin du cratère, où quatre faibles se­cousses furent enregistrées dans j les deux heures précédant mi- i

J nuit. A Hilo, à 30 milles du vol- ' can, un tremblement de terre {réveilla quelques habitants. Ceux- « ci purent contempler un spec­tacle magnifique, mais terrifiant. ' Quatre énormes fontaines de ,

jfeu, hautes de 125 pieds, proje- ; taient leurs flammes sur les pen- '* i tes escapées, et de la gueule du

volcan, jaillissaient trois fleuves ■ 1 de lave, qui, se réunissant, for- j maient un lac embrasé de 1,000 I pieds de large.

LE PONT DU N.-BRUNSWICK

AU MAINEEdmundston, N.-B., le 6

juillet. L’hon. J.-E. Mi- chaud, ancien ministre chans le gouvernement Veniot et député du comté de Mada- waska à la législature pro­vinciale, vient d'annoncer une bdnne nouvelle au sujet du pont international entre Clair, N.-B., et Fort Kent, Maine. Ce pont sera bien­tôt en voie de construction et coûtera $258,000- Il sera construit aux frais de l’état du Maine, qui en paiera la moitié et du gouvernemen* d’Ottawa, qui a ctécidé d’y contribuer l'autre moitié.

Ainsi sera réalisé le rêve de feu l’hon. John Costigan qui, pendant des années, a prêché la nécessité de cette entreprise.

Sherbrooke, 8 D N. C. Joseph Lahrie, qui. avec sou frère Emile, avait été condam­né à l'emprisonnement à vie, Suit l'accusation d’avoir tué Ch»*|e* Chase. à Stocke, au rnoTf de décembre 1919, vient H’ètrr relâché du pénitencier

, Saint-Vincent-de-Paul, où il était incarcéré aepuis sa con­damnation. l.'arrestation et le procès des frères Eabrie avaient causé toute une sen­sation dans les Cantons de l’Est et même par toutes la province, à cause des circons­tances particulières qui les arcompagn aient.

VICTIMES D’ACCIDENTHa'l.urst. V-B. 6 juil. (D.N.C

MM Uustaw Kov »? Léonard Koy, l'épous»* de <•»• dernier • t ses trois en­fants ont < I» s victimes d’un acci­dent d'automobile, qui a failli avoir »!»•

1 fatal» ? <*orséquences, irais qui heureu- seuu-nt n'a causé que H«- légères bles-

I sur» ' aux victimes. L'automobile 1 «le^er«lait la côte près de la rivière j Tabusintac lorsque les fmns refusèrent > d- foretlomuT. D* char «b scendit la j côt» ii une \ i fesse de 40 mines à l'heure

L'ANGLETERRE ET LES E.-U.INVITES A MONTRER

LA VOIE DE LA PAIXLe Japon, croit-on, ne demanderait pas mieux

de suivre L’utilité des croiseurs mise doute

LES PERFORMANCES DE LINDBERGH

que ' en

(bake Japon. s 'P <’ La presse « t le public so montrent do plus on. plus irrité> »lo »*o qu'ils appel l«•^.? l élarMsseît'**nt progressif <1»« la conf»ronco navale do fiénève. L’An- plot,erre et !»■> Etat-sl'niK .sont f«»r- ti nmnt iuv it»'s n montror ru morde la voie do la paix sentier que b* Ja­pon. dit-on. ne demanderait qu’à suivre. I,es hoir nos d'affaires met­tent »*n touto l'utilité des croiseurs pour la qrotection do^- avenues coir.- irereiales de 1 < céan. Ils citent les ré»*ent«s performar.»-es de Lindbergh et autres, et aussi les lavages perpétrés par les ^us-marins alle­mands durant la gnorr»-. cm me pr**u-

l NE AUTRE DEMANDI

v<‘ que les croiseurs rtevionmvnt île ; »•! «b> la Orando-Bretagm

Genève, s P.C. Après avoir perdu 1; parti»' d; n> le- • ff»>ns qu'il fit pour t*.v» ir l»* droit «le ««instruire | un nrrnbr* illimité de p<*iits sous ma­rin'. le Jap, n vient de formuhr un»* nom cil»1 demande dans l.iouello il( veut obtenir, en vertu «lu pae.t«*i projs h»' par la ««mférencü tnj'Mrtitej du «lési rnu-ment naval, un t» image total plus «m nsid*Tabl«' ••n >« usina-1 rins. ei réidame l’autorisaiibn d« se;laneor dans «-tt- «y nstructi,.n I marins. H il est tout probable que aa

En délégation ainéri(»ain.* a pro-1 tisfaction son» ai'cordé.» au Jajsm aoui j»r>sé à la «wniférenee de fixer 1«* ton ' " raj»|*<*rt nag»- des sous mari ns «h>s Etats-l n.

L’UNION DES POSTIERS SE RETIRE

DU CONGRESLondres, 8. ^P. C- L li­

mon de» postiers, la plus considérable des associa­tion* de fonctionnaires, se retire du Trades Union Congress et supprime son fonds politique en prévision de l'adoption par le Parle­ment du Trades Union Bill. Ce projet de loi interdit, entre autres choses, aux fonctionnaires publics de faire partie d'aucun syndi­cat affilié à d'autres qu'à der syndicats de fonction­naires et ayant un objectif politique. Plusieurs dépu­tés se sont déjà fait élire grâce à l'aide financière prêtée par l’Union des pos­tiers

i l'Ti béb«'. ftg«'* d«* deux irmis, nerc«;ut aucune blessure Les autres

J l’ont '•«‘hapjié bel av ec quclquet égrati-l gnur«i s.

An«1er .•'On, ln<l . 8 !’.('.) ,\ 1 a i vin(odd . 54 an*, a grièvement bl,'>S «»

1 d'un» balte hier soir sa lie l ic-fille.Th« 1 na Morrington, âgée de 16

! ans, tué sa femme, âgée «le 47 ans,puis a lui-nurnc 'mis fin à se a jours.De.' chagrins domestiques furent A1 origm» de «•♦•!?♦• tragé«ii, . On du

. que Marvin < <»dd n« goûtait pu* lafa von dont sa lielle-filîe Th<* nia en-

; t«Tu|a it "vivre sa vie".

plus en plus démodés, et qu’il imj»ur- t«* d’en diminuer le nombre

LFS JOURNAUX DE LONDRESI «mdres 8. IV < -Si l'on en

«•roit les dépéehes de Genève Nt*w - York ♦. Washington publiées au- jourd’hui dans les journaux d«* Lon­dres la conférence navale menace «le n<* pas aboutir. D "Dailv Express" dit qu'il rie faut pas s'en alarmer outre mesure. Personne v lit-on n’a vraiment fait reposer U-aimoup de confiance dans ces pourparlers.La jKilitique étrengèn Ktats-Unis est souvent intunein« ut li«;« à un«‘ élection j»rési«l« ntû in

En «bminuit «•«« nouvel angle aux dis ,ntr«, : «uisshms nav ales, le .lapon est retour

et celui du ÎI11X déclarations qu’il fil le joui 54.000 ion I d«* l’«»uv«irture «b* la conférence, f

avoir que le statu quo devrait étr» la bas«* «1«* toute entente et qu’aucun»

ji d«**'lur» qu il \«u.- puissaimo ne devrait **s.sayer q’adopte- lait obt«*nir au moins ,0.000 t, im« nouv«>au j»r«igram«. e «b* construepour son j»ays. à ««aust* <!«> la longue ^ion naval»* ni acquérir des vaisseau?

dans le but «l'augmonUr sa force na v al»*.

00.000 .1 fto.ooo tonnes, ‘Japon «Titre 36.000 et

nés.9

L'amiral Saito

étendu»' des côtes des ib s jtijh nuises 1 et la mWsKité de les défendre centre tout* invasion par des flott«'s étran-1 gères .< rmées «!«• gn '-*•-• unité'

\ai Japon, par conséquent. ré«*lam»*| 34.000 tonnes de j>lus qu»* !»• «*hifTre| qui lui est proposé par l»*s Etats-Unis »*t veut obtenir un* élevé,* que la bas»*Washington p«>ur les grosM*s unit«*s.

(’ett,* «b'inand»* vu '«*rvir «U* base ;t la discussion du problèirc «les -ous-

Sur cette basy, le Japon estime le fore»» navale anglaise en croiseurs «J en du-troeyrs î, 175,000 tonnes. I‘ >ugg«*r«* <iu«‘ 450.000 tonnes soient ro-

proportion plus i connues «une limite jMiur la Graïc > établie à jde-Bretagne «'t les Etats-Unis, pont

le*- croiseurs et destroeyrs pris en- seirble. «'t que 300.(XXI tonnes for*

suite à la page 23

LF PRINCE DEGALLES

LE PROCES DE LA FEMME GALLOP ATTIRE UN GRAND

NOMBRE D’ETRANGERSLes hôtel* et maisons de pension de Roberval sont

remplis de gens qui viennent de partout Cette cause sensationnelle se poursuit toujours activement

— — f——

L’ACCUSEE SUIT LES PROCEDURES AVEC UNE GRANDE ATTENTION

A LA MANIFESTATION MISSIONNAIRE DE JOLIETTE

A TORONTO

Toronto, 8 (P.C U On se deman­de maintenant, à Toronto s’il ne se­rait pas possible de fournir a la plus grande partie de la population l’oc­casion de voir et d’entendre le prin- «•e de Galles, le prince Georges et M. Baldwin sur les terrains de l’Ex­position quand ils viendront û To­ronto en août prochain. M Foster maire de la ville, a constaté par le programme de la réception qu»' la seul** cérémonie oû il serait donné à la foule do voir et d’entendre Es v i­siteurs aurait lieu en face ,1»' l’Hô­tel de Ville, et qu’il n'v a pas «le place là pour plus de 25,000 p« r-j sonnes.

f Roberval. 8.—(De notre oorr.).— j Ui cause de la femme Gallop se poui- ' suit activ»*ment à Roberval, sous la I j>rébidence de l’honorable juge ’Fessier.

Ia Cour s’est ouverte, hier matin, et la couronne » continué sa preuve; l'accusée s*- nmd toujours à la barre d'un pas ferm«‘.

Fil*' est toujours j>réte à renseigner son procureur. Fbc suit les témoigna­ges avec iin«‘ grand»' attention. Ix1 ptenii» r témoin de la couronne enten­du <•» matin, fut M. Arthur Gignao. agent de la “Great West Life Assu­rance". «1»' Québec, et aussi ag« nt de la “Imperial Guarantee Accident < o '.

Dans l«* courant d«* juillet 1125. (ligna»* s'est ren»lu à EU»* Maligne. <»ii résidait Gallop, j'our y fair»* de l’assu-

’ rance, il connaissait alors <iall»»p, 1 mais n» connaissait pas l’accusée. Un soir il s»' rendit à leur demeure pour y fair»- d»1 la sollicitation, mais on con­vint d'une entrevue pour un soir ulté- ri» m.

A la dat» convenue Gignac s»- rendit chez les (iallop et offrit de l’assurance au mari, mais celui-ci répondit que s«‘s finnn»*» s n»1 lui jx rmcttaient j»as d'en prendi»* «lans b» moment, sur <•»'. sa f«mme lut «lit que s'il voulait aug- menter »e chiffre de si s assurances elle

MARSDF.N AU BAGNE

(.'olumbtis, (>.. 8 (IVU.) RayMarsden. qui. «b* son propre aveu pilla quelque 7.000 églises aux Ftats- l nis et au Canda. est entré hier au bagne de l’état d’Ohio. «*îi il passe­ra de 3 à 15 ans

Sa sentence fut prononcée à Upper Sandusky par le juge Karl Carter récemment Membre «l’uno bande•le «'inq. Marsden commit près de b** aiderait à paver i«*s pumes avec 15.000 vols dans des églises, catho- revenus que lui procutaient ses liques pour la plupart, ces ann(k‘s I D'n}*'onl’n're:' Gignac «lit qu il •lernières

Marsden confessa qu’il en voulait aux catholiques, et que c'est pour «•ett* raison qu'il s'attaquait à leurs temples de préfér«*n<T' aux autres.

L’ESPAGNE ET L’ANGLETERRE

Dmdre.'i. 8. (P. <'.)d'Espagne, qui est d»» passage à Londres, a porté la parole, hier soir, «levant b» club espagnol, dont il était l'hôte d’honneur. Il a fait ressortir la cordiale amitié «'Ma­tant entre l'Angb'terre «-t I' Espa­gne. et «li^claré aux Anglais senta qu'il était superflu de leur donner l'assurance que. à chacun e «le ses visites en Angleterre, il aj>- portait avec lui les voeux I fervents «le son pavs

ainsisté pour pousser une jiolioe «le $5.000 mais Gallop refusant, il rem­plit un blanc d’application pout $2.(XX). que Galloj> .'-igna. Quelque hmps après il n-vint à I’ll»' Maligne pour livr»*r ladite police mais ayant appris

I «'« rtaincs rumeurs au sujet do la mort J »l*> ( îh11«>|» il retourna à la compagnie le

Le roi | document pour considération du «*as.Tl était à Napudogan. N.-B., en

1 voyage d'affaires lorsqu'il apprit d’un ! M. Boyo»1 one Gahop était mort acci- «lenteiu'metit. Alors Gignac dit à Boyce : si t.»*l »'st le cas. Sim*' Gallop v a retirer le montant d«* la polie»1 «lans

pré- ' L'Impérial Guarantee Aceident et |our celle que la "Great W’»st" vient

l'émettre

$1 000 000 DE DEGAT

\ew-York. 8. (p. (\)rage qui s’est abattu, hi«»r soir

L«nu * t'n\ ftiinuu, iiu»r soir, sur

New-York à eauaé pour Si,000,000 de HégAfs. I’n«* femme a été bles­sée. C'est dans le Bronx, oû des c«,urs à chemins de f«*r. le «iihwav . les rues et les caves <mt été m«>n- «lés. que l'orage a ét«* le jiltia d*r*- aastreux l/ea t rav'aili#ijrs liant chez, eux »>nî heures «|e r«*tnr«l

, C'est à son retour «le Napudogan plus j qu’il se rendit à I* Ile Maligne pour 1i-

vrer la jxilice mais il ne le fit pas.vu «les rumeurs qu'il avait entendues.

Quelque temps après, Mme Gai ! I«*p. l’accusée, se rendit à son bureau là Québec pour savoir «-e qu'il v avait à fain* avec 1ns assurances. Gignac

I lui »fit alors qu'il avait retourné I» : police à ia Great West pour consid»'1- • ration, vu l»»a rumeurs qu'il avait en- l«rflues. et qu'il jirnsait bien que

■ 'L'iinjsiial Guarani»»**" ne paierait I pas. vu que son mari n'était j»as

r»»t«»ur-1 mort »l'acenlent. Sur qmn. l'aocus»^ snoi plusieurs| n’insista j'as pour être payé,», elle

L»»1-; chRiiffeurs m requit pas même «b* hianc de récla- d«» taxis, qui avau'iit espér»'» que mation aj>rès décès. Le témoin a suivi l'orage serait j»«*ur *'ii.x une manne, j un interiogatoire très s«rré «1«‘ la part tt«»uvèr«'iit b ru«'< impraticables, i de Mtr»* Taacherraii. pro«*ureur de l’eau s’.v j»r.‘cipitant par t«»rrents| l’accusé»»et jNiiissint b'iirv machines sur Irai D* deuxième témoin a été M. Hébert frottoir1 I M«'Morran. demeurant actuellement

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ià Ottawa, en 1(25. il «lemeurait à| l’Ile-Ma ligne, presque en face «te la

• résidence d« s Gallop II les connais­sait très bien et les visitait assez sou­vent. Galloj». dit-il .était un solide

; gaillard de bonne taille II n'a jamais eu connaissance que (iall«»p fut male.«le. Il ne perdait pas «U» travail, il ! dit que Gallop est mort le six août et «»u'il l'avait vu m veille au soir v« is 1 *s six heures, revenant «le son ouvra g' et lui a jia.’lé.

Gallop aurait dit alors, en présence «lu témoin que s'il jxmvait manger autant quel»» petit chien, il serait bien satisfait Le matin de la mort «le (iallop. le témoin a eutemlu trois crE.«»t le d«*rnier était trèsfaible. Le matin de lionne heure,l'accusé est allée »'h«»/. le témoin pour emprunter un évan- tail électrique, en vue «1»* rafralchi«»r son mari et le témoin le lui prêta.Deux semaines avant sa mort. Gal-* lop a dit au témoin que sa femme «lé-1 sirait f^u'il augmente son chiffre' d'assuranc»*s. En réponse aux ques-'

{lions posées par Mtre Taschereau l»> témoin dit que le matin do la mort de

! Gallop, il n’a pas cru devoir se rendre chez lui. parce que Simpson et AlcNeil étaient IA. si le témoin avait cru alors

i que sa présopoe pût être utile, lise' s,»rail offert. 1 )i\ ou quinze jours av ant sa mort. Gallop s'est plaint au téiimin

! d'nn léger trouble d'estomac, le témoin ne peut pas dire qu'il s'est plaint sou­vent. mats Gallop lui avait déjà fait remarquer qu'il ne se sentait pas bien.Ueci s«* passait en revenant de l'ou­vrage «H x ou quinze jours avant I» mort d»* Gallop. 11 a mentionné au témoin qu’il souffrait d'un trouble

. d’»»stomac. La veille «le sa mort. Oal- ’ lop a «lit au témoin que s'il pouvait manger autant «ni»* son chien Uop. il se trouvrait bien. Gallop était con­tremaître mécanicien McMoran donne cert aines exjilicat ions quant Ma situation de sa résidence et de cell»* de Ua!lo|>

Le témoin suivant est Gonlon Alevlorran. Ottawa, fils «lu tém«»in précédent qui. en 1925 demeurait aussi à I* Ile-À (aligne, dans un camp voisin de celui de son père et en fnc«>«le celui de Gallop ( 'e témoin corrobo­re le témoignage précédent, quant à la •«nnt»' de Gallop »*t. à la situation des résidences aux cris entendus le matin «le la mort Son témoiguagi' porte sur­tout sur l’heure du «Itner. la veille et fi p<»rsiste à «lire qu’aucun»* auto­mobile n'aurait pu wnir chez, (iallop durant «vette heur»* «lu dîner sans qu'il la vit .car il a pris son repas en fa«*«* d'une f«-nêtr«». Le témoin sonant d,* la (Yiuronne est Mme Herbert \ic- Uorran. ép«»use de i avant-dernier jtémoin i l'N GROUPE DE CONGRESSISTES PHOTOGRAPHIES DEVANT L’EVECHE DE JOLIETTE. L’on y remarque Mgr G. Eorbe*. Mgr E.-A. Deschamps. Mgr fc. Dug»»

Examinée |»ar M.tre Sylv«*str» . «'Ile V. G., P. A., le R. P. Pintal, provincial de» Rédemptoriate». le chanoine Alphonse Piette, curé de la cathédrale de Joliette, le chanoine Moi»e Clermont. curé de Ir «lit qu’elle connaît l'accusée et que paroisse St-Pierre, le chanoine J.-A. Mousseau, procureur de l'archevêché de Montréal, le R. P. Jean-Joseph, assistant provincial da» Franciscain» le R P. Raymond* Gallnji «»»t mort, le six août D«*ux ou Marie, O. F. M., le K. P. Beaudoin, P. B., le R. P. Leclerc, O. M. !.. le R. P. Marin, le R P Bonaventure. O. F. M., le R. P. Paul-Eugene, O. F. M.. MM. Curé»tnûs m«*is nvant la mort «h» GrIIoji. J.-B.-E. Gagnon, Desrochers, Brière. l'abbé Joseph Geoffroy, du Séminaire des Missions Etrangères. M. Jeannette, P. D. S.. MM. les abbés S. Sabourin, Deslong

champs. Paul-Emiie-Ro\ , H. Ferland, J.-B. Chagnon, Melancon, Aumont u.-G. Piete, V. Piette.Suite à l;i png»* 23

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M l^eoue*- Clich»- de St-Jo- spph avoeat. et Ite i i Holdue. avo-

I cat. de St-Ge«»rges. étaient à Beau eeville. dimancbt. »*t ont pris laparo à l'asHend't^e de la Saint* •Jean-Baptiste

M. le depute -I -K Oueiiet. I de

ti.(jue l'eraaniVf i abtié Bettigrew fut réélu

aumônier et M U* |>r J-H I>e«»- roehers. maire de Beaueeville fut unanimement élu président hono­raire du elub f)'autrès directeur»

! seront élus par les officiers actifs du club et formeront avec ces der­niers. le bureau de direction Les nouveaux direeteur* et officiers pren­dront l’mitiativ» «le différente' or ganuation.' i ru portail ti;s. nous dn- «»n au cours «le la mmvellc pério- d« qui vient de s’ouvrir.

Kn meme terifis que nous félici­tons. nous formons j»our eux desvoeux «le suce* s l'assoeiation qu'ils

qui s'éten«ient dirigent

a

un million de mamans

ont élevé„ toursbébés

àlÂUment Lacté deNESTLES

K»**

ÜtHANDê? UN fcCHANTitlO* WIATUIT f J l.'VRfc a«M£Rfc5"_. W ftmMfi .bed or' Canada Çtoitea Tor >

NOUVELLESDIPLOMEES

Montréal, 7. Spécial au “Soleil" Quinze jeunes fill» - faisant parti** «lu personnel de la manne marchand» du gouvernement Canadien, ont reçu, hier, des certitica - des premn rs m ins aux ble.'sés. C’es certificats leur ont été présente' u.'v imreaux de la manne TT arc h an de du gouvernement Gana-

Lne visite1 no cinquantaine «1 »Volier> «te

<'iiaHesbourg. ont visité la Beauce la dernière 'em aine, «lans un auto- hus. t'es» écolier' étaient sous la <ii- rection «lu B» \ Kr«*re (’has. Augus­tin un ancien fr»*re «lu collège eeville

«li. n par M B B. Teakle, gérant géné­ral. M H <’al), organisateur «l«* la région «•« Titrai» et Vf YV H .l«>n«-.' assistant din’cteur «1* la Société de'i VfMIVetmers Soins à donner aux Bh-.'sé'' Boulin. M

S»«-( iermaine. Dorchester était!;t fh-auiu-v dl«- samedi et dimanche. A St-George*

M ftémi Bolduc, avocat. <1«* * h** - juilie une >oirée d’unSt-<i«*org«‘s, a passé la journé«* «le Kenr«* exc«‘ptionriél aura heu. r, la dimanche à Beauceville ‘'idle «les ( hevaliers «le t’oloinh. On

Augustin et Homere1 > interprétera la comédie “I ne Odilon Fee tea n et Mlle. noce ;* L Américaine’ \i

ront cette «aison. Beau-1 des membres «le «•«*

j pro<*hainemen.t. pour , \ «vaux directeurs, en

r«* assemblée i ■lub aura lieu i élire «le n.ou- I remplacement

! de

La

ceux qui «ont '«»rti' «le charge

prononcèrent, une court»* allocution Banni les jeune' filles (pu ont reduce* «•«•rtifieats. on remanpu* Villes Kath­leen ('lapperton. Kileen Shea. Anne N'ewshain. FI«»ren« *- B (‘ameron. (ier- trude M. Sluridai'. Ali«*e Uitcbii*. Ora«*e Karl\ Dora Vfilm r. Alu* • Trot. Miram-D. Hughes. Gertnub* M. VVyhe. Stella < ' YYvIi»*. Kv elvn < unniru'ham. Es'ie Sutherland « t Tri' Whcker

Kranvois»* Boulin, de ! B^-Btulipp» f»ass** I après-midi i intéressera

( Wile et Ml eSt-Alfred. «>nt de dimanche a Beaucevillf

\i Jean Mari» ( 'arette respond&nt du “Soleil” pour la Beauce. était à Beauceville. dirnan-j ^ <*he. à ^’occasion «1** la «célébration • ,a, ‘ v

Boulin. «U* Beauceville le public par ses tours

rnagn «■• M .Jean-M. ( rtrette. Ste-Viarie. nous fera entendre jolies déclamations. L'orchestre St-Georges '«*ra pour la circons-

au «•ornplet. On anticipe une

«ie

D’un

jaunedoré et bonne

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La bonne moutarde doit être plus que piquante. La sauce à la moutarde Heinz est plus que cela.

Ce condiment Heinz est doux et suave tout en conservant tout l’arome désiré — toute la véri­table saveur de la moutarde.

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* la Sf-Jcan-BaptisU*.Mlle Marguerite Lessard

Si-./oscph. a passé quelques jours ■| ■•« Beaucev ill«». chez .Mme L.-Phi- *I lippe P«>ulm

VI l’abbé HuoL directeur «le

soiré«* «le> plus agréablex

Sport *Beaucevilb* .» <l««fait

Beaucev ill« . dimanche «lerr.ier. j quipe «ie baseball “B«*d Sox ’.

,, , , g. r. .Quebec. Le score indique uns» maint» «el.gieuse .le Québec, !,?„ qil„ fut ,a sw)r((de 14 .1 p«»ur B, auce\ ilh».•* prononcé le sermon dimanch»

r«jccasion d«* la St-Jean-Baptiste.M «*1 Mme Krnest Drouin,

«b* Québe<*. «‘t leurs enfants ont

St-Jea n-Ba pt isteIMusieur' étranger^ «les «lifferen-

t(■' places «le la Beauce. se rendront Beaucev ill»*, pour assister la «*é-

lébrati«»n «le la St-Jean-Baptiste On anticipe une fête «tes plu.v belles

Alignement

Voici l’alignement des «leux équi- jm s ' St-Ge«>rges'’ <*t "Beauceville”.

Beauceville VIauri«*e Veilleux. 'r«*ceveur. L. Mathieu, lanceur. L- j P. Grondin. 1er but, Vf Grondin.

J«‘ but. Lucien l,a«*harce. de but.I.f“ ! Km Bêdard. court-arrêt. Gaston Ide ^1

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manche, jouée sur

une grande partie sera le n ««me terrain. Les “St-

♦*i les “Beauceville” se rencontreront On sait l'intérêt que suscite la ren«*ontre «le ces deux clubs.

i r» j Georgesquelques j«iurs h B»vauceville, |

ch«v. leurs parents.Nous aurons un caroussel dans

quelques jours. Ia Montréal & Exposi­tion Amusements en fera l’installa- Les ecolier* non le jjiillet et il restera ouvert Les institutior - enseignante jusqu au 17 «lu même mois. On Lth i Beauceville sont fermées ainsi egalemeu* l’installation d'une Vague J les écoles Les «’• i.Jierx sont en «le Vier et d'une vaste tente, où jcances dans leur famille. Nousehaque soir s«» «lonnera du vaude­ville.

Deux représentations gratuites se­ront données chaque soir, en face de cette t»‘nte.

D'autres jeux figureront encore parmi les amusements : .leux aux œufs, balles etc.

Dimanche prochain, premier di­manche* du mois, senmt «’hantés la

Veni Creator** et le Te Deum” «lans notre église.

Vf. l'abbé Gérard Borner eccle­siastique. est à B&uoeville. où il passera !s vavances «tans sa famille

Mme Noël Belleau. de Lé • et sa famille étaient à Beauceville di ' manche, les inv ités de Vlmc Edouard i Fortin.

Mlles Françoise et Margurib- Bol-1 «lue. de Québec, ainsi que VI. Emil» , lobin. sont venus à Bauceville, en promenade chez .M. Thomas BoMuc

Ville Emilienne Roy. de 8t-Vie-j t<*r. était la semaine «lernière. chez !

|V1. Napoléon LaçasseMme Philippe Bolduc, «le Shaw i-

jtiigan. passe quelques semain«s à! 'Beauceville. chez Vf Thomas Bol-! I (il!«*.

Ville Germaine Langelier. «le Si- Y ictor. était a Beauceville. «*es jour' «lemiers. chez Mlles François* cl 1 Blanche Bolduc.

VI et Mme Napoléon Ij&casse el I

I leurs enfants s«>nt partis pour les J Etats-Fnis. où ils passeront ufte di-j saine de ionra en promenade

Mlle Corinne Dutil. de St-Gcor-j I g«*s. était ch«*z Mlle Noéma fracasse.' J «*es jours derniers.

MM. Harold YVhitehad et Paul !! Paquet. «i«*s Etats-Unis, étaient à J ! Beauceville. «iiman«*he. les hôtes «i»« |I Mlles Bolduc.! I>* Dr et Mme J.-A. Deschènes. II ainsi que Ville Jeanne Deschênes ! sont «le retour d’une promenade ;quelques j«»urs à Ste-Anne-de-la-Po-}

' «*atière. à l'occasion des fêtes du Col- lèg«» d«* cet endroit

| Mme Lumipa Rancourt. «le Mal-, i tice. Ont., ainsi qn son fils, le Rev •

Frère Réné. des frères du Sacré- Cœur. u** Méganti»*. étaient les h«D-i tes récemment de Mme Damase j

( BolducAu Cercle Musical

Les membres du Cercle Musical', «le notre ville, ont tenu leur as-J semblée générale annoncée il y a

{quelques jours lundi soir, à t heures La plupart des membres du club assistaient à c«*tte réunion.

: à laquelle présidait M. l'abbé Pet­tigrew. aum nier «le la s«»ciété.

•Après l’ouverture ordinaire, on pro- «éda à l’élection «les officiers

Président. M Marius Lachame. l'un «les fondateurs du club.

Y ice-président. M Pierre Quinon. Secréta ire-trésorier. M J.-Domi-

«ju«va­

leursouhaitons de bonnes vacances.

“Le club Musical"Les membres du «*1111» Musical,

auront prochainement, un costume officiel pour les sorties qu'ils fe-

rordin. voltigeur et Veilleux. Gér. Veilleux.

"St-Georges ’ Ad. Ross. re«;e- \eiir. Maurice Jacob, lanceur. 1er but. Oram Jolicoetir. Je but. Ant. Nadeau, .‘b* but. L Talbot. c«>urt- air***f. (' Poulin voltigeur'. Gas­ton Gagnon. H Poulin. L. IAbbé. Euchariste lx>ubier. subs Les ‘‘Ste-Marîe*’

Des fiifticultés imprévues **nt empêché !«*s amateurs de Ste-Marie. de réaliser le projet qu'ils s’étaient | proposé, de réunir pour une gran- ' «b» soirée les amateurs Beaucerons. Le.' acteurs «le Ste-Marie joueront tout «le même une grande soirée, mais av«*«* leurs acteurs locaux. Cette h>iré«- >»*ra jouée à St-(îeorges. si des «lifticultés ne .'Urviennent pas, il se poturait qu elle soit jouée à Beauceville.

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Feuilleton du “SOLEIL"

Ml Par peur de l'Airmur a|ROMAN INEDIT

Par I>ouis D’ARVERS

Beatrix ’ fit-il inconsciemment, «•»•?!♦* toute petite poupée...

Je ne suis plus une poupée, maintenant, et j’espère que vous allez m’aimer beaucoup pour rattiap- per le temps p«*rdti. dit. vivement

J jeune fide »|e son petit ton auto- I ntaire au«ju»*] ] einoti«>n ajoutait une | étrange s»*«luction.

Et *.<»i«,i Nicoll»* ’ «*omplétait !a ‘ iiu« f « ss» 'an«lis que le regar«l cliar- J nié «Je son

avors Pair «le jouer à I dî­nons nette.

Ronald ne «lit rien, n'ais il re- mer»;ia sa mère d'un regard et. grâce à l'entrain d#*' jeun«s filles, ils furent bientôt, tous, aussi vaient l'être, avant m»* peine secrète Lian»

Dès «*e prenûer soir.

•occE^cc'bnl'iwttarï par

DCD DDu:_DOa*':DDfJDDDD*Dr:CIC»DGD';

DCD ncc:ddc TOOD^

fils -* «bHachait avec peine «le Beatrix et '*• fixait avec une émo­tion indicible sur Nicolle qui était un»* idéal** .reproduction p#*rf<*eti«.n-

\<»ulut mettre en relief l« talent <le ses petites-filles. B#'atri\ < hanta et Nicolle fit apport» r '»*s lourds al­bums «le dessin' et quelques-uns «le ses meilleurs tableaux

Ronald, vraiment ébloui par la

vemrs en ravivant sa peim . ils mar­quaient le fait brutal Liane était, malgré toutes les séparations et tou­tes les barrière', la mère adorée «le ses’enfant*. Elle était celle qui

gai' qu'ils pou-lavait pris sf>in dVIles moralement au «-«rur la n*#**-J et phystqueîr«*nt «lepuis leur toute

et elle* l'aimaient... l'aim«raient-elles pas,

I petite enfance la «iuchessel (’«mirent n

f>as faiblir »*t ra ppnK*hement

Tr*na «trot** d* renrod irtion. traduction adaptAttou* nt •in^Tnav^rapr»»rm. errvm'an par T « F . pour toiin pa • » «)pvn*lu Py i Ary«e<»

«•oirirn»* «i' Eton

son i»»-r»* n«* savait

lepas

n«>u- i*a r-

?3SNo 28 Mais

rv , . , « j veau du«-Par la «*«>nimuation «tes chose donner

éifcWœ». tout Bmiplemen'. dit R°n»ld v,1Rnil (4<.atnv ... lurent—Folie! Ne pouvez-vous enfin éoou- alJ Ralon leur p»*re les

ter la voix de la raison, mon cher «n- aU#*ndait elles eurent une mmu»»* tant, . 1^ plus honnête et 1^ plus d'émotion et presque «i angoiss*courageux des nommes, eut aachez.-le Béatrix i’ai peur, dit Nieolle l érnotion «1» bien, celui qui Ratisse vaincre lui-même I je Xol,drai^ pouvoir m» rapt # 1er t sentiment^

née et affinée de la beauté de Liane, j beauté «le Béatrix «*t sa voix mer­ises grands yeux noirs se relever et j veilleuse, fut «nu plus qu'il r«* vou-

j limid» nient. »t il ent»*ndit la voix lut '»* l avuiu-r. en eonstatart que«•ristalline faire * lle aussi. ar>p»*l i» sa| Nicolle, si ffd«'le reprodueti««n «le

i tend fesse. I Liane, avait hérité cfe* Eton leursIl m es' facile «!*• vous aimer | légerdairc* af«titudes pour la pein- tri*

un talent ! s«in

tendres «*t boiui»' coirme «Jles étaient ‘ Et d’ailleurs «piels ♦•n- fart' n.'a lîr en t pas leur Tr*«*re

Regardez, ajoutait Nicolle. t«»u- tes les chambres ouvertes au «f>leil et sur la mer par delà la grande !

hautes «Jeux »*t j ai « «mini# ncé «i«* leiture. et montrait «léfair»* «.•a n ?. M-llI**

Et

et ao dominer Triomphez do vous, j de Ronald et. pardonnez..

Plutôt mourir !Alors, dit fa duchesse découragée,

je vata vous dire ce que j 'ai dit h Liane, aussî obstiné© «jue vous.. Prenez garde ! Y'ous regretterez peut-être toute votre vne cotte mi­nute qui \ous permettrait d’espérer un avepir heureux dans l’oubli du pansé. • 4. Dieu veuille que votre orgueil ne rot-ombe pas sur vos en­fants. et cpi’elles n«*n soient pas victimes

Maman ’ «upplia le jeune duc se penchant \ers le visage boulo-

er»i»'* d*êmoti«*n. vous vous faites ruai en m» faisant mal ! fAiBsons fettf, «onv» rsatifm » «*ooutez ma pnère ne «m- parle/, jamais «le Liane

L«* dernier «spoir «le la duchesse * évanoui* Kl h* avait compté surlVm«»ti»ui «le «-m retour, sur l«» rappel de tan» d«* souvenirs qui «levait amol­lir l« cottr cio son fils et l’inciter *• i pardon.

«i**puis l«»rigi«mp-, dit-il enla- les deux j« unes filles dan- une etnmtela ilueh»*'.'» témoin muet «le

on fii**. comprenant l»s ntradictotres (pu si,g,

«mage.«i artiste eux ’«-i1

arr«ta fout «pi'il jugea

lui savoir au nnuns «pi« loue 1 fai«*nt en lui. eût voulu r»comm« i «•«•r chose de sa voix. <!« son regard . «I* plaid#*r la <*nu*e «le Lian#* et t,ent»ron a trop l'impression «l'aller «le- «ne fois encore l'âpp# I du bonheur mander a un étranger* «|e «kujs nuror. » Mai- la présence des jeun* - tilles

Il f:*ut avoir même impr« -sj«>n , a r»-tint «le le fair»* Ij* question^ riposta ave«* ; -propo' Beatrix «‘t I n,. pouvait pa- être «lK>r«l#»* de» ant puis qu importe: entrons *•]!« s

Mais elle n'était pn- n.oin' f’ette premiere '«urée «In retour tLiante que sa -«e.ir «juan«l la p«»rte ' «I»- . ait « «.mpter parri i les meilU ur'1 de la bibliothèque .’ouvrit »i«** ant soii'enirs <’e Ronald ®s fil e» lui eUes. lavaient pri? le errur ries la première

Leur grand’mère .in’ ■ u r.»u-' minute et il les admirait autan1contre et les amena devant leur père!qu’il les aimait4e plus imposant et le plus triste' La «luchesse avait «léoide quoi 1

tr «•- n u-«ie.- -n «'«Son regard

de suite sur <! su périeures

Voilî. qui ♦*t mérite d « t tr«>f) beaji pour «artor- Nicoll*«•C' v lies "

Il déstgi a i le.» •* . «ulier' i»lar «*s niir la Ti <*r erisol»*illée. que Ni«*«»ll»* avait, reprodui** l« Trntir* mén <• que Béatrix avait rei «««Titré pour !• pr#- n«ièr#* fois Robert K«rnv>

Vous i «• reeor.T ai-M . p;« • « n-droit ’ demar dn-t-ell«* f xai t sur son. père «leux grands veux surpris f’’est la vue «le la n«r «levant le' TilleuL ihez maman.

p« louse.Repanîe/. ' disait-elle

La r«*c«,mmandation était bun suj)»*iflu»*. l,.(-ra!d r*'gardait de tou­te son îitth*. luttant fér«>eein«*T*t «*on-

s«)ii «'motion, appelant tout i orgueil à sa r« s<**>uss«* pour

Florence pour n«* t«*nter un «**sai d«* avec Liane.

Je reconstruirai sur «les rui­nes ’ «'«mclut-il. Triais je refera- ma vi« J** d«*i'm occiif»«*i d Etom f’ourf «*t fair»* fructifi«*r plus intel­ligemment «*«'s b» aux domaines, en

I u.-ant <l«*s méthodes n«»uv«*lles. Tout j « t» avant la main à fain* régner

ldr»lr«* «t la justice. j’améli*n«*rai l« s«irl «b* nos t« nan.ci«*rs. I**s v i«*il- l*'s fermes d«.ivent êtr<* abattues « t r« Tnplacées par «l«*s f*At inuiits tiou- * eaux plusains, mes s# •«* s mais

puiEt fille •t dont ma plu

•on fort a files et plus j'ai Tn«*s fill» s

trop longt«*mps <l«'*lan- l«* bopfn*ur s«ra désor- gramle ambit i«»n

Mais soudain s parole* «le

ilson

ut un père »

fri' son >• forum

est «xcellent «ht-il,«• , ♦ ro adrê ’ f "est»r«* en.«eveli dan' «le*

t : il bv ez-v ot s pris

'iir«*r bit . m«*nt

Hh«*ure n ent

Etm«*nt

«>-' InieTt «laî*« son «•«•rv«*au«pi il avait rai-on «•» ou*- lou-' Je prierai Dieu pour que

l« pardon lui étaii ri égal» vo* enfant* ne vou» infligent pas interdits. I plu» tard la torture que vous«tait pailoi- d«ïi»ar«l»*. |\ m’infliger, aujourd’huipai lois«I*' ri wri» doulour(,u'«*. e«».n-1

vivait Liar*<* **t oii .’’a qu'il recevait brusoue-

pon>« Liane v ivni* bien «•«•n rn«* l« lui avait é«*rit '

• n lady. dans <*«*tt«* jolii- ‘ bre et eonfortabh*1 jug« r par 1« croquis |

v«»lla t

« Ti fffet.-a mère. ♦ mait«»n «I»* s« élégapc*' ;* « n «b* N'i«*olle.

D un gest» retourna v

«pi» - * ic n f(ii« l« Mlj«‘t . « t l« -

un fs u nerveux, il r ;» Tiièrc poui ui

« noue iiidiffér»*nt« au «•« u' t«)il«*s de'iicui*

des hommes que raie jaman v us : pensa Nicoll©

î>e plus ansi«.« rariqu»^ et le phi' beau de » ou s les «lues et, pair* «| Vn gl«»f« rre "’ j»«*nsa Béatrix

Voici d’abord Béatrix ’ dit en souriant 1» duchesse, qui prévoyait l’étonnement charmé «|e son fils en reconnai'san* tou» les traits de sa mro dan«» l’impériale benipé de «•» fl'le

renoncerait, pour o© premier «lir»r «I intimité, é la grande salle >« mar ger qui exigeait le service cérérr»»- nieux d« plusieurs laquais Elleavait fait «Iresser le couvert «lansl

a©* petits salon» personn«*U. iFun d#* PIet l«* valet de chambre du nouveau duc as»umait presque seul le service heureux «*t fier de ce qu’il considé­rait, comme une haute faveur.

G ’est charmant. «îif. Réatnx.

Et I; , vo.vez. ajouta-t-ell*J * ra r • la s» «-onde t«>il«* « « s*

s«>n ’ Y «uci au milKii la fer « la chambre de n an an ♦ i .* « où est la vrarib* '«rriTi« ji «•* tre 'aile d'éBiiT'e'

< ’hez tr trran *Rorald avait tre^ailh. e*

leur cendrée avait altéré son Chez ma ma P 1Ces 'imf»le.< mots n évoquai «m

seulement ’«ni' »«*1 douloureux

ti or ;• n'Si- ? r«* fie

•é. li, ap r«»-

«• r*- i-aire

pas ou •

r«rt • u r la table On ne parla plus. i , . ,

t * -oir-là. (|iian«l le» jeunes till*« i l» ur grand icro furent rentré**' «lat - l« urs apixirtementi. 1«* n.on- \«;.u -« igricur «l'Eton-Coun r»-'ul« rgt* u |.s s«*ul tiu coin du f* u là «•u tant de «lue» d’Eton avaient rêvé avant lui. off tant «1 au­tres rév«Taient après lui

Cette «oiré»* avait amolli '«ni coeur et il dut faire appel h toute sa rancune, évoquer fortement le souvenir de l’humiliation reçu» X

D'irstinet. il |«*n'a à Béatri: -i ir«lép' I’iIhut«*. 'i (i»*r * «*♦ «fuilui r«*'s* niblait par tant «1«» côtés. Et 9liirart un instarn. il eut peur.

XXII. Rénlrix garde *on secret

Quel -ont vo' projet', aujOur- «l hui ’ d* manda la «luchesse !«* î»*r«j« main au p«*fit déjeuner «lu ma tin.

.!« oudrai' « infJov«*r «•«•tte pr«- tnièr* journ««e jt une conversation '••ri« u • ave** iu**s fill*', dit Ro­nald eu«*ore imprcHMorrc |ier s*«s inquiétud«s «!*• la nuit ri nou- ré- '« rv« roi*' la i>r«imera«l** pour ci t .•’(>r**‘midi ; j’aimerais \«*n «*oiti- u« i'f *4lf>s s «•omport**!!1 à ch val

Miouta-t-il ave** un sourire qui s« n- blait indiquer qu'il était sûr *l« n'a­voir qu’à adiTiir»*i.

Rarfait ! approuvM la dueli* - ♦. et voua iMiirrez rll«r jusqu'à h* Rointe, viur n« » i**ux rn’is I^hw i h oe Sir Henrv s* r;* si h«,ur* ux «b* \ou« revoir ÎCuiald '

Entendit !Et jr.vee une aflee.iiiou.se autorité,

le jeun** p5r«* »*ntr;*ina l«*s jumell»*'«lans la grand»* galerie «les portrait*

J* vous pi amenées ioi. me» en- laiits. parce «me les «*hosos ou** j* veux vous «Jir* me paraiss» ni *|e- \ oir être dites là

Quaml j'étais ir«*' jeune, mon père m'avait accoutumé «le m'a­mener là pour me gronder ou me conseiller. Je n’p.i p»as à v ius gron­der. grft«*e à Dieu ' Mois je veux vous parler *1** l'avenir. Ma trop longue absence a fait «le nous p-os- qu«* des étrangers, mais j'espère bien gagner très vite v. tr<* nfTrcli»n ei. mieux. #‘ii«*or« “va'rc «•««nt4»»n«*e”

Je désire, que v mis soyez aussi heur«*us« s que j>* ssible, »*t j'irai au devant «I** vos désiis. Je ne vous

J «lemrnderai «‘n retour qu'une «h*"**:une franchis»* cbsolne. j** ne vous

! en <î«' ' ndrri ou’une: l«* ou plus exactement la

I lionSi. continua-t-il très gentiment.'

i'um* «I© vous a déjà dans sa courte i imf,n, |„ ,, lir. ,vie un petit secret, quelle me le dis*. ; P|wuil p, ro,,ar;i ,vl\ h

m**ns*»ngc. tore *>1 I* dissimulr,- .p,

s*.r*)/. dign**' «l'*'ll« •Mai' j** l«* r«*|W*l»'. .'* voii' h»

besoin d'in*lulgcnce ou «l'appui. p<> ir quelque rais«m <iu«* «•«* soit. «lit(»s-l» moi tout «i«* iiit»* «mis u». nu* lr««. verc/. ni m ■«•haut ni même '«•vèr» mai effaçons ou en or.'Ronibri «I»* «li'simulation rplrr mm Et »;onime ni l'une ni l'nutr** m* p:«r- lait. il iHMirsuiv it

J ai commis moi-in* nu . «'tan' très jeune, un H«*t« . non fias MAniable ««n -«ii. mais ou«. j ai mi d«* voir dissimuler. Cl cela m a coûté bi !>»»ri«* «l«« mon foyer **t «h» ma pa tru C'est a ***‘t aete «le dis'imulation. oui fut ♦•n 'or<«' um* fM'tit** làcheté. «me je »lois les plus trist»- années «l*> me vu !«• voudrai.' voio épargner oRnull** '..uffram*»* (“«.'t pourouoi ..** v»mis «lis auj«Mir<l bui queloue chèreni»‘r! cnn» j« «ni' aim* je ne* vous pardotin(*nn pas l«. m v s

men song**n ai jamais dit un nicnsong»

«î«* ma \i«*. «lit 'iinph'riurii Njcoll» Kl v «mis, Béatri x ‘ •l«*manda

*n cher un |ii'

tan* «l«'*'ourné «l«- 'm; d« s maintenant, en toute ronfiamu* i Si l'un«* «h* v «mis s'msi Dissé pr»'ndr« j le cncur même par un jeune hom- J». p«*u\ répondre ««mime Ni ! un* qii'«*ll#* «‘foirait n«* pj*' devoir m«« «■i»ll«». j«* u ni jainAÎ!* Hit un nier» («•onvenir tout à fait, «pi'ell»» me l'a-, songe.

v«»u«* loyab'ment. | Elle avait tïiik un f»*'u tir hauleurL*1' «i* iv j«»un filles avaient ega- s''* rép*»nv«' «*t eu fait, si e|!«*

lenient p.ih. Ni«*«»ll ■ par simple énio-* H.\nB dissimub* « ti gar«lant son .secret endress*» «i pré- montrait en 'or

tion «levant une voyante, oui lui père tmn seulement une affection mais une fore®, Béatrix par»*»» nuVHe pensait à s»t <*«*urt«* folie aux Tilleul», à In faute unique <!«» sa v i«*. dont b* mortel remords restai' au fon«l «b* son c»eur

L« s Immnu s de n«»tre race sont trompés quelques fois fWMir- suivait Rrinald. «iiielques-uns «mt eu à s|. roficiitir «le «pietnij«»s fail t**s. Us femmes jamais ’ Vous ap parten«»/. mes enfants, â un«i lon- gue »*t noble ligné»» «b» fornm» ' irré­prochables. « t je suis sûr «ni»' v OU I

elle p avait fias ni«*nt.i mats lande »|ii«* »cs lèvres profKMiçnient l«*' Tn«»' «leshru's h tromper, dje sentînt bi«*i qu’elle aggravait '.•i faute «.n n«« sa sissant pas «•♦*m« «M*casion uiii«|u« «l« l’a v oim i

rant mieux ’ distit gii«*m«'ii' Rfuiald. il ne nsi* qu’à lu» •« n us on tendr»* pour ! av«*mt. «û ipi il r»*sf« bien établi qu'un** «•onfiati»*** absolu. «»st «b- rigueur Y la moindre peim à la moindre petit** difficult'* ou v lemirc/ a moi Iranclo'uu'nt « t j'agi r.ii avis* vous comme b* m«*ilb*ur et l« plus aff(K>!i|('iix «b ' ami

A suivre

i r

Le TIRAGE du “SoleiPr " ........la aile cam me dan» lacampagne, celui de TOUS les au< g lais du soir et du matin réuni». LE SOLEIL Le sentiment n’y fait rien

St vou» annonce» don» le journal q tu e*t lu, vo* marchandé» »e» te vendront.

A Quebec, tout le monde lit “Le SOLEIL ', il de soi vous unci y a nr,oncer ce que tou» eves fl tendre.

36e année — No 157 QUEBEC, VENDREDI 8 JUILLET 1927 EDITION QUOTIDIENNE PRIX: DEUX CENTINS

LE VOYA GE DU SOUVENIR DA NS NOS MURS_____

“SOYEZ TOUJOURS SUR LA BRECHE;LE COMBAT FAIT LES RACES FORTES”

ON FERA CE CENTENAIRE EN OCTOBRE PROCHAIN

Le centenaire de Bcrthelot. qui bera célébré avec

C’est le conseil que donne l’honorable J.-E. Caror à nos compatriotes ontariens Une belle fctt de famille a marqué la visite des Canadiens- Français de l’Ontario-Nord Réceptions à Phôtel de ville et à Spencer-Wood

UN GRAND BANQUET, DIGN17 COURONNEMENT DE LA RECEPTION

Par (renée Ma&sonEnviron six cents Cana<4ien»>Français, venus de TOntano-

Nord et représentant nos 50,000 compatriotes demeurant dans cet­te région de la province voisine, ont visité, hier, la cité de Qué­bec où ils ont passé la journée.

Malgré la température inclém^nte, une foule considérable a participé aux divers événements qui, ont marqué la visite de ces estimés visiteurs dans notre ville.

Arrivés à deux heures, hier aprèt-midi, ces “Pèlerins du Sou­venir" qui arrivaient de Sainte-Anne-de-Bea upré, ont été reçus à la gare du Quebec Railway, conduits en automobiles à l’hôtel de ville où S. H. le maire Martin et M. T. Verret leur souhaitè­rent la bienvenue, se rendirent ensuite à Spencer Woo4 où, sui­vant l’hospitalière tradition qui le distingue, l’honorable M. N- Pérodeau, lieutenant-gouverneur de la province, les reçus fort aimablement.

Commissaire d'écoles

éclat dans le monde entier, sera fêté à Pans en octobre prochain.

Le très important congres coïncidera avec cet événement.

deEt

voir % ous ouv rir toutes grandes ses portes trois fois centenaires

nous som- “aneiens", plus cha-

Puis. pour couronner la journée un grand banquet en famille • ut lieuau (’hâteau Frontenac, sous la pré-jet de vous dire combien sidence de M. T. Verret. président ; mes heureux, nous les de la Société St-Jean-Haptistcd de ( de v ous faire à tous le Québec. Un bel entrain a régné du-jleureux accueilrant toute la réunion; visiteurs et J “Au sortir de ces fêtes :i jamais citoyens de Québec ont montré mémorables du Jubilé de la Confé- l>eauooup d’enthousiasme et. il moderation où, pour la première fois fait pas «le doute que nos oompa-1 depuis trop longtemps nous avens triotes ontariens conserveront un échangé avec les provinces-soeurs agréable souvenir de cette réception des messages vraiment fraternels, comme les québécois qui y ont par-1 il est bon de revoir au milieu de tieipé garderont longtemps dans leur nous des frères par la langue, par oieur le souvenir de la vishe des * le sang et par les croyances reli- “Pèlerins du Souvenir”. Ceux-ci re-'gieuses qui ont bien voulu, cette présentaient les diocèses de Saint-jannée, marquer par une visite au Sainte-Marie, de Pembroke, et d<Haileybury. De nombreux membres

Chimie industrielle les (êtes du cente­

naire seront immédiatement suivies par la conférence diplomatique convoquée par le gouvernement français en vue de la création de 1 Office International de la Chimie. Cette conférence doit s’ouvrir le 27 octobre.

Les invitations officielles seront transmises aux gouvernements et aux académies par note diplomatique. C’est le signe de T importance que le gouvernement

! français attache à l’événementPar contre, les invitations particulières aux um-

| versités et aux sociétés savantes seront transmises par la I voie des comités du centenaire Bcrthelot constitués maintenant dans plus de cinquante pays.

De sorte que les fêtes de Paris seront rehaussées par une représentation internationale particulièrement bien choisie.

M WILFRID THIVIERGE, de Lévis, qui vient d’être élu par acclamation pour un qua - trième terme membre de la Commission Scolaire du Vil­lage de Bienville. Nos félicita­tions

du clergé s étaient joint au groupe qui comptait aussi plusieurs ins- tilutriws. Nous avons rencontré avee plaisir parmi h-s visiteurs NT. K.-A I.apiem*, dépuié provincial du Nipi

•gault. député la Législature

sing et M. T Sturgeon Falls l'Ontario.

Mentionnons aussi MM. les ab­bés O. Kacette, curé de Vernier Ontario. J.-fi. Dubue, euro de La-

foyer des ancêtres leur attachement invincible à l’idéal français

’’Puissiez-v ous profiter de votre trop bref séjour ici pour réaliser

'combien nous sommes tiers de vous! ! nos. frères et nos sœeurs du Nouvel J I Ontario ; de loin nous suiv ons avec J

de ! fierté v os luttes et vos efforts pour d< |conquérir en cette province-sœur les)

qui vous furent assurés par i

IL FAUT QUE CELA

FINISSE

L’EXPOSITION MISSIONNAIREUue promenade à travers les salles Les ex­

hibits Les oeuvres Les sociétés et leurs activités—Ordres d’hommes et congré­gations de femmes Notes et impressions d’un visiteur

uqui

droitl'Acte de l’Amérique britannique du Nord, le 1er juillet 1M*7.

Sur ce .sol où naquirent les pro­vigne. M. Maurice, rédacteur du ! moteurs de cet immortel témoignagf Nouvel Ontario, MAI. les abbés J.- de notre vitalité nationale, nous lut-H. Bruneau. H. Raymond. N. Thé- riault. S. Char-pentier. J.-E. Na-

tons nous aussi, nous prêchons d ex­emple en accordant aux minorités

deau, J.-A. Anctil,etc. C’est dire corn-1 tout le respect auquel elles ont droit

gation-présentatif était visiteurs.

Nos compatriotes . arrivés le ma­tin à six heures, se sont rendus d’a­bord à Sain te-Anne-de- Beaupré où Mgr l'Ecuyer, P. A. vicaire de Stur­geon Falls et curé de cette paroisse célébra une grand’messe.

Le R. P. Leblanc, réciemptoriste. prononça le sermon de circonstance Puis les pèlerins revinrent à Québec où ils arrivèrent à deux heures pré­cises A la gare du Quebec Railway.

A L’HOTEL DE VILLE

Reçus à la garo par les membres

Les mesures vont être prises, à l’avenir, pour empêcher les gamins d’importuner les tou­ristes—Une concurrence dont les grands hôtels se plaignent Débat autour d’un garage rue Ste-Anne

LA RECEPTIONDU MOTORCADE

bien représentative était cette délé-‘Nous avons les yeux tournée vers ce groupe de (vous, nos frères ontariens, et nous

restons en admirant votre courage plus que jamais fidèles à la fière de­vise de notre cher Québec . “Je me ftouviens" !

"C’est donc de grand cœur que je vous offre, au nom de mes conci­toyens. sans distinction de race, do langue ou d© croyances, la plus cor­diale et la plus fraternelle hospita­lité.

Mgr L'Ecuiger P. A. V. T répon­dit à ces deux «dresses de bienvenue.“Nous avons certainement pour vous remercier”, dit-il. "de notre accueil chaleureux des coeurs remplis de reconnaissance pour tout ce qui est

de la Société St-Jean-Haptiste et les l fait pour nous à l’occasion de notre Chevaliers de Colomb, les visiteurs j vosita au pays des ancêtres Mais se rendirent immédiatement en auto-j les paroles nous manqueront et s«- mobiles à l’Hôtel de Ville où S. H. iront impuissantes à taduire ces seu­le maire Martin leur souhaita laltiments. , , . ... , , •bienvenue, apres M. Télespuor© Ver-1 "Je me souviens", c'est la devise * ”‘‘,s ^^Ij*** municipales, se plai- ret. président de la Société St-Jean- de notre province. Et «'»>'« nous son-; £nan ^l11 '' arrive malheureusement Baptiste de Québec

En leur souhaitant la bienvenue.M. Verret prononça l'allocution sui­vante :

i. •%. aprè8 avoir prié ........ ............................ ........

na- ; disant !

l'endroit où s’élève aujourd'hui Sturgeon Falls. Ce sontt aujourd'hui les enfants de rêve et fie la prière de Champaliu qui reviennent aujour d’hui voir la cité de Québe<

Par Lorenzo Labrecque Depuis que la saison des

touristes est ouverte hôtels et maisons de pension rivalisent d’activité.

Il est une coutume cepen­dant contre laquelle en main­tes occasions des plaintes ont été laites: c'est celle de la sol-'

licitation par des gamins auprès' des étrangers qui nous arri- 1

vent en auto pour les indui duire à aller à telle ou autre maison de pension.Les grands hôtels ont déjà pro­

testé contre cet état d© choses. Hier, les autorités du Château-Frontenac

grande exposition missionnaire tient actuellement en la vil!©

épiscopale de Mgr (î. Forbes, évê- i que de Joliette. au Séminaire de | cette ville, est un événement sans précédent, dans notre histoire reli­gieuse canadienne, ("est en effet la première fois en notre pays que les missions canadiennes présentent au grand public un tel étalage de leurs œuvres multiples et bienfai­sante au milieu des païens qu elles évangélisent.

Pour avoir une idée du travail ardu et persévérant qu'a nécessité un tel déploiement missionnaire, il faut avoir parcouru l’immense salle académique du Séminaire ne Joliette et avoir fait une halte assez prolon­gée à chacun îles kiosques artisti­quement disposés tout autour de cette salle.

Cette exposition a été placée sous la haute protection de S. François Xavier, patron «les missionnaires, dont le portrait occupe le centre de l’exposition.

Si nous interrogeons les nombreux visiteurs et leur demandons leurs im-

pn.f«*Nseurs. surtout en «h* qui ««nicer- ne les travaux à l’aiguille. Une fois nitié.*,. ils surpassant les européens in habileté «î’exéouti« n.

Voici un \«>ile huméral datant «le plusieurs siècles, un précieux ca­lice. forme haute, métal «loré avec incrustation de marbre, «lirait-on. sur 1«* pi««l «-st 1«» nœud. Voulez- vous voir ce «pie l«*s Chinois, laisj-é^ â leur propre imaginathm peuvent inventer, voyez tvs dieux endiablés, ventrus. démantibulés; ces mons- tr« < inc«mccvablcK si ce n’est par un ( ‘hinois.

Au déparh'inenl «h* l'habillement \<>us voyez l'habit du bébé, 1‘liahit I «le la jeune tille, l'habit du jeune homme et les costumes «lu mandarin et du missionnaire. La chaussure chinois»* accuse «le très petits pieds; cVst une ehoM* reconnue à l'égal des pyramides d'Kgxpte ou des cata- combes de Rome. Veux en amande, tout petit pieds, culottes, voilà la chinois© classique.

Un service à thé en tenv cuite- recouverte «l’argent «avec dessins' ajourés «t comprenant S ou 10 nuir­

ontdes

«le. nouveau au tori tés

pressions «à la vue de <•© brillant éta fage. tous répondent : “Comme <^’est l»eau !” “Que de belles choses vous avez !” “Quel travail immense tout cela représente !” “Jamais nous ne nous serions doutés «lu grand travail accompli l ar les missionnaires dans les

*“ j pays de ni ssions.”

telle , En fait si nous recueillons les im- ! pressions pro«luites par la visite des kiosques, nous constatons c©<*i : tel vous charme (celui des Soeurs Fran­ciscaines «1** Marie;, tel autre vous amu-

. iceaux est un trésor.

reveillé

nous nous sou- • 4 ,venons de lout ce qui vous est cher, i ,'«• «Wms. pro-S’il m’est permis de pappeler un sou-1 ,a. ,men ?1 a de propriétai-venir, je vous dirai qu’un e légende I ,rPS,< V ,]iaisons °11 ^ -v a ^os rapporte que Champlain après avoir ïï? ,l ouer* ne s** contentent pas fondé, Québec, après avoir prié <1 'nUM^rtuner es touristes, mais cher- rêvé pour le maintien de la nouvelle) ,^’‘n a * !)°t©Icolonie, vient un jour sur les h«»r«ls | ‘es sous 1 impression,du lac N’ipissing et s’arrêta ]<rè> de

“J'ai le plaisir, et je suis très heu­reux de vous présenter les membres du "Voyage du Souvenir" «le nos frères du vouvel ()nlari«>. les très nobles représentants de la race ca­nadienne française, maintenant éta­blis sur le sol de la province voisine.

"f es vaillants enfants «le nos aïeux font honneur à notre natio-

Au prix de nombreux et pé-

turollenient fausse. «*n leur que «•’est inutile d’y aller parce qu’il n’y a plus d’accommodement pour eux.

L© maire Martin s’est chargé de remettre la lettre de la «lirection du (’bateau au chef de police qui sera priés de sévir avec* toute la rigueur de la l«d contre ce mode peu dési­rable de solliciter «les «dients

ILS ESSUIENT UN REFUS

( es jours parlé d’un d’un grand

derniers nous avons projet de construction

garage moderne rue

Mil*'

nllei projet était soumi au comité'des Travaux I^ibiics qui ne voulut ' pa* prendre de décision dans l’at- I tente d«* requête de citoyens de cet- j te rue qui «’opix>saw*nt à «•«“la.

Cetie r<-piête a été présentée hi«*r après-midi au ««unité des finances « t ell«> était appuyée «h* la présence

nalité. Au prix de nombreux et pé * vous remercie au nom «le no-nibles sacrifi»*»»*, ils ont su conserver ; B*0 groupe «le tout c© que vous avez leur langue, leurs écoles ©t leur foi I fait pour nous. Nous vous avons « t ils viennent aujourd’hui. aceom-‘v* toujours suivi par la pensée, m©- pagnés de plusieurs sommités du I 1110 vous vivons dans une province «•lergé « atholi«jm» canadien <1«» «liffé-1 qui u a pas le souvenir «le coeur, rents diocèses de la province-sœur, l'Omni© nous lavez ici. qui n n pas revoir les lieux qui les ont vus naî- lMlS compris le pacte f«*dératif comme trfti 1 Québec l’a compris et 1 a mis en pra-

"En débarquant sur le sol de tique. Mais n«>us ne s«»mines pas Ste,Ann«* immé«Jiat« ment â côté d«1 antique cité «le ( ’hamplain. ils d«- découragt's «»t nous avums «•«mfiance | > bAtel ( lar« ii(l«ui « t en fac«* du ppar« «irent présenter leurs hommages à dans notre immbre. In jour notre. «le i hotel de son premier magistrat et à ses di-1 prttvince e«»mpren«lra «‘t r«‘spoct«vra | gnes et dévoués collaborateurs dans i tous nos droits parce qu alors l'administration de la vieille rapi- sera devenue une province canadienne taie, qui leur est chère à plus d'un française .tttre. ! Mge. L Ecuyer remercia aussi la

"Monsieur le main*, votre ren«>m- Société St-Jean-Baptist© «it l««s ( be­rnée de gentillesse, «le droiture de valiers «1«* ( oloinl». qui avaient reçu• aract-êre, d'honnêteté et d’affabilité, ^ Ift gi‘r«* les visiteurs, puis souhai-a depuis longtemps franchi les dis-j ta «le voir bientôt, mi Ontario, le .. ...tances et il leur tarde de presser ' Jour où les Uanadiens-français j>«»ur-j «levaut nos «dd«*s des Drs Allx rt v-fdre main lovale et d’entendre. d«> i ront célébrer n«>tr« fête nationale | I «’iquet I ( oot.* et Art V a lée ies- votre bouche, dea paroles qui j'enicn union avec la province de Qu* quel, citoyens ont motivé leur op- suis persuadé, iront droit à leurs I bec f , I pvvsitions « n repré^ntant que ce s,*-cœurs et feront vibrer les cordes | L’honorable M. <-F Delfigo. su-irait un© grave erreur que d© rég­ies plus sensibles d«' leur patrudisme rmtendant «le l’Instruetum Bubliquo. ] ter «•«• qui a « té fait snu t Leuis et «b* leur amour do l'ancien fover ! »J«»'ita quelques paroles et «lit «ju«v, où «a « auso d* s d« uv garag« s qu il paternel, toujours ©baud, ment «Mm- tous les québécois n avaient qu un , y « «l‘‘Jè I-‘ '’‘rculatam m* fait «lans. servé dans replis les plus secrets: «'«pur. qu’une àme pour célébrer la.de* con«titi«ms ex«*esaiv«*ment «iitrici-de leurs âmes nanadiennes-françaises 1 visite «1«« nos <*<impatri«»t»vs. Ni. I>«v-|l«'s eî surtout dang«T«*usev L°n r«- et eatholiquev , lâge nipi»©!» que t«.ut le < aiUKl.a est présenta aussi qu.* la rue St.-An-

“Monsieur le NTa.ro. NIessieurs le* notr.« patrie de l'Est à l’Ouest. Il u- aujourd hu. , st la seule v«Me ,«arn'v a pus de fnmtièr»» jH.ur nous, i ou lient s.* diriger la «urmlatuni vers«*ar nos ancêtres sont ailes parfoiitjla < irand«‘-Mlè»- dans cett»* rt le d© dans le pavs Nous sotunm-s t«ius. i haut»1 ville « t «pie ce serait, «te eanadien«-français. d«. la mêiirn fa- l>lus. lui enlever jmn cachet au {w.nit mille, «b- la même rae.-. de la même ; de vue ,\, I «*st hét ique. A caus« ,\rfoi et de la même hmgu.- i voisinage La rue Ste-Anne «'«t

Ni. Delâgo s^ilue les visiteurs .ivec | nne ru«- résulrntulle. a-t-«m ajoute amour, ave»* fi«rt«*. av««c reconnais-1 ©t I «'tabliss. ment d un garag»

Av««c amour imrce ! tue «m h pro|>«.sH. serait «h* nature A fair»* |w rdre «le la val«*ur aux pro­

fierté parce «pin. partis du Qm'hec. [ prietés avec leurs autels et leurs foyers, nos | \«mis oompatrmt.ts ont su. tualgn» l«»s sa- j erifh’os *»t l««s misi^res, eouwrvu.r «•ns, autels, «lévelopper h'urs foy«vrs. Ils’ ont ainsi assuré fa prêpomléraime «le j n«>tr«« raen.

M Del.âge mIih* aussi |««s insti-, fiitriees «,ana«li«mn«is-frwnç.*4is«ts «lel’Ontario «*t rap|>elle qu’un*, ©«mtairm «l«« ees mstitiitruvos ro.'cvr.mt «les «•ours «le français à Quclu.c au cours de la va.nUHv.

l«o siirintcmtaut du eous«ul <l««rius- truetuni fuibliipit* salin* aussi b rv- pp'sontanls «b* l’nut.trii» «•ivib» «lans

l’attention j se tout en instruisant icelui des Pères Blan<*s'. De celui-là vous «lirez qu’il a telle ou telle particularité : de « ©lui des Franciscains on dit et redit

“Il est chargé et sur«-hargé des plus intéressante exhibits.

("e serait chimère d«* notr»* part que «le prétendre apprécier à leur juste va­leur et «-lasser dans un «•«•rtain rang «le mérite «-es nombreux kiosques qui font t«>us l’admiration générale.

Il faudrait pour présider à faire ce classement, faire une étude très approfondie de « haque kiosque, se rcn«lre compte des obstacles qu il fallut surmonter pour atteindre un tel résultat et aussi d«*s moyens d’ac­tions dont chaque mission di>|>o>e. Ce travail tient de l’expertise et nous nous refusons â l’entrepren­dre.

Entreprenons si vous le voulez bien une promenade autour d«* cette salle. Commençons par un bout, «lisons l«*s magnifiques kiosques «b -Frère» Mineur»

Saluons d’abord le grand Christ de la porte «l’entrée. Jetons ensui­te un regard sur le magnifique ta­bleau représentant S François-»!’As­sise indiquant à ses fils l’immense | champ évangélique qui couvre h* m«»r.de et qui requiert de nombreux ouvriers. Lisons l’inscription au bas “Me* fil», répandez-vou» par le monde et enseignez la doctrine du Christ." Ce mot n’est pas «le St-François ; il ne veut que tra- «luire en paroles le geste bien au thentique qui figure sur le tableau Voici un tableau de statistiques

Quaere grandes draperies rouges, ouvrage* eri soie portant inscrip­tions chinois©** apportent félicita­tions et vulmix à l’occasion «le l’ex­position «le Joliotte. à Mgr l’événim

Joliette, aux religieux fr»n« is- cains du premi« r ordre, aux Frères tertiaires et aux Sœurs tertiaires.,

Aux choses japonaises nous remar- qu«ms quatre miniatures en bois, un temple shintoïste, un temple bouddhiste, le pavillon du palais impérial et une maison japonais»*. L© tout «*st remarquable par le fini de l’exécutmn. Dans ce temple shin-l boïste. il n’entre pas un seul clou. | ni colle, mais uniquement des feuil­les en bois. La p*rf«etion dans le dessin marque la supériorité du Ja-! P»>m is sur le Chin< is. certain plan! peut paraître léger, fantaisiste, mais il faut b* situer «*n s< n milieu pour le bien jug«T. Au Jnp«>n. «lans le terril* >ire franciscain, il fait très* chaud et l’architeote d< it nécossai-l rement faire une large place au I ouvertures tout en pourvoyant àl préserver des rayons ar<b*nts du | sob-il. De là les magasins à larges ! auvents, à couvertures débor<lante«. à colonnes et à panneaux. I^‘s ar- «vhitectes japonais < ni su faire œuvre «l’artiste en répomlant à ces besoins divvrs.

Voici maintenant d©8 instrument s |de musique dont 4 pièces d«' valeur; "deux à boîte ph miquo recou v«‘rie en

T^eau d*‘ serp*Mif.. un en bois et in­crusté «l’ivoire «*i une espèce d© h»r- .H* De nombreux travaux artisti-

Eohevins, j«* vous nhutcu* sincère­ment de vous être rendus «1© si bonne grA«'c. à la demande de la Société Saint -Jean-Baptiste de ((>uébo«' et.! «l’avoir ainsi ménagé à n«*s aimables visifeurs, l’opportunité «l** prendre conta©* av«'«* l©« divne* représen­tants de la vill© «!«' Québec.

“J© ne vous dissimulerai pas. mon­sieur le maire que j’«*n\i«* presque votre bonheur en ©e moment, en pensant que toutes ©©s dames qui nous hono­rent de Unir présence en ce jour «lu Sou­venir. vont être «-aptiv**** par vos ama­bilités ©♦ \otro éloquence entraînante »*t que d'emblée vous allez conquérir leur adimr.it i«*n «*t l«»urs cocnirs.

A to i* ovénnment. j© voim cède la parole et faisant, «•«mtre fortune l»on cœur, je vous souhaite «le faire, A l’ex- cluaion de tout nutn*. la conquête «le tous les co© irs qui s«»iipirent après l«> iil«»liief|t d«* vou ‘•ut««lidrv*

S II l«* uuiire Martin t*arl:i alors au nom de la population de Qimbe© ©t prou«» i • I'MlhKMi*ion suivante

Québec 's v t!,p #,,i Non venir, s horore «eti© année encore de j>ou-

IiéciaU ment i'at-| pei-|'“i que

rues attirent au-si tenta n : broches à cl\«*v «mix et gnes en ambre oo"frets lacqués fini «le l’exécution défie tout ce l’art étranger p<Mit lui apixi^er. Pour! terminer, mentionnons (’arbre «l*»s saints missionnaire', martyrs ©t oon- f**'<>s*iir' fl «»st une él«)qu«»!it* pré- i «beat ion.

AUX MISSIONS DES JESUITES

La compagnie <1© Jésus fondée par Saint Ignace «b* Loyola, le 27 I septembre lôh). est avant tout un i rdre missionnaire. Dès 1541 on I ffet. son f«>ndat«uir émergait en 1

patron de l’œuvre d* !a de la Foi et patron de? pavs infidèles

Depuis, la Compagnie

Propagat ion missions on

since «*t confianc*i. Av©c amour parc© «jue «*** sont s©s ©oinpatriotc<. avec

Suite â la page Ifi

no nions la nécessitéd«s garage* publics déclara U* Dr Vlhort loquet, mais pourquoi fau­drait-il ©n const ruir* un précisément dai's une rue purement rési«l«*ntielle «•t où la circulation s«> fait déjà a s©z diffici!«'m«'»t ?"

La rïMiuê*© qui fut déposéi* devant le comité. »'*t sign«’e |w*r »es dame* Ur»ulin«*s. «l«»nt l© c«iuv««nt. e*t tout près d© là !*ar le «iir(Vt«*ur de l’Vca- d«'iiii© (’otiuTcialc. par I© |»r«»eu- rcur du S©minair** « t autres

L«*s |>r«»motciif* d© «' projoi (|«* garag*-. v! Vi Oi'rard l’angua.v et A I. W, Ich •< '«*;if aussi fait «'iitendr*

Suite à ta page 2.T

portant des noms do 45 saints <*t de 115 bienheureux <>ffieiell«vnient r«*-|o e«mnus par l'Eglise. Un tableau «-général nous indique l«*s ti’2 t«*rri Extrême Orn-rt Suint François-.\6 toir«*s «le missions pr«f«ctur**s. vi- \i«^r. l’api’tr© d«-s ind«*s. proclamé! canats, missions), des Frarciscain* imtron d© l’onivr© de !n Prnnnimti.in '

1 ne carte indique la situation précis** de ces t«*rritoir«‘* confiés aux Krancisj'ains canadiens. Entrens maintenant dans U* champ <1* postulat Des tableaux «livorsmontrent l«‘s premiers nissitmnaires | travaillent au salut dosâmes au Canada et la transformation de ce pavs après 400 an* «le -la­beurs ajH»st«>liquev

Dan* un «voin et «bmiinant tout coin- l'entf.urago se dresse une stntm* «lo

St-François, -culp!ur«* tV.i «* à m« ni*un Irene «l’arbr«* par h- sauvage' bords «lu la© Huron do la hair «les promu rs t«*mps d** li «•« Ionie. J (ieorgieune, «lu lac |4iipéri«viir «vt jus-! Eli** appartint j>* ndant <l«' h ngu«^ que sur les Iwirds d© la rivière AI-» anné« s aux S«purs Grises, qui INiffri- banv. Si bon que «le IM > à lÙJT. rent gracieusem* nt aux Franciscains Iles JésuiteM missionnaire' qui s© sont

Ici. quelques album* «!«* ph*>t«>grM- t s.ice«*«iés chez les In«lien* «b* l’Onta- ; phi* s dont 1«* «*ouv«*rt «**t en boi'j no ont été ISM; actuellement il v ©n «l’«divier sculpté, ('«rtain* n© «vmtien-ja «meore 27. 1 '©res ©t Frère*. |*our u •

JésusFA-' poursuivant son «e livre, n envoyé

nous | «tans le» mission* se« apôtres qui

Revenu en Canada en IMT.», le» acceptèrent dès l'année sui-Jésuites

v;: nt © des missions chez le «le l’Ontario. Depuis 1S4J uns jour*, il» ont évang.disé «liens établis en réserve sur

Indiens I jusqu’à I les Tn- '

h«* i

n«'nt pus moins «!«• J00 à 400 plan- clu*s lithographié*** nv«© au v«rs.» «1« ' l!« ur* «l© la Terre Sainte. s«*<,lié« « «■t collées.

I«es 4 missionnaires eana<li«iv8 «b Chiiu* «»nt gra«U4 us< lie nt fournis «1© U aiix ©xbibiis nan«t Christ j** nu. œuvn* dû au piiKM'HU «l'un mut entant ehinoi', r« . tioilli per 1; St, En f» tu» l.os (’hiinds <i«>vieun«nt trè; habile* «uir- la «lirecticn «l'hnbiles

t«*rntoire dont la plus grand* lon­gueur m«'sure fKM) milia* et la plus grand© largeur 4!M) m.illo.s Fur c< torritoin* le nombre d*>s Indiens ca- th(>liqu«*.s «*st «1«» 7.H55.

I.«>.' Ji-'iiitos oanaili(H\s no coidiii© rent |»a' leur z«Nle aux utissioitc s-iu vng©* «lu Canatla En un missionnair*» imrtait p«»ur la mission du /and».se Mpiairtenant nnx Jesud***

Suite à la pag» 10

UN INCENDIE QUI CAUSE OEL’EMOI A CHARLESBOURG, CE MATIN

-

IL FAUT ALLER DEVANT LA COMM.

DES CHEMINS DE FERPar Lorenzo Labrecque

La ville n’ahaondonne pü» encore l’espoir d'obtenir pour le» citoyen» de la pi* - roi»»e de Saint-Sacre men t un service du tramway de S minutes.

àl y a déjà plusieurs moi» »ur une proposition de Eé*. bo­vin Tremblay qui s’était ac­tivement occupé de le ques­tion il fut décidé de s’en rapporter aux tribunaux. Les aviseurs légaux de la cité MM. Chapleeu et Thériault faisaient les procedures pour porter la cause en cour Supé­rieure mai» l’affaire fut ré­férée à la Commission des Services publics où la ville ga gnait la première manche.

Ce n’était là que le com­mencement d’une bataille légale qui aura maintenant, son épilogue devant la Com­mission de» chemins de fer comme on le verra plus bas.

La compagnie du tram­way en appelle de la décision de la Commission des Servi­ce» Public» devant la Cour du banc du roi, mai* là encore, la ville gagnait son point.

La compagnie ne se comp­ta pour battu. Après avoir contesté la juridicrion de la Commission des Services Pu­blics, elle décida de s’adres­ser au plus haut tribunal du pays, la cour Suprême.

Le 20 juin dernier, cette cour rendait sa décision annulant le jugement de la cour d’appel et donnant raison à la compa­gnie, en déclarant que le Que­bec Railway étant incorporé en vertu d’un statut fédéral, toutes les difficultés qui pou­vaient exister entre elle et la cité de Québec, devaient se ré­gler devant la Commission des Chemins de fer, prétention qu’avait soutenue la compa­gnie dès les débuts de la cause.

Le jugement de la Cour Suprême mettait tous les frais du litige à la charge de la cité qui s’était basée sur une clause de son contrat avec la compa­gnie, passé lorsqu’on renou- vella la franchise pour une période de trente ans. laquelle clause, laissait à la Commis­sion des Services Publics, le soin de décider s’il survenait une difificulté.

Hier après-midi, au comité des finances. Me J.-F. Cha- pleau, l’un des membres du contentieux de la ville, fut appelé à donner son opinion, en réponse à certaines pré­tentions de l’échevin Drolet à l’effet que. conserve tou­jours son recours avec cette difféience qu’au lieu d’aher devant la commission des Services Publics, elle n’a qu’à s'adresser à la Commission des Chemins de fer. C’est simplement une subtitution» de tribunal rendue né essaire du fait que la compagnie est régie par une charte fé­dérale.

Le comité des finances a décidé, en conséquence. de faire les procédures requi­ses et la Commission des chemins de fer sera appe­lée. maintenant, sans aurte préambule, ii n’y avait qu’u­ne chose à faire: annuker le contrat, puisque la clause concernant ie se ours à la Commission des Servi Pu­blics, n'était pas légale, au rens même du jugement ce la Cour Suprême.

Mtre Chapleau fut d'avis qu'essayer de faire annuller le contrat pour cette s* u e raison, srait une tentative douteuse, parte que la * lause a été insérée du consente­ment des deux parties et que de plus, en vertu du juge­ment de la Cour Suprême, la ville a trancher la ques­tion.

Les ffanimes ont origine, un peu avant 5 heure* dans tn entrepôt du magasin de M. Ferd. Verret Les pompiers de Québec accourent et évitent une conflagration Tout un pâté de magasins menacé

LE NOUVEL AQUEDUC A DONNE UN BON SERVICE

av1 i >«• not r« *•< trrespnnq Vers heure» <•*■ matin.

'*!** Québec receuiit un m« > (phonique, demandant lYmoi j tfence d'un détachement «i© la hr 1 gad© «lu feu. pour eombattr© un it

l«* unir* ago lélc-

«l'ur-

«•einln«•«Kpn-

menaçant \ illume «le

«h* «i© ( 'luirl©

ûruetu.n !• bourg, pr» :

I egll(’©t incendm. qui aurait pu a\«»ir

les conséquences plus graves, a d«- truit l’entrei-ôt «iu magasin de M

I Verret. mnrehaïul «lis ^ruiius! F*

mmsU «1©l’in-

•rr«*t. eom-

Bc-

propriétair© «lu rucher Millatlnm.L’iiueiuh© fut «l«*Coil\ert vers l

i K 3U par Ni NI \ I >urand et (1 ' \ illeneuv «*. qui immédiatement «lon- | lièrent l’alarnu* D«* nuit** «les «•itov«*ns dévoués tentèrent «ie sau\«r le- mai­son» et eontruelums voisines, «l'aiitn d« mandèrent l« s pompiers «1** Qu« - b©c. Pendant ( n s «l’un»* h» un* les magasins Verret « t Béilani ainsi «pu- la boulangerie ,i, NI Mois** Verre!.

i furent sérieusement m» races, j une es<*oua«l« «1<‘ la brigade «lu f1 J Quéls*© arma au nuum nt «>ii '«•« tidi« gagnait la boulang;. ri© \

Lt*8 pompit r» étaient sous le < 'mandement «lu sous-clmf Orner ! lancer.

hc»r' heun*U'V*‘iP«*r.t |)*>iir la muni­cipalité <1«* ( hnrlcsbourt . sop nou-

! v ©au s\st« ne «• a«pie«lu© a\ait été* j ©«11 piété axai t 1 u r, et r.«»s sjipeurs relier* rt treis boyaux «l’ir.eenilie aux bornes-fontiiii ©s. «*t peu\«*r.t maî­triser facil* ii'«*i'.t l el* n ©nt «b’Strue- t**ur. A 7 heun*s. tout daiqer do

j eonflaj.ration ©tait disparu, grâce au , bon tiuxail «!*-s p«»n j n*rs «■]ai«léh «I**.' eit«»\«*ts <!«*I grâce surt**ut à la i d’eau, «lor.r.é |>ar la r * Kencor.tr** sur les lieux, I© <*h«t- adjoint Bêlai.g«*r nous disait. <■♦• n a- t ir.. qu«* hier que les soupapes de la prise «l'eau netusseï t «>u\ert«*s«ju ; ut

I minri *1© l**i,r «•apa«,ité, la | n-ssioi n «'me « oi -i«léra-

Queb«>c. l’endroit. «*t

l'«»rt«* pression < un « 1 aqueduc.

UNE TAXE SURLES AFFICHES

Par Lorenio LabrecqueLes affiches de théâtre» et

de cinéma», de par la deci­sion du comité des finances et règlement». prise hier après-midi, hou» la prési­dence de l’échevin Téles- pbore Simard, seront taxées à l’avenir. Lin projet de rè­glement vient d'être approu­vé et sera présenté au conseil, co soir, en première lecture, puis en deuxième lecture, la semaine prochaine, décré­tant une taxe qui variera sui­vant la dimension des affi­che».

La ville a recours à ce mo­yen, afin de s'assurer, comme la chose existe à Montréal, un revenu suffisant qui lui per­mettra de rétribuer dans une certaine mesure, le travail des censeurs d’affiche» qui »ont, presque chaque jour, obligés de consacrer une bonne partie de leur temps à réviser le» annonce» qui leur sont apportée», en ver­tu d’un règlement municipal par les propriétaires de théâ­tres.

AVIS AUX CHASSEURS DE SALABERRY

*X©«*ll«,l)t'

létruit ©ootonnit un <!♦* quiimailleri©. <1«*

«•ne»**-. ©t ({liant iîé «1© j anieih ir**nt assure.

quart i étaitjblH%

LVllt repé! « i stock gér.éral graines <!♦• sen ruches. 1© t«»ut Ni. V erret que n«-us a\«»ns vu «baille

'sa perte à ©inq ou six irille «lollar .11 se pen! en conjectures >ur r«>ri 'g'ir.e «lu f«*u. ©ar l'«*!trepôt était i fenr.é depuis jeudi soir, alors qu« tout paraissait u«»r.i al.

■ Nous avons pu causer qunlques ins- i taiit* ave< NI. Frank Byrne, maire «1© ! ('iiarlesbourg' l**«juel nous a prié de transmettre publiquement à Son Hon-

! neur 1«* maire Martin, s* s plus chaleu­reux rem©r©i«cn«'îUs pour l’envoi «l’un détachement «1© la brig;wl© «1© Quéliec. ««n attendant «ju«* I© ©«ms*ul municipal

, de ('harl(*sb«>urgr. 1»* fass** ««ffi» iell«*n eut Il n'a «|U«* des ©loges à adresser à nos

Ki vu© d«* iwHii «|«* la membres q«* d© Siilal>err\ i ir ;i leurs «{uarl ier> ©In* l«* H1 juilb t. h T midi.

la bénédiction «lu «Lra- Gard© Montcalm. i«»s

la Gard© les chasseurs sont priés d«* s© réu-

généraux. dnnan- n«*ur© d«* l’aj r's-

r© r ordreJOS. JULIEN

* (

braves pompiers (xrur l**ur «iévimemeut ©t l’ai«le «•fliK'tiv © qu’ils «*nt app«irté© à sa municipalité, dans ce désastre.

Nous "étrennons” notre nouveau svstème «i'aqu«»du©. dit-il. «*t net inoen- di© nous en démontre* r*«ffi«*a©ité, en même temps que l’urgence d’un tel 8**rvi©e.

TOUTE ACTIVITEDEVRA CESSER SAMEDI

Pour permettre au public d’assister aux oflF.ces religieux Les citoyens sont invités à décorer

l.e maire de la Rivière-du-Loup vient de lancer la proclama­tion suivante, à l'occasion de» grandes fête» du congrès eucharis- t ique de demain et dimanche :

“Canada.“Province de Cuébec,“Cité de Rivière-du-Loup.

“Comme la Commission permanente des Oeuvres Eucharis- “tiques dan» notre diocèse, avec la haute et bienveaillante ap- “probation de Sa Grandeur Monseigneur l'Archevêque, a con- “sacré le» 9 et 10 juillet à la glorification de l’Eucharistie à la

“Rivière-du-Loup, je proclame le samedi. 9 juillet, fête civique, “tous établissement» de commerce et usines devant être fer- “mé» et toui travaux devant être arrêté» à midi, ce jour-là, “pour permettre au public d’as^Dter aux offices religieux.

“J’invite tou* les citoyens décorer leur_ demeures pour “cette circonstance et à suivre la procession du Saint-Sacro» “m-*nt dimanche soir, le 10 juillet.

“Rivière-du-Loup, b juillet 1927.signé C.-E DUBE,

maire

L'USINE DE MISTASSINI

m

Photographie de» travaux actuellement en Power construit une grande usine à le nom de Dolbaau

tours à Mistassini où la compagnie l ake St-John Pulp and papier e.n même temps qu'une ville nouvelle désignée sous

/

i

QU be —^ Q 1OT7

FAIS CE QUE DOIS

“LE SOLEILt t

ORGANE DU PARTI LIBERAL

LA JEUNESSE DE DEM N L L’AERONAUTIQUE MARIE DE

L'INCARNATIONIl a fallu He* nnnl«-ÿ pour cuuqulnr l<* jrrarul publie au «‘he- <l» fer. A l’époque des premiers looctionneuieiita di*H lignes

«•«‘ptiques pour affirmerminfenoviain «*

LA CONSTITUTION CANADIENNE

Des ombres au tableau

il h- trouva une foule de

QUEBEC. 6 JUILLET 1927

pas, en

nul! par* ou nquel <JU<* audaair.-. 1 )<• h os j<

« t ♦ •li«,( »rt‘ î*oit, jadi S, 1*11a p* ur «i«i* l air

pour uoriuiine maft peu. ("est eux aéronautes rs. sur dix mille individu

ait eu l’occasion de m

un elenient seulement ont appris

que l’iiofiitne ne depum un siècle «jue

naviguer dans les

qui. il y en a un peut-être promener dans l’espace

en>ullon, soit, plus rèeemmeiit du vide, du vertige . il se fait une

tentent fausse de la navigation aérienne (’e >ont le? lesquelle.- il faut entreprendre auprès de ce public une vigoureuse

incessante campagne en faveur de l’aéronautique afin de luietmontrer celle-ci sous son véritable aspect alin de U» conquérir à l’aviation qui lui est encore trop étrangère

Il est bien évident que nos enfants rirontsion comme nous sourions en songeant à la peur qu éprouvaient j sacrées. Ixur sainteté en faisait i droits que leur assure nos urHiiils-|>èrr> ' " prt's' .iic du chemin de fer. No? enfant» for- «*** »PA"','S fiunière dont il don. que commandentnieront la génération aéronautique ; ils prendront l’avion de New-York, de Winnipeg, fie San Francisco, de Toronto ou de Halifax aussi naturellement, aussi simplement que nous emprun­tons. nous, la voie ferrée pour nous rendre de Québec à Ottawa ou à Boston. E’avion sera entré dans les mœurs et il constituera un engin aussi ind spensable à l'activité humaine que l'est aujour- d hui le télégraphe ou le téléphone.

rie 1 avion tous \OA i nonce i f . , >Mkprocurer, il taut leur j <ians

Pour permettre à nos enfants de tirer avantages économiques qu’il peut leur apprendre dès aujourd’hui à le connaître et à l’aimer. Il faut leur inculquer ce “sens de l'air” sans lequel une nation sera bientôt inférieure, à beaucoup de points de vue, à celles de ses voisines qui le posséderont II faut leur montrer ce qu'est cette admi­rable conquête de l'air à laquelle ils ne peuvent pas ne pas s’inté­resser pour peu que leur jeune intelligence soit ouverte à l’attrait du progrès î

Une œuvre immense est à accomplir parmi la jeunesse si l’on veut qu’elle ouvre les veux aux de la navigation aérienne.

LE VOYAGE DU SOUVENIRQuel est ce souvenir qui ramène dans la vieille cité

six cents Canadiens français du nord de l’Ontario ? C’est le souvenir de la terre natale, du milieu où ils ont çrandi, aimé, connu la joie et l’épreuve, entendu les chansons du pays, reçu les premières leçons de la vie h l’ombre des tendresses de la maison paternelle. Ces frères aimés, partis un jour des bords du Saint-Laurent, des pittoresques val­lées des Laurentides ou des vieux villages de la rive sud, où les paysages d’été ont plus de douceur et de rêve, se sont enfoncés plus profondément dans des pays vierges, loin du centre de leur race, loin du foyer où s’alimentent leur parler, leurs traditions, leurs coutumes et leurs croyances, pour répondre à l'appel de la terre neuve, qui s'offrait pleine de promesses, et de la forêt mûre, qui demandait à disparaître et faire place à la charrue. Là, ils se sont implantés dans une province dont la population, en grande majorité, parle une autre langue que la leur, pense d'une autre manière, possède des lois et coutumes différentes ; mais se sentant quand même chez eux, au cœur d’une patrie commune, liés à leurs compatriotes anglo-saxons par le titre de Canadiens, ils continuèrent à vivre leur vie, conformément à leur mentalité, fidèles à l'esprit de la province d'origine à laquelle ils sont rivés de cœur et d’âme non seulement par l’histoire et par le sang mais par un ensemble de souvenirs personnels, des visages autrefois aimés, des voix dont le son est resté dans la mé­moire, un coin de terre préféré, un horizon où le soleil parut, un jour, dans un moment de bonheur, l’accent des gens du pays, le style archaïque et attachant de quelques maisons d'un autre âge

Après avoir vécu des ahnées en Ontario sans oublier, voici qu'ils font le pèlerinage dans la capitale de leur race, voici qu'ils nous arrivent par centaines, en nous disant gaiment : C’est LE VOYAGE DU SOUVENIR. Qu’ils soient les bienvenus sur notre terre, cette bonne terre qui a nourri, bercé, ému tous leurs ancêtres, qui a porté leurs souffrances et leurs amours, qui a gardé le parfum inviolé de leur foi et de leurs traditions, qui a bu parfois leur sang, pour en mieux faire refleurir leurs descendants, et qui garde pieusement, sous son voile de verdure et de fleurs, les cendres sacrées de leurs pères et de leurs mères!Qu'ils respirent l'air du fleuve, et qu'ils regardent le bleu léger des eaux moirées qui caressent nos falaises et vont embrasser File d’Orléans dans leur étreinte d’azur, et leur rêve remontera aux réalités historiques pour leur montrer que c'est ici, en face de la Terrasse et de la Citadelle, que se joua tout le drame des destinées canadiennes-fran­çaises et anglo-canadiennes, toutes deux aujourd’hui con­fondues pour l'accomplissement d’une œuvre nationale de paix et d’harmonie sans exemple dans le monde. Le sou­venir, il est là, dans ces événements providentiels qui se déroulèrent dans les flots bleus et le long du promontoire, dans cette histoire faite de deuil et de gloire, d'où devait sortir l’une des plus belles patries du globe !

Les nôtres de l'Ontario vont repartir imprégnés decette atmosphère du passé, et leur courage de vivre en aura > rontrôl(. du gouvernement canadien, qui font communiquer entn doublé. Nous leur souhaitons de conserver toujours, là-bas ,.ux ]a,.s ,,t rivières navigables. Ce sont les canaux :les qualités et caractéristiques de la petite patrie. Il se peut qu'ils aient à souffrir des lois, imposées par des com­patriotes qui doutent de Futilité de leur survivance, mais qu'ils sachent bien que leur sort dépend plus d’eux -mê­mes, de leur persévérance, de leur énergie et de leurs sacrifices que des lois humaines. C’est dans leur cœur et là seulement que se trouve leur ferment d’immortalité.La vie est en dedans de chacun de nous, non en dehors.Le jour où ils compteront plus sur un secours extérieur que sur eux-mêmes, c'en sera fait de leur avenir.

Entre temps, ils progressent, comptent dans l’écono­mie générale d'une grande province, se multiplient et font cause commune avec leurs compatriotes d’une autre origine pour la grandeur de leur pays, le Canada. Nous les en félicitons, nous formons des vœux pour la continuation de leur succès. Nous savons qu'ils sont allés chercher le bien-être avant tout en cette partie du pays. Qu’ils se comptent heureux de l'obtenir. Le bien-être est la grande loi de la vie, celle qui conduit les actes de la plupart des hommes et qui, après tout, mérite d’être observée pour la bonne raison que, sans elle, la vie ne vaudrait guère la peine d’être vécue.

Parmi Iw* eommimautAi part ici- Apr*« avoir ouvert votre hiaiom pant os à la grande maaifo«>t»tion à la page «le |a <’«mfédéral ion. aprè* ijii**ionnair* e&n&dionno do Joliet- avoir lu «•«• «pii sYm éerit d«*|>ui*

■ , il. . ix * t*» noun trouvons !•«* Ho*p.talière» ! uueluuo» jours «T entendu ee uni ssY&tliauunicnl <|U<“ l«- nouveau mode <!<• transport ne dépasserait i.,, rrmlm.,. .le t|uéW .m nu» dii dans de n.md.reux di.nmr. il

(jamais le stade de le x pêne pce et qu'aucun avenir, par cotisé- de la liste Fuinque. par rétro*pootion ' nou* *eml>le que mm* les raiiuduns' mn nt lie lui étuit réservé historique, on place ee* moniales sont mieux «•«•lairé*. plu* «MimplèU-

* iii cloîtrée* dans la catégorie de* or- nient renseigné* sur notre c«m*titu-I ourlant le chemin de 1er est un mode «le locomotion terre*- ^r,.s ap>«tolique*. il u est p** hors'ton. son «-prit, son Lut. sur le*

tre il aurait dû être très familier à la foule puisqu'aussi bien <1«» prop>» «le dire un mot. cet t «< | besoin* qui s'imposent à tous et à la vitesae dont beaucoup ont une peur instinctive, n était

i vérité, le propre «les premiers ehemina de ferI.’aviation a pour domaine un élément que I homme ne cou- , ( rs*ilmos de la Nouvello-France.

< nmtiion d« nous ignorent le nom de la V'énérablo Marie de ITn- carnation ? très pou. ("omLien.«l’autre part, ont conservé une tion précitM- et juste de *a d«« •xa mission, «le ses oeuvre*

AU SANCTUAIRE DE L’ADORATION PERPETUELLEHEURE SOLENNELLE D’ADORATION

Jeudi «le cette m mairie, le 7 juillet, il y aura, «lan» < e sanettiair*, une heure -oh nnelle d’adoration de H heures à t» heures «lu *oir

File ?« r& présidée jw«r M l'abbé Uoehette du Séminaire «le IJuetieo. et '♦■ra «uivn- «l« fa Héné«liction «lu Trè* Saint-Sacrement

D - membres de l'Adoration Perpétuelle et les ami* du Sanctuaire^nt prié* d’ètre tou* présent*. ***

semaine.de dire un

de l’ouvragel’éminent bénédictin de Solestnes

, I>om Jamet. *ur lu fomlatrico de*

que publie I cha«Min de n«»u> u 1 —- ( ’’est «loin* U bon moment «le I

nous «leiuander -i «fuelque* t'ana-, «lien* «»nt *«niff«*rt *«ius le régi».. j «je la (’onfédération «»t. si «mi. «lui i sont-ils ? ?

Soiit-c«* l«*s <’anadiens-unglais ? J no- j Partout ils sont lu majorité, m«>in*| v le. ' «iuii* la Province «le t^nél»**' «*u il* J

reçoivent «in t raitenunt généreux!

GUIpro-

avion Le public bablement aussi puu Les grandes «t équitable dont ils si» proclamenti«léo rom ni A- êmes que lu Providence clmia.il j-utisfaif s. Aucune loi n«* port» at-(

* * 1 pour instiller h» christianisme au i teinte à leur liberté, à h*urs «Iroit*raison* pour (Ynada. pour senmr les germes da ' éiiucat lonneU ou autre* Dan* tou-!

la vie «•hrétierino la plu* parfaite', les milieux, sur tous le* terrains. «I ri­aux «»rigmes d«« ce pay*, furent dos tou* l«*s domaines dans !«•« r«»lati«ms âme» «le vertu et (le *ainteté ex- Oolmouc- soeiab»* et d'affaires, il|>olitiques, social*»* «*1 «l affair*traurdinaires. dont la charité parfai- r« «;or.>*nt plem«» et entière justice, te fit «les apôtres de tout premier Tournons, maintenant, nos re-

, . ... ordre, «juel quo fût le genre de vie gard* vers les <’anadieps-françai*.<1«* MOI te ‘ipprciirn-, partjcu|jer auqu«d *ille* étaient con-: Ont-ils revu toute la mesure «les

a (Ynatitu- l'e*prit «lu

est «lit que la grande Thérèse d’A-i pacte «h* la Confédéra mn et «•<* vila fut l’égale de François-Xavier. ! fair play’’ que l’on vante si haute- Marie «le l’Incarnation fut autant montapôtre en la NYuvollo-Franc*» que Quau«l on entravu» la libre ipstruc- le fut «le Prébeuf ou Mgr de Di- tion qu’il* veulent donner à leurs «*u- vul. La grande réformatrice d*: faut*, «^ue fait-on «le cette égalité t’armel fut souvent par monts «t • et de «•«♦ large esprit d«* ju tire v«»u- par vaux pour fonder de nouveaux I lus, annoncés et promis par l«»s monastère*, mais l’Ursuline de Tours j Pères «b» la C’onfôdération? sacrifia son pays après avoir re-, Quand on frappe d’ostracisme le*

ft sa famille pour venir des mers établir son ordre un pays peuplé de sauvages

indiens et où ne se trouvaient qu'une poignée de blancs.

alors

î’j; ! Canadiens-français en les bannis*ant des postes et <i«*s hautes fonction* «lont il* sont «lign«»s. uniquement parc*» qu’ils ne sont ni des Anglais, ni de* protestant*, ni des oringistc*. ne pèche-t-on pas gravement contre les grandes principes qui ont inspiré la constitution canadienn*’'.'

Quajul on but en brèche !«>* «Iroit* | naturels «-t cor.stitutiornels «!♦• In

Mais qu’il s'agisse de Marie «le l'Incarnation. d«* la fondatrice «le l'Hôtel-Dieu. de Mgr de La\aImême, nous avons général*»ment per-1 natur,.|s <(l oor.ëtitutioruels <! du la notion exacte de ce que fut |ar.gu<» frar.«;ai*e. quar.d on errag**

(leur vie. L«* tricentenaire «le -Mgr iorSquf, rôtis réclamons ces droitr, j d*» Laval a remis en lumière la car-j (|Uttp(j 0p veut pas reconnaître I rière de ce grand évêque mission-j qUG |G français est une langue «fli-

possibllltés inouïes et prochaines : lia ire ; lorsque Rome plaça sur les ! ciei|G oll qu«* l ou s’acharne à la rédui-autels les jésuites martyrs, les so-1 rt. ia plus étroite proportion, que lennités qui suiv irent permirent aux ; fait

LES CANAUX DU CANADAAvant la période «le construction intense de chemins de fer,

qui commence pour le Canada environ dix ans avant la Con fédé-! T incomparable ration, les cours d'eau, plus spécialement le Saint-Laurent, les C*rancis-Lacs et la rivière Ottawa,étaient les principaux moyens de communication. (Ys routes étaient interrompues en certains endroits et nécessairement on devait faire «lu portage.Les canaux «lu Canada furent construits pour supprimer l'ennui de décharger, de transporter et de charger à chaque portage.

La première rrmntion qu'on fasse de canaux au Canada, est cell<i «lu canal Lachine, commencé par les premiers colons français en 1701. mais c’est seulement après la conquête du Canada par les Anglais, que des améliorations furent faites aux grandes voies fluviales, et la première partie du dix-neuvième siècle vit l’aug- mentation du commerce intérieur et extérieur «le la navigation à vapeur. Bien que dans le principe ces canaux eussent été cons­truits pour des fins militaires, ils devinrent bientôt nécessaires à la vie commerciale «du pays.

Il y a six grands systèmes de canaux au Canada, sous le

panégyriste* et aux publicistes de i remettre sous les yeux du peuple Icanadien leur admirable vie. Il con- j venait de même que l’on fît rev ivre, «lue l’on replaçftt dans l’actualité

I cette maîtresse ès choses spirituel­les. la mystique insigne, que fut

Marie de l’Incarna­tion.

Hé oui ! nous disons bien, mys­tique insigne et incomparable mai- tresse «le spiritualité. ('’est telle­ment vrai que certains détails, cer­tains états de sa vie nous dépassent; ils ne sont pas tellement en dehors de ladessus de notre compréhension.par­ce que la première L’rsuline du con­tinent fut une fl me suréminente ethéroïque dans sa charité pure.........Mais, ravisons-nous avant de pr«x*é- der: connaissons-nous vraiment sa

-on, upon détruire f. sa I asc nme l'édifice de la Confédération?

(Ys actes injustes, qui touchent «le près à la tyrannie, sont l’œuvre «le quelques fanatiques, nous le savons bien. Mais nous s«»ti n «»s surpris «jue de tels esprits fanatiques soient encore si nombreux et si puissants au Canada.

Tl est temps que le franc-jeu pmr- ne le dessus sur cotte engeance qui compromet non seulement l’oeuvre de la Confédération Tuais menace la paix et la concorde f. travers le pays.

Si les injustices dont souffrent les Canadiens-frarçais et «iet oont nous ne

vie courante, mais plutôt au-1 faisons qu'esquisser le tableau, de­vaient se continuer, il faudrait en conclure qu'on ne veut pas de nous dans la rati«»r canadienne. (V* mot est grave et la conséquence 1«» serait bien davantage. Car. or. nous aurait comme nation «laits la nation, puis-

ie. ses «ouvres, ses écrits ? Fngé-jque nous entendons bien vivre et néral. non. F’our le grand nombre[ grandir et on ne peut nous tenir à nous ne connaissons Marie de ITn- l’écart sans nous avoir «‘n travers du

(1) Entre Fort Arthur ou Fort William et Montréal 2) Eutre Montréal et-Ottawa;

(3) Entre Montréal et la frontière internationale ( hamplain :

près

mine > (6

Breton

titre Ottawa, Kingston et Perth;litre Trenton, lac Ontario et le lac Huron (pas

ntre l’océan Atlantique et les lacs Bras-tlOr au (

lu

îer-

1 andis (pie —La longueur totale des voies d’eau utilisées entre

naux est l.ôOJ milles, celles des canaux est de 117.2 milh E«* .‘H mars 1927, le ministère des chemins de fer et c

a «lépensé $255,909,403.61 pour les canaux et il y eut «‘ti «h s dépenses diverses de $49,114,093.31 principalement pour ministration du service des chemins de fer et des canaux.

Aucun droit de péage n’a été réclamé depuis 1903,

pou-d'asceiiseurs. Le

'était élevé

LE ROLE DE BERTHELOTDans une étude remarquable qu'il lut à Québec, au rV nt

congrès des chimistes, monsieur Philippe Montpc tit, profe.'x ur à F Ecole Polytechnique, «h* Montréal, a montré* D rôle immense de Bertheiot

"Il faut se représenter la science comme un édifice séeulmn* qui ne pourra s élever que par l’accumulation do masses énornn s t ne vie entière «le laborieux travaux m s« ra qu'une petite- pierre obscure et sans nom dans ces constructions gigantesque* La gloire des premiers explorateurs est d’être «iépnsséo et «le donner, à leurs success«*urs les moyens par lesquels ceux-ci fis «lépasse- ront ”.' .l’imagine qu’en écrivant eeM« phra** hauteur «h* l’Avenir *dc la Science «levait penser A son uni B«rthelot qui en était

1 inspirateur «-t dont les découvertes successives éton- inonde savant d’alors et ouvraient «le- perspectiv* ^

On avait crus irrévocablement int«,r-

l’usage des canaux et les revenus perçus, ejui Fan dernier vaient à $963,5S1.6K consistent maintenant en elroits sur le voirs hydrauliques, droits de quais e»t Iran total des revenus depuis l’établissement des canaux a S23,532,579.45.

Les canaux «lu Canada font encore elc brillantes affaire ? «lépit de la concurrence «le*s chemins de» fer. En 1926 un tota 13,477,663 tonnes de» marchandises furent transportées sur

carnation quo do nom. alors qu’elle | chemin.est une des gloires les plus remarqua-J Mais, hâtons-nous «le dir«» que ce blés de notre pays. •n’est certes pas ce que nous voulons

l^a faire revivre, la faire connaître, car nos intérêts iv tous «ont enche- faire lire et propager st-s ceuvret sa1 vêt rés ut solidaire*, doctrine spirituelle, tel est le but j Donc, plus que jamais il est temps que s’est proposé un fils de S. Be- que nous acceptions tous le même^ noît. Et ce la convenait très bien, i droit national et le même «levoir puisque b* fils selon la chair de la ' constitutionnel réglftj.t Us rapports grand«* Frsuline devint lui-même «les différentes races qui habitent le religieux bénédictin. Don Jamet pas- C anada.sa ici plusieurs mois à parachever. Il faut que l’on comprenne que la documentation qu’il avait colli- lorsque nous den ar.dor.s notre place gé«* eu France sur l’héroïne qui il-'au soleil Le la C’onft*dt ration, lorsque lustra si bien sa patrie d’origine et nous réclamons notre part au service i sa patrie d’adoption. Aujourd'hui de I Ktat, lorsque nous défendons |

! il publie d’elle une vie complète et notn» langue et nos libertés scolair«'s . U).'aussi complètement que possible ses‘quand nous aspirons a occuper U*

j lettre* et écrits «livers. Avant dei fonctions jK>ur lesquelles nous *oin- J ! quitter le Canada Dom Jamet fit. à nies qualil'.és, nous n«- n ei.«lions pas ! Laval, une conférence qui résumait, nous ne quémandons pas «i*-* faveur,! le but d«? sa propre mission, la vie mais mm* revendiqu«Ai.s d«s droits* et la mission «U» Marie «U* l’Incar- que la justice naturelle et la conss ^ nati«»n ce n’était pas “un por- titution «-anadienne nous reconnais-1

anaux 1 trait en pied seulement un mé- sent. •i Idaillon; non de rhistoêre mai* Nous inspirant «i une parole ««• :

I ® | une simple esquisse psychologi- Laurier, nous <lir«»ns que «!ar\s , l ad- que". Fnoore dut-il se limiter “au* « u ur de t« us les I « n ju s il s«- trouve

aspects les plus généraux de cet-i d «> principes (I éternelle v«rit«* H ) te grande figure à ceux qui ai-jd in n uable justic«*. et «• «*st sur <’<*.* j

I>our der nt .es esprits à s“en faire ! Pnncip. s que nous, les Canadiens-,

ca­

l'os droits et no*

“Le Canada,,.i

s éle-J une image au moins approxi- trai.çai*, pl açorn mative". Cette conférence “qui! d«*\«»irs. ne pouvait pas tout dire— n’é-jt.it qu’un, .ort. d. pr.limin.i- , y „ (,n, d,.s ^re pratique « une h,.toire plu.| j, sur m„nBr.complet, de Mar» de I |n erne- rul.s(.s „„„ ,1,.tion, dont la prochaine reedi* ^tion de ... œuvre, .era I. pr.-1 ,, inflnimen, d, priwrmi.re .t I. plu. .mportant. p.r-1 que (|(. par(.jls fajts M. pafs< n, ,lilns

pr«'t4»ndentitie— L. conférence der.lt mon-; s où lcs (llnK,al„s. . • . . . • trer I i nteret de cette publica- î,*..-,.- if, sop:.l|jsf,

«anaux, «lotit la majeure partie consistait en produits agricoles, '•tion.....” Mis<» *ous forme de pla- partout. iK «iî.t mjuu’vc in répro- I/histoire des canaux du Canada se résume dans un dére-;queU**. c’ «t de nouveau son but. ! I j>atjon niiii,ux politiques En

lofipement constant pour répondre aux exigences toujours plus I tro,)<fnHl^rrf7K!urnqiie "chaque^'^a-1 ^llomagm‘’ ,a Gerft,ania» ^rgam» grandes de la navigation. Ainsi il a été nécessaire dans le cas de mille *«• procure un «‘xemplairt» de * u

maux, comme !«• canal Welland, de projeter un canal !eette (•mouvante brochure (elle nej se vend que J.» sous), et qu on lagrands <

plus large, presque aussitôt commencé

qm lesprojeter un

développements prévus eurent

ixcx:

M travers les jeurnautje * * * xr jcg:

d’ailleurs liaient le infinies sur <1< > dits.

Qui songe

Le luxe et les dettes

lomaincs

en effet, <1« eet immens(‘ i«s< organique

Aprè* avoir proclamé en la St- J« an Bapti*t«‘. notr«* patriotism**, «•omme «.•anaditc* français, nous al­lons. en Hnnivvrsair<* «i« la f’onfédé- ration. «»él« br« r h * haut* fait* ac­compli*. CY*t très bien. Mai* il y a pin* « t mbux. m nous (’anadi«»ns- fran*;ais. non* ambitionnons ht pr«- Tni* r«* pla<«* «lac* tou* les domaine* ♦•t spécialement dans le commerc«» et

Jx»Ut-ètre tout c (pi on « ri pourrait n tin r. mai* ils ne s'étirent j i'indiistri» Est-c«* que un examen ütta«pié, dirait-on. « u à la hsi»*re «h* la forêt * t n :tvai«*nt pas o*f fn pénétrer les profondeurs. I,«■ préjugé «i'alors en faisait comme

no* joui -, (pic tou champ de travail, de travail fécond qu « st la synt jèlait, il y a moins de cent ans, comparable à ces forêts vierges •de certaines de nos région* où personne te *Yst encore aventuré.

De rares esprits tels Woehler «t ( lievreul avai«'nt (titrevu

mesure d'ext ir;>er In jalousie qui non* «létruit et de combiner de* ef­fort* sicères et loyaux en vu*» de l'av armement d’un chacun |w>ur notr- tre plus grand bénific« |>ers«mnel et . celui «Je la rîte*- eflna*li« nne-fraTi(.ai**e. I

• L«

répande h profusion dans nos mai­sons d'éducation, surtout les établis­sements d’enseignement supérieur ou swondaire destiné* ft la jeunes- se de l’un et de l’autre sexes. Quand ils l’auront lue. ceux qui en ont l«»s loisirs et les moyens se procu­reront sûrement le grand ouvrant

| complet «le Dom Jamet et en fe­ront leur aliment spirituel. Ainsi s© retrempera à ses sources l’esprit éminemment surnaturel «lu ('nna-

• da eatholiquainsi sera v ivifié parmi nos contemporains le sens de cette vertu qui surpasse toutes les autre* et d’où naît l'esprit ap«)sto- lique. à *avoir la charité parfaite

Apprêtons donc ft c«mnaltr«* mieux

centre catholique, voit dans le J g« sl< d« b Sovitts un >igne (I« iu rvori- té du gouvernement moscovite, ainsi' qu'un signe de faibless«.

Seule l’“Humanité” glorifie le crime des dirigeants soviétiques. I Gabriel Péri écrit: “Ils ont agi | comme les mandataires de* ex­ploités de partout”: i

La Révolution n< *e venge pas. | Elle m- «hftrul. Elle purge I Kuropt» «n» la tourb«- immonde qui l’inf* *tau, «Ile donne à c«ux qui seraient tentés , «l'iiniur l«* suppôt* du tsarisme un

avertiMH m<*iit salutaire «lotit il* feront bien «le tenir compte.

Ainsi agissait nt les hommes «le 9;j contre les tenantM «1«» ( oblent/.

I.a Révolution veut vivre en paix .e» construire le socialisme. I

Semaine Commerciale'I n,,s '*n,'' ,r,*s canatJiens dans la ff»i, Malheur aux mi-érables qui. par In .parmi l«*quel* n*)us comptons au ' »M,n \„, ,, p. browning. v.>u«ir«.n» I «tm- premier rang Marie de I Incarnation;! pr(.|1(.r ,i„ poursuivre *«*n «etivr,- |

gramlios*- et pacifique.Tragédie russe

un de ccs boi* sacrés «le l'antiquité qui aurait été «lédié à la déesse Nature et tout à fait fermé à l'homme

Il fallut qu*» v înt un homme «le génie qm renv ersant lf- idées préconçue.* de son temps. .*«• mit à n tâche ive«» le courage. •Faudace et Facharncmcnt d’un véritable «léfrichetir. (’et homme ce fut Bertheiot, dont le monde scientifique va fêt«*r le cente- ntiire. Berth«»lot dont on oublie trop souvent le nom, dont on méconnaît D* travaux parce qu'ils sont trop connus, parce «ju ils Ont été amplifiés, dépassés et «lont ustement la gloire est d'au­tant plus grande qu’ils portaient « u « u\ Ys tnovens d’être «lé- passés

Les chimistes du Canada et surtou e«»ux «|«» iangtie et «le 'culture françaises tic peuvent laisser | - er ina;»< «.u un t«■’ een*#-naire.

d«-i <»«i défaut* «u un inventaire «h» nos

i b« «»iii« n« i'«»Ui seraient |>o.* pn»fita- bb-*. i n«»u* voulons eftectivemen*

Au coup de rcvolv er qui tua VoikofT, le* Soviet* répondent par un ma**acre horrible qui «oulève l’indignation.

fiènétrona-nous de sa «loetrine et infusons-la autour de noux. dans n*»* famille*, «lan* l’âme de nos enfant* Nous ferons par là <»euvre catholique et même npontoliquc

DOM ML

«lev « Tiir «»t qui

ut. f* uni* ommana»'

fort, et instruit !»■ respect.

Ev i'i' ininenT. oui. Tou* les jour* n«m «'U'«-ndon,* «iir*» Il n’y a plu* «h» ju 'ne plu* d'hrmnéteté.on n«» pni • pa* s»»' d«»ttes. |>» luxe n'a plus a*»

E’ »•♦»*• marheur«»u*« m« nf tr«)p vrai L« luxe «-xiste !«•* dettes «xis- t» nt !>»• deux marchent de pair vont presqi,»- touour* en*emble. mais aux « xtrèmités «>ppo*ê«*s. lesdeftencr*^** ^ par l« luxe, wins pouvoir «exclure >|U«»i que < «»ntrair«»* I un à l’autre

N > t-t-il rien à fair*» à «•«» sujet ? 1/ v rai patriot i'.m«*. a not n humbh» .••vi-* •**» • i * t * ■ m«>in* à *«• glorifier de*;i/ t« .■* d» - autr« *. «|ii'a •*» inrt.»r« «n

D Matin"

Du “Petit PariHien":J réhabilitâti«»n pourAnivia depui

Au g» s te de f«>li«» «I un jeun*» hom-1 si* ura anné«-* par certains «|e **» me de IB »«n*. irtonarchiste fervent . I ge int *.«itii a cru l»ieTi faire «n supprimant I evéeiitcur du tanr. «I* 1» »sarin« «»t de leurs «•in*| enfant*, leg«»uvernement d»» M«»*cou, jierdnnt tout contrôle fl«- lui-même«»t agissant. s«mble-t-il aussi, sans *«• rendre e«impte d« * con*«»- qnence* inoralcA «|e son acte, répond par un masaaer»'

Dans les (’onseils d'i Kr«mlin. la Tchéka. de sinistre mémoire, re- pr« m|-«»Me le dessus''

En tous les ca«. d«» par«»ill«»s nié- Le “Populaira”, organe dea thodes de gouvernement n«» peuvent «ocialiatea, eiprtme «a Honte d que valoir À I I R S S la répr«>ha- voir de pareils fait» marquer Peti­tion ind’gnée du m*>nde «‘ivilisé. et trée du «ocialitme dans l'univers: ris*j»ient for» «l'anéantir îe^ effort* d*1

Reliure d’artiVr.soîim», |H»ur p< u qu'il «il «!»• la

«ulturc, nt* saurait étr« iniiiflférent ^ la vue d'un volume revêtu d une

— . reliure nrtistiqm « t original»». Et 'il semble (jue la |sim|h clive «lt« p«Mi-

voir fain relier ainsi leurs ouv ragea qtifWiut jour devrait «'•tu |»our nos écrivains un eu«‘(Mirageiiieut «h» plus à produire. Un livre, dam lequel «m a mi* 1« meüh ur *i«» aon esprit et et de son ««i-ur. «»*t un trésor encore plus estimé quand il « M rich* nient paré.

Notn- public lui aussi, ne fx-ut ' ., . , , , manquer «le goûter la beauté «1 uneAA<srs ,le quoi «« plaignent l«»s bol- n.|lur, artistique De plus en pm*.

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NewYork. 8. P. C. Ouvert , ture. Les prix ont été cotés k la

baisse de fat,on irrégulière ce ma - Dto tin a l'ouverture. La Dodge Bro-

t h e r a ordinaire et privilégiée a tou»1 hé un nouveau record de baisse et la C onsolidated Cas a cédé d'un point. La Eastman Kodak a fait \ une avance de 2 1-2 points et l'In» . ternationa! Combustion d'un | point.

Les commandes de ventes ont j été fa 1 le men t absorbées, ces commandes ont été frites sur' l'annonce d’une augmentation ; de plus de $111 000 000 dan les avances aux courtiers le mois dernier. Lr liste a gagné de plus hauts prlliers sous la conduite! des pools surtout actifs ru. groupes des spécialités et des fer­roviaires objet de merger. La dissolution récente de plusieurs syndicats d'obligations accompa­gnée par une chute de prix a stimulé la demande des valeurs de première importance, valeurs qui n’en sont pas beaucoup dis­ponibles parait-il. Les pools en­couragés par la facilité de l’es- ! compte ont été actifs pour les valeurs à la. veille de développe­ments. Dodge Bros, ont perdu un point et plus mais repris le ter- ; rain perdu avant la fin de la pre­mière demi-heure. Brooklyn M nhattcn Transit privilégié des­cendit à un nouveau minimum de baisse de 1927. American Bank Note Brown Shoe ont tou-

! ché de nouveaux records de ha usse.

Kansas City Southern fut lu ve­dette des valeurs au groupe des ferroviaires et dépassa 66 à un

nouveau record de hausse de tout temps.

Les changes étrangers furent 1 fermes à l’ouverture ; la livre an- 1 glaise à demande fut cotée autour de $4.85 3-16 et le france français' autour de 3.91 l-2c.

MONTREAL :

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LES OBLIGATAIRES SUR LE MARCHE “ ^EN REUNION AUX PR0V,S,0NS

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Nouveau président de ('Invest­ment Bankers Association of Canada

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INDUSTRIE DE LA CHAUSSURE

Brillante exposition à Boston cette semaine- Plusieurs représentants

porteurs d obligation* «le la Caron. Frèrt * Inc., m- sont hier après-midi dans l’èdifi-

l« Banque Canadieun* \a- jK*ur a entendre la leeture

! du rapport «l«-> Eduiuaires «pii »»nt I j>ris l'administra t ion «|e e«ti«* tir-

nu* !•• Il mai d«*riii«*r. et décider quelle «linudion «n «leAait a dont 4 r )H»nr »*ontinner les affaires «i»* la corn uagnie.

I)«*s les prem u*rs jours «|e mai le- ti<ln<‘iair«-s avaient été avern* «dTii-iellenunt nue la Compagnie. Carou Frères. ln<*.. était dans Pim- po*sil>iiité d«* rer4*ontr«*r ses «*bli- gat ions I) après les termes «1«* l a»*-

: te de rtducù . la C4)iiijiagui»- ■*« trou­vait * n defaut. I> s tiduciair«‘s ont

J immédiki* '*Bent pris ]x)ssessioti «le I son actif et de *«»s affaires, pour île béréflee d«*s obligatair<-s

L’obje* «1*» l'assemblé»* d’hier était ; surtout <le voir *i les porteurs d’ohli- , gâtions défddermient (1«* eontinuer l**s ; affaires de cotte eonipagnie ou s'ils exigerai4*iit la \ente f«»r<*ée «l«* son actif.

1 Sur pr«>po*ition «le M. K Lajoi»*. de I la maison \Vrsaill»**. Vi«lri«*air«»s e’ Bon lai*. Me Alex. Lacoste a été nommé président de l'assemblée. A la suite «l'*s explications d<mné«»s par M Fr - nest (îuimont. gérant du ('rédit (Jéné- ral du < 'anuda. fiduciaire pour les por­teurs «i’oMiguti«ms. sur les avis qui avaient été donnés en \ ue do eon\ oquer «■ette ass«*mblé4* jxirtant à* la <*«in- naissance des «»hligat:nr**s que le jour­nal deQuéb«»c. "(’hroiiicl»*-Telegraph”,

'axait omis de publier cet avis t«‘l que «lemandé par les fulueiaires. il fut dé-

Oeufs : l*ri\ fermes ;g«-.- suffisants. iTix cotés Montréal : « xtra frais. 40cmit r*/JtlIU

seconds, .'12c la

CE MATIN A N.-Y.Lambert de Lottinville et Cie

nous comrauniquet ; Il semble proUibl»* que la plupart des comman­des «rachats «lys Iwissiers à l’heun . pour le* Vedette* sont terminées et nous cr«*\«»ns que le marché xa re­chercher «les valeurs «le choix «t n- tournera aux conditions qui ont pn- valu, la semaine pré4*é<lente.

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de Québec optimistes dition des

Marchands sur la con- affaires

SUCCESMontréal, 8 P.C. Ouverture.

La Brazilian, la Shax inigan ont été les vedettes actives au cours des premières transactions sur la liste ce matin et toutes avaient 1 une tendance à la baisse. La première a cédé d'un point à 163 3-4 alors que la seconderecula de deux points à 80 Spanish River sur des tions légère a fait un 1 1-2 point à 114 et fit montre de fermeté. Les autres valeurs de' la liste ont été pratiquement-

1 L'industrie I sures «-f du 1 gement pj;r ses vendeurs

enmidienno de la ohaus- 11 ir fut représentée lar- s»‘> manufacturiers et

i< rs de la huitième ex-

négligéesquelques

et n’ont fait changements.

pesiti» n annuel!*' «!•' la «-haussure et du <-uir ft B* st«»n. (*ett«* réunion eut li«*ii. mardi, m«*n*redi «d jeudi «le cette

. semaine à l'H-url S«‘fl«r à B« st« n. La | L’expcsiii« n «•« mpmit plus «l«* .’>000

transac- ’ ;U.|u,ieur> av rils «b- e<xmtn<*r«v v,-- gam d® i nus de tout* - l« < parti»-* «U ' Etals-

I dis ei du (’anrde. La réo,«p i, n fut des plus cbaleu-i us -s «•• r.\sv>oc.iat i«'n «1«- la Nouvel! ■ \ii* l« t.rro 11 «si le

voir que

urAs <«'.*)'is (5>rp . prix 2» ;A **Bell Telephone 2.5 & ll?1^Brazilian Tracti«>n 1*0 ft 164 «’an 1 n«l Alcnhol 17.5 ft 31 1*0 ft 31 -4.« an Cnns Smeller 75 ;i 22*. .5.5 ft 227 Columbia !• sh- n 5ft 15 14 f)«»inini«»n Bridg. 15 a 179. 10 ft ISO l.aur» ru 1 «le I ulp ‘20 ft 9.5 *2 ©0 à 94. ANmtrèal l‘ow«r .5 ft *3 *-4 .5 à *3 N at Brew . 2 . aQuebM- P wer 25 ft 26 . 22.5 à 264. shawmiKan: 150 à *04. 2*0 ft *1)Spanish River 35 à ,»'» 20» ft 10.).Spanish River, prix 50 à 113.Aias.mx HarriM »>0 -. 175 ft 3.5',Bank of f'ommiTXs- • ft 261

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tr« des m< d«

«daré «jue rassembl黕 n'était pas régu- li« r») et n'avait pas le droit de déeidor. «|ii«»i que «m* s«»ii en rapport avec la;

i compagnie I ne autr*' ass««mblée sera j c<4nvo«iué«» d'ici trente j«»urs.

M. Èrnest (Iuimont a alors suggéré, ft la demaml»' de M Vi«‘t«»r Morin, que les obligataires présemts nomment un

; «-omité «le pr«»tection qui s’oceupera «I» > intén^ts «les porteurs d’obligations d’i«*i l’assemb!»'»» régulière. M (Jui- mont a egîikunent offert Aux intéressés; de nommer «l'autres fiduciaires. Mi*

; Alfred Duran lean s’est «>pjx»sé ;i <m»s ; deux suggestions en disant «l’abonl qu’un eliaugement <1«* fiduciaires serait. | à l'heun* actuelle, au désavantage «l«*s obligataires, et ensuit»* «pie. l’assem-i Idée n’étant pas régulière, eeux qui! étaient présent s n’avai«*nt pas le <lr«»it «le nommer de «*omité. Ix*s choses «lu- ! rent alors r«*st«'r dans le statu quo.

Dès le 11 mai. «iernier. le fiduciaire| a fait un examen minuteux «l«* la si j tuation afin de s«* r**ndre compte «le ‘ la direction qu’il convenait d’adop-J ti r. Cet « :<am« n établit clair» ment qu’il était, née saire «pu les affain s

^ , «b- la compagnie soient oontiniuVsuÜa!' ul jusqu’à ce que les obligataires ai« r.t,.noU1 ‘ exprimé leur désir à ce sujet et fait

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I>*s mesures nét-essain s ft ce démé­nagement furent <l«mc pn***s. «-t le coût à «Jat«* s’élève à Çlb.ôbJ.Hs ( V «changement «le méth()«l«* «t «l'admi­nistrai ion a pu permettre «le réalis.-r des ée«momies immé«liat«»ment qui si ««lies sont continuées, représent»- ronl une réduction annm lle de $7.8 - isi'..-2l:.

Voici un tableau «comparatif «l»*s résultats obtenus. (Vs ehiffn-s établis- s« nt que l’amélionitifin prév ue était

$13 .000 Au«tra!i:i .Vs. 1955 . 3 .000 Belgium *'s. 1941

IOOO* Do O'-, s. 1949 *4 000 Do © s 19.5.5 K sxt. ©5.000 Brazil ©! j's 19.57 Kx10 .000 B«»r«leaux. © «20 OOO Can. 5' - s 192922 .000 Do. 5 s 1931 Kx. .11 OOO 1)0 5's. 19.52 75 .000 Frem h * * 194.5

1.51 .IKM) Kreneh 7 s 1941. 323 .000 D«». 7 s 1940

21 OOO Japan 4 s. 1931 24 .000 Lxons. ♦»>9 .000 M.irs«*ill« . «>'s 7 .OO) I’ b & I 7's 1958...

©I .00 ) Do © s 19 »*33 .«KM >eine. 7's. .27 «)«'.) Soissons. 6's. .

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Une valeur par jour

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102 Mil 4 I0t 1104 1 12 10590 49*4 9* 4

103 S 93 ».

102 9© 4

11 * 13 1114 4

encore au-dessus «le la réalité.

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1254 I 73 • .131 236 *4

121 4 ’ * 413 4

30 4 7 3 4

3 7 447

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I*. 4 121 ‘ 46 34 30 *, 74 ■♦7 l. 79 4

I 79 37'. 174

20»,

1 6.5 232

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Le montant total d«‘s marchandises livrées durant l'année fiscale se fer- minant l«* *11 mai Bt'-îb. a été de <:7t)d,7r»8.«7.

la* niontant des expéditions sous l'administration «lu fiduciaire, soit «•nviron six f -maines. a été «h* $4-1.- iMir.TO. soit au taux annuels «le S'I.VJ.- Ô4I.4‘2

Kn «'«insidérant ces chiffres il e*f de noter que la présente péri odi­

le plus Tran*juill<* de l'année; «ju*- expéditions furent faites alors que ateliers étaient <lés«>rganisées ft dant le déménagement, «e «pii a pour effet. naturellement, «le nui-

la production D»* plu*, le fait les affaires étaient sous le eon- du fiduciaire « t «pi un liquida­

teur avait été nommé, «b-vait natu-j rclleinent «liminuer le* v«*ntes. La si-' tuation s'«*st depuis eonsi(lérablein«*nt

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! 6.5

DODGE BROS.Depuis que la Dodge Bros Inc. n

cessé de fabriquer la voiture J cy­lindres bon marché, le premier recul de ses racettes a été enregistré, ("est la première fois que la chose a lieu non seulement depuis que cett«» entreprise a cessé d’étre privée pour devenir publique mais encor** depuis 1921. Ce qui explique la chose, ee sont probablement les dépenses rendues nécessaires par l’exécution du programme «l'expan­sion. Cependant les ventes «»nt di­minué au cours du premier trimestre de cette-année au point que la com­pagnie n'a gagné que de l’netHin pendant ces trois premiers mois Cotte diminution des ventes peut s'expliquer elle même par le fait [ que l'on att«‘n«l un nouveau m«> lèle 4 cylindres plus rapide, ft meilleure accélération et à meilleur engin. 1 La pr«)ducti«>n hebdomadaire des ( d«*rni«*rs tr«)is mois augmente au | p«»int de devenir comparable ft la 1 production de l'an «lernier.

La première livrais«m du mo«lèl« j fi cylindres eut heu en ma. «*t toiu ' les commerçants «les Ktats-Cms «!«•-, \ raient l'avoir v«*rs la fin de juin.La pnxluction «|uotidienno est main f< nant «le 200 v«>itures; avant 1* premier août, elh* sera «le 1100.

On «lit qe les commandes en car­net s«»nt suffisantes au maintient «le c«- taux «l«- production jusquA' 'a! fin «l«- l'année. La conruiTence «• 1aussi grande pour les fi cvlin»lr< que pour !*•* L I «• fi s«» vendra ap-l proximalivcmint 51.000. La Do<lg, j aura ave«* «•«• modèle une • client«'*u’j d'un aulr* genre. Si In «l«-mHndev i« nt « lie nia faeilemeiit satisfai­sante parce qu'on «lit «jue la D«»«lgc a construit spécialement pour la fa­brication <l«* <•«* i» cylitnlres uni* iisi-j n** qui est la plus grande du monde!. boni liée.

Les commandes *»n mains s'élèvent 1 dans le genre..ft env iron $89.000 j La situation d«* la Dodg<* pré-

Kn dépit de* cin’onstanci-s <l«*fav«»- plusieurs fadeurs d'tjptiinis-rables relatc«-s pbis haul. I»- |vuirceu-j ,,u. |>ar fillialb* la Oralmm Br«»s, tag«‘ de* frais d’administration et «h** I la fabrication «l«- camions augmen- \ entes a été réduit «l«- Wi •> p. c. sous. J f,. «•«msidérablement quant aux

! 1 ancienne ft«lminist rat ion à 2*.» p.c |voiii:f««s à passager* In pnNluctiona«-t u«-llcmcnt

j niée ce qui dorner* l«our !«•

I <c I doute coinm» s)ir la

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A let 1 «, n I "27 Do l'*.;3 Do 193 4

Rrnew;«l. 1927 D», 1932

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< i«l« r d'agrandir leur bureau h .!«>n- «jijji n . «-t à l'aveuii. c«-tt«* bnii«|iie liable l«, «•« up«-ra tout h* r«-/.-«h-«•liaii’"» - *i« ' priv ilé*gi«:

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I x «!i val* n«!« Voua «ai n matim TOP AT iïï

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a la Dodge «fc bons profits! *ee«)nd trimestre,

a pit al «|e la D«»«lg** *'*t sans j lourd, le «•«pilai «trdinairei

privilégié est plut«)t basé! capacité de gain «(ue sur

Le dividende ordi-lété versé en 192.’»)

v a rendre plu* pro­ver*»ment «lu dividend**' et plus éloigtié encore |

(ivideiide ordinaire Kn rétumé, le titre ordinaire

Dodge k 20 est valeur de zpé-j dilution ; il se peut qu'une certaine avance ait lieu sur l’augmentation des ventes f il

un actif nain n’a «*t 192b «*

ti»*tpas«|U i

c«»ffret «1*‘ sûreté estNous n«ius njouisson* «h* cotte (aon

heureuse initialiv« «h la part ties j ver DiroebMif d«* eett«- Ban«|u« et non*«•«)!i)| n n«m* «in’clh vont «lonn* r *n- t isfa«*t ion ft sa p«unbr« u**’ «4i« tit* le «t lui «iomirr ncc«' facile pour tout g**iT» «l'jiffain «

certain que In direction fera j grand possible pour conaer-j A la compagnie sa pla«-e !

dans la commerce de l'automo-) bile. Quand au rendement plus éloigné cela dépendra du succès obtenu sur ce terrain par la compagnie.

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LE SOLEIL. QUEBEC, VENDREDI 8 JUILLET 1927

TRES AFFAIBLIE PAR L'OPERATION

Sa lettre parle du merveilleux ftoulagesnent obtenu du Composé Végéta! de Lydia E. Pinkham

Coniston, Ont.—“Après une grave opération et un séjour de trois s*.

.inaines à Phôpi- *tal, je revins chez imoi si faible que (je ne pouvais re­muer une chaise

îLes douleurs .m’ont rendue pres<fue folle pen dant fiuatre mois, j’étais au dé- sespoir. J’a­vais des douleurs terribles au côté gauche et, chaque

mois c’était une tcrture. Un jour que je ne pouvais me lever, maman me conseilla d’essayer votre remède. Mon mari m’apporta une bouteille du Composé Végétal de Lydia E. Pink­ham, et je l’ai pris. J’ai commencé une deuxième bouteille, et à ma joyeuse surprise, les douleurs ont cesse complètement, et je fais tout mon ouvrage sans aide. Je suis l’é­pouse d’un cultivateur, de sorte que je ne puis rester inactive. J’ai pris en tout six bouteilles du Composé Végétal, cinq boîtes de tablettes du Composé Végétal de Lydia E. Pink­ham, deux bouteilles du Remède de Lydia E. Pinkham pour le sang, et j’ùi employé le “Sanative Wash.”— Mme L. La jeunesse, Casier 103, Co- niston, Ontario# /

PAGE FEMININEBILLET DU JOUR

Erreur de tactique\ ouv lettre, ma filleule, m aurait

fait sourir»- si vous n'étiez, aussi pro­fondément désolée, mais vous vou« rendez malheureuse inutilement, e’ il n’.\ a pas de raisons suffisantes d*‘ croire que votre mari no nous aim*- plus.

Vous dites que nous avez épousé l’homme de nos rêves, qu'il est bon pour nous, et qu'il gagne assez d ar gent pour vous donner le nécessai­re et même un peu de superflu Seulement... noiIA le point noir lorsque vous sortez rns^nthle. ü ne peut se débarrasser de la main aise habitude de lorgner les jolies filles à l'allure plus ou moins provo­quante. et comme voua bn ez le tort do vous en f&cher. il y mot encore plus d'insistance et vos récrimina­tions dégénèrent invariablement en querelles.

Vous seriez bien plus habil es si

vous n'avmz pas l'air da vous aper­cevoir de son manège qui n'est que t le résultat ii une plus ou moins in-

.moins de lui arracher les yeux, ce qui -'Orail bien tragique, ou de lui' fain porter un bandeau, ce qu’il ne souffrirait pas. je me demande comment vou> pourriez l’enipéeber de traduire son admiration plus ou moins sin<-ère tous ces jolis minois

Puisqu'il nous a épousée, vous a \ ez pourtant le meilleure preuve qu'il nous préférait aux autres fom-| nies, et puisqu'il est toujours bon généreux, attentif, c'est un signe qu i 1 vous aune toujours, alors com­ment pourrait-il s’enticher de la première étrangère qui pass»1 sur la route ? Craignez plutét, par ces i explosions de mauxaifle humeur, par s€*s ma mf estât ions de jalousie de nous aliéner son affection

Ayez des idées plus gaies et plus larges et croyez que la confiance est ! encore la meilleure gardienne du ) véritable amour.

G1NEVRA

CallositésSuppr*»'.. tu raptje «*♦ «in-<ie* .1o Jn.irm.M»aux imu»

Cm* ; to'it vhw etmarchand le hnu** .’tt

DlSchoiTsX*ino-uads

Arrêtant aouic^t

vantant men

j tous ceux qui l'a-Murvrent• Incendie

l^efeu s’est (léc la ré mardi dernier, sur l'heure du raidi, au premier éta­ge de la boutique de tailleur tenue f>â" M Jos Millette. au No lit* Cas­cades. près Mondor I)»-»» domuia- ges assez considérables furent cau­sés par l'eau. On ignore la eauae de l’incendieAux Troii-Riv 1ère»

\ux Trois-RiNières. a été béml lemariage de Mlle Alice CîautSier. fil- e de M O (iauthler. »it* St-îfya- ‘mthe :t M Henri Arsenault fils d,*- i\l Arsenault, des Trois-RivièresSoirée musicrle

I-. •‘iiiré** musinale «le la « h«»ral« «l«»- 1 hédrale. ü l'Aeadému* <}ir<*uard.

1 a o *tenu un beau succès» L* s artistes

JU:

LAC-A-LA-TORTl K

W ils«*n à St­

ic nard D Brodeur et A Brodeur.Nouvelle manufacture

Ln«* nouvelle manufacture vient d èlr* fondé»* h St-Hya< intlu . a\««PétAblUaemeiit de la manufacture de boites d«* St-H> acint he. elle < »ocu- jm* le ‘Je étage «le l’ancien édifice!Au pr* grrmme étaicn’ Mlle Klianne

Les ru4 St-Simon et , MM Letn%in > Ot St-Ànioine. Cette maison s'ocou|»« | ' J,oii«*n« Chaput \u pwuc> Mme de la fabrication de hotti s pour 1, j maire St-(ùrmain et Mlle -losé- commeree, boiu-s à «•liaussiire*'. à ' | hin«* l#aiig« li» r 1a ehorale u exiVuté c’hemiae plus!» urs moniaux d’*‘nsemble. sous

la din^tion du pr »fes>«-ur liéon Rin- pu« t On a interprêté aussi un. .«»- nu--:i.'. i, s acteurs étau ni MM Vie ter L Chartier. Amédée Ijieroix. .1- !’• • u«nr«i M<»rin. Aurav Brodeur Ju-

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REVIENS!...Ta lettre, je l’attends toujours,Combien j'ai hâte d»‘ la lire.A la pensée de ton retour,Regarde-moi sourire

Pourquoi si longtemp> retarder,A me faire tes confidences ? *Ne sats-tu plu* te rappeler.De notre enfance

Où l'on causait de l'avenir,On jurait de rrst«*r fidèleAu passé ! à Dos souvenirs.Mais moi, je me rappelle. .

Reviens ! non* revivrons encor.L’heur»* délicieuse, intime.Ton coeur pour moi, esi un trésor.Ton âme »'st magnanime

28-5-27René de VALENCE j

ling«* de dessous• etc Bun qu’à s«*s débuts, la nouvelle manu­facture fonctionne à plein rendement, et. tout fait croire qu’elle sera bi» n- têt une de nos industries pn^pèn-s l#a gérance a été confié»' à M Ma­nus Bienvenu, qui » un»* lonpie Ml’ Oarv**nu et Couillard St-Ger- expérience de ce genre de travail. Tl]Hln Biason net-Clément En voyagm

!>* capitaine J.-E. Bissonnet. de* ,r Mm«‘ Ad «lard \ lens sontla Garde d’Honneur. de St-H> H«-in-1 Rarl l> *u ''^yage d«- tn.:> -«main» - à the. a épousé à Sherbrooke, Mlle J « 'il «t N.-nn-Yi rk ll> i« nt I< Jeanne ('lément. La marié por ! *'n J‘lf,r*nobil»

robe de crêpe canton rose,! ^ * Ecole Côtél our 1« s pt r*ionnes que la chose

intén sser. nous rapp»*lons quenuptiale leur fut donné» en l’églis*St-.l»*an-Baptiste, de Sherbr»H»ke

Mil»|H)r-

tait une robe de crêpe canton rose, un manteau de satin noir, bordé <1« fourrure blanche. La béné»lict ion 1 i Ni1

i r.«v

l#a Garde < l'Honneur d«* St-Hya- cinthe. s’était nndue à Sli»‘rbrook*- pour la cérémonie.Réglé pour $500.

Dans la cause de Mme Léa Sur­prenant. la demand»*resse réclamait $3.0,50. de d»»mmages pour la mort de son mari, Valmore Brodeur, dont , le cadavre fut trouvé le long «le la voie du C. N. R., entre Ste-Rosalie et St-hyacinthe, la (\ N. R. a ac­cordé une gratification à la veuve de $.500.

La compagnie niait que Valmore Brodeur eut été tué à son travail, vu qu’il avait apparemment été frappé par un convoi, il »*tait à un endroit où il n'avait pas 1«* droit d'être et marchait sur la voie ferrée.Les gagnants

On a procédé, mardi dernier, au tirage au sort du billet pour un \ oyage au Saguenav, organisé par la j *!' 11 - ‘ _ «t,, *........ naît

l«* Commercial»- Brauque (Y*té. de St-Hy:i(*inih» . n«* ferme iki- < port» s {x-ndauf l« s tn»>is «l’été, mais)«i -ntinu» h «lonm r s»*s c»*ur> r«'*gult* r>. j Pour le.us r»ns«‘ignement > Mipplé- niep’air* - <>n Noudra bien > a«lr«r à M Donat CAté lui-mêm»«v>leRemerciements i r»

La famille Hamel désire offrir

\ a-et-vientMM. Philipp»* Kran« «eur et

DuImms. étanuit <ii* (Ktsaage li«»mfae« . samedi.

Mlles Lucette et Jeaniu tte Kran- enpur. «le St-l>r«*s|Hir. en visite ch« z M. Philippe Francieur.

M « t Mtn. Hervé Thibault étai«‘nt au l#a<*. dimanche

Mlh's Augusta St-Ours et tbr trude. sont «‘ti protnetiadt» à St-Mau­rice.

Mine Sianny Thibcault et sa fille. GilhiTte. ont été à Grand-Mèr« et à Hhawmigan. Nen<in*dt

Mlle CéiMle Kotnpré «‘st part n1 p«»ur Trois-Hivièr«*s, où « lie va r«n.«lre

n isite à K4i fan ill»M N'apidéon Morand «*st rev»*nue

«I»» St-Sévérin après aN.»ir passé quin/«‘ jours <»hez s;» fille. M me K ( 'hampagne.

Mlle Alice L’Heur** i\ es’ nuoiir- ii*^»* à Trois-Rivièn*s Hpr«'‘s avoir pas huit jours chez son j>èrv, M l.'H«‘iireu\

M. et Mm«» Kloretiuuu <’orriN«*au «le Trois-Iün i« r**s. en N isiie «-h»*/ MDrouin.

M. et Mme I#»*»* B*»rgi«ron «*nt et( à Trois-Rivière*, samedi

Mme Gisirgi's Bruneau de p»- sage à Grand'Nière, samedi pour af- fa üa's.

M1U* Anne-Mari*» Lapointe est dans sa famille

Nîlle Béatri**e l^»|K»int«» »*st revenue au Lac, après avoir passé deux semaines à Trois-Rn ièr«*s.

M. ««t Mme ( risse Boulanger, h Granfl \[»Ve. pour affaire.

M Armand Morgrain. «le l'K-1Trois-Rivières, »le passage au Lai-

Mme St-Ours. :i 'Prois-RiN ii- la semaine mssée. pour affair«»s.

lenell*

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Le TRAITEMENT MARLATT

Tous contemplent ces jolies choses, j pemiant qu'assis sur le gazon, ils I sav ourent ce goûter préparé mater- ! Bellement par les r«*!igieusi*s.« . L heure «lu plaisir est terminée,

i! faut s’achemin«*r wrs le vieux cou­vent que l'on aime bien.

On est satisfait de la promenade, on s’en souv iendra toujors.

ROS1TA

GRAPHOLOGIEOn doit envoyer trois ou quatre

d’ecriture sur du papier non réglé pas de la copie avec un cou-

Con graphologique et Î.0 sous en tlm- res pour une etude dans le journal

sous un pseudonyme. Si l'on désire une analyse plus complete, l’on devra envoyer 51.00 et une adresse a Claude Ceyla. “Le Soleil". Les réponses pa­raîtront le vendredi en page féminine.

SENSITIVE. KH. est tn- délicat»1, tensihle et sentiment:ilenient romane-Mjiie l'C'i «!«• cuit un* et tr.»p «i imagination « lie »l«*\r;«it > inUTdire l;i lecture <n*s romans «U'I certaim-nunt peinent lui nuire \er-

. 1 Veuse et irrita-.le. elle M-rnhle nieeunt» nte , . . . ‘‘ I ne son sort, un peu ;wn«Tre et envleus»-

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j() i siennei i a volonté «■>! un peu indépendante,

‘‘«’estante «’ ne favorj«e pas toujours -tv,• *onn«-» intention^ i n |*eu auiierflcfelh1 •■11»1 a «lu bon fs-ns et le «sus pratiriue se -lé\eiopis-r . sfi renient K lie verra alors la v i«* clans s i réalité, elle aura je l'espère.

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Le concours de fautes à découvrir) /L*,,r n-univ un sur une circulaire, émise par la mai-

I son La Mode Parisienne, de St-Hya-] LClflt cinthe. <*st maintenant terminé. M a dur»- deux semaines. Le nombre

j de fautes sur la circulaire, mots mal i épelés, était d«* 1 LJ, et la plus just**! réponse a «'té donné*»* par Mlle B.Turcot, de Marieville. qui en a trou­vé 112. Mlles E. Gaulin. <j034 rue St-Hyacinthe. et Marie-Ang» Dai­gle, il la St-Rrançois, de St-Hyacin­the, arrivent en second lieu, avec chacune 1»* chiffre de 110 ( n prixa été donné a chacune d’elles. Le

H a r« ndu jugement sur 1«* bane, « n ! ‘‘he. faveur *i«' la <i<imand«ir«*.ss»*. l'aotion! Mm»1 Wilson DuImus. «u s«m tils était -ur billot «-t h* déf<>n»l«Hir plu i-J Armand, a été à Tr«»is-R.ivières

qu’il n’avait jms eu «von-idé-, —M. «d Mme Joseph La«*roix.«■n pnimenade à St-Liu*. dimanche

Mlle CéM-ile «11 Simonne Piché (sont n^vnues du couvent d»* St- ! Stanislas pour passer l«;s vaeaiUM-s | «lans leurs familles.

M. Sinai Lupien « si parti l'hôpital; lundi nous lui souhaittms un j>rompt rétabliss«im«*nt.

M Luci«*n Fran.i'ieur • »‘st parti pour Windigon.

mardi-, m- 28. nous «jmttait jiassor s»‘S Naea!U*»*s. ch«*z s«*s M »■! Mim* capitaine J.-A. \«I»1 YaLBrillant. ('lé Malapédi

File a l«* plaisir «l’êtr»* aeeomps-j gné»- d«« Mil»* Claudia B«*»lar«L insti-' tutri»*»1 «h1 Sto-Angélique) qui lui fera rau ' l'amabilité de dem»«ur«*r un mois chez

••II»* Elles passoront d'abord quel- j «pu» t<Miips «lans la "X allé»* d»1 Mata- l oéiia' . « risuitc. visiteront (’arloton- Mana-St -( lim r St-J« an- < ’ross-Point à la Bai«»-<lc>-( 'haU-urs. puis r«*v ien-

idnuit |>ar Camphellton (Nevv-Bnins- I wiekl».

Nous souhaitons «I*» bonnes e'« joyeua«»s vaeances. à nos deux j«*u nés ' instilulric«»s. «*f nous désirons ar«l»*m- - ment leur prompt retour parmi nous

Au revoir ! ! ! A septembre pro- , «*hain

M ois de Ste-AnneV««ndr*»di soir, l»*r juillet «*om-

nienc*»ront à 7 h »»n notre églis*», li»s i «•\»ir«ii«***s «lu mois «h* Ste-Anne.Résultat de» euchres

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>récient les soins dévoués d<* ees »onnes dames qui les élèvent, «lans l’amour de Dieu, comme s’ils é’ai»*nt

I leurs propres enfants. Ln sourire ap parait sur ees lèvres jovial» babille. CVst la gai té. la | encore confiante en la vie.

J Grandir o’est souffrir, petit fi t ez du beau temps de voir Soyez heureux!

Soyez joyeux, quand c'est lej t«nit)s «lu plaisir, ma .s soyez sages,!

iétucfiez bien, car plus tar«I vous ré-' I coïterez votre semence; surtout ne [causez pas «le j>«*iue à ees bonnes |

I mères qui vous aiment l»eaucoup et 1 qui ont b e«»eur de vous faire «lu bien.

Et sur 11 le. quelle vue gradiose «lej 1 Yu-uvr du Créateur!

Hictm illioit '-ympathie. ill'attm* n;»tur« lli-im-ni par son «‘xtèrieur «’UN en . enjoué « t aimahu*

il «*M complaisant p«>ur lotis. «JéNouè P"«ir le- siens proti-etturr «les faibles* et

i t rès généreuxl n gros orgtH'il. de ^a^surance «l*1 a

• «•onflarcv on ot un |K*u de susceptibi­litéi a " «lotit«'• est r.-solue. ardente, «*t forte

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De retourM. le Dr A. L«*febvre. «*t Mme Le-

f«»bv re sont d»* retour d'un vov age [qu'ils <»nt fait «lans les Adirondaks et les Montagms Blanches. On sait

I que M le Dr L«‘f»*bv re a épous»». le 1 I*>r juin <lerni*‘r, Mlle Alina Weir,1 fill*' «l«‘ M et Mme J.-F Weir, de la côte St-Ant»nne à Montréal.

(’«mim«* eouroun1 nunt d** «*ette ‘magnifique e«*l«)bration. un feu dar- ; nfice comme il n»* s'en est prohabl»*-

m« nt jamais vu «lans n«*tr** ville, sera i lancé, au pan* l^aframboise. MM. ;\i«;tor Sylvestre «*f J.-E. l^anoix, é(iii en ont assumé la charge, nous promettf-nt «h- l'inédit.

La p«»pulati«m «h* nos campagnes «d du comté prendra part à la mani­festation qui a «'‘t«» annoncée un peu partout.Soirée intime

Au manèg«* militaire, «‘«*s jours derniers, les amis «le M Hervé Dozois, «mplo.v** «lu CauiMlien Na­tional. ont organisé une agréable soirée en son honneur, h l'occasion «h son proeham mariag»*. Lue a«lresse fut lue par M. Lucien Lé- v« squ» . et un»* magnifique horloge pM>s« ni»*‘ au héros de In f«M«‘ pnr M. Kmile Marcotte, au noms «!»• t«>us les amis présents.

Di soiré»* s«« passa gaîment. Il \ ♦*ut chant, rnusiqu»*, «iéelatnations.' !i ’ tés MM A Oauvin,

.1 L Lévesqu**. K Provençal. R. Bouquet. L. Ijafrance. H l^afrance, R liaflcur. L Hamel, R («ungérand. A Nadeau. A lietnay, .1 MiUeite, K LouÜot H. (h-ndron. P. Gladu, J. Gladu. A Hamel. O. Messi«>r, L. Hamel. L Kmond. L. Laflamm»1. K N«»nnandin. K Klihotte. L B« r- nier. I Laprade. A. Beaudoin. O.

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la piste Quebec

B attle, et Oro

et cimble: Lorenzo et

Ln I^ste des entrées peur les courses de trot et amble dimanche a été fermée hier scJr à 5 h.Le Quebec Erivirg Club aura sur la piste peur son ( proficir.me de d manche une douzaine des plus Vr<u raj^ces chevaux ce Québec et district.

H y a six figurants dans le 2.20 trot concurrents dans le ‘‘free-for-alT* trot et cns.gn Tire tentera de briser le record de locale (2.1C' ) peur une coupe offerte par le Driving Club. Voici la liste des entrées:

le course: 2.20 trot: Vista, Helena Kaprina, Lomer Todd, Bourbon Watts Gilrcy ;

2e ccurse: “Free-for-all”, trot Rocklin, Texas Jim, Royal Knîght,Lady Victory.

LIGUE DE CROSSE«•Ih»*ment <if*8 équipo d** 1» li-

* lit actuelltin<‘nt conup«* suit r, \ i» IM >

l .N. R J 2 0 •tria 12 0 J

Shamrock............................0 0 :i O

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RICKARD--- ■" ■■ -------

IlAU PAS DE COURSE

. ... .. |

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ïéïÊ

Oii trouve de l'or, il > aura tou-j «ours un bon mineur. 1*' «oups d«K i-oii n'étant pas à eraindre.

i Il y a plus «le Jô ans, un nommé j Snokum Jim t’it «ie bonnes affaires (au Klondyke. Il avait un ami intime, j apiielé Tex. oui inaugura la plus grosse mitix n de jeux du \ord-. Ouest et devint p opriétain- de l'au­berge ' \ortbern". «e rui'il y avait «le

j mieux dans !»■ umps. t Tex cependant vivait à devenir un mineur pr« sp*re à l'instat de «on errand ami Jim II “brassa,” les car­tes. vendit «!•• ohip'”. du whikv en £ros et en détail durant qu’il f'n pj> une p«*t ite min • d '« r.

Il organisa, à (b Idfield. Nevada, b Gana-Yels» n. qui lui rap-

(iu«»i à fa - I

!.♦ «dub «le baseball <'anadien. de la ligue t uéb«*e-District, jouera oon- ire l éouipe «b K^inrt. a-t-«'n an­noncé hier s« ir La partie aura li«*u b H» juillet au l’arc «le l'Kxposi-

;« n. L« (’anadûn a a<HR*pté hier «b -*• mesurer à l'équipe que diri- g* M I ,J>bé James-Athel Murray, «•b n«-«*li« r et <« ««rétaire de l'arche- \èehé «le KVin.”. On sait que le v«>ya.e des j« unes athlètes <1<> l'Ouest *"*t '«us le distingué patronage de Mgr O Mathieu

le > v isiteurs s« nt en route pour < u«'b«'e ( . '« nt «le- athlètes de moins de 21 ans recrutés dans les grand» > tnst itut i« tts enseignantes de l'Ouest Toutes les natii nalités et toutes 1* s «*royan«M > s«.nt représen­tées sur I équipe.

Iss jeunes gens de Réguia ont ji.ué VN inmp.g i u <•« m me ikk* nient d«- la - matne. Il> «>nt ensuite visité L«»rt-\\ iibatii. I. kehead City, Port- Arthur, e n Ils doivent jouer h T< "i-n «* aujourd'hui ou demain et h Oii;■ wh. le 11 On les attend à Montréal l« 1»

UNE SEULE PARTIENew-York. h. P.C . I>*s Tiger.- '

ont eogné 14 coups sûrs contre Win gard. pour scorer t à ♦». et gagner la partie (jiiale d'une série contre le* Browns, hier, à St-Louis. 1 n rallie­ment deg Browns h la le. fut arrêté après un point alor» que deux hom­mes étaient sur les buts.

Une seule partie était au program­me de la ligue Américaine.

UN DERBYWindsor, v Wandering Minstrel

de l’écuric Seagram, piloté par 1« jockey Thomas, a gagné le Derb.v «le Devonshire, de $5.(XK). Black «fc VN hite s’est <;lassé deuxième, huit longueurs en arrière du vainqueur. Kl y Hawk, le favori, a fini tnbsième dix longueurs en arrière «le Black «fc NN hite.

bat ai II! porta 5J.0IH). Mais re aveu oes at hi «'Me Tex dont 1« kard.

Cette saison, ce mineur bin»*» son pic «lans un ex<tellent terrein. « ù des combats en plein r.irs lui rapp« rt« -

iI v «le de l'arene, :

écrnier n« tn était• «litKi«-

a fabuleuse s« rnm“ «!e

LEVF.TT, surnommé le ‘‘dynamo humain’ de Lor Angeles à New-York en jouant de golf de 6.107 verges de Los Angeles, ■ institue un exer les très dur pour• vddie.

. s'entraîne au marathon les 18 trous d’un course en 44 minutes. Ce qui

lui-même et le pauvre

ront. à lui *2.000.000.

Dans sa carrière. Kick*.:.rd prêt* n qu’il a organi-é «les c* mbrts. «’« at il évalue les réco ltes à plus d« Ÿll.OtX).- (MK). I.‘» «ie s«-< menus ont rappi né plus de $1Ô0.(XX). 11 plus «b ÿJOO.tXM) I) plus «!«■ SJOO.OOO. b plus de « lOOOOO \ plus de *000.000. J plus «b *1.0tK> - (KM), et l près de *2.00.000. Il s'a«- tend h <«e qu«* b* r«*n'*i utre Tunney- Demsiy ôu Sharkev frise !«• *.4.000.- 000.

VICTORIA ET SHAMROCK AUX PRISES DIMANCHE

AU PARC DE LA CROSSELe Victoria rendra visite au Shamrock dimanche à 2 h. 30 au ter­

rain du parc Victoria. Le Shamrock va faire un grand effort afin des s'assurer une première victoire; les Irlandais ont pratiqué tous les soi rs cette semaine et ils sont dans la meilleure condition possible. Le Vic­toria alignera la même équipe qui a tenu têt : au C. N. R. pendant 80 minutes sans compter d'un côté ni d’un autra. Le capt. Gingras se dit confiant de remporter une autre victoire sur les tricots verts et se main­tenir sur le même pied d’égalité que son fameux rival le C. N. R. La joute de dimanche promet d’étre très contestée, les tricots verts o nt une «quipe de joueurs très rapides, et bien entraînée, et le Victoria a besoin d'être sur ses gardes s’il ne veut pas se faire jouer un vilain tour. Les Irlandais se lancent dans la mêlée avec détermination du commence­ment à la fin d? la joute. Bittu» ou non, il ne se découragent pas.

JULFS FORESTI, à l’extrême gauche qui vient «“arriver en Angleterre avec une machine de 400 c.v. propriété d’un prince égyptien, avec laquelle il espère briser le record de 205 milles à I heure établi par le major Seagrave

VIF INTERET

UN CHAMPIONNAT MATCH DE GOLF

POSITIONS DES CLUBS

Lu match annuel «b* golf entre les clubs Ix>rett* ville et yuél»ec sera joué n Boi>»châtel. «b main, après- midi. à ‘2 heur» s. Vingt-huit joueurs y prendront part.

D s d» ux équipes me suit :

ILS SONT QUALIFIESHamilton. Ont., P.L. Trois an-

i»“i chr i j i«»n- golfeurs canadiens >« hi«*r pour jouer «lans hu

u tou !

avant coude au 1 e a\ ant

sortant du chalet pour la se- romb f mais il était en arrière

• •t il put gagner le match b- l.V ;• cott faiblit alors «*fta.

- d«sonr nuaM pemi-linab d’entre » u cago, «t S.i'.d; don. Ont., «.nt Ils ont pri- de

1 urs ad versai *•*

Kr,>i amateur. D« ux

.iik Thompson, d** ( hi- S mc rville. «le Dm-

gagné sans difficulté, fort» s avances contre

- te<p -etn’-. ( ; -K. H«*- blitzel. d- Lambtem. « t NV.-H. (iar«l- ner. de Buffalo, au < «»ur- de la ronde de l'avfcnt-midi. I>s perdants ont mieux joué durant la ronde d«* l'a­près-midi.

Don ( arnek. du club îAearboro, de Toronto, a dû livrer une bataille eon- rli iormA avant «!«■ «li-p«»-‘r «b» Nor­man Scott, «le Montréal. score a été de '2 à 1. Il avait un tr«m «-n

Carrick pti* tr«»is trou> de suit*( arriek jouera aujourd'hui contn*

S«>m«*rviile. tamlis qu«* TU<*mps«*n s«* mesur* ra à Aîaurice-J. McCarthy, de Brooklyn, qui a éliminé Stanley Thompson, «lu club Mississauga, de Toronto, par ô «*t 2. lii<*r. Thompson avait une av*ance d'un trou a midi, mais il ♦•n p«r«lit trois au cours deL.i „)f ehaqm* «lemi-série «le neuf durant l'a- <a~ près-mi «li.

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Ligue Nationale C»

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Dun- BrooklynN« w-York, S. P.< .dee <iéf«*n«lra -on titre «lans une batail- Philadelphie, b* «b 12 rondes c«mtie Joie Knapp., Bvs,on «b* X« w-^'ork le prenii«*r août. ] Cincinnati... Paterson, N.-J.

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047003595

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pion riL’Association Américaine »iir.j4<.

G P PG Ba. ry.Toledo... 46 26 03 4 '• pu irMilwaukee.. 43 32 573 >« ra uiKansas ( ’ity......... 42 560 que» j«Minneapolis 41 •{H 519St-Paul... .38 40 48«In<îianap«)li.5 33 44 429Columbus ........... 31 45 408IxxiiRvilIe............ 33 49 402 La

.\ ardi soi dernier a eu lieu à Bois- | chAtel la troisième parue de eartes

• uohre qui « omprend 100 points pi r partie, et qui devait en même temps

i dé*« id< r d'un championnat.(Ytt«> troisième partie a été gagnée

! oar . I Iric Trudel et Joseph l ara- , «lis. « hani} ions du club Mont-St-Louis

«le t'ué*p«*e. c«»ntre \l.vl. Elz Canni- cha« 1 et NN . |4eaulieu. champions «les Laurent ides. Malheureusement la chance n'a pas favorisé ces derniers puisque cette partie leur a coûté un titre. «J ceux oui étaient opposé à «‘iix établit allés à Boischàtel bien «léter- minés à vaic re leurs redoutables ad­versaires. Environ cinquante ama­teurs s'eu h rt donné rendez-vous «‘t tous ont pu juger la force des joueurs qui se faisan nt la lutte. v

Y« ici le résultat des trois parties: v ' Trudel & Paradis, le partie 100

2e partie 70 3e partie 101..V.v. Carmichael À. Beauli«u. le par­tie 94, 2e partie 100 3e parti** 80.

Après le triomphe des nouveaux ehampions .Y Trudel «V 1 aradis J ont lancé un défi à %1A1 Vézina «X

: \«"*zina. chamj ions d«* Ihdschâte! et «e « lé fi a été a<*cepté. la première partie aura lieu à Boischàtel jeu«li prochain Glasgow, le 14 juillet. j 16 juillet.

1 e deuxièm»* «léfi a été lancé par !| A v . Gagné cV iToulx champions de’St-Sauveur à M.vi. Carmichael & | UNE

1 A ur*.(‘ ass« mblée tenue, hier -»>ir.a ligu< Québ -District a «lécidé

! Ihier que !«• jomur Alfred Bernard! appartient au chib Chamy mais il

•ouver, « -A., 8. (P. t . . Le »e peut que Bernard soit libéréGo«>ds«ll. d’Australie, beham- par le Charny.>m«ur «lu monde avec aviron

«léf» r «ira -«.p titr«* «*ontre Bert , chLirpion d’Angleteire, !«• .">1

bn*, a \ ap<*ouve! Barry «b po- j '* garantie «!«• *7>(K). «1 ici «pmi-

New-York. H L'intérêt «lans l»! Grand Stee plechase Natu ral qui sera disputé à l’automne au Bare Belmont, le dernier jour «lu meeting, a été accentué par la nouvelle qu* Sandy Hook, fameux sauteur anglais, sera amené aux Ktats-l nis i our prendre part à la course pour i r« bourse «l»* $35.000. De plus r\ he

! Ace, le meilleur sauteur de France, sera envoyé en Amérique, clans

| quelques jours.lies inscriptions seront closes le

12 juillet, mais déjà la course s’an­nonce comme «levant être une épreu­ve internationale et rappelle l’inva­sion d’Epinard et de Papyrus. I^auf- junge portera dans la course les «•«Mileurs «lu baron Von Lynckey.

j «T Allemagne. H sera en tramé à Sa- I ratoga.

POUR DEMAINMontréal. S. - Tout est prati­

quement prêt pour le meeting «l'été «lu Bach River Jochey Club qui ouvrira demain samedi à Sair.t- Laurent. Les officiers travaillent avec une hâte frébile à mettre la

j derrière main aux préparatifs d

LES COUREURS PEUVENT S’INSCRIRE MAINTENANT

Le prcirctcvr Nap. Coté, qui organise la mati­nee ccwtfs en futcrrcbiles et en motocyclettes peur dîirxrche, le 17 juillet, a arrcncé que les ccurses Ficctf'res te ferent peur des bourses de î<C.(û aux p i « m : e rs et de 520.CO aux seconds. Les coureurs en Eutirrcfcilcs ptu\crt s’irscriie :n"mé- diatement peur des courses de 2 et de 3 milles. Ces épreuves eent ouvertes à tous !es chauffeurs de Québec et des environs.

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Deberry > >nger. Clarkson«•elle réunion dont d’avance le succès

tout annonce ans précéderit.

UNE TOURNEEIx>n«lr«

glais de tourné* à bord

s ( P.( . —L -joueurs an “Bowling’’ oui feront une

au « anada prendront passage «lu “Melita ". ajourd'hui, à

Ils arriveront a Québec le

Cette réunion verra démarrer «le bons coursiers et b* magnifique hip­podrome de Saint-Iguirent sera peu­

plant une semaine le rende/.-v «»us i «les amateur» «le turf. Plusieurs innovations seront «.ferles au pu­blic. dont la moindre n’est pas cel-

! le de faire afficher les noms des locl.-cys d’expérience des novices. Les premiers auront leurs nom»

I écrits «n noir et. les derniers au­ront leurs i « «i s en ntuge.

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C'incinnati. 002 300 303 lit*» ^Philadelphie 0j0 0(Ni 004 I 10 .

I,tiras et Hargrave. WiiiouRhhy. Dwa- ttir, Panel t »•» Jonnard.Chirago O KI 110 2 3 0f'ittsl.urg 100 (ski «Kl I 4 1

Carlson et Hartnett Dawson et «»ooch Ht Louis 003 331 020 i-’ 12 :Boston 000 «MX» (KM I S 3

Sherd«)ll et «> Farrell. Smith. Kdwards. Mill «*t (Mbson

QUESTION A l'ETUDESt-Louis. Mo . 8 - (P.C 1 ne «lé-

pêche spétdale de New-York au "St- Louis Post Dispatch" «lit quelcspro- priétaires et repiésentants des clubs «le la ligue Américaine se réuniront aujourd’hui pour considérer si Byron- Bar.«Toft Johnson restera en office com­me président de ia ligue J on contrat expire en H 35 et son salaire annm l e^t «le J540.000.

L’Association Amarlcaine

Ligue Inter nationale

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H 13 I l 10 5

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Louiavl.le ...... 257Minneapolis 12 15 0D«l*err>. Moss et McMillan. Myer.

Malone et Krueg« rCf»luinbus...............Nîitwaukee l.y«ms et Ferrell.T«»l«Hi«>Kansas Clt>.BfefTer et O Neill Indiana|N>lis 10 13 2St-Paul 3 4 0Schunp et Florence, sn.tder. Beall

MrQuaul et Casto Meitner

Johnson

Sheehan

\ 7 3V 1 1 2

You nu » fi O> n o 't Pet ers.

Beaulieu pour jouer le m» me soir. DECISIONA L’AVIRON

L’A. S. E. C.

L lEDES REGATES

\i«»ntrA'«l. 8. Les régate» annuel­les du club nautique Otterhurn «li­ront lieu samedi à Oterburn Les clubs Lachine. Valois. Gran<l-Tr<mc. Sainte-Rose. Saint-Lambert. Ujn- gueuil. Cartierville. etc., y prendront part et «e disputeront les trophées offerts.

érie «b* la lik'ue «le baseball 1 <l« l’Association ^iMArtiv»1 «bs Em­ployés Civils ron mereera demain apiW-midi. à 3 h«ui« >. au Manège I Militaire. D* «lui» de la Voirie join ra contre !♦•» Pirates. !/• circuit , s« ra comfAosé de trois équipe». I«*s, Giants. ie> Pirati s et la V «uri*-.

Monsieur Gérar«l Paradis lance ( un défi à Monsieur Cha-lcs-Aimé J Marcotte p«>ur une séri«- «b* POOL, «l«* 300 points « t un «njeu «1«- $10.00. >

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AU CLUB LOYOLAIji lie ronde du ooncour» intermé­

diaire au club de tennis Loyola s’est ternnne»* avec i* > résultats suivants

Miehel < ii^nac bat O -Ls Dubé, i»ar 6-2, t>-2; (î. Guay liât L. Drolet. i»ar 6-0. 0-2; K. Marauda P-O Dui»^. par défaut. M Giroux bat Paul Pro­chu. pai 6-0. 0-d.

Voici le programme de la de ronde Ci. Guay \ > A. < hréticn. M. (iiguac

r M. Giroux K Maianda by*

%-aussi du

NOUVEAU CHEF DANS LA NATIONALE\ oi k, .s l't ' G > (’ubs

«»iu piiN la |>r«-rniérc p>>ilion dans la lign< \ationalc en triomphant «les l'ira!» > par un score <1* 2 à 1 hier. A l'it ! -»i*uiL G» joute a donné heu A une j lattaille de lance urs **ntre Hal ('arlson ei .bu Daw on. Elle a été arrêtée duian! la ' * man«*he h cause *!*• la pluie Apr* - 'iv défaite eonsé<‘Utives. les t animais, champions du monde ont dlS**M« ce*. Biav es par 12 à 1 en com­menta! t un» M*rie à Ho.-ton Sherdci a accordé cin<| coups sûr*: G*s Reds

L'agm . par 1 1 à t*. la première *1 UH* sene avec les Phillies.

G lanceur Arthur \ anco a rent- p«»ri' une h* victoire consécutive «M.aud le> Giants ont défait le^ Ro­bin» par d à 2.

ACCIDENT DU TURFWindsor. Ont . ^ P.( l^e ,|o-

< ï * > ll* i'i \ ( hundi. de Gmdon. tint . | oui est tombe ♦•n l*a» de son cheval.I 'armachem- Belle, durant une <*ourse j in* rcr« ci. à piste «lu pan* Devons-1 ' ir. , « m«»rt hier à l'Ilétel-Dieii de

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sur le losange

VITESSE DANS L’AIRLondres. K. P. (’. L'Angleterre

espère reconquérir en septembre pro­chain ii Venise l«* trophée Schneider, emblème du championnat interna­tional des courses en hydroplanes. Lu contiance des Anglais repos** sur le fait qu’il y a actuellement dans les îles bri­tannique- sept machines qui peuvent fair** «lu Ii00 milles A l'heun* lorsque le major «le Bernard!, d’Italie, a gagné la coupe contre les Ktats-l nis. l'an dernier, la plus grande vitess** obte­nue fut «b* 258 milles A l'heure H sa vitesse moyenne «le 246 milles.

Les sept machines sur lesquelles les Anglais fondent leurs espérances s«»nt de trois modèles différents. Il \ a trois monoplans «lu genre sous-rnann Napier, trois biblans du type (»l«»st* r- Napi«*r IV et un monoplan Crusader, muni d'un moteur à air froid

Une envolée spéciale aura lieu A Felixtowe, sous la direction «lu Royal Air Force, pour choisir les pilotes «pii représenteront l’Angleterre contre I I- talie et les Ftats-Unis. L'envolée sera sous le commandement «lu « hef d’escadrille L.-H. Slater. Les autres membres du personnel seront, le lieu­tenant-aviateur S. .vi. Kinghead et les officiers d’aviation O. F. Worsley, S. N. \V«*bster «*1 H. M. Schofmld.

Le tableau suivant donne la liste des vainqueurs de la coupe S«-hnei<l«'r et il fait voir comment «m a pu aug­menter la vitesse «h*s aéroplan«‘> au cours des 12 dernières années;

Milles «â l’heure1913— France......... . ... . 451914- —Grande-Bretagn**........... K61920— L’Italie............. 1071921— L’Italie............................... 1111922— Grande-Bretagne. . . 1461923— Etats-Unis..................... 1771925— Etats-Unis........... . . 232192t> -Italie. . ............................... 246

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L’intellectuel d'aujourd'hui, 1 sons-nous dans un«* r« v'u«* allemand^ s'imagine 1«> sport tel qu’il est raconté daii'* les journaux et pratiqué sur le stade. D’après lui. ce n’est qu’une course ver» des records dans h sqmls il voit la projection «le son esprit. En observant l’affllux énorpu* des foules vers les stades, l'inte llectuel se de-j mande paifois ^i l«* sport <*st vraiment nécessaire à la civilisation.

lies méthodes nomhieuses <1« la gynastique >iK»rtiv<*. si répandues «lans la société, ont telh*ment trans­formé le sjxirt. qu’il s'agit pmt(‘»t d’une mode exaltée que d’un mouveîm-nt populaire. ( e fait constitue un»* v raie m«*nac«* pour l’avenir «lu sport dont la crise est déjà év idente. La cause «l«» cette «•ri^*- peut s'expliquer par !<• dé­dain «1«* l'intellectuel envers I»* |»«*rt. 1

Il ne faut pas oublier «ju** les some. >. «lu mouvement sportif sont d’origine purement intellectuelle et c«* sont !«‘s * «•ouches cultivées de la nation qui r» a- j gissent le plus fortement sur lui.

Dès que* les intellectuels se sont «b- [ tournés «lu sport, le mouvement a changé son caractère essenti«*l pmr1 «b'v* nir professionnel et «•«nmucrcialisé par les gens «b* New-York city.

Pour l'intellectuel, b* sons «lu sport «levrait av«»ir une bas* int«'llectuclie et «‘‘tn* régi par 1«* principe synthétique de l'esprit et du «‘««rpv

G' typ«* dominant «b* l'intellectuel de l’avenir s«*ra «n hannoni** av«c uni organisme parfait et bien «lévaloppé.

MICHEL SE PREPAREMontréal, 8. <«eorges .\iichel re­

cordman du momie delà trav«!r.s<*e .le, la manche a la nage a passé la jour- j née «l’hbir A préparer son mit raine- ; ment et à faire Gs visites «l'usage. Rev't I»ar l«* consul «le Franc*', ht ba­ron de \ itrolle, ù nti«h. c**lui-ci. après lui avoir «lit combien les Fnjnvais .je Yiontrénl espérai«mt une grand* v i««- toire le 31 août, le retint à diner «liner pour le samedi 9 juilb t

Déci<l«'ment la vilb* <b> Abmtr«vil « st hospitalière aux étranger* \l.j F -\ Guillevin, industriel réputé* a invité le champion «lu moml« à aller habiter sa pr«»prièté d«» l.aval ou «•«*-1 lui-ci pourra s’«*ntrainer à l«iisir av«*c tout le confort «lésirable.

Il ne m ra pas si^ns mtér»‘*t «I* sa-j voir que Niichel m* Uirn* pits s(lu «ui Ira it:« n « nt à fair** «!e la nag« N! fait de la lutte, de la course, il dan-o ii la («r(.e «t fait «tous l«*s exiNtrcis* s de culture physi«iue

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omiu m«*s parents, àHellechafcbe. pour y

v a<,anc» *

M J.-Kuk (2auvin.de oeltf* «•►t de retour, aprfa a\oir mielqiies temps, l’hAte <le M F lir.Mieur ft sa villa d’été à dreuil.

St-^ler. aïs passer les L’EXPOSITION CHEZ LES PERES

v'ille, pa>.sé A -A Vau-

MISSIONNAIRE

L’hon. Alexandre Taschereau et quelque temps M. Antoine Taschereau qui sont ac­tuellement à la pèche au saumon seroot d<« retour ii Québec demain.

et sa I(fasse.

Lhon. sénateur K&oul Uandu- rand est en ce moment à S te-Pé­tronille. I O . l'invité du Dr et Mme Arthur Simard.

Son Ho rieur le lieu tenant-trou- \ emeur d’Ontario et Mme Ross son’ retournés cheit eux après un court séjour à Québec.

l-e juge et Mme Jérémie Deca­ni et Mlles Simonne et Adrienne Décarie partent aujourd'hui pourla NTalbaie |Miur > paaser l’été.

Le sénateur et Mme Jules Tes­sier sont de retour d'Ottawa où ils ont pa*.sé quelque temps.

M Peter (’hfttoauvert, qui depuis uuelaue temps ;i H ill. vite de \f John Graham, ♦•st tour ft Québec.

êta it l’in -

le ro-

M et passent la re-du-Loup

Mmebellé

Paulsaison

T a sc h area u i la Rivié-

M. ('. Ronalds, le gérant gérerai de publiité du club international Kiwanis, est. en ce mon1 eut en v ille et loge au < ’hfttea i

!>• général A.-O l-’ages. qui habi­te de nouveau Québec, a ses appar­tements au Ch A tea u St-Louis

M. Arthur Dcry. Mme Ch s de Guise ♦ Mlle (’amille de Guise passent l’été à Ste-Pétmnille. I O.

Mme Arthur ce moment ft la passe un mois.

FitzpatrickPointe-ft-Pic

estou

enelle

Ij*‘ l« juillet sera célébré le maria­ge de Mlle Gertrude Chabot, tille du col et Mme L.-G. ('Iiabot. avec M Claud Richardson, tils de M « t Mme J-G Richardson eje ( arlslua-! ton. Yorkshire. Angletem-

Ni. et Mme J.-A.-T. l/imbert. i \l et Mine K Lambert, M d F . et I Lambert ainsi que ville Gi-i

, bru 11»* Couture, «le Québoc. s«»ut j revenue d'un voyage aux Ktats- I nia. Ils ont visité les Montagnes Hlariches et ont été les invités des familles O Iwi.nbert «*t () Pelletier, de iterlin. N.-H. Ils «mt fait !«• trajet en auto

L’hor.orable Dr et madame H -S. Rélar.d ont revu F dîner, mardi, en l’honneur <1** M. Kamiel Lefeb­vre. n aître carillor.ncur. qui a don- ré un concert dans la capitale, lundi après-midi de 4 ; «-t U»soir de 9 à 10 heures

M. et. madame Victor Mathieu, qui ont assisté au dîner d'é’at le premier juillet et aux fêtes «le la (’on fédération à Ottawa, sont, de retour en ville, dînant leur passa­ge dans la capitale fédérale, ils étaient les invités de l'honorable sénateur et de madame H -S. In­land.

Madame Allée Robichaud tOle M ■ iernoiselh Antoinette d« \« w-Rcdford. Mas-, sont passées ft Q.lélM*e. l«*s hAt«*s «î«« leur nièces et coudims Mlle Robiti.s«>n. et elles '< s.»nt einbaroué'»1.* >ur le "North­land" pour visitor hurs parents «ic Ste-Annc-d«*s-Nf« nts, Rivière-ft-la- Manre. Mon» St-l*ierr«*. Nf« nt la>ui>. Manohe «FKp s<, «-t d’autres parties «b* la Ga-p.'sie.

Madame h’ Jobin-N«*el «l«i re- tcur «b Montréal où ♦•!!«• a été i»a.s- se (judouns jours l’invitée de Mme J.-A Niayor.

Madame J -M Latnour«*ux « st «le n tour d«« St-l^aur«-nt. I ().. «»ù « Ile était l’hôte <!«• Mme J.-O. Oonselin.

On annonce pour le l’i juillet pro­chain le mariage de mademoiselle Gerrnnn • (’haU'i, Plie du (\Jonel et «b- Madame L.-G. Chabot. ia«c M. (Maud Ri(«hatds«>!i. fils do M. et madame J -L. Richardson. «!«• Carlsh* .ton. V«»rshire. Angleterre. Pas de (aire-part.

M Roch Julien. d«» Québe<*. vient de partir [Miur uu voyage de plus do trois semaines à travers b* Canada. Il ira jusqu’à Vancouv«*r et Victoria avec l’excursion «le IT Diversité «le Montréal

Monsieur et madame Vilmond Robitaille ainsi que leurs ♦niants.

M Anbnne Rivard est paru pour | Pauline et Gill« s. passent quelques Roberval, où il passera une dizaine i îl I Hôtel Verre t. au l,aede jours. j St-(’harb's.

I^a<lv Williams-Taylor et Mme ! Samedi le ‘J juillet en la chapelle Frederic Watress, qui étaient les in-1 privée de I église StM*iau-Haptiste

M et Mine Henri Dugal annon cent la naissance d’un fils né à pital St-Luc le 1er juillet baptisé le ô «*n l’eglise N’otre-Daine-du-chemin nous les prénoms de Joseph-Albert Jules; Parrain et Marraine Dr et Mme J.-Donat Chrétien Porteuse» Mme Georges Cloutier.

Suite de la page danglais, et depuis «•♦•tte «late. cinq missionnaires * v rendirent Actuelle­ment il u’en reste plus qu’un seul

Au Canada encore, ce fut avec plai-ir que I*>s Jésuites, accédant ft l’invitation «le Sa Grandeur Mgr l’archevêque de \ otitréal, accep- tèr«»nt de reprendre la mission in>- quoise «ic Caughnawaga aux port««s de viontréal. Depuis PHJd. 31 mis­sionnaires ont pris soin tour ft t«>ur do cette misuon. ou résident encore ô missionnaires. P«*r«‘.s ««t Fr«*res.

Kn suivant l’ordre chronol««gique. nous en arrivons a une autro mis­sion que les Jésuites canadiens ac­ceptèrent en l'K)7 et qu'ils gardèrent jusqu’en 1912. époque à laquelle elle fut contiée aux Jésuites américains. L'Alaska De 1907 à 1912. 20 mis- stomiains prirent charge de cette mission, «lans laquelle il ne reste plus qu’un seul missionnaire caoadien-

I français. *Enfin en 1924. une mission do

'Chine devenait le |»uriag<* des Ca- Tiadiens-français: le Siu-Tcheou-Fau. I Parti»- »lét..ché«* de la mission de Nankin, «iesservie par les Pères Jésuites français, le Sin-Tcheou-Fou s«< trouve au nord * «« Chang-Hai.

|("est un*» largo bande de terre dont 1 Tes extrémités couvriraient à peu iprès la «listanc.v do Québec à Otta­wa; «huis cette mission, depuis 191K à laquelle le premier Jésuite cana«lion- français s'y rendait, se sont succé­dés 11 missionnaires, actuellement il

i \ «m a (’»; mais ce chiffre sera vite ; augmenté, si les événements révolu­tionnaires n’y mettent pas d’obsta- cio. puisque » e mission se trouve

1 h<>- ! ,*qre le lot p«i liculier «les Jésuitescanadiena-françai .

OBLATS DE MARÎE IMMACULE

vitées d«* Mme McKenna, à Spen­cer-Wood. s«»nt parties pour la Mal- baie où elles passent l’été.

M. Pierre-F. passage à Québec

( 'asgrain ces jours

était de derniers.

' a été béni 1»» mariage de mademoi- | selle Clara V illeneuve, tille de feu Georges Villeneuve, ex-évaluateur

I «le la cité de Québec, avec *.»i. Cliar- ; les-Olivier Angers, ma;rchan*l-tailleur | de cette ville. La bénédiction nut»- i tiale leur a été donnée pur ai. l’ao- j bé Garant, vicaire d«» la pandsse.

Les heureux époux sont partis pour un voyage à Montréa1 Boston. New- York. et autres villes américaines. De retour «le leur voyage ils rési­deront à lü1^. avenu»* Turnbull.

Ai.j cette

et Mme Amédé ville, ainsi que

Lap un M. »t

deMui'

Mlle Hortense (’artier part «bmiain avec les ex<‘ursionnistee de l'université de Montréal ]»our un voyage sur les « ôtes «lu Pacifique.

M. «»t Mme Paul Wate!, «le Paris, s«»nt en <e moment l»*s invités de l’hon. M. et Mme L.-A. David

M. Antonio Perreault. C R., «le Montréal, était de passage à Québec ••»*« jours derniers.

M. et Mme Gerahl C«H>te partent aujourd’hui pour le I^ao-St-Joseph pour y passer un mois.

M Thos. Legault. M. P P. de Stur­geon-Falls. Ont., était »*n ville hi«r

major et Mme Percy Law et I En l'église de St-R«»ch.le b juillet, leurs enfants s«»nt partis pour Mont-1 a ùaptisé. Jos«ph-Jcan-Louis,réal. «>ù ils habiteront définitivement. ; ‘ ^e.t, tnndnme .1.-Arthur

1 rortin, ( lara ralardeaui. ParrainMme Archie Fraser et Mme F. I ^ I,,arraim‘; M ‘1 ina«lame Joseph

Scuddy, qui étaient «lepuis quelque *,or!,n' OIJVp e,,, ,antp Porteuse, temps les invités d*- Mme McKenna, I lnadaii.*' Vvc rrançois ralardeau. à 8penc0r-W«x»«l. sont retournés à grand mère do 1 enfant.

\apolé«>n La(H>inte. «le St-Laureut. LO., sont partis pour une quinzaine au Lac St-Jeau, en visite, chez des parents.

M Henry Soucv. de Salem Aiass.. est «le passage ici avec *a jeune femme née Jeannette Lebel. en route vers St-Pascal chez sa mère, madame Ant. Soucv

Montreal.

\a* major J.-F. Lamont, de Lon­dres. Augletem est à Ottawa pour

M P.-E LaBrecque. professeur à l’Académie St-Joseph, «le la paroisse St-Jean-Baptiste de QuéU*<\ est

LaVA)6ueV^ayme St-Jean)

SPECIAUX POUR LV VENTE DE SAMEDI

A NOTRE

VENTE SOLDE DE JUILLET

Monsieur et madame J.-S. Aïo- r«*au et leur famille s«inf mainte- j mult en vacances ft La Villa mon! Repus” «le St-Gervais «lo Bel léchas-j se. leur résidence.

Lundi matin, avait lieu a l égli-! se «b* S nmt-(’«>eur-<l«»-Vlarie. la bé-! ntxliction nuptiale de monsieur Emi-' le Denis, tils de M. J.-Arthur Do- ! riis ft Mlle Juliette ('ôté. fille de’ monsieur Jean-Baptiste Côté, de! cette v ille La bénédiction nuptia-1 h* Uiur fut donnée par le Rév Père David, de Marie de

(’«* qui frapp»* en entrant «lans <ve kios«|ue. o’est un magnifique écus­son sur lequel n ms lis ms «v» «jui suit

A Sa Grandeur Mgr G. For­bes. anei<*n millionnaire, suo- cessour «les Oblats chez les Iroquois «i*- Caughnawaga, pro­moteur *e la première exposi-

i«>n missionnaire ««anatlienne, l’hommage de notre profond respect et de notre siucèrt' gra- ( itude.Les Missionnaires Oblats Mario

Immaculée.j L’on se croirait au pays «1rs Es-

L« choeur «les Enfants | qui maux «u «lans les vastes plaines la paroisse fit les frais du N’or«ï-é)uest Canadien.

j Encore un «•harmi»/*.t <*oin qui a attiré un grand nom Ir** d»* visiteur* Dan» le nord «le l’Afrique, les Pè­res Blancs dirigent bon nombre «!’é«;oles. On compte dix espèces «b* nègrcN qui se distinguent par la mentalité et les m«M*urs I n ma­gnifique étalage «je spécimens «Fé- ent un* des écoliers indigènes p«*u- vent s u pporU-r la comparaison av «•«• n«»s mtûllours calligrapnes. Des «i«- voirs entiers attestent le travail sérieux et intelligent des mission­naires auprès de ces pauv res | al* n- Dans l'Ouganda, territoire confie aux Pères Blancs. «»n compte 31 prêtres indigènes (et cela dans l es- paee «le 40 ans seulement). 120 petits séminaristes et 45 grands séminaristes. Il y a environ 2.400.- (XX) chrétiens.

En un«» seul»* année ce territoire a donné prêtr«*s. 4 «hacr«s. 5sous-dmeres. et 20 «lans les onlns mineurs ; 10.(XX) néophytes ont été confirmés «lans un seul noviciat. Dans un concours en anglais. tr«»is <l«*s premiers prix allèrent, à <l«»s écoliers indigènes.

Le Postulat d«* Québec, fondé ••n 1001 par Mgr I rorbes a pro­duit 102 sujets prêtres et 23 cua«l- juteurs. L’œuvre comme «m le voit ne demeur** pas stationnaire.

Au centre «le l'Afrique, on que la même prospérité. Dans celle partie du pavillon africain, on v«-:t

i un beau can ail que oorter.t encore les rois dans les grandes cér» n «»m« >

'officielles, une peau «le léopard, «les peaux de singes, des cannes <!*• clu»fs de tribus, des étoffes d’écorce «l’ar­bre (louhouga); «les colliers «lo s«*r-

I eiers. des haches indigènes, «les monnaies de coquillages; «leux tam­bours de guerre, en bois creusé et

i tendu avec une peau «b* bœuf ou ' peau de boa. Ici s’étalent toutes sortes rie médecines en usage «lans le pays tb«>is. c»>quillag**s. corne de bœuf;. Plus loin ce sont, les lances de guerre et de chasse, les boucliers en racine ou en peau de buffle. Au centre de l’exposition, un magni­fique lion bourré semble dominer

ii!«»r » • ;en«lre >a pro­tous le* exhibits qui

l n «’étail qui peut n- ; !e> «‘très e défcmîent

nie ii

BLANCS tout ie pav D’AFRIQUE teclitiiJ »ur

l'entoure: *. téresser «• « -du lion av et* un sr: pie Mt.*n qu'il* tiennent «lans un*1 a'titud*- r enaçan- U* et en |>«»uss&nt «’es «ris vuede ces meQace.s fait reculer l«* li«*r'.

Dans la parties «le l’Afrique «lu Nord et «lu Soudan, les «'bapeaux, les ornements < e tête*. «<es mon-eaux de v et en et t > «lu Père Louis Richani n assacré pur les .N rsuhi ai s du .Na- haia, «les plats arabes «le «lifférent«*s nuances, pipes nrub« s. un** belle «*«»1- lelation «u- papilloi.s. «î»** «u-rfs d’Au­triche, peau « e léopanl. articles en v iaire tnivaillé par Us i.ègn-s «tu (’«»ngo Belge. d«*s « lépliat't- «•iiéb-n**. et«* . tout atfeS'e une gran«le habile « et une scrupuleuse pr*« i>i''t Religieuses hospitalières de la miséricorde de Jésus de l’orde de St-Augustin-

(’es ndigieuses «le I H«’*»el-Di« u «l«* Québt<* ♦ix|)t>sai«*iit une magnifique ii.a«|Uetle «b* cette instilatioii à cette époqui* « t «*xe«'Utée en 1S50 par une

maison «le Bressoles; un vieux pot «l'onguent apporté de Sèvres. Fran-

. une -tatue en l»ois «le Samte- Klisultelh. sculpté** au couteau j»ar

eligieuae; un plateau en ar­gent massif. «b»n de Mme Guillou- Duplessis à l'occasion «le la pn*e d'habit «!♦• ses deux filles en 1712; un plat d'étain, apporté de France «n 17 IL; une tapisserie Go ta* lin «lue aux doigts habiles «1 • l’une des reli­gieuses; un antiphonaire typogra­phy «le Pans en 1725. apporté par !«*s pn-miers missionnaires «ians la cl»ape!b* «le (iranby et donné à l’Hôtel-Dieu en 192b [*:ir Mgr Ija- mouroux, curé «le cette l«x*alité.

• (’et antiphonaire est tine vraie ! antiquité portant son cachet spécial

«b* n lture. Ici c’est un vieux mor­tier apporté «le France par Mlle

j Mhîum-; aussi un vieux graduel «le lfi70. des palettes ties grands Sei- gneurs d’autrefois. un tableau <«• statistiques «le l’Hôtel-Dieu et tout*1 une galerie «1«» tableaux his-

! t«»riqu**s. etc.

l’albâtre dé» ♦ n servie»*

découpé et fouillé coupé et transformé ft th«». en i»ant«>ufies. etc.

Dans le d martemenl de 1^ b1* jouter ie chin«*ise. les merveille* «*on- tinuent «Je s’accumuler bouclei* d oivillc épingle*, garnitures «!♦♦ cheveux, épingle!tes anneaux, bra­celets. etc.

Dans la brod«*ri* • u ap*'r«»*ivait de imignifiques (rivaux «le t» ut* s s* rtes; pi-r^^nnagc' | ■’' des. «useauv. salle à dîner et I:mille chinoises, etc. , . ,

Plu- l*in nous nfx r««ev *»ns les ido­les. les Bouddhas, un* statue de U Vi» rge et un p« rtrnjt d*‘ la M-to Nîeri»- Sacrament*», religw use qui .» passé 20 au- « h» /- U" lépreux « ’ «létsirtV de la mé«l:'die «1 ii«»nn* ur « n re«M>nnaissan«*e <lc - s* rvu*es

L*‘s travaux natté' n* b* «'♦•dent « u rien aux autn-s. jîla eaux en ftbr«* d’al.*ès. en bois -«uilpté. 1 n*1 s«t» n*« de «lause indienne est beauté.

tou* o

FRANCISCAINES MISSIONNAI RES DE MARIE

SOEUR GRISES

d’Yd< *

mvill*'S«i*ur>

f >n- G**i-

j religieuse I rsulir.eHôtel - Dieu de Québec KES DE MAKIE |f.j n’esi Madame

Cette institution fondée en 1539 'datrioe de l'Institutpar la Du« h» sse «l’Aiguillon «»xp*»saii ‘ ( ‘4l,c Congrégation compte ; ses et la premier* ('.mad'*mie t

i une Tr.agnifiqu** itaquetu» représen- anm'cs d’existence et son effe«*t if j fon(jer ,im. <M)ngrégali«ui. Cetl« *•« n- • tant l'Hôtel-Dieu à celte époque s,‘ ‘‘hiffr»* u o.OÜO^ membres «lisai- grégalb n f«,ri<lé** »n 1737 embrasse »t txéeuté** par un** religieuse I r-u- inin s «lans tout I univers Ces r**- toutes >«*r!es «i’œuvres «b1 «harite; line. *i'. IhbO . j ligieuses s’adonnent ft toutes le s | (’rè«»hes. h«»spi«« s pmiir v itillanls.

Er. 1S(»0 ces religieuse;' hospitaliè- oeuvres d** charité «*t «le bienfai-1 é***Jcs ménagère-. f«yerreii ar-j r«*s étaient au noinbr** de ô.n. ; sance. enseigneuint. catéchisme, Ié-j|H)l|r j,.un**s filb-s, insiruction des

Sept à huit cents ieala«ies pauvres iprus**ri«»s, etc. ’aveugles, v«iill«».s auprès des tuait-sont traités ar.i uelbuioint L’H«>tel- Les exhibits étaient nombreux des. vi-iie# à d« nibble. Cette oongré- Dieu «!«• Québec :'u' foud«; en 1039 et «l’un bon choix. La Chine, le 1 gaf h n «w nip «• 4(HK) pr« b -x’s rép ’ - parla Dm-hess»* «l'Aiguillon. Japon. Ma«lagasoar. l’Orient, le Ma-[ties dans 219 établissements. >« s

riH* étaient bien représentés. Une I œuvres s’étemlent «le l’Atlantique !naniu»quin représentant un man­darin «*n costume brodé à la main «•t portant un riche manteau flé- ché «*t décoré de son collier. 1 n p«‘U plus loin, on voyait une jeune, sionnaires

HOTE.L-DIEU DE MONTREAL

17 Hôtel-Dieu «l« Montréal était dignement repré auité. D»1 b**aux «•xhibits artistitpnunent disposés «»^- fraient un ngr«'*abl« coup d’œil. Par-

I mi ces exhibits nous devons mt n- j tionner une statue «n noy«*r «1«* la ! Sainte Vierge, sculpte, par un sau- | vage; un ostensoir donné par la J Duchesse <1«- Bullion en l(*S2; un ciboire de 1CK2. la pi**! re angulaire «le l’Hôtel-Dimi posée par Jeanne .Mance; un em-rier qui a appartenu 1 à la premier** Mère Supérieure de la !

le nord jusqu’ftau Pacifique et dam l’Océan Glacial.

C’est en 1S44 que les Soeurs Grises de Montréal dev inrent ni i-

sur la demand** de Mgr St-Boni bi­mane** chinois** en costume de sa- ; Proven«»hcr. évêque <1

tin rouge, bnxlé à la main par des j «*c. Au «lébut quatr« reffgit-uscs orphelines chinoises ; une jeune dirigèrent vers la Rivière R«»up- hile chinoise v«‘tue d’un beau cos- I parcourant 2.(MK) milles en «•auot tii'iie hr«><ié. Plus loin ce sont «les 1 d'éf»< r<««. vovage qui dura 55 * urs. cuivres ciselés, «les services i thé.i D«' Si-Ibuiita»1*1 au fort Aklavi * dos anneaux jwur serviettes, des (situé à 50 milles de la m*r gla< iab . plateaux, des théières, des coupes, I ft 4.13(5 milles «le Montréal les «les burettes, des coffrets en cui-|vre des Indes. L’ivoire des Indes Miueft la page 19)

du chant pendant la cérémonie, ainsi que monsieur Maurice Denis, frère du marié, qui chanta l’Ave Maria de Do as. Après la cérémo­nie un somptueux déjeuner fut servi ft la résidence de la marié*' y prirent part M. et Mme J.-Y. Côté, parents de la mariée. M. et Ni me J.-Arthur Denis, parents du marié. M. Z. Côté. M. G. Brunelle et Mlle Augélina Côté, M. Chs Rédard et Mlle Marguerite Côté, "'ill*- Maria (’ôté. Ni lie Alvina Côté,

I. Edm«md Côté et Aille R. VTUe- nettv*, M. Omar Côté, M. J.-B.«’ôté. M. et Mme Victor Denis. M. Maurice Poulin. M. .Vthur Denis jr et Mlle Irène Arnyot, Ai. Lucien Denis et Aille Annette As- selin. M. Roland Denis et Mlle Cécile Dupéré._ M. Chs Lamonta­gne et N Tie Marie-Jeanne Denis, M. Maurice Denis, Mlle Yvette Denis. Mlle B. Bussières. Mme Emond « t quelques autres dont les nom*» nous échappent. Plusieurs santés furent proposées et chacunsut s’y rendre avec

Les mariés quittèrent ie train d’une heure et Montréal.

éloquence. Québec par trente pour

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b

Nous irons sur ( eau. n«*us y ipr.» n’pr nnener.

N «ms ir«»us jouer <1 «us Cfn» «lans l île

C'est bien le refrain qui a joyeu­sement retenti dans nos cours d*1 ré­création. <*es jours «lerniers. à l’an- n«moe «lu pique-nique ft File d’Or­léans. L«' pique-nique ft File..... Unrêve qui fait battre «h* bonheur lesc. purs «le n«»s jx»tits......

D«mc. hier, b* 6 ils défilaient avec j entn.in vers le bateau, tout fiers des gentilh's ix-tites tuques multioolo-

! re' o^i’ils étr«‘imaieut, grftoe à la gê­ner» sité inlassable «lu b* n M. R«>- berge, gérr.ni «le le Travers*1, vrai

j p'rc pour n«»s orphelins..... et les sixI cent vingi p**li.es têtes faisaient I "ruban «Farc-en-oieF sur la route et sur le bateau.... gaie et sûre pro-

1 me-se d’une journée toute de so- ; leil et de Inmheur .

Da traversée.... une «.•.‘•nie, qui permit aux chanter à plein cœur les i>lus joyeux.

Là-bas. les heures «>nt

D's ««»utumes. les moeurs, la religi«‘n. les habitations ii«>us sont représ«intées s«*us de vives couleurs. Les tribus indiennes de 1 Alberta, de la Saskatohewan. du Manito­ba. «lu Keewatin, d«* la (’olombie- Anglaise. des Territoires du Nord Ouest, du Yukon, apparaissent dans leurs vêtements, engins de pêches et anues pour la ohasse.

Nous ftp«'roev«*ns encore, les pho- 11 ««graphies de tous les évôriues mis- sionuaires Oblats depuis ÎH45.

Une miniature de la première ca­ll hédrale «le Mgr Charlebois au Pas ! et un*1 autre «le la première oathé- «Irale de Mgr Grondin, à St-AI- bert, intéressent au plus haut point.

Une charmante scène représente un** messe sous la tonte, l u magni­fique tableau des martyrs LeRoux et Rouvières frappe le regar«l du spectateur.

Deux mannequin?; représentent deux missionnaires dont l’un du pays des Esquimaux et l’autre da l’île de Ceylan. Aussi un mannequin d’un chef imlien.

De nombreux exhibits ont été fournis par les missionnaires du Basutaland. au sud de l’Afrique.

Il faut remarquer aussi un portrait de Mgr Bourget qui appelait les Oblats en 1X41. premier ordre reli­gieux à pénétrer au Canada après la conquête.

Mentionnons encore un groupe de s* e urs missionnaires de l’Ouest et du nord, dévouées auxiliaires des mis­sionnaires.

Tout autour de la salle nous app; raissent les armoir.es de tous les. év«»ques Oblats de l’Ou» i Cana-J dien

ICONGREGATION STE-CROIX 1

1Bien en évidence, s’offrent à notre; vue les portraits du R. P. Moreau, fondateur «le la congrégation, du j R. P. J. Donohue, supérieur gêné-, rai actuel, de Mgr Lepailleur. nou­vel évêque canadien aux Indes, du i R. P. Boulay. vicaire général de l’ordre, qui compte à son actif au ! moins 15 ans des missions aux In-| des Orientales.

Toute un» série d'articles indigè­nes s’étalent sous nos yeux et pi- quent* notre attention: « hanleliers de,

,ir«-v'*' ber-j «.uivrr, finement travaillé, chapeau» ♦ niants de?«je liège ft l’usage des missionnaires,! I«s refrains | plateaux de ouivTe ciselés, sandales J

I en t*irre cuite, p-iras*»! des princes, en i P'!11- soie av*‘ç manche de bambou ; un*»,

«lant ««u»- '«>us I «ml bienveillant des|Htatuo iH Sainte-Vi« rge. sculp ée < ■rg.;ni'at* urs «1* cette f«»te, les g:« u- au o*)Uter.u, un «i* ffr« t r!« nt les corn- p» ' .:* uaicn» av«•«» ♦•mniin et s amu-j partj,m nts présen.« nt un vrai lahy-i

à qui nii*‘ux mieux. Pujs rjn j)v uno miniature d’un prêtre del .'••••• les gâteries distribuées h Roudha, le pré rehoudhiste se voile

profus'*.n P«,ur re.aire les f«)rees,, |;i f\gUr,. quand il s’adress** à uneafin «1< r* pr« ndr*' les jeux. Gn , Nous voyons aussi les divi-scninunait p« ur oublier que le b«*au ( ni(^s hindoues, un crâne de va«*!e J'^jr étal» sur s«»n «loolin... • hind*>ue, une ciJlecti* n d'une dén i

Quelques ifWan»s av'ant !*• ‘lepart, fj0,|Zaiu0 d’éléphants sculptés «n I b« mTable Sénab ur Dandurand. pré- bois un rK,h„ 1a,)lfl sur |(.qUf>i if.s ■œlent «!«■ la Ligue l*‘s musulmans prient, un plateau env:n lair*1 visit* a n«>s J meurs. L ar-. pjorn. p^yg, ciselé, aussi «lesd* nt |> 'n*l« «!«■ «•«• gran«l ( ana«lu n. I armf>înpnjs divers et chaussures du i( i vibrer • pvfruiti^m*1 îl,‘! JT;u*| pays. Un beau morceau qui capte

t b'ur** ehants. leurs V IV ATS. |•att<,nlj<in (jos visiteurs, c’est un!. salut «les p*tires Biques • tomp|f. ,.n marbr.* «dsclé et fouillé

«•ouIout- * nt redit aux j Taj-Mahal. Delhi .I II*1, que I amour de la •

m1*». et.. aux é««h'

v i\ «• «le . . , , I^es peaux de singes, les ooquilla-

"••'n* <•■<« '•'« <'« «ikw ,|P mor. i. ,.iKrtrPtt.. du pav.n«>* «nrrn*' ... „ • feuille «le tabac, enroulée «-n form*

Inns l« signal du départ mit fin i ^Finir est le sort desP.UX jeux.

plu- douces ch*»«es” I/** ret >ur lutl encore un enchantement oui prit! un* f«>rme n<»uvelle à l'arrivée au' quai d*- liévi- Des autos attendaient !*• «»onting*int «lu matin On cueillait le plus possibl'* «b» i»etit«*« t/tes de foui»1 •4>uleurs ei prestement «.nles rendait aux [H»rîes de l'H«)Spic«*. *

('hers Bionfai’* urs et Amis. Iai«-| se/,-n*»us vous ropéter que cet chari-j té d« nt si souvent nous sommes les ténrnin*». nous touche («.ujours bi^-n '< nsjbb m« n'. « t r« us v*.udrt« ns v«.us. <ltr«' un merci riche « . beau comme le bonheur nue vous donner ft n«»sl « rphelinv

M«ir«ii à M R«»l***rg* . dont la «'ha­ro é ingénieuse treuv* m.m -n «l’augm* nt« r h*«l'H'-iiiqu#1 qu’il *!« nn* un' à nos |M«tits

Âi* rci à t «ms eeux qui «*nt contri­bué «h; «pie Ique fav«»n que ce soit à «•ornbler nos enfants «le «louceurs et «I»1 gâteries.

v1 « rci ii Mrtssieurs les A it«»mol»i- lnle* »>t charretiers qui «»nt si gra- cieuserrent roi' loirs voitures à la «IDpositt«>n «!«• la grande famille..

«vine' un splendide échiquier r|f>nt chaque carreau e*«t une pierre et les fleurs eomp«>sées de pierres, tout «vt étalage prouve ft l'évidence que l’ha­bileté et l'art sont en honneur chez ces jH'Uples païens.

Merci aux Messieurs de la Com­pagnie des tramways, qui ont eux aussi, mis à la journée, une derni«*re note «le "joyeux envol".

Ua charité est toujours belle et, touchante, mats elle devient une douce caresse, quand elle donne aux pauvre* des heures comme celles «Fhier, et quand elle s’exerce avec la

depuis neuf

toujours b-' eornplaisan«*e qu'y mettent n«>s rhers , job-s du pi-( bienfaiteurs et amis i

Que lo bon Dieu vous le rende à tous, en grâces égales aux j«iioh dont! v« mi s avez ensoleillé la journée du (i juillet.

Merci, merci, au nom «le n<is pau­vres et «le n«*s orphelins, merci au nom du personnel religieuxLet Snpurs de FHotptce St-Joteph

de la Dflivrsnce, LévisLé via, 7 juillet 1927

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NOUVELLES DE LEVISMcxaiulrr l>ai

poursuit

OUI)l

Note» perfconnclle>.1 -Thon-H* 1 »*• 1^-

s. Hin.*i quo >a fil*-. Mil** Hélène Hoistinnl. >MDt <io retour d'un voya- k«* H une dizain»* de jour» à Dalhou- ■iie Mtr** HoishU ot h assisté a.i rnanatr** de *h uiofo, MH** Lucienne Samson a\e<* M. le Itr I<e<» (ïaudet, de Ualhousie

Mlles (.Ycile et > in-.one l>ion sont en promenade à Ottawa, le- m- \ jiée- de Mme M - A Bélanger.

\T B. Bernier, «le l^é\is. *-n\ «le 1 retour d Ottawa, où il h assisté aux j fêtes «le la Confédération.

MM Désirt Lcn eu • ^ndrt I>eRjar«lins. de Montréal. |»ahM*iit luelques jours chez M Maurice don. phamia« ieii. à I^ôm-

Au chantier Davie, à Lauson 1a barge à \apeur "Mapleton

<!e la Canada Steamship Lines, est sortie hier matin «b* la ' ieille <•«!**- sèche de lAuzon. où elle était entrée, il y a un** dizaine de jours, a tin de subir «les réparations ù sa coque.

!a Hopper Barge \o 2, «lu Dépt de la Marine . d'Ottawa, eut • trée hier après-midi dans la \ ieille « a- le-Bèche de Lauzon. afn de subir’ îles réparations à sa coque.

l,e navire •’(iaspésia . de la Clar­ke Steamship Co, Ltd. qui est clans la nouvelle cale-sèche de Iauzop., où

I subit des réparations h sa coque, *11 sortira la semaine prochaines, aîin de reprendre son service le 13 juillet.L'état de no» malades

Mme Joseph Dubois, soeur «le M. Philéas (.iuay. <1« Bienville, vient d’entrer à l’Hôtel-Dieu «i«* Lévis, afin de subir une opération «*hirurgi- cai«*

M Baul-Kui ,.' I,aliberté. «le St- David-de-l’Aubenvière, qui fut blessé sérieusement, il y a quelques seniai- nes. - étant fait écraser la main droi- lie entre «leux wagons, va mieux à ITb'del-Diou «le l,é\ 1- L1 pourra conserver son bras droit et droite, ainsi que le pouce «U l'index, mais il va lui faire subir, ces jours-ci. l’amputation des autres doigts de cette main

\f Hennénégilde Vachon. «le Had- low. cmpl > é «le la t'le des Tram- wavs Rlectriques de l^évis, qui était malade depuis une semaine va mieux.II pourra reprendre >on travail s«>us peuDeux accident» au chantier de

LauzonM. Philippe (ïua;>. rav aillant au

bassin «le radoub. Lauzon. a été

‘VUs

Me ni» lorsque La i«*ut« est «ir«»i- t* il ♦-t préférable «1» trouv*r un eri«ir«jit «H>n\enable a côte du cbt- nim. soit sur une *-utrée d* f**rme. soit un chemin transversal, et d> laisser slaiionner -on automobile D** cette fa(,on. ciiacu» est sauf-

l^*» officier- de v iteSS** «lu «lé- partement «i** la Vtdrie ont reyu instruction «i attm r l'altentiim «'.«-s automobitisu - sur «•»* point lorsque cela est nécessaire et de fair*- ra port au ministre des «-hs dont auront «‘onnaissance Pa* de détour» sur no* route»

Le ministère d« la Voirie attire l’attention de- automobilistes «!♦* cette provinc-e et «les touristes étran­gers j»ur l'absence «empiète de «ié- tours sur le- grandes routes «le la prov ince <Juébe«'

Les «létours sont toujour.- une <-au>e dVniiui **« de retard. Autant «ju** possible, le departenuut «le la Voirie de Québec fuit en w»rte «1 «*v i- ter aux automobilistes la plaie «les détours.

I*es travaux «le construction et «le réfection sont organisés de telle sorte que les automobilistes puis­sent circuler sans avoir à laisser la grande route pour faire des milles et des milles sur des chemins rieurs.

Mme *nni® Peforge d® ef un Huer® frire M

fc’itauli. au i'fcnaûal a tcr«,\e de» iis»erau«li

s * .t filature X.echi» nuv-v« 1 udfrr Houle • rue Merchant

'• retire ue- - api > .i\ oir fourni« annt * * <1* « t . ie à ne «-arrière a«*ti\e

«t .1 fait (-.ideall «le »«*ti Itl.tfta-ill k MNI fll- M Armaud Ho Je

Mm«* Amulet I fth a a-si-té à -

pribe d lut bit • <' «Mivette. relie»:ieu- | «1«* la Présentait

trnée «le -a -«i-ur 1 nie IHdire

Woreeste' \ii * t > une Ai I a'»t«é clé au mariage «ie

! M rue » r\ inc 1 1 luire a\e«- * 'le

I fille «le Vi. e. \1 *l rut* Pic«îm«*nt

Hermin - 11. «croix . .* vosac*

1 I « tue-tWarnn |; j ,e chef VV tifri«J Xfo-

nast - «‘-i fait I interprète «les pompier» «le Warren en 1 ré-en*. :«nt au cpitaint* Nornianil Viai • 1. Ma—assoit H00U A 1 • . . je en «>r insigm' «le-on grad» I,e i« m» «i*-* ret iinpn»mptu.

« .«.vêtit .t».» ’ -«e < «rif-I livatinthe «tin1 ;« la -a fil U* Mile V ut omet le e « l e - !e» Ké\ d«*- -II K Ile était luvompa- Mine i’terre t'êtê. «1«* «a

V 1 «‘gli.»c \«Hre- o u--P « .retil« r a ofTi-

1 \ lfr-«t- VV I )a!l tirel».«i

riorenee-\ « ‘htHpiette.«■ • HihM or C lux j net t «■

• témoin- «tâtent Mlle oit «t M C 'ha rie* i,a-

• !** m M’eu -e fait dan.-

«pti est ment -•■t . ire «}«— intvntlie*

• iepui- douze an-, h et« v i»il>lnr« ni « ntu piir cette auncale manifestation

ville N v«*nne Mercier a organiM ave«• txueeè» un concert donné au t«irl- t'l«ii>Cch»» Ha t« «tan at Haohau*

lio-ion via-- 'ville 1>« ipi ' « Itioiiue Dori*neale! a «te feue j>ar <m wr' ..l-' d amie» A I «>ct ;:-•«.n «!«• son niariaa* 'Juin ave<- A» Tlioina- liritroll «1«‘ |)««r« Me­ter

f^* mariage «i« M. Oiiviet- Vrthur I»e« maison» et de Aille Vin* «'■ • >er tl t ...«Oagre-* .t ^t«* céM'^ié à 1 «'kli-. »i i«.«« Haptiste «le 11 ' par \« 1 .« l’ierr,î-acroix cure .M Tilnioit i «•'.U,n« et VJIe « ouisc C'ormier étaient n— tén. ■ • \« ViKdmond «‘ormier et Frank lloivm «i* l>o'*«*h«—ter ..tti-oaietc c«»iuine placeur- «.« )eun« «-....i !«■ .. fait en aalomr'-ue -ci vrtvage «le n«.»ce* à C^uélte. «»t » * f<mtréal

Boston Mas» 1 *•» arti<»nnatre-«1*- filature- •h v er«‘tt. i*- plu- ►■'.•n«i «t.i biibaentent textile «le ««•tou û 1..«v»ivnce ont \«>té «le liquider le- «flore- «-t M* ont invité 1 •- directeur- b mett etnces-amtuent A exécution leur «léci-.«»n ». ■ projet «ie «« ramv ;»ar une compagnie «m. - h! -.uuu- pa' les directeur- 11 a pa- été approuv** par le- détentcir» «i aetn n-

Worx’ester Mas- i.e tu.inane «j«M .io-et'l) ^ Parc fli- «i* M et \ni •• lo

—«* pli - V Pâté, aver* Mlle t.rac»- F Dohertv IJtti rue Pleasant a «-té «•«‘lépr. .1 1 égli-«-

«I . I ranci*. P -ervatttententde témoin

Houthbridae Nia-» . «.e» funérau-orm 1 usaaitil l >urlos «*m «* ; 1 •

a l égi.»e V.vire-Dam* oft M U curé taMit-O rrigitniH* ofti« 1.0' a '« »r.o 1me»»«* ri«« requien* f inhun>ati«»ii a «'t«' fuite au cimetière |uroi-->al

* « t Mme Fdinoit'l Ku n,. 1 a.n-i■ vt «r Mme kmédét . « ' lan.’ -««tit r« veni etM*liant«v«. «i un v• «>age \e»N «»t «*t i VV asliingtou

'»« et Mme «iubtave i-et la ml M ' - FerUmi «*t leur familW* atn-i «tue Ni

«t 'vint* liMeph î. Herthiaume et leur f,« ni !!«• *.<nt «l«* tv our de Kitliiburg «ni li­on; .«--t-t«• ...i mariait** «le M «.lonel Ka> ntonu utrefoisde -««..t hbridue a v «•«• Aille\i . i> - i«..

Warc ATa.— I.e ré«*ttil de AmieVii.f l> •■!««* .««i profit de I église Ai«»uf

« ni • . ; runs À -ill. » Jeanne .laetju.1**!*< 1K ■ ■ . «•;,u et \nnett«- '-tr.««,K leime- virtu«-«- fraiM'o-aniéncan • - .i« -« foreciia’u ur« »« ine*»l applamüiFeu J R fWshcu

rMair’i«*l«l < i M Je -|i Maiieun«' .« s> |>hip- Canada le J» novembre 1 s 1 ** *.«•:,t «l»' mourir iai—unt pour pie;,rw |H*rte M»n épouse quatre fils \i viH*‘ «t ' t'.«n,- AiaMe'i «)«■ l*«i mm \rtin. Plainfield et Fdoua d v t a heu «leP" ••.. «'• imiK rtlle- Muii Viriu'-in»> « • Pr<*\ ideniv K« -e « • lion- Vîa

heu de P ut nan*Ai Aiaheu a «mineure à Putnam i*en

dant soixante e* dix an- Il liai«itait Plainf1«»ld deptn- «leux .«n- -on -er\ u'o a ét«' chanté i«*i et F inhumât «on a été faite an «MUietiére **t«- Marie «A Putnam I «• defiil»! a été luuidant ».« :«n- le «lirei'teur du «•/«.eur d«« chant a I « g»i-«- *le-Mane de Put nam

Pntnani Ci Ai 1 ou;- Car.m .* « téuditii-k I hApttal -t-Vuifent «i«« Wor.v-- U1 Mass pour fraci u i .r.«- amiu

Aime P!err«« Hélaire i « i la \ - le «ie -a tnér« «!*• W«neM«r

Lucter

« rhotiia- a u- <|U0 plusieui* autre-les fuitéraiil*’- de ville lion Ida * asau

imiu ont en lieu de j, r»’».ileo«*e de v et- \fme F*(v«1-i If «fine rue Amm è I «•gli-e *'*t-Ja«'|Ues « «n A| le « ir« Anthei u>; v,.»!- lard «•fiante « umus-e a-^isté «1« » UK t*l* J«*Ne|tti V l>« net> ei éa- Vi« « anh>I. Inhumât ion «*u lieu ai *•« .n»ti«re st- J«»;.epM P««ria. nt le «'orp» Vi v» H«mJoI- i»h«* « M «n K liel »!•• « •an'hié 1 n-c ; Ha<’«ne K o-a r ■ iMuiflmt «■' Tin «théeJom -

f«>rd, Hervé I afl Viaunce Ken vud. u» si l>«sUuHei*s. rtiond la»*«i«H*

mine l.é.i Carl^iineau ' <• I\io l.Ctourif ..u, Fr Kolami < outurv. Pa-’

♦•ne K'en«leau V'inett

a Ware Mass

-t Aime trant, uis-eiit du retour «le le

I us-ier étudiant k >;» of «ipioinetr>. k K«»« ii«

ere « 'M*pel '• til- M l(o«*heet t««r \ \

Oanislson<'onn l « Kév ••« .

dard > \l «Mire de li jue- a présidé la séatx

1M«

M-e réji He«*t«»r-, Inxil •Ccolisr» ds

I lanielvm Vuthehne Al r«ii--e ’-t .laKraduatuui Vingt huit élé\»** disaient a I éc«il«« iiaroissiale <’lat ent *' K Hou> «1 net Nliel«|«in-0 ('a«Miette Olivier l Oi. mils Vo Insure-A (iaudreau krmand H! .o ornix' Vntonio I l,aga--« K*»méo W

' • Km v .-n, , < m,C ;.« une kiit««itiette H lia^ibeault H«>'

«h -«■ H llul.ui- l.orett** I He-patie Gr *■** « I v» lola Al I ai>ell« Agnès A Pépin Tl'érè-«» A Poudrctte leannerteM Kainville (’o .« Ai Savoii* Al.«non A T.vtreatilt, !.•.-.« Al Tétroault et Hélén.

F in Htaot»

Ware A.a — ville était trop «*1 notnlireux parents Mont •Carmel l n avait été préparé N.eurs «le J-te Anne

i.e*> «iik-huit flni-sants Mint Mar Kénièrc «îertrude I.«-fort ite.«. Km.» Fontaine c écile f'hat pent mi ( 'laire It ihuque tivu'o Alahe-lvo-e AJ iiérv <»liv.» A \ «•> >>l\io I étou'-nHau Victor Bourtleau. tiet'rges CAtô Oér»r«i «.ervat- Hervé la f1alnm•• Adélard Hitman Her«o.ifi Poitras »>* Albert llul- - II- ont reçu leur- «li plonu - «|«> Aig; I P - leehan «%uré I es élèv.s suivant- -«• son» fait valoir aupro gramme «l«* la -«»irée Ji-annette Jac«iue- Annette -«trac., .ti«-eph ( harbonneau «» A«1rien leves.jue K’.a P«*itra- l.dlian Kent« . « Hé-.ti n »1 H.iipui .leanm-u«- Hef

* -aile «ie h««i« i «P gu«* p«mr wevoir le' • amis de- écoliers «M inagmfitiue nrograti M ' -««..s la «lirt-'inm «I*'

Hiles lui •rêne Kten-

ralimt I va Pauline I .«

Chaput Atari.- IC-e Ajuerv Pauim«> Ijnr ... F« u laine\«V«I.» housquet * Vrt «’Marpentn-r Aon. I. i-» (Cita Fontaine. I va Poitra- lilandme Ibn harme flerria.lme l.atoi» -i,-. A«p .enn«* Fournier C’é'ule Pki bot « ., . 1 » v s ,•l’aliHit I veline I hv-luui ; r- .Ali«"e I

I lilian « ha'Mit. t.'»«-i;i Kiel Atartiie Pou lin <’«•,•«1»* «iir:o'l Jeannette fMuture A nui t te I 1 i .ni' « laire Fontaine. P- telle Uaignault «•' l)«.i«- l*haueuf. K«l«»uar< l.uixi'-'ièro A alo, 1 liutg K v a <'luriHdl

Rifa Me—n Cha ' •

tuirdineki«»UM|l|'

d An sénécel I aurette « Jiunonf

Ai.' lani-e < »•' < Mar« 1 ..««•hambre lier

1- \ . Potti «a Nt>elll

\CHFTE7 I ES M A? CHAXDüM ANNONCEES

« /vin nare» « hoteleaRO»

i 11 f**-

Pour embellir nos route»!<♦* ministère «le la Voirie vient j

de planter 35,000 jeunes arbres l«| long «le certaines grandes routes. Ces plantations son» la suite de ia politique d'embellissement qu’il pour­suit depuis 5 ans. A l’heure actuelle, il a planté près de 100,000 arbres sur les principales routes «le la pro­vince. Ces plantations ont déjà amé­lioré beaucoup le paysage Dans quelques années, l'aspect général «les grandes routes de la province aura complètement changé; les automobi­listes de la province et les touria-j

-a main j tes étrangers feront leurs tournées' annuelles avec plus de plaisir.

Cette politique d’embellissement | sera un succès si l’on coopère avec le département dans le soin et la préservation des jeunes plantes. Ceux-ci, eu plus d’être exposés aux rigueurs de la température, souffrent]' des dommages considerables cha­que printemps du fait de personnes! qui. sans penser à mal le plus sou -1 vent, en enlèvent des branches pour

j orner leurs automobiles et quelque-'; fois même les mutilent sans aucun | prétexte. Le ministère de la Voirie, j

victim» d'un d>>ulour»ux u»»id»Ilt. t0l' .,‘'1 “oll,c,t®,nt 'a l-oop^ratiou du .card, dernier. Alom qu'il ctau „ Public en vue d assurer la cm,s.sant-e

• *,,rage avec d'autre outrier, M. normale des jeunes arbres, sévira au eu. un pied écrase par une 1 ,,n endommagera, t ceux-c, ...a-

'.c,nie pièce de fer. [I fut transporté *cl^J*emen*'cl.c, lui où I.e médecin lu. donna j A«...tance nombreuae aux baxarx les soins nécessaire;

I n nuire ouvrier du nom «le J. t untin h. eu un pie«l écra-é. avant- hi. r. au même bassin, par une lourde p.««-e de f«*r **i en aura pour quelques jours avant «ie pouvoir reprendre ! ouv rage.t n auto en reculnn» enfonce une

vitrineLa vitrine «b* la boutique de M.

<biud*»-** Houde. sellier, rue CoTii- merciale. ;'» Lévis, a été brisée avani- Mier après-mi<li i>ar une automobile qui recula sur le trottoir. Le «•hauffeur ne put arrêter sa machine .use/, vite et arriva «lans la vitrine «pii fui enfoncée. On attribue l'ac- «nlent i une défectuosité qui se .-•jrait pntduile «lans les transmis­sions.Une belle fête intime

Dimanche dernier un groupe «le jeuntts tilles *|e Lauzon s», réunirent à la résidence «1** \L Arthur Ood- IhuiI. «à Lauzon. pour b^ler Mlle \nita Niercier. till«* «ie M. Alfred Mercier.Une adresse lut fut lue et plusieurs «‘adeaux lut furent pré­sentés. Il y «*ut un programme de «liant, musique et déclamations et un succulent goûter fut servi aux convives. On se sépara tard dans la soirée avec !«■ meilleur souvenir «I*» «*0110 1>»*!1** fête.Mort de Mme Raymon Belleau

I ne «les familles les plus dintin- guée- «I»* Lévis vient «l’être pl< nze** tlans le deuil par la mort de Mme Raymond Belleau. nén A'vine \ «‘iileux. «le Lévis, décédée presque subitement mercretli matin à Oii- «•outirni. à I Ag«' «|«* L* ans »*t six mois.

Kn «uitre «l« son mari. .Ai. le no 'air** Raymond Belleau. d»* < nuumtimi. la «léfunte lai-s«> mi«* till**. < Main*, et plusieurs frères « t .«*•111-. M Le« ii A «*ill«*uv. «1«" 'l’rois- Riv n r« -. AJ .\d«il plie Veill«*ti\, pimrmacun. «1** Québ«»c, vl Télesphon* \’«*illeux. Al ni* \r- mand l«ci«)iirneau. Mm** I t* rr«> f'an- tm. Mme Arthur Lf'chas>*‘ur et. Aim*' J« > (îrenier. tous d«* Quéltoce

l’.l!.' «‘lait la Ih»II«*-iiIIc d* l iK/ii. juge l.-N Belleau, «1** la <\»iir Supérieur

«te la pr«>v in« *' «*l la belle sœur «le Ai N«h*I Belleau. U. R., de Si.

l abbé \[ari**-l««Miis Belleau, du col- « g«* q»< Levis «*t d«* Aime DnLmile Fortiii

D* funérailles auront li«‘ii demain maliii. à 10 heures, «m la cathédrae «|«. <'lib’oiitimi. Nous pré-«MUons

de Lauzon et de St-DavidJjes bazars ou ventes «le charité <jui,

«>nt lieu cette semaine, l'un à Lan-, zon et l’autre à St-David. battent j leur plein. M y a foule tous les aprè-- midi et soirs dans les Kall«*s remplies «J articles de toutes sortes. Il y a aussi des tables de rafraîchissement» et de jeux nombreux qui font passer d'agréables heures aux personnes «jui «’y rendent, f'es ventes «le chanté sont au profit «les églises «le ces pa­roisses.Funérailles de Mme Joseph

Bernierl e malin, à 0 heures, au milieu

d'un nombreux concours de. parents et d'amis, ont eu lieu, dans l église Notre-Dame <l«* Lévis, les funérailles de Mme Joseph Bernier, déeédee lundi dernier, à la résidence de son beau-frère, M. L.-J.-A. Deniers, rue St-Onésimc. à J'âg«' de 4ti ans *•! ô mois. Après ia cérémonie funèbre 1,»8 r«*stes mortels furent conduits au I «•imetière Mont-Marie Vt inhumes! dans le terrain de la famille.

DANS LES CENTRES

jfi FRANCO-AMERICAINS!

Grève Textile • WalthamWaltham. Mass «i Knviron 100 ti.-!»«i-

rands. employés dans les filature- «le la Boston Afanufarturing ( ’ompany ici se sont mis on grève «ians !«• dessein de prx» tester «-ontre une réduction de J dollars k *1.60 dans le faux d«‘.s salaire- par rou­leau «l'étoffe et dans le nombre «te métiers dlrlgC-oar cha«|ue homme, de dix à six

Les fonctionnaires «h* la compagnie d'I sent que tes rabais et réductions sont n«5 «•esnltês par la réorganisation «jui bat son

«< Les funérailles Huard. 479 rue

•glise St-.lean-Bap

tnmüle «l«* la regr«*tté«» défunt** im»s plu cordial sympathi»*-Iles «onseils utiles aux automo­

bilistes par le ministère de la VoirieDan* 1«* d«*rmer bulletin officiel

public par Ut ministère «b* Ih Voi­rie non» lisons ce qui suit conoer- iiMii; les dangers du stationnement ! v,1,.. ,n. «i« s autttiuobilcs «lan» les côtes ou i«»iirnant «t nous reproduisons «•«*» tr«»is courts article», croyant qu'il»I «Mirront int« r«*»8*r un certain nom- br« «U* nos lecteurs.Les dangers du stationnement

Il «t arrivé «i«*mièrxunent plu­sieurs M'vitlenls «iCls au fait qu'un

«q* gmn«l notnbr»' «l'autotroHilis- tc lai»"**?!! stationner leur autouu»- bilo sur l« chemin m«‘*m«. « t par- t iculièreiii«*nl «laits h» c«‘>t.«»» «mi «lan» I* - i«»iiniants

Il n’y m guèn* «le pralique «pu -«ut aussi <îang«*reus«‘ -tir la rout« Malheureusement.«•♦>tt«> pratiqm t«*nu« de jour en J«uir ;» devirir | lus gê­nerai»*.

t'h.aeun «•«impK tul ,ll**• lai-s*r -«>n automobile dans uil«* col*' «m à lout au*n* «•ndroil ou l«i 'ue « »t. obsiruéi* constitue un grav»* «lan- g«*r p«»ur la circulât nui

Il arrive souvi nt que | «»ur év i- t«*r 1 aut«uuobih* «n stationnement, l’on s»* jette à «•«‘tt«- du cheminII arrive aussi que l’«*n n« puis-«- éviter Ih collision Dun» un «‘as Comme «laus I stiln la vie oes oceupants «1«‘ I aui«»nt«d*ile *11 tnnr- ch«' « st toujours grM\«'m« tit « xp«»-

! plein dans cet toniortant établissement t«'xtileObsèques Huard

Manchester N -H d«* Mme Béatricc-AÎ Am«»ry. ont eu lieu k iti-te Ai I at»i»é Aut«»m«> Lambert offleiaft assisté «le M\J les abhéa Joseph Leclerc |

I« t Héb«rr Le- porteurs étsi«mt AfAt John t ntlet Joseph O sot et Aadré MtMrd j Jalousie qui ports su crlm»

«'lan .nont A -H ft Arthur Box U. «ie Newport, a succromhé à l'hftpitnl général. 1

, aux blessure- «iue lui avait infligées 1;« v«Mlle. i Léonard - J Clément Ce det nirr qui était

le propriétaire de la mai-«»n «ni H«»y«1 pen- • sionnait. aurait tiré pluHieurs halles, «hint trois ont atteint la victime

Feu Arthur Boyd, qui était venu ici du I Canada travaillait dans une manufacture |

«!•• chaussure-- on attribue k la jalousie h* i motif «lu «-rim** et Clément a été mis «'ti ; 1 état «I arrestation La femme «le I ac«’usé > et -a b««ll-mère Aime Jonas Goodwin. «»nf j

. | été témoins «l«i l’assa-stnat Boyd a reçu,îi 1 les trots balles «'n plein front et son as

ensuit»» tourne sur lui même -on tuais «lan- l énerv ement le «*«*iip j

i saillant ,I ré vol ver

u ratéRochester N H «• Los «•ontrlbiiable- ; lo.-aux -*1 réuniront le • Juill«*t pour «,«>n-i j «lérer l:« réducti«>n «ie XJ I -•< pour c«*nt

dans I évaluation «l*s mdustriesde Re«*hes- • te«'Gilbert Phensuf. victime d« I auto

j Aianchester, \ H ft I «* lieutenant Phaneuf jeune vendeur tr«^- en

vue de la Cie City Chevrolet, a été vic-I tint»* d un grave a«*cldent sur la rue FlmIprês «le I avenue Browti Sa nnutic.vclottt*

e-t ventte en «•olli-i«*n avec un camion «‘«m «luit par Walter* Sprmg.t du N«* .1

I rue Cortland Nashua «*t le jeune Pha­neuf projeté -oils l* < roues «1 un autre camion «pu* c« nui ni-ait A- Fug-nc I»*1 li-le. :i«4 Av «mue Hollv i -ubi un* a d- turc de la «•lavi.ttle ln ««.aipagmut de Phaneuf. A'ivien < lira ni d«onicilié t**'.i mi»'« ine. a été lég«‘r».'.neni bl« —«• il a «'té transporté il I hôpital du Sa«-ri*-C«pur par Al Ihillppe Tiirg«n»n. I An«lr*.-«*'*ggin Plac«v I ewlston N««' «pii pa-sait «lan- son auto sur la scène <l«' la « «illishm

Le Jeune Phaneuf fil- «h* M M«mui Phaneuf. .M4 rue Afaple m it uab-t*- bien «vuinti. a «*té tran-p«»rté A l'Iii'pital Notre Dame tl «-1 peree.pteur «lu «■«»n-*'il y-t (

, Antoine «*t I titt «i«v- ofth’i*‘r- «lu trui-u'mierégiment B A 1 A

Tué» dans un accidentN ♦ w Hedfonl. Ala— «' l luTé-* ' -

! lette Agée de cin«j ans de AT et Aînn* Donai l !>♦• Pl««rrc N«» MPI rue sterling tut ! »ué*> prestpie sur le coup j'.«r un aut«'fn'»1 I H*' I autre apiés-midi sur i axettu** N« u-li

nef prés «le la rue i'ontia«* File eut la | 1 l»«)ifrlne écrasée 1 > après l*> ebaufTetir «le ! l'auto, la victime *«» serait «'*lan«*ée -ou-1 J hw mues <l«» -h voiture* Ai Albert Gamin pr«-i«lait a • « r«

«’«nte réunion «!«• la -u* «•«Jt s.ile «I Fntr«* m«»nt Ne* d«'|,i -<«elêté «b- r\--omption At't Albert Gauvin et Arthur «♦•gère «lélégué- a la réunh.u régUmnle «!«• VV " «•«'-t«'i -oumirent leur- rapport- I •• p «iue ninue «le- \«*a«1h*ns aura b« «i h Ml milU t sur la f«*r«ne H«*b«*r? -.«us l« «liri*cti«m

1 générale «le Ai *, ital A MainLe tnanagi» «i», \iii«' * ceile «• « h »

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14 LE SOLEIL, QUEBEC, VENDREDI 8 JUILLET 1927

ST-JOSEPH ||SHAWiNIGAN-r ALLS

Jour dominicalDimanche dernier, lu jjrand’me*-

h été chantée par M. l'ahhe Pain- «haud. profe8s«*ur au Séminaire. M. 1 abbé Z. lieaulé. nouveau vicaire, a prononcé le sermon à toutes le> mesëcs

\épres eurent lieu a l'heure ordinaire «t furent présidées par M 1 abbé Heaulé.Garde Montcalm

la (îardc

Notes sociales-M Joseph linèn* et M. et Mme

Arthur Krién* sont parti» jnmr une promenade d’une quinzaine à Ih’o- \ idence. |{. !.. Dover et Lowell. Maas

Mme Albert Gijfaire s’est ««mbar- j quée. ces jours derniers à bord du \ a- ; |H*ur "St-Lauront” jM»ur se rendre j à ('hurlottetown, I -P.-K . a\ec la cho- 1 raie de St-L<»uis-de-France de Mont- ) réal.

M. l’abbé Emile Boutet e»t partioya.................... ............. .......... ........ ..........— concours pour leu coup*-* Parmi le» ai.tn s

,, ir» ,1.. la Liais**n Kranva.s.* qui feront Idans rons rncor*- «•«•lui <!«• M I A Kichard cn­

it repreneur l’ionihn r. celui «le la <’ie «l*«

Dimanche après-midiMontcalm lit un pèlerinage à la ] lundi dernier pour se joindre aux chapelle Notre-Dame dea victoire*Bon nombre d«* paroissiens accom-1 un voyage «le trois semaines j»agnèrent les pèlerins. I l'Ou*«t «‘an&dienService anniversire M. Albert (tigairven voyag»

Mardi dernier a été «-hante 1** "ci- iairMS .t Montréal, vice anniversaire tie \i Rodolphe! MM Jos, Chevalier et A -.1 Meu- tîagnon par M l'abbé < Jérar i1 nir.r sont j,, retour d’un voyage «le Emond. \ i«*aire à Notre-Dame de | quelques journ au Saguenay

M-ntait le* PCr«'« de la ConfMAran^n «'Hui <1*» <>irl <«ai«l«w r«i»r«VntHni MatieU-inu «t«i Verchères et celui «!•• U maison Jo» I Drolet, représentant le Pfr«' Martiuefte allant à la déc«>u\ert<- «lu MtHM»nipi Trots superlM «. «•<> i|M-n avaient fu* o’fer'ea p*r .U- comité «liTganiaation «les fet-s à «-eux Ce n<«f* man'han«iK • r «p* n«M m'lustnoU 1 l«*<*a i* «pu a iraient W« troth plu* l>eaux 1 i Par* alléK'iri'i « s <ian« la parade <’•>. prix furent «1és< < rnf-s par le* Juk« * MM Il I>«-M)a .ll«-M K H \cton Pli Kerron <1 -K Ladouc«>ur «t I) K Wilinui. •omno'

: suit 1er prix maiKon ' i*a i\ax« au l'e prix <Hrl (iuuies .'i«- prix maiaon Jos

. I »rol« t dont lea chars reprénentad-nt «1* s sujet* hihtorùjues A lei r propre *i.|fg«t*- tlon !• * compa^nica local« s «-ntr*' it .ir* s la '•t-Ma r.«-«- Valley <'orporation l'Allu

i minaiu «'o of Caua«la la ^hawinigan Water A l*oa«r <’«» la < anuda t'arhul*

| C'«» etc qui avaient «te mat<nifl«p.« * «-hais allégorique», ne prenaient pa.* part ai

>our les cou peu Parmi les ai

PSTE. MARIE

BCAUCCSTE* AURELIE, LAURIER VILLE

ïl i r>OCJOOOOOC> ^Or >00000

ipéciat

d'af- boia et «le MM

harbon Baril A

«•lui des Zo<iavts et celui Frères

ljé\*is.Le célébrant étau assisté d« MM.

les abbés R ('répin, professeur au Séminaire et Roberge, de Notre- Dame tie (irâces

Des messe furent dite> aux au­tels latéraux pur MM les abbés Martineau et Beaulé.En l’honneur de St-Joseph

Mercredi dernier, l'exercice habi­tuel en l’honneur de St-.loseph eut

lieu au milieu d’un geaad concours de fidèles l^a «-éré.n mie fut tou­chante de piété et «le recueillement.

SAINT-SAUVEUR

M. et Mme Lidovp- Desmarais,M. et MmeOvila Brière. Mlle Rita lies- marais et M. Arthur Dos marais s«>nt allés dimanche à Montréal pour pren­dre part la «célébrât ion «les noces d'ar­gent d’un {tarent.Succès en musique

L»s élèves suivant de M riv* J .-A Précost, professeur de piano, ont subi a\ ec succès les examens du Dominion College «*f music et ont obtenu leurs (jti7i diplômes Mlle Desneignes Prévost, | divers diplôme agrégé, avec distinction.Cours supérieur. M. Albert Papillon, de la Baie Shawmigan. avec mention honorable, (’ours senior: M. Gaston Pelletier, avec mention honorable.Cours intermédiaire: Mlle Gabrielle Prévost.

Les élèves suivants de Mlle Des-

I a pr<M*es*i«in parenurut ««s rue* sui­vant*'* avenue «l«*,s Cèdro.s. rue St-Afarc rue LamU-rt. rue < hamplaln avenue Sum­mit. c«»te st-Marc, avenue de U Station. 5e Hue h venue Tatnarac, Je Hue ave­nue «le* <'èdr.* et .r»t> Hue jusqu'au poste \o I Partout sur le parc«turs de la pro­fusion le* maisons avalent été décorée* à profusion et a\»*c K«»rtt et «les miller* et «J«» milliers «le per*onn«!S non aeule- ment de la ville même niais venue* aussi des 1 rois-HivIêrwH «le tirand'Nière «*t «le toutes les paroisses voisines se pn-ssaient pour contempler <*e spectacle t« ujours nou­veau et toujours impressionnant la pa­rade dura au-delà «1 une heure et quand elle fut terminée la foule se porta au ter­rain de jeux près «b* I arena ««u eurent lieu <1««* «*<mr>es à pied ««t «les amusement*

arés par le comité nommé apré^ii

Chemin de l« CroixCe soir, fi 7 heures 30. ù l'égli­

se paroissiale, il y aura exercice du chemin de la croix Club des Marins

Dimanche prochain, à 9 heures 30. les membres de la (.’cr.férerce

«•et «iifet \ en juger par !«• très graml nomhru «le ceux qui prirent part aux «lif- férents concours, on ne p« ut douter du fuit «pie b* programme «les amusement* fut très populaire. <'«• fut par excellence la fèt «• «b * enfants bien «pie bon nombre

! «I adulte* ne dédaignèrent pa* eux aussi «•u prendre leur bonne part De nombreux

! et très beaux prix furent distribués aux j vainqueurs dont nous donnerons la liste i prochain!ment

De notre cormpor.dBDt Grosse transaction

M. Dor\ igny Mi ville - Dechône Nient d'acheter le n agasir Avard et: Nadeau, de V allée Jet. (‘ette tran-^ sa«*tion est une des plus grosses «le la ! saison. Elle comprend le magasin Avard et Nadeau de Vallée Jet, le! n api sm Ernest Jacques, «le Ste- j Ni une. et un bon t on bre d'nrmeu­bles.Naissance

Ni. et Aor.e ('h Moreau, de Ste- Marie. annoncent lu r aissance d'un t l* baptisé en l'église Ste-Marie |)ar Ni l'abbé I-abbe, vicaire à la cure de en village Rréf.om*. Joiq«ph- l'aul-<’1 arles l;<>n« n ée-('îaude. 1 ar- rain. M l’abbé D Moreau, oncle de l'enfant, n arraine. Aille Mario- Adelia .Moreau, tante Porteuse, Mme Dr J-IV Tangua>. grapd’- li ère.Notes perronnelle»

M. Joseph Beaudoin ton. est H«'tuell«Trent «Marie, chez M. et.Bilodeau.

M. Jules Bilodeau et Rilodtau. du Lac-Frontière venus passer quelques jours Marie

.M. Georges Bilodeau,Prosper est venu passer quelques jours, chez ses parents, à Ste-Marie.

Ni Aimanzor l«andry, de Ste- Marie. étudiant en arpentage, par­tira bientôt avec le» arpenteurs du gouvernement, pour un long voyage Les diplômesDe notre sorreapondant spécial;

Lea examen a pour les dipramee Plaro j donnés par le département de l'ins-

Capture d'un oursM. Dominique Allen m capturé

à quelques milles du village S «*- Aurélie, un «»ur* dont les méfaits étaient nombreux dans le* trou­peaux des envinns. M. Allen est fui-nume fier de sa capture, dort il avait à se j laindre depuis long- t« mps. L'ours fut piis dans un pièg--. Heureux retour

N. Nap. Gagné, élève du collège Kte-Anr.o, est de r«*lour pour les vacaucea. ( *e jeune étudiant a passé de bon» « xamers. nui lui ont méri­té de nombreux jiix. dont en oi.Les Quarante Heures

Ijr jubilé de la ('»#rfédérât ion a étét fété i« i dimanche soir à l'issue des vêpres. Toute la paroisse s'était réu­nie pour commémorer «•et événement qui fera certainement époque dan* le* annale* «l*- notre pavs. Li oéré- moiin*. présidée {«ar NI. !«• maire Al­cide Mender, commei «;a |>ar les priè­res d’actions «le grâces, qui furent lues par le main, et MM. <\-K. Demers, Lévi Doyon et Henri !>•- mieux. M. h* curé Provencher ap{>elé à dire quelques mots, nous tit un éloquent discour.* sur les causes qui

^15.0(J i ont faint né la ( «»rfédéiation et sur It-s conséquences qui ont résulté d»* «•et acte. U a appuyé fortement sur

S)ané nos théâtres

Ia‘ 27 tie ce mois eut Aurélie, l’ouverture de* heures, de cette paroisse

lieu à Ste- j le fait que de.» neuf province* qui Quarante- tonnent aujourd’hui fa Cor.fédéra- l ne assis- tior. la province «!«• Québe«- a été la

«le Nortl amp- r visite f» Ste- N «n e Ludger

Mme »D '

à Ste-

de St-

marais, professeur de piano. ont légalement subi avec succès les exa-{ *-a «b'nion«trati<»n «lu soir sur la' '“••'"i Hommion ..f Mu-1'j;:,, t$&tTïï*JSZI truction publique ront comme......s

Sic et obtenu bmr* diplômes comme ; ,.t \, «,-k I.adouccur, n p président actuellement Ste Nfane, depuis suit : Cours senior. Mlle Alma Benoit. «J» la se«tion l«»cale «le la s«»ci« «c >»int-j îrarjj n'.idi, nous avons 168 aspi-

j rants gardons et filles. Au diplôme l’rin aire-con jtlémentaire. 27 aspi-

avec çrande mstincUon: Cours im-jà^Wétermediaire, Mlle 1 aulin»* Gagnon, '.a remarquait, aux c. tés «b** pré‘hi«l« nts

, . , , 0 , av'oc distinction; Cour élémentaire, enjoints. rh«m. Kènateur Jacques BureauSt-VlDCent-de-Paul de St-Sauveur, , yjut, Annette Lamothe **♦ r î;«;.1û ! N* l abbé i rénée Tnidel curé «le st-Afarc

tance nombreuse offices. NI NI. le «h- St-Philibert Zacharie. Du lac. et s«n vicaire M M. Alexandre venus prêter

était présente aux , abbés Beaumont. Gilbert, vicaire h ciné de St-Prosper, Cantin. M. Boy.

sont curé

sont priés de *e rendre au Club des Marins catholiques pour assis­ter à la messe et y faire le chant.

U MOI LOI

Couvent de LimoilouLe Couvent de Limoilou subira

sous peu d’importantes améliora­tions. Deux étages seront ajoutés à l’édifice actuel. Le coût en est évalué ;i S20.000.

iH =|i LORETTEVILLE IIL ■ ■ J

rT

Séance du conseilLundi soir, il y a eu »éance du

conseil de I^oretteville sous la prési­dence de M. le maire P.-J.-A Sa- vard. Les conseillers Arthur Verret,George Durand. Théophile Sanfaçon et Arthur Renaud, étaient présents Compte*

Mlle secrétaire Pierre A Renaud, a présenté quelques comptes pour la réparation des trottoirs, qui ont tous été acceptés.Réclamation*

Le secrétaire a ensuite lu une let­tre de madame l^auni-P. Ross, dans laquelle, elle réclame des dommages du conseil, pour la somme de $."><).00 Madame Ross a dû recourir aux soins d’un «lecteur à la suite d’une chute qu’elle a faite en s’accrochât à un trottoir défectueux Son linge a aussi été déchiré.

Madame Adjutor Falardeau. ré­clame elle aussi la somme de $00.95 pour la même raison. Ix* main* tâchera de prendre arrangement avec ces «leux dames.

De véritables accidents ne *a* ré­péteront. plus car le conseil a décidé de réparer buis les trottoirs.Ordonnance

Le eonseil a reçu une onionnace du Bureau Provincial d’hygiène, l’obligeant, a améliorer >on système d égoût. Un délai de quelques moi* a été accordé au conseil. p«»ur lui permettre de faire préparer des plans Lavage de* fossé*

En attendant que le conseil «léci- de quel système d’égoût nous au­rons. on devra faire laver les fossés de te mps h autre.

Le secrétaire a fait It^’lure d’une lettre de la cie d'aqueduc, «lisant que la somme de $5.00 de l'heure serait «‘harpe au conseil ï>*>ur l’usage de l’eau. Le lavage des fossés de­vra so fair** aprè< 11 heures le soir.

Le conseil a décidé de faire ce la­vage des fossés de premlre l'eau de l’aqueduc d*' Lorettev ills, Aï. Al­bert Villeneuve sera chargé «le ce travail.Chemin verbalisé

Des citoyens du haul du village se sont adresser au «•nnseil pour obtenir la verlalisation de leur «’hemin. i J« an-Baptisu*.

lie conseil a décidé de prendre en | ^ •‘•nnon «t*sérieuse considération la demande contenu*» dans «-ette requête.

M. le maire a pr«»mis «Je s'occuper activement de l'affaire.Notes sociale*

M. et Mme J.-P. Robert de Québes*. et leur* enfants passent la belle saison h Lorciteville rang St-Jacques .

Thiffault. avec mention honorableNos félicitations aux jeunes musi­

ciens et leur professeursMlle Rita Desmarais docteur en

muai ,ueAprès avoir subi de brillants exa­

mens, Mlle Rita Desmarais, tille de : M. et Mme Ludovic Desjnarais. de l'Avenue Mercier et élève de Mme I J.-A. Prévost, professeur de musique ' et organiste à l’église de St-Bernard. ! a reçu du Dominion College <>f Mu­sic, avec la médaille d’or. Te titre de î licenciée en musique, avec très grau-i de distinction. C’est le plus grand grand honneur «jue puisse conférer j le Dominion Collège of Music. Av»** | le titre de docteur en musique, Mlle j Desmarais a obtenu h* droit de por ter la toge. Nous la félicitions sin cèrement de son beau succès, et nous atiressons également des félicitations à son professeur. Mme J -A Prévost.

Des fêtes grandioses à Shawi- nigan-Falls

Des démonstrations grandioses, aux­quelles toute la population a pris part en foules énormes, ont marqué en notre ville, vendredi, le 1er juill»*t. la

Vl 1 «o'bè I renée I ru«b l o , , 'N« l abbé Emile Trudel, eu

rants sont uis» ré de St-Pierre | diphm'.e

il y a 1*1 as leurs délégués Lessard. N. P.E. Pagé. P.-H *e termineront Georges. Bce.. rants, dont 9 maire Complén eutaire et le Piin aire Elémentaire

Vi I abbé R («afontain** vicaire à St-Ber­nard N» I*- curé Phil. ï.esage. curé à No- tr«--l )anie-de-la-Prèx ntatii.n «i Ain avilie;N» le vicaire Eug Désilets. d«‘ ■'t-Pierre le r««vd Pôr*‘ Niübse d«‘S KH. PP. Blancs d’Afrique MM J -A Krigon Ni P P Edouard Heurv . Aime Dr J-A Du­fresne. Mme J \ Dufresn»'. NT. «‘t Mme Jos - K St-Onge. Ai et Mm«* I A. î arue.Ni Ni John Bourgeois. N -J - A \erm*‘t,«*H 1 lessaulies Edouard Oélmas. les HH Fr Ares du collège de i immaruhV-Oorrep- .tion. Ni NT Fenl Daemen. î. A Leclen* nunateurs délégués Dr R Frigon. J.-E. Matteau, etc sont Ni A Goulet et

! TanguaN.

irt^. dont 10 garçons. Primai re-Elén i ont aire, pirants. Los exan ina- sont NI Ni. Thomas

L.-P. Goulet, Paul . Goulet.Les examens

n endredi soir. A St- on compte 114 aspi- pour le diplôme Pri-

105 pour Les exa-

St-Georges l’abbé Doi.at

la

célébration conjointe de notr* Nationale, la Saint-Jean-Baptiste le soixantième anniversaire de Confédération.

Dès la veille, nos édifl«*es publics l h«‘>-1 tel de vil'e. les postos de police e» feu Nos I e* _\ le bureau de poste, de même «lue les édifices des Chevaliers de Colomb! et de I Electric Service Corporation, les, magasins Hébert. Jos Drolet. A Sauva-I geau etc . les hAtels et nombre «le rési- i dences privées étaient richement <> quettement «lô<*«»rés et présentaient

ards un aspect «tes plus gracieux

D«* trn* beaux discours patriotuiues. •'•coûtés avec une prof« nde attention par l'immense foule furent prononcés par Son Honneur !«• main* M !«• curé End le Trudel MM J A Frigon N. P I* Edouard Fleury <• -E I adoudeur. N P et thon Jacques Bureau. Ce dernier, après av«>ir adressé la parole «-n anglais, voulut bien, ù la demande «le M le maire parler également en français. Tous les rnleurs furent chaleureusement applaudis >ar la foule, de même que l'Harmonie de

nima«nuée-C« n«epti« n oui. sou* la diree- j tion «lu révd Fr. n* Basile, exécuta avec i brio plusitnirs jolis morceaux au cours «le

ta soirée (Juehiues chants canadiens furent j aussi ren«lus ave*- entrain par la foule heu­

reuse «le manifester ainsi par M>n chant *a « j«vie et s« enthoulsamie

l ne ft. de puis. Shawinigan a été hd-de à sa devise Age «juod Agis' î es fêtes

| de vendredi «lernler ont été «m magnifque s vice As sous tous rapports et nous .-«limes fier* de le proclamer T e mérite «n rêvant

s'il

Fête pour un* large part aux membres des dif- ,.j férenia comités qui se sont dévoué*

I «irganisation rie ces fête* mais égakment ^ tous ceux «iui de pr«'s ou <îe loin ont contrit ué par 1* ur travail et 1* ur 1 « ne volonté & assurer ce succès

Echos des tètes de la St-Jean-Baptiste et du soixantième anniversaire de lai ConfédérationIl nous fait plaisir de donner ci-après

la liste d chars allégorupH s «pii ont pris c««- part «\ la parade du 1er juillet ainsi que la

aux liste de* vainqueurs des différents concours préparés par le «-«imité des amusements et

fête débuta par une messe en plein oui eurent lieu sur le terrain «le jeux prèsair sur la place du tnar'hé où un autel, i do I Arena au cours de 1 après-mididécoré avec l»eauc«>up <ie goflt avait été ! . - . , ,érigé pour la circonstance Malgré une1 r ~ ^ Longval. chef «le polu-e et du«•haleur t«>rri«le. plusieurs milliers de per- département du feu. chevauchait en tête s«jnnes entenciirent avec piété et re«'uelle- | «le la procession t^corté d un «•«instable ment cette messe qui fut chanté par M i M Ph Grenier et «i un pompier N. Fabbé Irenée Trudel. curé de St-Marc. , Louis Roch. puis venaient dans 1 ordreassisté «le M 1 abbé H Matteau. vi«*aire suivant, ou à peu prés, les appareils u in-

*se <iuiTrudel. curé de l'abbé H. Matteau

à St-Pierre, et «le M l’abbé H Lafon­taine vicaire à "t-Bernard, comme diacre et soas-diacre \u chœur «>n remarquait vt l'abbé Emile Trudel «Miré de St-Pierre taudis qu'au pied «le l'autel avaient pris pla«e Son Honneur le maire. Dr J ADufresne et Mme Dufresne. Ni NT le*éehevin* Edouard Uélinas. H«'nri Dessaul- les. Victor Levasseur J.-V Dufresne. Jos-F. jit-Dnge et J -A, Larue. Mme Vicbir T.eva ,seur. AT (i -E Lad«»uoeur. \ P l>rési«ieiit de la section locale de la So«*iété Salnt-Jenn-Baptiste. Ai et ATme Ph Fer- ron. Al et A4'me \ -.1 - V N ermette. Af J -A Frigon N; PP \l le Dr et NT me J -J. Trudel ATM Melchi«*r Carrière. J - A Richard, etc . les Zouaves, sous le «■onunandement du Dr W Lacroix, for­maient la gar«l«* «l'honneur Plusietirs de nos sociétés mutuelles ou «ie bienfaisance étaient en outre représentées, entre autre* la Société Saint-Jean-Raptiste les Arti- sans-Canadiens-Français. «le la succursale Shawinigan. les Artisans Canadiens-Fron­çai» de la succursale St-Pierre, de St-Afarc. riTnJon St-Joseph d<t Canada, la Ligue des Retraitant*. et«\ «lont I*-* «irapeaux d«>ttalent fièrement au-«le*sus «le la foule

l'n chœur puissant. a«u*ompagné au piano par Mme .1 -\ i*rév«>st «»rgani.st«- ft st-n«mard. «•xé«,'jta hriiiamtn«nt la messe ft trois voix «i An’hainbanlt. h<»us la direction <1«* M AT -J - K Drolet maître «1«- chapelle à St-Bernar«l L«.s solistes fu­rent ATM David Dufresne Dr A -\ Thérrien. F (irégoin* et AT J.-K Drolet \ l'offertoire, on chanta Pu» r qui nati s

est nobis . adapté sur l'air «le «t Canatla la gloir«* «le notre grand patron. sit-

>r«vn«>n«-é

Heure d’adorationDans la nuit de jeudi à vendredi

dernier, a eu lieu eu l'éqlise Ste- N«ane une nuit d'adoration de\ant le St-Saennent exposé **n l’honneur de la tète du Sacré Cœur. De là a surgi l'idée d'établir la coutume de faire une heure sainte tous les jeudis de 11 hrs à minuit. Grâce à l’initiative de Mgr Feuiltault. les fervents de la dévotion au Sacré-Cœur pourront, chaque sen aine, profiter de cette heure d’adoration.Mariage Boivin-Chassé

En l’église St-J ose pu de Bidde- ford. Me . M le curé J.-A. lÆrtam- ire a béni dernièrement le TP.ariage «le Aille Edith Chassé t lie de NI. et Mme Richard Chassé, de la rue Al­fred de Biddeford, Me, avec M. H.- Camille Boivin. fils de Ni. Joseph Boivin, de Ste-Marie. en présence d’une assistance mambreuse de pa­rents et d'amis.

Durant la messe, un programme de chant spécial tut exécuté sous la direction de Mlle Hose-Anna Ra- thier, organiste. Il y eut solos de violon par M. William Simard et so­los vocaux par Mlle Georgette Te- trault. Solos-cello par Alex. Bois­vert. Les placeurs éfainet Ni. Raul Morin et Nlajella Patry.

I.a n anée av ait, une riche toilet­te de crêpe georgette blanc; son bou­quet était de roses blanches et de n uguets. Ses suivantes. Mlles Blan­che Dubé et Anne Boivin, portaient respectivement de charmantes toi­lettes de ton rose et jaune pâle, avec chapeau fie même couleur. Leurs bouquets étaient du genre “Colo­nial' Les rôles de garçon d'honneur étaient remplis par MM. Honorius Boivin et Loguav Lacroix. Une ré­ception suivit la cérémonie religieuse, à la demeure des parents de la ma­riée. Plusieurs parents et an is in­times «les deux familles assis­taient. NI et Mme Boivin sont partis dans le cours de la journée en voyage de noces aux Montagnes

rë-i blanches, et au Canada. la i De retour les nouveaux époux de-

imurerout î. Biddeford Les n anés s«*r.t

connus h Biddeford Ni. Camille

seule à respecter i u «oralement h * clauses que comi>ortait cet act**. Le discours de M. le curé fut fort ap­plaudi.

L’orateur suivant fut notre dis­curé de St-Louis, sont | tiugué concitoyen NI. Noel Gingras,

leur concours au curé que i.o^s n av ions pas eu le bonheur de Ste-Aur*lie. ü * ntendre dans un discours patuoti-Construction <iu** d* puis deux ans. NI. Gingras est

M. Jean Giguère construit ac-j liI1 orateur agréable, inéiue ties tu* ll* ment à prt xunité «les fr«mti«-, ah'r*’uhl' â enU ndre et 1«« magistral r**s d'Amérique un moulin à sci«*. ! discours qu il nous fit â cette occa- Pique-nique 1 sion a^ créé une forte impression sur

Un grand pique-nique d'-s jeunes tout 1 auditoire, filles d B te-Aurélie a eu lieu d*-r- Après avoir eu un mot aimable pour nièrement. 1®* de ■§ paroiflee natale, pourNotes personnelles | ‘‘^ux. dit-il, qui nous ont vu grandir

M. 1« «Miré De s rocher s et AL (t’ux q*** nous avons grandi etl'abbé Tunnel, de Lévis, étaient de j r«’U.\ que non» voyons grandir, il entra passage au presbytère, ces derniers I dans le vif de son suj»«t. Remontant jours. i aux premières heures de la colonie il

AI. Hébert, curé, de St-Za- ht une revue des événements histori- charie. et son vicaire. M. Allen, ques qui ont enrichi notre histoire et étaient en voyage à St-Zacharie, évoqua les noms des grands hommes dimanche. ! qui ont aimé t»t servi la patrie. Pas-

Aime Antonio Alalo, Aime J. sant ensuite »«n revue lus causes qui ont Marsh. Ailles Aiarguerite et Diana amené un développement si rajud») «1«> Huilé**, de Lewiston Afe., étaient | notre pays, il paya un tiibut de recon- en visite dernièrement chez Al. Oli-| naissance â tous cos hommes croyants va Halléc. ^ ^ | et consciencieux qui, dans les positions

Al. et Aime F -X Demers sont | les plus él»*vé**s, mettent leurs talents de retour d un voyage a St-Zacha-jet l«‘urs vertus au s»«rvice «!*♦ la patrie.} rie. Ils se sont rendus au chevet Durant près d'une heure. M. GingrasI de Ai. .viajorique Roy, dangereu- tint son auditoire sous le charme do sa | se ment malade. ^ j paroi»» et à la fin de son discours «m lui

Aime Jos*'ph 1 remblay fit un»» chal*)iirem»> ovation. L’hymne J et leur fillette, Simonne. M. et Aime| national “O Canada” et "Dieu pr«>-

t»*ge le Roi” termina « ette bell*» assem­blée.

étaient vi. Jo-

Alb»»rt (’arner. de Lévis, récemment en visite chez soph Fortier, industriel.

Aim*? Josepli Gaboury était «ie passage r, St-Zacharie, ces «l*>r- niers jours, chez Aille Estelle Al­len.

AI. Armand Halle, «te St-Lud-

Jeannette Turmell»» St-J« seph T. Gilbert, J. Gilbert, A. Gilb. rt: P. Champagne. J. Grondin. D. (ïil-

était de ^ssage chez soal^VA^p^;

St-Rorayald P. Dubé ; St-An-fr*Nre

Pêro \ JovhI. O n/ | * i-3ii f'ap-de-la-Ma«IHH- pour ««•xt*- St-.Lan-

COMMISSIONS SCOLAIRESSherbrool.e. 7. «D. N (’. - M.

Zacharie I^evas ir a été élu la Commi*sion Scolaire «le Waterville. en remplacement de Nf. V. NTer- cier. Les autres «•omrri*'aires »ont: MAT Roland Gosselin, président;Frs Létoumoau. Joseph Ro; Bum. et NT. G«*org»*s Petit.taire.

clrc«>nstanre futpar 1«* Rév «►•'•rlntir «1«s »»bla«s n«*. «jiii avait prD Baptist** «sr v«*n'i pour r«'n«lr«* tém«*iirnaK« ft la lumlèr** En term*** d’une b**ll«* êlo- «menre l«> Rév. Père Joyal n«*us parla de la mlssl*»n de v>f-.I«an-Fiapti»t«> \«*nu «ur la t°rre pour préparer l«s voIoh ft «’«‘liji qui devait s3iiv«*r le momie mission «ju'il sut arromplir au prix «le sarrlflc«s d»* souffranc***. au prix mêm«* d«- «a vi« \ 1 instar d** s«»n grand patron !«• peupb- eana«li*ti-français a ê«aUm«nt. un»* mis­sion ft a«-«-omi>11r «ur r«-ft«- »»rr«- d'Améri­que **t il s«- doit d'y être fl«lêle N«*s t'èf« s «•n fondant la NouveHe-Kranc*'. ont voulu ét4,ndr«> |« r 'n»1 «lu f'hrist sur «•*• monde nouveau «-t ils u ont reculé pour cela *1«' vant aucun «a«-rlfl«-e (' * st ft nous p«*uple iss i de cette ra'’** d«* héros «-t d«* «aints qu'lneomhf* le «levoir de poursuivr*- la Krande et noble tftrh*- eommen«’ée par n«*s a'eux «•* «pi ils nous ««nt léfrré*' h\>c !♦• f«*rm»* ♦•spolr qu** nous saurons toujours

!*• sentir qti'ils

«•«■iidie des postes Nos i ,-t g. la fanfare «lu collège «le ITnunaculée-Conception le tK;i- talll«>n «les ca«lets. la voiture du petit

Saint-J«wn-BaptiHte la voiture portant ^on Honneur le maire Dr .1 -A Dufresn**.VÎNT les échexins et un groupe d empl«A>és municipaux, les Z«»uav«s et leur «*har re­présentant une porte de Rome. I«*s Boy Scouts. Band nf Mcrc> tlirl Guides. I*s vétérans de la Cramle fiuerre et l*»s «*hars suivants «le ri<» Tnan*hards et industries,«les «mpagnies l«>cales et «i*' r«i» «litféren- tes s«»ciétés Ni J -I* Felletler. IT'nion St-Joseph «lu fanada. shawinigan Hater et Power < «' département «1«* l'horticul­ture Electric Service Corporation, shawi- nigan Water *V l‘ower ('«> . turbin»- Alu­minum Co «>f Cana«la < anadian Carl»«j- rundtun *'«» . Ltd Canadian Electro Pro­ducts C«» les Artisans Canadiens-fran­çais. succursale Shawinigan un** fileu.se la Ligue «le Prévention <l«s accidents H«>tel Shawinigan maison J«>« Drolet prés«*ntant le Père Marquett»* allant dé«*ouverte du .xllsslssipi, Vi J-A Ri chard. plonii»erie imxltrne Jeanne-d Xre au bûcher Baril Frêr** «•onstrue» ion im»derne. la « ;• «b- Boi« et Cl,.iiro «•Doud«>u Variétés I Iniprun* rie Si.... n- gan: St-Maurice Vallex G«»rporation 1 ù- ch«*rons. "chantier . départ*ment d*« meules, usine ft sulfite, département «lu papier: transjx»rt des rouleaux «le pat Urajusteurs «•» ébstriciens premiers «oins . x s *aux blessés café Canada Carbide c«>mpa- t***c. Ai. **t Nni*** A ny M Mfr«sl Gagné înaçon b- Artisans | Aurore B«uvin. Nille< anadiens-françai» «i«* la «u«cursale St , lwwr. ro**- \i*«-- Pierre de St N,..r«- maison Bil«»«l*au .V Gi-j , l.awniu*. .via^ . rard. Service Lui shawinigan Aïotor Sa- Joseph noiviii «*l Ni. les types «1 autonmbih s ancienne et non-| \ jj. (]t St« *NlancS-V-T-nfSTrSiA. Sa,,V”,ea" k" "'I „ !>*; P-nr? «•«•rr spécial

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terrain «h- jeux

NI. Ovüa Hallé. dimancheNI. et Aime Joseph Drapeau,

de St-Zacharie. étaient en visite chez AI. Eli*» Giguère, récemment.

Aille Eva Aiaranda est de re­tour d'une promenade à Québec.

Ai. et Aime Eugène Alleu, de St-Zacharie, étaient en visite chez AI. Jean Giguère, ces derniers jours.

Ailles Rose et Alma Giguère, de St-Louis, sont de rerour dans leur famille pour i*asser les vacan­ces scolaires.

AL Déchène, médecin, ainsi que ATU»* Dubé. infirmière «1*» Beauccvil­le. ont fait récemment l'inspection médicale, chez les élèves.

ALVi Jean Giguère. Eugène Allen ainsi que Mlle Hélène Gi­guère. étaient dernièrement en voya­ge à Québec, chez Af. J.-A. Bre­ton

Aille Anfe-ATarie Pernm. est retournée dans sa famille à East- Broughton. pour les vacances.

— Ailles Alma et Marie-Ange Giguère, AI. Candide et NT. Louis Giguère. étaient en voyage «t'affai­res à St-Georges dernièrement.

VALLEE JM.

Boivin dtïi curait autrefois i. Ste. Aiarie-Bce. *»ù il cou» pie de nom brou an is. Banni l'assistance, on r* x n arquait NI. (’. Bilodeau, de Qué

Le 19 juin est- décédé»». Mlle Ber­tha Lachance, â IV’ge de 17 ans. Son service eut lieu le 21 â 9 heu­res.. â l’Enfant-.Jésus, et sa sépul­ture aux Sts-Anges. Beauce. Le cor­tège laissant la maison mortuaire, avait en tête, la bannière des En-

,fan’s de Alarie, portée par .V.Vi. A. Boily, H Giguère, le» rubars. par A lies L. Cliche, A. Bourque. C. Gi­guère. A. St-Hüair**, suivi de la de Congrégation des Enfants de .NTarie.

Le corbillard était conduit par Ni. Ernest Jacob. Porteuse A. Ga­gnon, C. Lessard. E. Bourque. R.

.Cliche, les rubans étaient tenus par avantageusement, j Giguère, N. Grenier, C. I ab­

bé, A. Jacob. Couronne de fleurs.

ulvre vaillamment 1*? s**ntir qu ils nous ( Jvide I ont trurfi.>ecr»*-! 'T,r^s b» «»'rmon «lu Fté\ IVr*1 .loyal S*»n

' Honneur l*» maire J.-A D ifr«-«n** «lonna . Q. . . .. . , ... . ! ••■«'t'ir»» ft la foule «les mev«a«* s a«lr«*W au

•A Nt-lsi«l«»ro «J AuMand. NI Jos. peuple rana«li«*Ti ft r«HTasi<*n «lu ««»i x an Bertrand a été élu en remplacement ',i, rn'' »nniv«rxair«* *i« la confédération de AT. J. ATarchand et NT Nap.Bernier, a été réélu ma terme.

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Dieu Sauve Ir* R«»j «•» *» «'ana'*iaX l h J'» « r un «ignal «h* NT b»hn

Bourgeois, l'actif pr.'si«l**n’ *1 » comité »*n charge *|*> «•«•ft«* partie «lu pr«*grarnm*-. la l>rr>««*^sion «les chars allégoriques réunis mu nombre «1 un* quarantain*- en faee «Je I ohAtel «1«* vii|«- et « ,r !•*« ru*s voisines m* mettait *»n marche. En fêt«- «lu « «irtègc. « he- vanrhait «*h*if «h- im Ik*- .1 N Ixmgxal, escorté «Pi «*x»n»f able f*h. * «nmier **t «1 i

j |M»aipi«*r Giuls Roch. p'iis vena * j appareils ft incrndle *l«s [^>«t*-s N«»*>) l«* bataillon «les «a'Iets et la fanf

collèg*- «J»- l lmm » r»-« «iri« »>p» !«•;tare «lu jx-tit '.st-Jean-Bapilst**' a\\«-.x blonda bou**lés, le point <!»• ri to'.s P-s r«var«is « t «iu«* l«s «•nfan,« ntai»*nt ai passage -t J«'an-Baf>tist- reprée«-nt/* « n l’ocraslfm par un ga- »l«* Nf. ft NTm« hr- l/« im«* «I • * j• t la voiture «pii l»s portait lui *»!*««■ mouton axai* été artisti«piement i «lés «,rée par NT NT V. J. l»ara«l)-* I*. H Mar­cotte et E«i D«-sr«*ch»*.s \ *-iia • *Tis«jlt4* une) xoiti.r# portant l»*s membres «J>i « .riM-n i mun c>* -«i *-t «p,* iq ,«•« « mpi'i-é. <i*- ,corp«, af m q«.l axa.» rn pr« i n» i^rt. tr<V« | a*’u. . I '«rfcaniaa'iot) «f«e fêt*w. p ,ia .,ngran«J nombr»- «!*• < bars alK-gorlij «s «lont noua «l«»nn»T'>ns la lU«f»- «lans ,n prochain «Y>iirri**r Pour le moment no .* n«> <s «-on- twiterofis «1*» mentionner 1» «iiar allég«)ri que de a maison A ^auvairca qui repré-

l. «’ourse <|«* 100 x»rg»*a pour garçonsâirés «l»* 1*> ans ou moins |»r. N*'ls«>n f'rut- chfleUl. 2»* t 'amille Bmirnival .'l«*. C»;i« ton Bournival

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t Cour»»- *1«' »0 v*rg*s pour f ll*ti* s1»*. Jan»* Mhort. 2e. Mary-Ann Nî«»rfc?an 3e Margu«*cit*- Mal*>n« x

«'«tunie «l«* 220 v« rt;«'s pour lioimn«.« le t»ll b» t t Kerr, Je Sylvi*» Cartier :t«- Mich« l Johans« n

t>. Course à la brouett**. .i»J v« rg« « i« fi«-org«,.s Em«»n*l «t Roiné«> D*'sf"«s»'« j« <.*ir«lr)n Crut<*hf1« 1»1 «t Roland '•ch*lling .4»'J Vl*>an «iu- rtin » t G« «>rg«s B»'rg*r«.n

*. Course «b- 220 verg» s pour garçons âgés «!«• l*> ans «m nioin« 1* NelsonCrutchflehl J«* f'amiil»* B»«».rnival :«« (.♦■org«s Vj«>iu>

s. C’«>urs«- aux «rufs ■ (t v«Tg*« |M>ur dam« s i#- Nîarg”» rite NTunrrt J* Paulin** ('arp»,nti«r 4» é écilia Crêt«

u <'nurs»* «b* 7*» vTges pour homrn* s gra« I** NI Rols rt R«u r»|u» J* M N Bi it«*au 4e. NT b»« B**r«« r« n 10. t 'o its»* ft trois jamb«s 7.'» v« rg« « !« r.Jan»* Short * t N'»-lson Crutchf’eM 2** Slarg't*rit. NTaU'tu'x «t Billx «'rtrmnha»*l 4** < é« j|«* st Pi» rr»* »*t Mfre*l Ho« «I»'

11 Sourpi»* ft la «'orde J é«u I|hs «b laMt-Nla iric** \ all* > f’ornoratjon Vain qu»*i.rs NI NI Ma'»« a. Tnibœb'a'i. P« rg» ron « «agn<»t; NftMlleux I am«»th** "t-Tfi laire Pri>x» nch»r H*»i ra.««a • t M* uni» r les prix «b* «•onsolatl'in ont égal»rn» ni »'i*' flé«**Tn**', •» .x a<|\*r«air»s « 1 «t n i ’ s NI MGrenb r. D«tyon. Bélang»r st-i»nge .«|mi«»- n» « Demers Mt-Arna«.«l Dncliarin*- P« | leiier fîrenkr ••t Marchand

12 Course ♦•n sa« l**r svlxjo Cartbr 2»- Gaston R*'ur nival .■.»• *-»»tx»- It i r a

Gugl'.é. NIll- | ( '«Vil*» Boivine Ai. et Aime

Hooorius Boi-,

ma est j

portée par Mlle Germain*» Nadeau. Le cortège était conduit par Emilien

| I.étourneau. d«« St-Joseph. BceJoel Grégoire, de la paroisse.

La lovée du corps fut faite par NT. l'abbé S Turcotte, curé de Ste- Agathe, oncle d** la défunte, et le service fut chanté par NI le curé (’ar*>n. assisté par l'abbé Marauda, curé de Ste-Anges. cou.me «liacre et l'abbé Montminy, c«>mme sous- «liacrt». Au chœur, on remarquait

«'e retour d un long Vo\age ;i .Mont- \i \ 1 _ |es abbés Bovd. «le Framton r*al. QuebfH» et Ste-Anne «le la IMca- ft, j Grégoire, du collège de Lévis.

l'abhé Pelletier. Parmi les parents, — M («erard Nlnrqui». <ie St-(«eor- n remarquait Al. et .Mme Félix

L**». étatf ré«»en ment de passade Drouin, parents adoptifs «le la <lé- I Ste-NVam». avec Nf. Robert Dick. unt. \Tarife-Ange T^achanc*», «le ornariate à St-Georges Bc» Frae.pton, Ni •» Mme Edouard

N.n» J -H. lÆchance. de Quebe.» |.ouiir)i y, f.t Mme Arthur Nad*«au. « tait récen m*»pt en visite .. Ste-N£a- S(>s on«.Ies et tanks.

I ne. chez Nnne Henri Avard p,. Krarnpton A). et MmeL«« anciens .levés du collège Kdoiiar(j Dulac. Amédée Giguère.

1 St*-Ai.ne. de Ste-A.'arie, ‘•ont reve- .j0^pph f)ulae, Uléophée Giguèro, «le

sclme : Nlll«» Germaine Turm«*l ; St-H Henri : F. Drouin. NI. Brochu. H Drouin. J. Drouin. A Drouin de l’Enfant-Jésus <\-A Milo-’ deau, mair*-. T^.-D. Jr-o«»b. (îéd. Pomerleau. Alph. Poulin. Alt'. Clou­tier. L. Grondin. T. Carreit*». E. Gagnon. 1 B« urque. J NR'nard. L. Ménard. Al. Gagnon. J. Pou lin. A. Tunnel. W . Cliche, A. Lab bé. J. Grégoire. E. Vachon NI Jacob, A. Cliche. F. Drouin. O. St-Hilaire, L.-P. Poulin, A. Clou­tier, A. R» v. V. Labbé. A. Bour­que, P. Giguère. J. Doyen. T. Gilbert, A. Duquette. J. Tunnel. J.-T. Jacques, A. Poulin. A Johar- gié. W. Cloutier. VV Ga»non. F. Labrecque. L. Cloutier. J. Clou­tier, J. Maheux. R. Chabot. A. Fontaine. A Chabot. J.-T. Pou­lin. L. Grenier, H. Giguère. \Y Demers. A. Giguère. J.-A Latulip- p* u O. Giguère. W. Lessard, .1. Cliche, J Vachon. J.-T. Giguère, E. Gosselin. A. Drouin. T. Poulin. A. lessard, VV. Roy. J.-P. Poulin. V. Cliche, D. Jacob. N. Cloutier, A. Roily. C. Boily, A. Labrooquc • O. Vachon. NT. Hébert. A. Vachon. le Dr J.-NI. Rousseau. J.-A. R.ms- seau et unr foules d’autres dont les noms nous échappent.

A l’orgue. Mme (Jédéon Labl>é, direct«?ur Al J.-T. Poulin. Solos, Allies Boivin. Bourque. Mm*» Gé- <!*'« n Labbé. Ernest ( liebe, Thomas- Gilbert.

Nombreuses furent aussi les of­frandes «1** messes, bouquets spirituels sympathies, déposés sur la tc.mIn­de la défunte.

Elle laisse pour la pleurer outre ses parents adoptifs, deux soeurs la) Rév. Soeur Alice, des Servantes «lu S. C. de Mari*» 'liée Alfréda Ma­rie-Ange. de Frampton. un frère, Joseph, d»* Roberval. deux soeurs adoptives. Mm** Arthur \a«l*»au. Aime Edouard Poulin, de l’Entaïu- Jés us.

A la famille si cruelUment éprou­vée. n«*s plus sincères «vmdoléances.

Le cirque Sparks, dont les représentations auront lieu à Québec demain après-midi et demain soir, possède le plus fort groupe de tigres domptés du monde, (es magnifiques spécimens, en même temps que tous les autres animaux sauvages, seront exhibés auc yeux du public dans des cages ouvertes, au cours de la parade de demain.

LE CIRQUE SPARKS EST LE GRAND EVENEMENT DE

Une merveilleuse ville de blanches tentes va enchantement aux premières heures du matin.

s’élever comme par

Le petit garçon qui «lepuis des journées entières s’éjouit l'oeil en regsr daut les i.ffiches aux gaies couleurs annonçant la venue du Cirque Sparks n’a,plus qu’un seule nuit dovi.nt lui avant de voir réalispr son rêve, car demain matin. ;.u point «lu jour, lis longs trains spéciaux p«»rtant les grands wagons rouges déchtegeront tout le bagage de ce fameux ciroue «le répu­tation mondiale, et. «*ornme pur enchantement, le parc «le l’Exposition »«^ « uivrira d’une merveilleuse ville d»* tentes blanches, «sous lesquelles s« réu­nissent chaque jour les huit <*ents employés «lu cirque, les cinq cents che­vaux, <»t les animaux domestiques et sauvages venant «les quatre coins «lu globe.

Pour la commodité des amateurs «le la haute ville, un bureau «le 'billets a été ouvert à ht Pharmacie Dubé. 152 rue St-Jean. où l’on pourra *e pro­curer au même prix qu’aux wagons des billets sur 1rs terrains «lu cirque, ses billets d’entrée générale et d«* sièges réservés.

Voici la cédule du Cirque Sparks à Québec

tia. m Arrivée des trains du Cirque «Sparksti.üO a m. Déchargement et transp<yrl aux terrains «les tentes, accessoi-

soircs. wagons, animaux, etc.7.30 a. ni Déjeuner servi aux huit cents em p'cyés du cirque.5.30 a.ni.- Aiontée de la gigantesque tente «lans laquelle auront lieu les

pricipaNes p* rformAnces, une U*çon d’efficacité pratique.lia. m. La p trade élaborée dn/'.s les rues.1 j>. ni. Ouverture des p >rtes p )tir l’inspection à loisir «le la ménager e

Conc«Tt «le fanfare p:tr le corps de musi«iue de Jack PhilfipsïTe 1 â 2 li p.m.2 j) m. Performance de I'; près-midi, se termin oit ptr l’historique spec­

tacle. Le Drap*«au d’Amérique’ . avec 700 personnes et 500 chevaux.0 p. m.* Concert do musique populaire en classi«jue joué sur l« plus

rraïul piano à vap uir du monde, lequel se fait eut en Ire à cinq milles >ans l'aide «le radio plumes.

7 p m —Ouvertures des portos au publie. Insp.xîtum «le la ménagerie Concert de fanfar»» augmente «le J - M Del Vech*». le maître callmpiste du monde.

y p. m. — "Performance du soir du cirque complete dans tous les détails1 j p ,a. —Mouvement c<m»*erté de nuit vers les trains du cirque.12 p. m. — Départ des trains du cirque.

CLASSIC AUJOUR­D’HUI

LOU TELLEGENet RENE ADOREE

“PARISIAN NIGHTS”

CANADIEN auiourd’ hul

U

MONTE BANKS dans

PLAY SAFEff

RIALTO aujourd’ hui

ANTONÎO IV ORENO et RENEE ADOREE

DANS

The FLAMING FOREST'

t 'arettei

1 et 2. 14 KnMl»*r un» algui lie < n « «n.ratit 1* rir.* «lu ! Jane short et • l«'«n *'nitrhf1**l«l 2«*a vol- R«»*c I>i» «•♦•t «*t <;ill)«rt h«rr 4« Mu/yx die ;i Xhorf « t : ,• ■> \!« < ’ulloehin* •«•'1 11 XTang* r lilsciiiis ;*,u Mula M ra«-«‘1a- Xtêfjéri* Bi'lan'l 2»* Rolamt st-Phrrc 4«*

• «'tait | l.milN « rét*•onn«* l»« suwTb**4. prix ont « té «lixtrihiié*, aux• K «/f 1 \ ainqi .••lim «tan* l« * «li\« rM>H é|>r«-ii\< S »t■t son i P»*» ri f% i tw viin «le «llr»* qu*- <•« s J»r x

i us. Pam i ces ancien», nous remar­quons Ni J.-E. Dionne, médecin. Ste-Niari*1 Al. J -W. Jacques, méde- «in. Ste-A»arie : Nf Thos. Lessard. N P.. M**-Niari«* . Ni Arthur Pel­chat. V. P . Ste-Aîarif» ; Ni. Alexan- « r«* N.ala«ly, dentiste, de Ste-NTari»*; NI. ( has Ni«»r«au. agent d assurance, Me-Marie ; Ni. Arthur Par* , médecin «le Beaucev ille ; Nï. J -Nf c«»rr* sjM>n«lant «lu “Sfileil" ri*».Au conseil

A la «lernière «>s« n bl««- «lu «-«-n- s«*iI ri**!i d** sp**«*ial n«* fut trait»'-. Il sera bien «lifficilt* d'a«lopter «l«*s proLHisitior d iniFK>rtî»ntes tant n« sera pas r»:gl« r la question «1 chevin VT. P.-A (’«>uture. Le quo vvarr«*nt<* «•mi« *•» t tr« NT < «uiture a «»t • «liscuté «*n «*«»ur <l«»nii« r»*m«»nt, et l’on saura prochainement qui a r.iis<.n. ()n prétend «i’iin «î«‘)t»’ qije NI (’«nitur»* n’«*st t»as éligible p«*n- «lant «pie les partisans «le Nf fur*» s«iutienm nt l«* c«>ntrair«*.La grande soirée annuelle

()n «.rganis»* actuellement la «!«• s<»iré«* annuelle «les j«unes

i«e «liguer*».Sts-Anges. \i.me Vve Athanase Drouin, (»é«léon Tardif. L«V»ni«!as Drouin. Ednumd Grégoire, maire, Stanislas Drouin, i! Drouin. J«>hn- ny Grégoir*». Jos. Drouin. A. Vachon,E. \a«?h«»n, S. Tiirootte, T. Dnmin,A. Drouin. E. Drouin.

T)«* Frampton vim«» Vve Cyprien Tar«lif, H. Drouin. Jos. Parc.

!)•■ St-Mala«»hi«» A Dr«»uin. .lu- f’aradi'. f'r; mb«.uriie J. NT«*r-

! <•!• r \ < «ig i* n F M» r<-'« r ; 8t-I Ge» rg« s G. Drouin. J. Carrier |**

Black-Î^ak«* \tm«* (Hupé. Nlllc

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DIT

II

VICTORIA AUJOUR­D’HUI

Lala

créatricenation

de de t

MARION DAVIESDan*

“Tillie the Toiler”

faut «vxmplimentcr le ('»r- «jue Sparks pour s«jn numéro du Jubilé Canadien, qui a terminé la représentation. (’e numéro cpt un brillant pageant, écrit sfrécialcmcnt pour Tes audit«>i- res canadiens, et au cours du­quel on yod l’introduction d’une bande «f Indiens Siœix. Jncrpies (’art 1er. Champlain. Nlonfcalm. Wolfe. Drake. Mackenzie, Mc- Donald. et |e« héros des plaine* de 1 Ouest, la Police Montée, John Bull et Mlle Canada

A QUEBECAu Terrain de l’Exposition

SAMEDI JUILLET 9

qu**, ' l'é-l

L'inimitable comiij'né îles

à la

t'i nrnariabh séiif jour an a x minute

est- de ref«»ur ave«* NI m «* Do\«*n.fl'iin«' promenade â Lainbton « h»*/. NT. et Nlmc F.-N. Sf-Pierr** ag«*n» «le. la même «'ompagme. Nf « t Mme Doyon. Nf ««t NTm« St-Pierre ainsi que M Gauthier, «'iir** h (’hartier- vilie ont fait une excursion de pèche.

f'f»ii-|à la rivière Sauvage.I NI me J.-A. Nolet. «I«* St**-Nlari«*. i jest «le r»*t«)iir hm*' son ils. d’une

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(> soir Fraternité de? Wagor- me tout autre, ayant se» organiaa- nu«rs (earmen . aatiotif h lui-ménie san» être mous le

Fraternité «1rs < haudfonnier*. joug <ies organisations étrangères.«'lins truc leurs de .lavires et aidc>. Je dois aussi rappeler nue nousN'o 601 ................... avons pour princiiM? le relèvement

Non»’empruntons à ‘L t nio \iste| moral et intellectuel de nos organi- < auadien 1 appel suivant de ü. j nations, «t nous \oulons amener Deleau. Appel au bon sen.s par O. l’ouvrier à la hauteur et à la place Deleau. vice-président. Congrès auxqurlles il a droit, et nous pro- Pan-Canadien du Iravail clamons bit n haut que celui-ci adroit

La devis** «lu Congrès Pan-< ara- à sa part de bien-être pourvu qu’il est. et sera toujours. ' I>‘ Ca-( soit respectable et se soumette aux

MM Henry et l^on Ko billard sont de retour d’un voyage d’une Mftnaine à Ami Harbour. Mich.M. le maire Cuibord at le con-

| grè* de PUnion dea Municipa­lité*

j \a- récent Contre-s de l'Lnion des| Municipalités de la province de (Jtlélvec t**nu en Ontario et à Ro- ch*‘Sîc*r. N’ - Y., a été t>our la tota-

I lité de s congressiste*» le plus intéres­sant voyage, et aussi celui qui a

diennada à Travailleurs

Je veux démontrer à eeu qui croient que les unions étrai’gvrc's sont le» seules qui peuvent nous donner «les garanties, tant économiques qu’industrielles, commettent une grande erreur, en tant que leurs canadiens.

Notre devise m'oblige à rappeler à tous les travailleurs de l'Atlanti­que au Pacifique*, sans distinction de race ou de croyance, qu'ils doivent »e joindre à notre mouvement qui est le seul canadien

Notre but est d’encourager lei in­dustries canadienn.''*, car sans cette condition nous serions en tion avec les principes qui veulent que l'on donne la préfé­rante aux produits manufacturés au pays.

J«> dois

te sur le» économies, et ce jour-là. donné à la grande cause de lf,‘lir tous ceux, qui auront été les der- hanisme" le plus grand essor des |

convaincre seront fiers de1 huit congrès qui Font précédé.Nous avons intenv>gé chacun «le,

nos délégués « t tous sc sont déclarés enchantés d«»> levons et des exemples magnifiques qu’ils ont tirés de oc» court séjour «lans une des plus bjlVsl parties de l’Ontario et dans lune; «les plus prospères des villes améri-i cairns.

Nos lecteurs seront *nns doute heureux d’apprendre que l'un des nôtres. M le maire (îuibord, qui jouit à Orand’Mère de l'estime et de la confiance de toute notre im­putation. a eu l’insigne honneur d’ètre élu «lirecteur de cette Union. I que l’on peut qualifier de second ! gouvernement municipal de cette province Avec MM. Better et, M&dore, membres du conseil muni-1

lois du paysL« jour où tous les ouvriers ca

r.adiens comprendront la somme énorme de taxe capita qui tous les mois traverse la frontière pour allergrossir le budget des banques a me- ______ ________ ___

travail-1 ricaines. d’eux-mêmes ils diront quejcipal des Trois-Rivières h représente! , depuis nombre d’années ils travail-1 dans cette importante association^ lent contre les intérêts du pays et , l’un des districts les plus importants j leurs intérêts propres en envoyant ; de la province, le District des i

; ces sommes d’argent à l’étranger. (Trois-Rivières.Nul n’est besoin d’aller chez no­

tre voisin pour nous placer sous sa garde. Nous avons parmi nous des h< mmes capables de défendre nos intérêts, et nous donner une bonne

contreven-: administration tirée des principes nationaux. I purement canadiens.

Je demande h ceux qui liront ces lignes de les propager partout et je

j crois fermement que les endormis dire mal heureusement. j feront un retour sur eux-mêrnes. et

que beaucoup d’employeurs et d’em-1 viendront se joindre h nous en pen- ployés sont encore dans un état d’en-j sant à notre belle devise: gourdissement qui a un effet fîmes-1 lie Canada à ses Trav ailleurs.”

r GRAND’MEREDouble ordination à Grand’Mère

Lors de sa visite pastorale à (i rand'Mère, dimanche prochain, le 3 juillet. Sa Grandeur Yipr Comtois, évêque auxiliaire de Trois-Rivières, ordonnera à la prêtri>e un rie nos brillants concitoyens. M. l'abbé C.- Fi. Robert, f.ls de Ni J-A. Robert, rie cette ville, et étudiant au Simi­laire ries Trois-Rivières. A la même cérémonie qui aura lieu Sr-Paul, à fl heures <!m arche matin, Ha Grandeur orc ore ra aussi è la prêtrise M. l'abbé Désilets. étudiant au Séminaire ries 1 r is-Kivières.

sont emparés de deux bicyclettes, appartenant «à M. Plante. des Trois-Riv itres. et après une course jusqu’à Grand'Mère ont vendu ces deux bicycles à un M. Baril, de Ste-Thècle, de passage ici. Baril a I exemple

Cet honneur fait à l'un des no très retombe à la fois sur notre érni-l lient concitoyen et sur toute notre population.

Nous avons rencontré Yi. le maire, Guibord <*t lui avons demandé quel-: ques impressions de son dernier t voyage avec l’Union ries Yfunici-' palités. Après nous avoir vanté les j talents d’organisateur du dévoué se-1 crétaire de l’Union. M. Damien Bouchard, qui fut l’âme dirigeante! de l'organisation, et annuel revient,! la plus grande part des succès de, ce congrès M le maire Guibord ajoute ’qu'il a fait cette année le voyage le plus instructif qu’ait or­ganisé l’Union des Municipalités de la province rie Québec, de l'aveu de tous les délégués.

Ontario, dit-il, nous donne un bel pour ce oui concerne Fur-

Parramet marraine pour la confirmation

Yf. et Mire Javier Robert sen il les parrain et marra ire, à J* t-Paul rie Grand’Mère. pour la cérémonie rie la confirmât ion des enfants rie la pa- risse.Messe pour la Confédération

Une messe solennelle sera chantée vendredi matin. :i neuf 1 cures, en l'église St-Paul et en l’église St-Jean Paptiste en l'horreur ries fêtes de la Confédération.Chômage à Laurantide

Afin de permettre à ses employés «le fêter le s< ixanteraire rie la Con-1

revendu l’un de ees bicycles à M. J.-Bte G ingras, de cette ville, et l’autre à l'un de ses voisins de Ste-Thècle.

Notre* chef de police. Al. Hallé, mis au courant du vol retraça les deux bicycles, qu’il confisqua à la perte des deux acheteurs, qui n'avaient pas pris leurs mesures de

* n'*VéiJhe Précaution et qui durent perdre k l’argent payé et il les renvoya aux

Trois-Riv if res.Les mêmes individus cuit volé de

nouveau, après le premier exploit, quatre autres hicylcea. à Shawi- nigan, alors qu’ils furent pincés et attendent leur procès.Inauguration de leur croquet

Les Chevaliers de Colomb de no­tre ville ont fait faire d’importan­tes améliorations «à leur jeu de cro­quet. situé à l’arrière de leur pro­priété de la rue St-Pierre. Ils en ont fait l’inauguration officielle der- nif renient sous la présidence du grand chevalier. J.-O. Pelle­tier et aux sons d’un orchestre. Un grand nombre d’amateurs assis­taient à cette fête sportive.

Villégiatures. . . 4X i . r,- Mlles Florence et Jeannette Ga-^•riiuor. les autorité» Ce la fie MM. O (iuav. Lionel Kor-

I aurertide or.t c.<-eir# de cWner lea ,in Gustave Maillot «ont de re- deux journée* de > end red.! et >arred. ,ollr pn)m(,na(lp Pn a,lto Hpprochain. quatre jours à Richmond et Nher-Par proclamation de bon Hon- g ^ J neur le maire Guibord la journée L’f„iPnt de samedi sera déclarée fête civi

pour

queProchain mariage

On nous annonce le 9 juin prochain, le mariage Yî A fchez. I^aferrifre. du C. P. à Mlle Eugène Boisvert, tille Y! Arsène Boisvert, tous deux cette ville.Vols de bicyclette»

Deux individus de tuellement en prison en attendant leur

YI ont real. **•- à Shawinigan.

procès. se

LES DECHARNESgagnent des livre» de poid» c* de la force avec la nouvelle LL” VURE FERRUC.INEE facile àprendre, résultats prompts ou rien à payer.

Tous I"» joursarrivent fo«il<’ d** lettres disan1 comment la Le- eurr h'erruçinfr a fait prendre des ilvn’s de bon­ne chair solit e A cr^é de la for­ce ches des k* ns nerveux. fati­gués A débar­rassé les peaux de» vilain» clou» et boutons l.n I.f9urr Frrru- i/infr c’eut rieui tnniqurx dons If mhnr de la levure rréatrir»- de poids et du fer vivlfant. La levure « st la mé­mo «pie r«»ll«' «lont on se sert po .r faire le malt et qtd rend le malt si profitable

i (' «’st de la levu- «ïre spécialement r «lonner le maxi-

en visite dernièrement chez YIM. Ix>uis et Eugène Caron : et Yfme Ernest Y’andandaigue. de Mon­tréal. M. et Mme Napoléaon Bou­langer. M. et Mme Alex. Boulan­ger et M. Jean-Paul Bellevance. de Plessisville.

M. Tuéo. Gravel, officier de doua­ne est de retour d’un voyage d’une couple de semaines à Ixjeolle où il remplaçait un confrère.

M. J.-A. Desbiens est en vacan­ces pour quelques jours à Chicouti­mi.

Mlle Marie-Anna franglais, de Québec est chez Mme L.-A. Rous­seau pour quelques jours.

YI. l’avocat Artuur Lefebvre, de Kouyn. Abitibi, était de passage ici la semaie dernière.

M. et Ylme A. Bédard et leur fil­le Cécile, de Montréal, étaient en Visite, ces jours derniers, chez M. et Mme J .-A. LeBlanc.

.Mmes Spérat et Albert L'Heureux, de St-Tite étaient en visite chez Mme Armand Ruéault. ces jours derniers.

YI. et - Ylme Albéric F’ugère, des Trois-Rivières étaient en visite ouez

, Mme Jos. Roisclair. dimanche der- ! nier.

M. Samuel Maillot pie de semaines en prorm des parents à Détroits, Mich.

M. Fred Robillard. de Ann Har­bour. Ylich. passe les vacances chez ses parents M. el Mme Henry Ro- hillard.

Ylme P. Dinan. de Québec, était en visite chez sa fille. Mme J.-J. Farrell, ces jours derniers.

Yllle Aline Farrell, passe les va­cances chez des parents à Québec.

M. P. Desrosiers, de La<*hine. était de passage ici. /a semaine dernière.

MY1 Amédée et André Roy sont allés à Québec en auto, ees j««irs der­niers.

M. J.-P. Desssurenult a passé la fin de semaine à Montréal

M. J-p Dut il. ainsi que M. et Mme Louis Trépan ht sont en promt*-

__ _ nade chez des parents à Mansfield.1rs épinards ia tait • «t le céleri s«» *1 Etats-Unis.• forme le fer «m facile h a*.simil«r( MM Henri Neault. J.-N. lüiclerc.par lorganisme. «t il fait «lu rich«‘ sans : [ %. * «» i- iv ............. ...ii mu..rouge « t il donne du ton aux nerfs i ̂ ‘d Mme J.-l -L Dessur» aillt. Milsut ro'iw’te» Adrù»nne Villemiire sont allés a Nt-

Ce n’est une lorsque la levure * si JBequos-fh'S-Piles, la semaitHMlernière’ trrrucintr «!«' «eMc manière qu elle • »t L, * « i mplu» effli-aee car il faut du K< : mtrr M. et Mme ( onto |*edu<. M. Aiméfaire rcN-ortlr i*.*- vertn» créatricrv <!«• L Heureux M Antoine L'Heureux,p.dd» d« la bev. re ( rdrr fl r^rtr formulr Mlbs Cécile el Yvonne Dessuroatilf.7fnnlt In l.rrurr hrrrui/in*e mua rlonnr , 1 . ' . . .. _ . ...« rfaultnl* doua In n.oilit du irtups r,. o»* St- lltt», «-ta lent <b* psssîigt* a t »n»n<l • quia par In l^nire nu lr frr pria atpnrt j Mère, ees jours derniers.

M. t*t Mme Etienne l-ofebvre. M

banisme. Ste-Catherines est proba­blement. de toutes les villes que nous pvons visitées, celle qui offre au v.siteur les résultats fes plus épa­tants d’un urbanisme sagement et constamment pratiqué.

Et cette fameuse barrière du cri de race., du fanatisme que l’on croyait infranchissable chez nos voi­sins. Eh bien, de ma visite chez nos amis de là-bas j'ai étudié sur place qu’Ontario réalise de mieux en mieux le rôle important que les Canadiens- Français de Québec ont joué dan» le passé et apprécient de mieux en mieux la valeur de nos hommes du présent.

Les réceptions chaleureuses que nous or' faites les hommes éminents de la politique provinciale, munici­pale des principales cités de cette pro­vince nous ont créé l'impression très nette que de jour en jour, la “bonne entente” fait son chemin.

Nous avons noté aussi un fait, très intéressant, que à Toronto, com­me à Hamilton et à Ste-Catherines, les hommes qui s'intéressent aux cho­ses municipales ont admis que les conventions de l'Union des Munici­palités de la Itov. de Québec, étaient une heureuse idée qu’Ontario serait bien avisée d'imiter.

Comme résultat pratique, je me plais à constater

1. Que tous nos délégués de Grand’ i Mère ont réalisé, dans ce voyage, l’importance de l'urbanisme : 2. Que au cours de la campagne municipal** qui se poursuit actuellement àGrand’- .Yière, il en a été question et que les citoyens de cette ville ont favora­blement réagi à cette idée. Nous con­cluons donc que GrandLYlère va »e mettre immédiatement à l’œuvre de façon à fain* de notre ville un en­droit où tous, pauvres comme riches, puissent v jouir pleinement de la vie.

Unis M. Guibord nous parla de la magnifique réception faite aux délé-1 gués par le conseil municipal et lai ( hambre de Commerce de Roches-1 ter. les charmes du retour, en bateau. I de Rochester à Montréal, par les) Ylille Isles.

Nous avons été gâtés par ce voya­ge. conclut-il, que nous réserve l*U-| nion pour ban prochain ?

A BURY

mltlvée concent rè*1 pnimuni de valeur productive «1«* «hair 1

Cette levure est traitée avec du f«r vé ( sétal ,e même «p-o c« u i «pi il y a dan»

genflr ment

Essavez-la d’aprèaToffrc de “rembouraement d’argent”

mrnfN«‘ reates pa* «e corp» «WVharné fai- ..hic s «mli n / pa» * ne vilaine p« ai \l Maurice Nicole. M I Lefraiiçois. Al

1er chercher « li, / votre pharmari» n « ne 1 Edgar Simard sont allés à Grnnries- cormno«l« houttil'r <!«■ f.*ri/r* Frrruçin/r i w „ho aerf-atth • 'ahUtos InnffonMv.v r ,'i H’s.'«"JtMirs derniers. t«»,it le inomte Kll«» ne m<tt«nt i a» l »»- 1 M Drummond l’etriii t*sl de re- tomac A 1. nver* «t ne ratiarnt ni vas ni tour d’un voyage de plusieurs mois à

! Ijewiston. Main»*M. et Mme l/é«* Lavallét* et leur

famille, ainsi quo Mlle Any si»* Y’alle- rand sont allé* . Montréal, la semaine dernière.

Aile/, ch rdu r «f.» nu tout t, h* i « h-r v«*-| MM .1 -î* |)«>srochcs «*t I -Rfe tre pharinaciin in tralt«in«nt I’''in» • ’ ,ix ’ » -i*srandei r «ic l.rrutr f-rtru(jir’/r vo *• j * *vnger son» allés à Frois-Rivières n êtr» pa» enchanté de *«■*« prompt» »-é ‘t* * jours don i«*rv<.»i.itats on v.»,*» «.met votre arg*nf s il Mlles ( amiilo H Bella Desbicnsne \ouh «*»t pa» tacite d en avoir ch«/. | j i ^ j i .• 'l’Pbaimn Irn «nvo>«r *1 25 it l» IHOM i nu 1 0,,'Vn fl*'s de la < ongre-Zrl) V K VST C’O Kort Frlé.Ont Deakl.TJK galion, de Ste-Thérèse de Blainville.“rJ’Mr irr".'.'-' 'r™™HE FF. H HI tilNF.t p«*i r rétablir In •anté nit éic clairement «t po»ltlv«m«ni dêmnntrO dans l< « «as de rnan«ii e déncrgle. d indkscHtion «b* rnnatlpatfnn «l é x \i „4.x i . ........ .—r .pilons «le la p«au «t d afTsibllaaemen! ^ 3lon'f»'nl •'b »utoces j«mrs der-rd»éral «le létal phyalqoe **t m«nial la nier».

KM RK FMUUtilNFF. n- «Ivrait Ml'e Madeloino t i.PV ê.rc « mplovf par q,.|,onqrc M till . I - U L Heureux, du.iM'TF s voir revenir ««m poid» S la 'bdvtnt d»* Lachino pasm* les vacar:(*t*.i nermsie. I ehez sa mère Mme Arm. Rht*ault.

Sherbrooke, s D.N.C.)—1>* Jour, de la Confédération, l'on a ouvert.; à Bury, en mémoire des Pères de la j (Vnfédération et des soldats cana-l diens morts au champ d'honneur, un pare public. L'hon. Jacob Nicol, |

IvO- jaux i

Commune», assistaient tous deux à| la cérémonie, qui était présidée par, le colonel R.-H. Pope. M. l'abbé X.j Désautels. miré de la fKiroisse, pro­nonça un beau discours à celte oc­casion.

llll |'.n« jrm.iK i. in*»4. ■’ <»■ ■' > > >passe une cou-1 très* rier provincial, et M. J.-E. >menades chez! tellier, député de C ompton

EXPLOSIONPUIS INCENDIE

Sherbrooke. 7 (I> N C ) Unincendie causé par l'explosion d'un fap.nl • détruit «1e fond «*n comble la grange rie J. Napoléon Ruel. de Ham-Norri Plusieurs instruments aratoires et du foin ont aussi été la proie des flair mes

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SOYEZ TOUJOURS SUR LA BRECHE; I Godlajot. I. ! T. Simard.

S a it*» <1»» la f*airv 11la jwrsonno d»- MM Laj>i»*rr»‘ « t L«* cauli. fait allusion au traitement que Iji pp.vinw de Québec* donne aux mi­norités. Et termine en souhaitant à ! élément français de l’Ontario Nord de nouveaux sueeès.

M l’ablté Kaoette. d«' Wrner, On­tario. i*n <|ueIquM mots. pr<*sente six institutrices de sa paroisse qui. pour montrer avec* quel soin ••Iles parlent !• français r&Mtent la pifs-e Iai (’h- nada" d'Oetave <’rémazu

• V sont mes(i».nioisellts A. Masse. M I*.••langer. A Dueharrm I-. Saint- » R. Dueliarm»*. 1. Et hier (pii«•ne r«< ité eette pi*-e«* tie vers qui plût i-owu'-oup a l'auditoire.

I^iis NI E -A. Lapierre, député il< Vijij seing au parlement d’Ottawa ajouta quelques mot s

Self-made-man de l’Ontario, com­me'il «lit lui-méme. M Lapierre rap­pelle li s luttes que la minorité cana­dienne française est obligée de subir. Elle fait eef* luttes avec cou rage et énergie ot déjû elU* ia*rçoit des résul­tats. (’’est ainsi que l’élite ontarien- r* nous comprend mieux et nous aide­ra à faire p-rontmitn nos droits.

île élite est prête à aider à nos c»»mpatriotes de l'Ontario. t'«ux-<M. t-n nomme, ne demandent nue la re- eonnaissançe d< droit s acquis au | rix des plus grands sacrifice-.

Evidemment, il faut continuer la lutte si hérofquomet ot repris».

M Lapierre ajoute qu'il fait bon de revenir se retremper à (Juéh«*c. de \ ivre quelques heure.- (fans la \ieille eapitule. Il remercie tous ceux qui ont pris part à la réception des viaiteurs » t les assure que ceux-d n'oublieront pas cett* réception, sympathique, démonstrationtermine par le chant de l'Iismic national entonné par l'échexin Jos. Cant in

A SPENCER WOOD

Les visiteurs ontariens furent eon- ! duits ensuite it tra\er> la ville en' automobiles nuis se rendirent à ^Spencer Woo<r où ils furent reçu- par S. Ex l'honorable M N Péro- deau, lieutenant g«»uv*rreur de la province M Pérodeau en recevant nos compatriotes leur dit les phra ses suivante-

“II me fait plaisi que \ou- avez profilé de xotre passag** à Québec pour venir saluer h* lu*utenant-gou-1 p.vtriot»*s

cer Wood. V ous êtes ; ont beso

liant des gn>u|>* s »l« la provint* de Québec, s»* former. |M*ur al hr par- (v>urir différentes province- «lu Do­mini' 11 et \ v isiter tu - fn n - V. si - ce pas Id le moyen |»ar « xcellem-o de eonnaitre mutuellement notre si­tua ion, nos besoins <*t ri» - succ*'s?I! est «i r»*< oufortant d* onus*-r eïitre nous des hJietir' du passé, des esfH<ralices de l’avenir et des mille sujet* qui nous intén -sent t« us, nous «le la grande famille oanadien- ne-.'n nçLisc. aussi -< ucieux »h gar- der nos (telles traditions ou* «1. p- p r’er à m s concitoyens d'< rigine . différ» nie. un. collaborât i< 11 large et ph iin* de lov niité.

“La p-o\ iri< *• de ( vuéb« • »motto est “.h* me sou vieil f5êre «h* \« ir que ses hls des prov inoes sont fidèles à >h et que c’est par»** qu'ils ne

Couture. 0*c. Auger., . ...... .. I>r Thibaudeau. J01.

< 'oulorr.be. M. Ad l^epine. Ludger l’agir. Max Morin. <’ R . I> \far- -an. J -A Paradis. E Morin. Ls R. Gagné*. Narcisse Savon* Alph. Gin-

. grasMM Joseph Samson. M P. P.

A t Marier Jo*. (Y»»é«. R Ijtnglais. <’ R Un Quaif. G.-E sauviat M Patoine, J -A Moisan. IL McMana-

mt

my. AIh Daoust. lechef Emile Trudel. française, qu’un* le chef l^awren*** Ihmnelly. W.-J.lvincê de Québis f is* r. S. l^auglois. Krnesi Lefaivr»*,

[ *L-A. Hoyer, J.-M Deasurault. J.-E 1 Moraisin. du (\ N R :

MM K -G. Giasson Juh s Ix-s-ard,N.P. \V Kgan. J’h s. Nfaher. J.-A.Rov K.-E. Ma**kay( N P.. Alp.

iliot. ( R Onésim» Gagnon. « K .Jo- Gagné. J.-A. Jun« au. W D*-jar- <hn- J.-A. Morin. Ph. Desjardr - K.-X. t hoitinard. Aim. Ijtca.se. Ed. t ouloTnb*'. J -A. Mart'oux. * t**.. etc.

suivez encore avec non moins de sacr fices et un** ««gai*- volonté de survivre et de renter fidèles au passé

Voth‘ <ouvre belle entre toute* «Mmsiste à faire reprendre racine à notre ra*-e dans un»* terre qui fut dé-

■née pour ainsi dire dans le sang fran­çais

} En effet ce qui forme la province *l'Ontario n»* fut >ou.s la domination

h**’St

tulleslev is**, fin du banquet. Mul* nt 1 a le pr* mi* r discour**

xtension de la pro- Pendant 1*V) ans

t Ontario fut terre française et Ht par­tie du territoired** la Nouvelle I* rance .

Vous êtes donc là bien chez vous sur ce territoire ontarien. D* hoau lac \ipissing. que vous connaissez tous a été découvert **n Rilô (*ar le P» r« la ( ’an*11 « t * *• fut la route par

• xcellence que - in in n’ ja<lis. Mission - paires *t voyageurs, en route |>our l’( >uest.

ir» qu’ils i l hospi- t acluelh -. *ouv»nir. inv it«* à *

[rien oublier de h tir hist» tiennent à revenir sur son trlier. comme vous faites ment en cette excursion du

•J*- \«us félicite «t vous'revenir s. uv»*nt.

I.»*- fêt. s par l»*s»pielh*'' n»ms v *•- irors d** célél#rer l«* s»uxanteiiair** «l<*

la (’»u fédéralior. ont été, p .ur nos ! compatriotes <1»> langue ar.glais»*, une J*»ccasior de proclamer l*-- «pialités , «b's nôtres * t de r»H*onuaf!re que ’.sans la lovante active de.> (’ar ri«iiei>- 1 Français, r 1 b* maintien du lien bri-

loll•tt«-

»‘U:le

jours •râble •t de

(>D- q»c ron t

t les

Quél- est heu- •11c fait, quelques

famille, si dû per­

cer imu r. a >pcpc les bienvenues.

“La province de reuse cl accueillir, comme* ses fils éloignés venus passer heures au foyer des ancêtres.

“Rien n’est salutaire, comme <•»• rencontres fraternelles, pour conser ver forts les sentiments de sympa thie qui unissent toujours les m**m bres d'une même sés qu’ils soient

“<’e m'est un constater que ces à la province «1*» viennent de l'Ontario ou deber ta, de la Saskatchewan 011 Manitoba, ou d'ailleurs. -*• font d« plus en plus fréquentes et nous \ a - lent, chaque année, le plaisir de re­voir un plus grand nombre de nos compatriotes

Par une habitude «‘gaiement bien­faisante. ehaque année voit mainte-

trannique. r i la «•onfé(t*;ra sent été* réalisables sur e du continent

“(’es paroles, tombées, <«terriers, des lèvres ‘le 1 1 preii ier mir.istre du ('anada e celles **11 lieutenant-g*>uv »*rneur * tari»», fortifient »n moi l’espoir Je jour approche où disputai tout sujet de mésentente dam diverses provinces du Dominion, et I où b* contentement, qui rôt m* dans) noire généreuse pr<»\ ir.ee s‘ét»*ndia 1 à tenu le pay s

•(“est b* venu que je formule, mes chers amis, eu vous souhaitant ici la plus cordiale bienvenue, et en exprimant l'espoir que voir»* court séj«>ur au milieu de nous vous soit aussi tq r able qu'à noU'-n *‘m« <.

v'gr l’Ecuyer répondit ou remer­ciant h* Lieutenant-Gouverneur «le

nVcptum II remercia aussi la province de (Québec «le l’encoura­gement qu elle a donné aux com-

«le l'Ontario (’eux-»,i **n in parc** que leurs droits

Il fut heureux de souligner I u** nos visiteurs ot donné

'titre à leur voyage <•* s tendre*, mots: [ Pèlerins «lu Souvenir- Il fit allu-

-1011 aux efforts et aux saerif «•«•s que s«* sont imposés nos eompatriote* on-

! t»ri*ns jhjui assurer la survivance fran«.ais** «lans leur i»rt»v ince* (hi* l r<àl«* magi’.if»|ue. Quell*1 grande «invr*1 nue ectte »iuv r<- «!*• nos c«unpatiiotes! Au--i Qiiél>««- 1» - r* çoit mm comme d« s

;\i'iteurs ordinaires, mais comme des ) frèr* s1 ‘Votr«* pôà rinage à SainS -Anm -'le-j Beau pré’ . «lit M V* rr« t “les v isite : faites aux prirnupaux ♦•miroirs liistori ■ «ni**s «!«• la itorine vieille cité «1** (’harn- ! plain, qui. comme un** bonne mère et

Sur ces l»ords ♦n**hant*-urs. vous \ • rr« t pro- |»‘*iirsim«-/. l’ciuvr*- des notre*, vous,'

répé*. • les gest« - gl«»neux «!*• n«»s aïeux* . t v ou - sa v«z au prix «le quels efforts'

fait 1 et parfois au prix «le quel* sacrifices I |H»m vou- fait*** «•«•tt«* «euv n* <i«* surv ivance. |

l^aiss.-z-moi vous «lir*- qu** v os corn- , patriot» - «h* Québ***? «pii suiv»*nt d’un «ni materrml. v«.s pr«»gr«s et qui se j r»*ndent «•<*mpt«- «les «litVmulte* s»*rnées sur v«»tr«* r«»ute. ne sauraient rester | nriiff. rents à v«»tr«* sort, au contraire| :N v « « ! 1 - . n«««urag. nt à persévérer; ils m nt fiers de vou- Eu effet quel réde j

mayraiflqtie est le vôtre.

CONCOURS 5 BRASSERIE CHAMPLAINDepuis le tirage du 4 juillet fait par MM. Louis Létourneau, M. P. P., Véchevin Oscar Auger et le Commandeur H.-P.

Couillard, 9 coupons ont été réclamés dont 7 donnant droit à une doz. de bière et deux pour des cadeaux.

Voici les noms des heureux gagnants de1 DOUZAINE DE BIERRE CHAMPLAIN

85403 Emile Verret, 95 Aqueduc.12188 Mlle Cécile Bigaouette, 353 rue Saint-Vallier. 17414 Ch» Lavoie, 379 rue Arago.7030 Eugène Jobin, 40 rue Chevrière.

12949 Arthur Poitras, 44 1 2 rue Lavigucur.5125 — Henri Poitras, 44 . rue Lavigueur.

17176 J.-A. Hébert, 82 rue de Mazenod.

malgré ses ri«b*s. sont battre un c«pur toujours jeun» . la réc«»ption à Spen«*er- \V«»od parson Ex«>ell«*nce le lieutenant- gouv»*rm*ur de la provint*»* de Québec.F honora bl«. Narciss»- I YT«Hl* au. la fran- clu- **t joy euse cordialité «pie vous avez lue sur tous les fronts. !*• bonheur <1«* se r. trouv«-r «TiSé'mb’-H au foyer familial.

atmosphèr** «1«* |>r«»f«m<h* sy#npathie nui vous «'Tiveloppe depuis ce matin, tout. justni’au hanotn t de ce soir, dans c«. château historique. p»*rché sur ce f»r«»mont«)ir»* où s*> sont jouée* les des- tiné«s «!«• notre race et «pii port»* le nom <!«* l’un de nos plus illustres gou- gerneurs. tout, dis-je, grav«»ra «lan< j vos àm«‘s. nous l’espérons, «les souve-j nirs in**ffaçahles.

K'. «>n «•tY**!. qu«* «1«* souvenirs com­muns nous i»ourri««ns évoquer ce s«ùr à. cett«- tahhi «le famille qui réunit autour «l’»dle les enfants «l'une même

F« « «.iwMiénr d’alK»rd une U m* qus , no.- piounn-rs «n-eup u «•nt l**s priuniers i

-'affirm'r v«»- «l.roit >. fonder «l**s foyersj - « t \ allumer la fiamm»- de la v i«* eatho- :

mçaiai lutter pour la *auvt» 1 gar«l« <1* vos traditions les plus chères, ! «•ondiattr* le* influenees étrangères, d'où qu'«Iles viennent, qui v«»us enve- lopjH Tit »l«' unites part.-, rési-ter aux «

'assauts lépétés des ♦ m» mis «U* votre (largue et «h- voir* idéal, repousser |

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CADEAUXLéopold Bouchard, 212 rue St-Olivier Flash LightAlfred Labrecque, 103 rue St-Paul Cendrier.

j, y.

av*•«* en» rgr»- « t téna«'ité toutes les ten­tât iv.s «l’a.-similation, voilà quelques- uns d*s g«*st«s héroïques que voua posez là-bas.

Et voilà pourquoi, nous,-os frère» «h Québec, nous soimims ti«*rs «le vous ♦•t voilà pourquoi aussi nous vous sa-I luon- av« «- tant d»* joi** **t nous vous accu* illons avec tant «h* sympathie.

Le» numéro» suivant» donnant droit à

une douzaine de bière n’ont pas encore été

réclamés: 84136, 11393, 25679, 728. 17924.

78077, 1831, 31005. 46411, 6428, 28428, 58591,

74671, 47007, 11137, 162, 1696, 4476.

Voici la liste de» coupons donnant droit à un cadeau et qui n’ont point été réclamés: Une bicyclette gagnée par le No 22484; une bicyclette, gagné» par 1* No 1958; un porte-bijoux, gagné par le No 58908; un set à toilette, gagné par le No 11246; un toaster électrique, gagné par le No 31537; une boite de cigares, gagnée par le No 86912. une horloge, gagnée par le No 56953; un cabaret Tray , gagné par le No 71171.

Ce tirage du 4 juillet est valable jusqu'à mardi prochain, 12 juillet, à midi. Dans l’aprèi-midi du même jour, l’on procédera à un nouveau tirage de* coupons non réclamés et le résultat sera an­noncé dans les journaux de mercredi 13 juillet.

LA BRASSERIE CHAMPLAIN (limitée)

sujet <b» v isites «le Québec

ne«litM.

sonteueT. Y

lw Mgr rE<-uy«T race. «lisp»*rsés sur d’immenses terri-reconmif«s visiteurs, présenté».- pnritoires. rret. emporteront «leSpen-) “Souvenirs

joie «le ; nôtres

qu'ils l’Al- 1

du (

«*er'Wo»**! un souv«mir ineffaçable.

l)«n«l la soir* ♦* une belle ré-union «le famille eut lieu au <'hâteau-Fron- tenac sous la présidence de .M. T. Yerr« î. Il couvient «h* mentionner ici les personnes qui ont particip»* aux

divers événements «h* cette journée outre celle déjà citée*.

Nous avons remarqué *«ut au ban- «iijet ou aux «iiv«*rs<*s réceptions l’honorable J.-E. Canin, l'honorable jug«* P.-A Choquette. Mgr Amédée Gosselin. IV A. R«*cteur «le l’Univer­sité. Laval. M h* chanoin* Il -IV Garneau. Mgr Routet. IV-A. «I*' St«*- Anne d<wla-Pocati* re. M. l'abbé Alph. Mon I MM (}»*«>. Iblhrive. Dr A If Moriss«*t. 1 «• s é^•h«, vins Moo«lv. L-A

ih* nos glorieux ancêtn»qui. pour fonder c«* pays, laissaient suns fspoir «1«* retour une patrie bion-j aimée.

Souvenirs «le leurs efforts, «le leurs liitt«*s, «le leurs reveVs ««t «le leurs vic­toires, «h* leurs joies «*t d«* leurs îui- goisses. de leur labeur ♦•! «1«* leur hé­roïsme .

“Souvenirs «le tout un passé «le gloire ♦•» «l'honneur dont nous sommes fers, qui enflamme n«»s c<eurs de géné­reuses ardeurs ««t qui font briller à nos v eux d’un éclat incomparable l’idéal d«* vie nationale et religieuse «rue nous devons p«»ursuivre sur ce s«>l d’Améri­que.

“Et comment ce soir. Mesdames, M«*ssieurs. ne pas rappeler que cette œuvn* gigantesque «le conquête, ac­complie par nos pères, vous la pour-

« “Et *'ii t«r'miTianf. laissez-moi vous} |exprim«*r l«* souhait, «un j'en suis sûr;

* st sur toute- l«-s lèvres québécoises.,' 1< -<*uhait «h v«ms#r« v'oir bientôt, et )

J que la «livine Provident*1, hérissant. 1 vo- « ffort- vous ac<*oi(ie l«* triomphe*

t rial «-t la somm** de libertés et de bon- ‘ heur «lont nous joui—on* dans notre chère pro vine. «!•• Quéh<*«*. t que nous .soirTP''.- heim ux «h* partag«*r avec nos compatriotes «l«* races, «le langues et

i «i. religfi«ms étrangères avec qui nous (vivons dans une harmonie parfaite.’’

164 DE LA COURONNE TEL: 5186-5187

MGR L’ECUYERl

Mgr L’E'-uyer répoml it à cette santé1 portés* à nos h«*»tes. Il débuta par <*es mots Q Canada, mon ]»ays, mes amours ' D* Cumula il est beau par-] tout, mais nulle part ailleurs il est beau comme à Québ»*«* !

Il rern*»r<- la «h* nouveau les citoyens de Québoe «l«* leur chaletinuise recep- \ tion à Qtiébe»1 "la grand'mère de tout j le Canada". Jamais, il nn été donné- aux Canadt«»tis-français «l’Ontario la prmiv.* «pi’ils sont «pielque chose, qu’ils *>:it laissé «l*»s souvenirs ici. Puis Mgr 1/Ecuyer remercie de nouveau le maire, h* lieutenant-gouverneur.

Nous aurions voulu demeurer avec lui toujours”, «lit-il. 11 remercie aussi le gouvernement «le Québec, les Che­valiers de Colomb, la société St-Jean- Baptiste de Québec et toutes les per- sonn«*s qui ont reçu nos compatriotes

“>fus sommes là-bas. dit-il. un ram # u bien vert et jeune de <*et arbre planté à Québec Nous ne sommes pas un rameau détaché de Québec. Nous avons besoin «h* vous et nous continuons là-bas, sur la terre onta­rienne. votre vie. Nous n*pr»*nons cette tern* foulée aux pieds par nos ancêtres.

“Québec reste toujours jeune à nos ( yeux parce que son coeur est toujours ' jeune et sans cesse prête à coopérer aux oeuvres de sacrifices. Nous vou­lons continuer votre oeuvre en Onta­rio. Québec nous est un appui pré- cieux sans lequel nous se serions pas. Vers elle, nous portons nos regards

et nos coeurs; C'est j>our raviver les traditions «le la ra«‘e que nous avons fait ce “voyage «lu Souvenir

"Mgr L'Ecuyer ajoute que “religion et patrie” sont intimement liés au Canada et c’est pourquoi les visi­teurs franco-ontariens ont visité les 1 ieux «le pèlerinage en même temps que les sites historiques de la nation. Et ce voyage constitue aussi une leçon p«)ur les jeunes ïen effet le groupe comptait «le nombreux jeunes gens nés en Ontario) qui voient les lieux où leurs parents «mt vécu. «iu'ils ont aimés et qui font partie de la patrie. L’avenir est aux jeunes;1 il fallait que ceux-ci connaissent l’amour du Québec, la chaleur do son cour de mère et le ‘‘voyage «lu sou­venir" aura un bon résultat. Ce sera, une leçon fructueuse qui aidera à parfaire l’œuvre commencée.

Mgr L’Ecuyer, qui «lemeure en

Ontario depuis 25 ans. déclare qu’il est optimiste. “Je vois, dit-il. un avenir plus fav«rable aux nôtres ; j«* vois une province Canadienne- française se développant en Ontario. Nàttis avons les moyens d<* succès «pie nous n’avions pas autrefois. Les lois d’instnieticn sent loin d’être par­faites mais nous sommes débrouil­lards. Nous avons notre (Mollège classi­que qui seraaffiliéà l’Université Laval. Nous voulons vivre, nous avons rai­son d’espérer en cette survivance. Un jour. «»n aura en Ontario un es­prit catholique et français qui ins­pirera les plus gran«l«*s œuvres, qui contribuera au progrès «lu Canada, I notre patrie, notre amour.’’

L’HON. M. CARON

L'honorabU1. Al. L-E. ntstre «h* l’Agriculture

Caron, mi- et premier

ministre intérimaire «le la pr- . uuv, en répon«lant à la santé port« «' -à notre province. regr«*tta «j bord l’absqnce «h* l'honorable M T;— ehe.rcau. Puis il'affirma que Québec

! revoit avec nos visiteurs «pii n-pré- sentent “un élément «h* j«iim««'- . de force «d de courage qui nous r«*coii- fortent pour la pert** que nous .1 vous fuit»*. Québec reçoit h*8 Kr nco- Américains comme des frèr*1' "

Le ministr»* ajoute «pie Québ. «• a suivi av«*«* attention la mar«*h«- pro­gressive <l«*s né très «lans l’Otilario, L© gouv«»rnement de Québ «h* . tsans cesse occupe «le la vie «t d« s lutt«‘s d»-* nôtres. Fins que fou au • tre il suhaite «jue la con«]uête j •u ni­que que l’on fait dans Ontario p«*rte bientêt s«>s fruits.

Récemment, un représentai)1 ciel du Canada «*t tin autre «l'Ont •-

rio. ont «léelaré que si le Canada

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LE SOLEIL. QUEBEC, VENDREDI 8 JUILLET 1927 17

t

HOMMAGE POSTHUME A LAMEMOIRE DE FEU ERIC DORION

Prummon i\il * * der­nier. le 2 unllH. le '«liage d*- l. A- venir. >itué à 1- nulle* de Drum- mond\ ille. offrait un aspeel de te inaccoutumé. De nombreux ••uvu- liers paradaient <tan^ la ru* prinei- pale du villas d.-nt qu< lque> um- >« n» étaient de*<ret^ Lun* Mirtout. voisine de l'églis*1- disparaissi i eus

Iles banderolle^ ei drapeaux aux | couleurs natit»nales. Dans le p; r « rre,

<»n pouvait voir un* idunie *n<(.r. (voilée, mais qui <i«n*4Uiuit l'atlen- tion des ouïtivaleurs r.'unis \'«.us

Inous troux i' tis en e <1. J iin- t» n t endroit habite par leu l.n Der; u.' l’enfant terribl*. amueii membre du parlement, et fondateu»* <1 i ..»ur- nal 'L** Défri'heur ', qui. dtns U temps, fu grand bruit, par la \ iolen- ,.e ri,, ses art iule.s. oomment* . !*>rs , u , ’ ii très différ i

Ne nous attardons pas à soulexer le «K»in du voile de «h* passe, pour commenter rœum* et la e« nduit»-

d .n homme d «me énergie, d'une té" n né. d’une éloquence et d’un ta- !• ni iiuvmt. stable. A^xeptons plutôt 1 ospnalité du proprietaire de cette residence devenue historique; hospi- tt.lité largement offerte par le pro-

i p;iétair<- ac tuel. .\f. Athanaae ( our- ehesne. p ur écouter un peu les dis­cours qui >e sont prononcés

I. assemblée s ouvrit sous la pré" I sid«*no«* d« M. le maire Arthur 8i- (moieau. qui iniita M C&müle

ljuguay à entonner le chant : “O Canada' durant quo lui-même et ' ' mré Ephrem Lemira dévoi-

; !eran«nt lu plaque souvenir, érigée à la mémoire de l’enfant terrible,

i Krie Doricn.Immédialement après. M. le no-

lair* St-Amand prit brièvement la parole. Il remercia ses eoparois- sieii' de s'Atre réunis en nombre h li l'éie paroissiale, et partiouliére- nient les invité.^ d’honneur, dont M Hector Laferté. M. F*. F*., dont

il xante le dévouement, l’intégrité, l'éloquence, et ('♦•ttc grande vertu civique, la sincérité

De Krie Dorion, 1«* notaire se 1 (‘entente de dire qu’il unissait à de regrettables défauts des talents in­contestables. et qu’il avait repré­senté le comté qui. h cette é»i>*>que. comprenait Drummond, Bagot et Arthahask», d’une fa von martpiau-

1 te. ('’éuut un journaliste origin&l* un orateur pui-sant, doué de qua-

' lités brillantes.

D* docteur Leopold (’harpent 1er. i un ( tuant de la pa-oisse. pratiquant I aujourd'hui à S.mth Durnam. rap- i pela d’un«‘ vmx émue, quelques souvenirs d’enfenec et dit tout le

[bonheur qu’il éprouvait de repren­dre contact ave** sa parois>* natale

.en eette l»elli *• rconstancH*. Le temps ! est à l'hi'it* ir. Le nom de F>orion y est inscrit comme celui d’un

i iiomiiK remarquable, d’un politi- I cien qui p* nsédaii les qualités | essentielles qui font les grands hom­mes d’état. Faisant allusion à la

; fAte de la ConfédArati* n l’. rateur (ii? ou'elle est devenu* le symbole

J do l’entente et de l'harmonie. Il termine en faisant une délicieuseallu-

=o= 30=:

Spécialités de JUILLETrendues Appétissantes

b%paria

Voici cinq recettes peu communes pour la pré­paration de plats qui charmeront les appétits languissants pendant les chaleurs de l’été.

Délicats autant que nutritifs, ils sont très désirables à cette saison et vous les goûterez particulièrement à cause du piquant savoureux que leur communique la Moutarde Colman. Découpez ces recettes pour vous en sennr plustard.

SALAD K D’ABRICOTS—SAUCE4 jaunea d’oeufs battus 4 cuillerées à table rie

vinaigre, 1 cuillerée à table de beurre, 1 cuillerée à thé de sel, 1 cuillerée à thé de Moutarde Colman, 1 cuillerée à table de sucre, 1 petit piment rouge.

Mélanger ces ingrédients dans un bain-marie et cuire 5 minutes en tournant toujours. Lorsque le mélange est épais, le refroidir et lui ajouter 1 tasse de crème fouettée, 12 carrés de pâte de guimauve (marshmallows) et V£ tasse de noix “pécan” hachées.

Ouvrir une boîte tie conserve d’abricots, ajouter le sirop, les arranger joliment sur des feuilles de laitue, les servir avec la sauce ci-dessus mention­née.

SALADE AUX OEUFS A LA DIABLE6 oeufs bouillis durs; 1 cuillerée ^ à thé de

beurre; 1 cuillerée à thé de crème; 2 cuillerées à table de vinaigre; une faible cuillerée à thé de Moutarde Colman; une pincée de cayenne, 34 de cuillerée à thé de eel.

Tranchez les oeufsdans le sens de leur longueur, enlevez les jaune*. A ceux-ci ajoutez les autres ingrédients et mélangez en pâte. Remplissez les blancs et servez sur feuilles de laitue avec mayonnaise.

Ôn peut varier ce plat en y ajoutant ^ tasse d’olives mûres émincées ou 2 cui.lerées à table de sauce aux tomates et 1 cuillerée à table de sauce Worcestershire.

BISCUITS AU FROMAGE A LA DIABLE1 tasse de fromage mou coupé en clés. 1

cuillerée à thé de Moutarde C olman ; 2 cuillerées à thé de sauce Worcestershire; 2 cuillerées à thé de sel; Lg de cuillerée à thé de cavenue.

Battez le fromage avec les assaisonnements et les essences jusqu’à consistance légère et cré­meuse. Etendez sur craquelins rôtis et servez avec salades. Cette préparation peut couvrir environ cinquante biscuits.

SALADE AUX ÉPINARDS! chopine d'épinards bouillis; 2 cuillerées à

table d’huile; 1 cuillerée à table de vinaigre; H cuillerée à thé de Moutarde Colman; sel, poivre.

Ajoutez assaisonnements à l’huile et au vi­naigre et mélangez avec les épinards. Tassez légèrement en six moules pour faire refroidir. Posez une tranche de jambon froid sur de la jeune laitue et sur chaque tranche versez un moule d’épinards. Garnissez de tranches d'oeuf bouilli et refroidi. Servez avec sauce française ou mayonnaise.

SANDWICH AU BEURRE DE PISTACHEtasse de beurre de pistaches; },$ tasse de

marinade - hachées; 1 cuillerée à t hé de Moutarde Colman. .3 cuillerées à table d’eau chaude; \4 de cuiller à thé de sel.

Battez ensemble tous les ingrédients jusqu’à consistance légère. Etendez entre des t ranches de pain blanc ou de pain au blé complet.

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«ou nu notair» fil-Arnaud, I hur .- rieu de sa 1h.*!1* paroisi** natal*l'Avenir.

Au brillant député »!** Drummond avail été eontie la tâche de faire la biographie parlé, de son :tinc coinin' représentant du comté, d'avo r puis* sua dtHJUinontation* dans le livre du notaire Si Amand. mais d se savait à bonne et féconde source, et croyait bous les ciroonstancoh. ne pouvoir fair* mieux, llfait un bol éloge de *vt his­torien savant, travailleur et modeete Il formula le voeu que u* n**.aire réédit* son livTw, et dit toute la r»** on naissance

3ne toute »a paroisse, sa prov.nee. lui oive pour avoir enrichi notre écrit

national d’une belle perle de plus.Puis, une heura durant, le tribun ai

nu* «les foules Ht passer comme uj souffle charmeur sur les auditants. !a figure légendaire de l’enfant terri bit qui, en mourant h 40 ans. laissait un*

, carrière mouvementée diversomen' (appréciée, mais au-des> is <ii laque!'< brillait avec éclat l'auréole du talent, h

j flamme du patriotismeAvih* une grande habileté et b* m.

qui caractérise l’orateur tie l'assemblée législative du demain. M Lnîer * laisser en pleine lumière les qualités

-1 d'Eric Dorion. tout en i*omivss;tnt «le [défauts de cet homme* étrange, a i fois fougueux, doux et bon. capabl* des plus grands efforts et dont le . «**u. généreux gagnait celui de ceux qu. Ten touraient.

Au cours de son discours. M Lafcrl"; communiqua un détail sur sir Wilfri* Laurier, détail qui est pr«*sque inconnu

< "est que laurier, au début de sa car 1 rière. avant même de pratiquer le dror ! à Arthabaska. se fixa à l’Avenir, dan une modeste maison du village. |H»ur > attendre les clients, ("est même 1;<

! probablement qu’il prit su premier*: cause. Il devait en plaider beaucoup j (dans la suit»», sur un champ plus vaste, une scène plus mouvementée, i les causes de la Patrie canadienne, don’ i

i il reste l’un dos plus illustres tits.

, Il nous était ensuite réservé I* (plaisir d’entendre M. le Docteur H 1 Horace TTéfortame. dont suit, près que substantiellement le texte do

i son discours.Tout le pavs est en liesse. De­

puis les rives du majestueux St- I Laurent jusqu’aux eô‘« > de l’océan ( j Pacifique, comme dans le plus opu- I lente des cités, on voit le drapeau | britannique, caressé par uni» léger* brise, flotter gaiement sur le sommet des édifices. La nature même .-c; ble prendre part à notre grande joie de ce jubilé en nous favorisant d'une température idéale; et c’est

I avec raison que nous manifestons;; notre allégresse, puisqu’il > a soixante 'an* aujourd'hui, entrait dans le do-

ITE a- Qtriable; J c’est ce Qquei'ous A

aurez pour *lotre pro- Qmenade du |lprintemps £ àSew'-York Q en descen- Àdont au *BRISTOL Q

V HRISTOt. on tend toujour# Q l» main de la bonne *\»raarade- r e «m nis et aux fille# «tu pa»* Q oe la Feuille d Krable. t »>u# 9 voua plumv dans cette atnio*- Q l'I.fre qui *cnt le "chc *"* *dan# cet hôtel \oui apprécierez Çm*» chambres confortai lenient *c.euhlèc.» s;i cuisine lusurpasaa- y ble i de» prix modéré» A

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certaine émulation qui nous motto à travaillera l’avancement d* notre beau Canada- Nous devons dé- j»lo\* r toute notr*» énergie, faire con­verger toutes nos ambitions, toutes tu» aspirations, chacun dans notre

'sphère r*-sjK‘cti\*. pour po* notre |m\> atteigne le /éruth d** lu pros­périté »t d»' la gloire. Soyons furs de marcher sous l’égido du drapeau britannique.'M !*• curé Lemire, pri* par M

h* Maint* d’adres«k‘r la paroi en son nom. fit fort *pi rituel let mm'. I«‘S r.*- mcrciements «irconstanticls. il eut un mot ni .nabi pour chacun «les visiteurs d'honneur, qu'il invite à se rendre an presbytère. Durant quoi qu *rt instants charmants, on peut p«*ut al*»rs causer du passe intime­ment i I* (Ati du jeu jtu rest m inémoral»le |>o‘ir I - cito>(*ns d • l'A \ci.ir

L'Enfant Terril le a maintenant son monument dans >on villag*- d'ad- düption. Le touriste, quelque (S'il cfu relieur, appnndra d*» villag*--i^ que Eric Dorion avait tellement f**t en la puissance du journalisme qu'il publia un journal durant quatre ans, de ce v illuge de l'Avenir. Oh! "I c Défricheur" «1 Eric Dorion n'a­xait pas l'allure, la circulation des quotidiens d’aujourd'hui, mais m on song* aux difficultés que ce pionnier de la plume a dû rencontrer pour imprimer, faire circuler un journal n cette époque déjà lointaine, l’on restera rêveur, méditatif et en même temps rempli d admiration devant l'initiative. I*» courage, l’énergie, le travail de ec journalist!* des Cantons de l'Est dont on vient d'arracher le nom à l'oubli, iti le burinant dans le bronze

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d’un légitime orgueil, en contem­plant les progrès gigantesques ac­compli- dans notre Dominion do­pin' tjd ans. nous devons sentir une

Note» socialesM. et Mme .) -M. Lemieux, d’Ot­

tawa, et leur tille, Dorilda, sont arrivés chez, leurs parents |»our des vacances de deux mois

M. M -Il J aqua: i, de Mont réa I, sa femme, leur fille et le Dr Howcll. de New-York. sont dans leur maison

d*;*. le long de la rivière, pour y fu;re In pèche et passer la belle saison

M M* l.aughlm. do Oshawa. et L* Dr (’;mphcll. de New-York, sont aii'-i arrives à leur ('amp pour leurs vacances Plusieurs do leurs amis arriveront bientôt.

I,o Dr Bélanger, de st-Jcan-de- Dicu, -a femme, ses enfants. M. Joan Keable, sa femme, leur bébé, ainsi quo M A Ouollot, de Trois- Pistoles. sont chez, M. Jos. Keable, pour une couple de jours.

\a' Dr D Miville. d’Amqui. sa femme ci leur fils, sont chez M. Emile < ôté. pour une quinzaine de jours.

Mlle Laurel t.* Paquet, de Mont­real. est en visite, chez M. Arthur Gagné et d autres parents.

Mlle Ksihellc (lossolin, G.M.. de Montréal, est chez son père. |»our un repos do quelques mois.

M ( Invi- Boy. fils de M.

Roy. étudiant du (à>11 ego Sto-Anne- i de-la-Pooat 1ère, a passé son ha^va- ! lauréat, il est arrivé avec (>17 pta

Nos félicitations.Dimanche prochain, aura lieu

dans notre paroisse une grande fêu* à l’occasion de la première messe du Rév. Père Alfred Paulin, fils de Mme Kustache Verrault.

Si h* temps le permet Mgr Levantoux de la Côte Nord, le Rév Pèro I^abrie, d© (ïodbout, et NI. le

‘curé Gagné, d« Shelter-Bay. traver­seront pour rehausser de leur pré- seno»' ('et te si belle fête de paroisse. Le Rév pèro Paulin est né sur la (’ôte Nord, à Godbout, oîPson onole, le Rév Père Labno est nommé.*uré. ^ w mmTempérature

D* beau temps est arriv'é. mais la chaleur semble ne pas vouloir nous faire dire: Ah ! qu’il fait chaud’’,("est tout le contraire. Nous disons «‘Quel froid, omgèle". Brrr . .

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soir, sassées au creuset de la dis­cussion la plus soutenue, la plus animée, et quelquefois des plu. orageuses Ce faisceau d»* loi'* rem­plies des concessions les plu-* géné­reuses de la part des délibérants ce faisceau de lois qui devrai*! t ' ir notre modus vivendi, et. qui i v;t le nom d’acte d’Amérique Britan­nique du Nord. Oui, Mesrictir . nous avons droit de manifester, d* donner libre cours à notre joie, lorsque nous constatons les bientôt que nous a procurés cette consign tion de 1S67. lorsque nous jetons un coup d’œil en arrière et que m u contemplons ce qui s'est passé du­rant cette période de soixante ans Nous avons droit d'être fiers du

(chemin parcourus par notre jeun* nation, des progrès réalisés dan- toutes les activités de la vie écono­mique Education, agriculture, cott-

! merce, industrie, voies ferrées, ravi I galion, etc., tout a pris cette expan- i sion qui fait le bonheur et la foriuiK j j de notre peuple, en. n éme temps (pi* | ! l'admiration des peuples étranger'.

Messieurs, soyons animés de l’iri* * , qui animait les pères de la C'onfédt-

| ration, lorsqu’ils jetèrent les ba^*! de cet te constitution qui mm- régi lorsqu’ils travaillèrent à la création de. ce pacte qui reconnaissait coirn » officielle la langue des deux pnncij ; les nationalités dont s*' composai: les provinces fédérées, et laissait chaque citoyen libre de pratiquer In religion qui lui convenait, à laquelle! il était attaché. A quels ol»taeles n'eurent-ils pas à faire face Il leur ! fallut résoudre les questions les plus ! difficiles, traiter les question-, les plus épineuses. J1 fallait la diploir.ari* d un sir John McDonald, le ta»*!. In fermeté et la puissance d’un sir Gotr- ge>- tienne Cartier, pour r*\endi qu* r • - droits et les faire r -crire augia re de la constitut on.

<, ^ . del le d* re* vous « evons-r.ous pas ii vou-, .Mc­Donald. (Prier, (‘hapai Taché. Brown, Langovin. Gall, vous qu *i nous donnant la Confédération, mu-

I avez mis sur le chemin de la prospe ! rité. Sortez de vos tombeaux, arti-mis J [de ce pacte, et contemple/ avec) orgueil les fruits de votre œyvr* j

; inspirée par le plus pur pat riot i -v • ’I Rendons hommage à ces champions de nos libertés. "Ils ont élev* un! monument plus durable qu** Ini-

jrain". Saluons avec respect les Bonr- j

fet. les Taschereau, les Laflèehe. les j légin. ers ilhistres n‘présentant de

l’épiscopat catholique, qui. d(‘pui' la ! confédération, ont fait marcher d*-1 pair les intérêts religieux avec les in­térêts matériels. Inclinons-nous de­vant les tombes de nos vaillants i i qui dorment aujourd’hui dans h

I Flandres, après avoir donné leur I Ming pour soutenir l'honneur de leur ! pays. Défaisons aussi des fleurs >ur les tombeaux des Saucieîs» d<*> Mer­cier, des Chapeleau, ci s grands |

nriotes qui ont jeté tnrt de lusTe ; sur la nation. Vue les fun é*» de r* * cens s’élèvent aussi jusqu’à pot* clergé catholique do 1NL7 facteur |

[ puissant de l’unité des races, roicn <•. I le déclare Sir John W illisuii. «fin j ! vient <le mourir Sans Cartier • | le clergé catholique de (Juchee. ' l'union de !Sfi7 n’aurait f'a pu > ae-I

; coinplir. Gardons scrupulcusi ment1 intacte cette grande charje de l'Aine- j rique Britannique du Nord < . si I» j bairièro infrancbissal le contre la I quelle v iennent se heurter les- préju- j gés, c’est le rempart imprenable omi | tre lequel viennent sc briser h < fi, •- courroucés du fanatisme et d* s con­vint ist s illégitime'!.

De même qu«» nos ancêtres no; ont prêches par l’exemple, l'esprit national, l’esprit patriotique; d* ! même, nous aussi nous devons non | efforcer d inculquer n nos enfant • |I * sprit national et patriotiqm . Unir inspirer l’amour de notre pa\- n’ eldorado convoité depuis si longtemps par nos voisins du Sud. ce pavs qui est le plus beau joyau de la couronne britannique. De même (pic les gé-j iterations qui nous ont précédé', ont eonsta.muent travaillé» .* rcculci l(*s horizons de notre pays, ont multi-1 plié leurs efforts junir hâter le pro i grès de la civilisation, de mém* nous aussi, nous devons coopérer vaillamment à développer, dans l.i jiaix. le patrimoine national qu’ils

j nous ont légué. Fiers d'avoir |h>ui latrie l’un des plus beaux pa\• h .n<..n|e, pénétrés d'un s,ntim*

99

Le vieux produit populaire sous une forme nouvelle

EYSLe Sel Hygiénique Matinal

EN FINS GRANULES

IL y a près de soixante ans qu AJiBEY, le sel hygiénique matinal, coo­père avec la nature pour maintenir les hommes en bonne santé.

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18 LE SOLEIL, QUEBEC. VENDREDI 8 JUILLET 1927

♦++++*+*»»♦+++*+++*♦+#+**+♦♦+*#+++* ♦: rN J-Tl EN L’HONNEUR ET A LA MEMOIRE!-VOY/\GCS-| DE L’HON. JEAN-CHARLES CHAPAIS

LES MERVEILLES DE LA NATURE

Partout ou nous allons «lau* <•«» beau pays qui est !*• nftr**. iaouh trouvons «les pavsa^cs <l'un«* nul»-- eriptiblo heautô l*art.o,jv n«m« trouvons coramo U» «lisait si bion

itou l-«*s monta^n« s aux m>ui- rrrt»i stériles ou los nuages semblent

repO'^r: «l«*s ruisseaux étroits et <le \a-tes riviAr**s " ( «umne nous con­templons cep' merveilles de la natur**. un b^trine d*' reconnaissance s’élév»* au dedans de nous, **f la uostalgn*

• nous reprend «le-- gramls espaces à «lécouvrir. \ l’ouest se trouvent les Afontagiu- lioidieuacs dont les hauteurs majt^t lieuses indiquent ou au milieu d’elles *'«l«*s cours ar­penté* déroulent leurs libres méan­dres”. Les Rocheuses ont été il raison, surnommées le terrain d»* jeux du Canada car c'est IA que le touriste peut trouver des endroits d’attraction comme Banff, ui) Ton trouve un passage magnifique, de beaux bassins d* natation «le la pèche et de l'automobilisme; il v a aussi les lacs Louise. K m era u de. Moraine « t O’Hara

l a c«'i, de la ('olomm*-Anglai>e cri ausd renommée pour ses paysage» splendides: et de* eentr* s importants comme ^’an<•ou^cr et Victoria, d in­nombrables endroits >«>nt accessibles o i le golf, la pèch» . rauiomobilsmc

le canotage 'ont ù la disposition <l'j voyageur. I.e < anadien Paidfique peut ^*ffrir tout cela «-t en deman­dant leur coopérâti«>n. «les arrang«>- ments satisfaisants peuvent être conclus

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ELLE FUT DECOUVERTE

EN 1608Le site actuel «le la Maiimit lut i

«le.-uuvert par Samuel «le Champlain ; lui-méme qui lui donna le non» «b- la,M’ilba'e A «vmse <l«* la maré*« •xtra 1 or«iinaire qu’il v observa La < «»!oni««1*> |»avsans qui habite aujour«rhui . ‘*lla Malbaie rup-llo le souvenir «U Sa,"t‘0,l‘fV ,«•«•s vieux navigateurs «lont Cliain- i;»*’P-l«'’«»!e «.rtiei*-l «le* li.>vs .Seoul plum fut l’un «les premiers S, < !. r,- ,aJn«,H' ^am/ais.. qui «'taient

files «l«« maisoiih aux toits d««p«.s. • ne counmn.- .i« f« uil

I-orn «ieR fêtes qui marquèrent le -oixanteuaire «le la <'nnfé<lération la c«Mjuette **glise ,!«• Saint-Gernii de Kamouraska fut témoin d’une im- prexionliante oérénumie en l’honneur de I un «les pères «le la < ’onfédération I h««uorabb* .ban-i harles Chapais !)••> «inc b'» eouronneR «b- Heurs eu­rent été «léposécs sur le mausolée «le l’ancien ministre de PAgmuilture «lans b premier «-abifiet fédéral <]<- sir Jolm-A Maclionaid divers «*ra- tcurs louèrent la mémoire «Je l’ho- Uorablc I -C i haonis « t les bien­faits d** la Confédération Nos lec­teurs liront avec intérêt le «liscours

cette occasion par M L. M (’ ftcoutrncstre «*t

nées sur cela et il fut «lé»udé «pi on se réunirait au iii«>is d G«M«jbr«- yué- b€«-, pour «liscuter l uniou fédérale «1** toutes les prov ivioes. plutôt quel l’union législative d« * pr«»vinee* ma-J rit unes seulement

lui confère ne* de éla-«- tenu** u

M. et Mme J.-K Trottier sont allés passer «quelques tempe, chez «les parent* aux Or«jndme«. a Samle- Aune-de-la-1 éra«le et à St-Casmur.

Mme notaire J.-A Heauehesne est re\euue chez «les parents et «les

nias à Yiontréal » I I ae Mégaat ie M 1 abl»é Klph*-ge lV»ihvert. du

t et it séminaire «i» Mont-I jiurur. est veau ]tasser s**s \a'-an« es eh» /. son Itère. VI I -M - R Boisvert

M «-t Mme Joseph Melanv^tiv • '.tient eu visiti* «'he/. M •• -B V* :*.ill»

Mme Hervé Bcaudet est allée (-

guésants abritent un«et bienveillante «lont les «xtutumes et les m nurs ajoutent un «•harm«> partioulier au séj«>ur «ju- I on fait au milieu d’eux.

Form int un ontraste frappant aven ««^tte colonie «b« paysan* trau- «;ais. on v ren«M»ntrf la «-olt.nie lash'< - nabb* «i*- la Ro«Mété la plus « xolusive du Canada, et le Manoir Rbdielicu «pii en est 1«* foyer offre, ave«« tout l«> lux» »*t le <vmf«»rt modernes, lou- t«-s les facilités d'amusement possi­bles; au g«»lf. au sein «les monta­gne* les plus anciennes «lu monde, promenades h cheval, baigua«b s à ! J Peau .salée et une foule d’aufres amu-1 semeuts

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p.'pulation «.mpl. i',ur |;i 'i;‘I i..„ ... ........ .. ■ fiorabl» ( hapais

\’«)ici le texte «lu «i i scour.- Vous sommes assemblés i«*i aujour­

d'hui fwiur repréwuter 1«* Comité National un? <•«»!♦ br«* le (JOe annivi-r «aire «b* la C«»nfédérat ion «•( afin d’h«»norer la mémoire d’un «les pères «le la (onfédération l’Houorable Jean-Charles Chapais «pii a rendu «h notabb v ict-s au Canada

l^-s Boy-Scouts «lu Canada re­gardent C4»mine un honneur et uu I*ri\ ilège «rav«»ir été choisis |»oiir «J»*î»<>s«-r sur les tombes tie ce» ine-

huis-«>l«»s. rédig* '« «J r* .•-ut ion* *|ui ;,vei- sa taiiiiüc. pas- « r quelqu«s J*»uè- furent portées devant I* parlement «lu Canada *t appnmv *•••“ au 4ii«»is ,|.- Mars IStiô

Après plusieurs «lilticultés qui fu­rent rencontrées et surmontées, une «•onfércm-e final** fut tenu** au Balai- VN’« st iiunst* r è I**: dr« - au mois «1«- l>« mbr. IS»**'» L* * Id !iu «nbr« s étai«*nt présent*, inê.ne \iac«l«»uaM «Ju C*aua«la. Tup|** r d«* la Nouvelle- K«*«»sse »'i Tilley «lu Nouveau-Bruns­wick. L’ile du Rrince-K«|ouar«! ett \| „f \|Mie philéa Terre-N* u\*‘ i. etqn nt pas repré- \|llu. Bi«di#T sont ailes s« i'te - bdm A Macdonald fut l« j Saintc-Anuo-de-Boaupré

\| Thomas Bonner, de Richmond Il fut d'aboni suggéré «•*• fut *-st vomi en visit»* chez sa fille .Mint

désir «le la «'onférenc*' que le tiLr«* «1© | Roger Tourignv .’Lt

à Saint-\«>rU«rt. chez «b*« parents Mm© Aldérk* l^aurendoRU est r»v

«•nue «le Joliette. où elle a pLss« qmd- . ques j«>urR «-liez sa MM-ur. Mme L>r lai-

p*.. i« Sa nie*»*. Mlle Aut«>inette l^a- l*ort» I'n< «'ontpagn© i«-i

Mm»* S. Ixrner. «b* Montréal est ! \enu*'©u \ isitc ch»*z Mini (’hs (ir<> -er

M «u Mm** J.-K Lallamnu* sont • ♦•nu'* en visite «die/. M » ' Mnu- Km*Aug«

( iermain à L.biéU'"

patriotes <b*s couronnes «le feuil- «r«'rabb-': Dans plueieurH « ti-

lr«)its nos frères Scouts prennent part ;i d«*s cérémonies semblables.

Noir»* but à nous »*st d© vous »*nlr' - tenir («ernlaut ((U(*lques instants d«* la v i** «l

la rouvellc C«»nf«*dératioii S4*rait Rovaume «lu Canada mais «ni sup­posa à cela parce «pie le nom «ie

; oyaunt« r« pourrait <‘tre acceptable pur b* peuple des Ktfttt-I ni*. L*s résidutioi'S ujaui ♦*'«’• mi t i .lees par

i'a «‘«inférence «ie Londr«*s. furent in- .corporées «lans ur pr«\jct «le loi et

pas.s**»*> par le parbui'eiit lin|>érial «•«*imii« acte britannique «b* l'Amén- «n.'e du N«>rd. recevant ! assentiment R«»val le *J9 n.urs I Mi7

, Cno pnKdamatioii royale fut pu- ■ bli»"*© uni*saf’t b-s provinces «lu Cana­da. N«niv elle-Kcosst* « t «lu N«>uveau- lirunswici; sous un** domination ap-

, pelée b* Canada. Ibuix jours pluslési-

Oabriolle Simar«l sont depuis meroredi dernier

Nos étudiants MM

■ n ’ MMati'-c^

T.-L>

Il I.ACBOLCHETTELL-;

-n voyage Montréal

\> -ct-vientAfllr M -A. Boivin e-‘

pour qudqiu s semaines à où elle visitera «les p.-mmt-

Mlle R. Moreau était de passage ici la semaine dernière chez Mlles Fernand» • t Félicité Tremhlav

Nos étudiant»*s. Mlles Gilberte (’hprlotte et Jacqueline I^evesque. Gilbert** GirartJ. Ibrthed** bannière.

>>i-mard. Henri Dumai.'. Idola Sasseville et (iérard (’laveau sont aussi dan* leurs familles h 1 onasion «les \a- cances.Mort accidentelle

Dimanche après la mess*-, ahirs «me les fillettes «le M Joseph Bou- dreault allaient chez leur grand-mère, une fillette, âgé** de ô ans. fut ;•««- «ddeniellement tuée par un taxi, oui revenait «lu village. M. Alfred St- mard. qui oouduisait sa maouine à une vitesse modérée, ueut pas l»*j temps île mettre assez tôt. les freins J •■n voyant arriver 3 fillettes en avant ! d’un taxi arrêté devant chez AT Bou-j drault.

Ils constata, avec douleur, que sa machin*' venait «le '•’arrêter sur le] c«*rps d’un enfant II ai«ia lui-mêm** à ramasser la petite v ictim** in«*rt«». | qui n’avit plus qu’un souffle «i* v i«‘ et qui expira aussitôt.

A la famille .qu’afflige la perte • l’un bébé aimé, nos sympatuie*.

l’honorable J©an (’liarl»*s ('ha t tani lor«l \i**nl «pu avait ••t*'I pai* L'h«»n«»rnbl»< Chapais « été gné coirîi'e g«mverneur-général. *»r- ] imiv»*rs»*llerp**ni m'onnu «‘omine Bm; donna à *tr .lohr A. Macorabt <!«*! d»** fdus «listmgués personnug*** d«* ! former sou pnrnier miristèie «*t le j l’histoire eanadienn©. Bère «le la ('ou- premmr «l«* juillet 1H(»7 la Confédéra- ]R*dénn«**n. il fit r»*ss*>rtir ses qualités ' tion commença sa ••arrière «•«nnim «radinintHtrateur. avisé et courageux | gouv ernemert Hiitoinune d** l’empire h^rsqu'il eut b Mifm*.iit« r l*-s difficui- britanniquetés qui «mi pré<*édé la Confédération.] Blusieurs «Itfl'culté- >«• présentèrent Il travailla avec une si grande percé-que ehaque gêuvernement eût à sm- véranc© durant t«>ut© sa vie à F union monter ; cependant «l'année en an-

j britannique qu'jl «’acquit l'admirat ion née. le g«mv ernement devint plus I <!«• tous s«-s amis **t même «le s»*s enne-{ «*onscient de l'union «J*** prov inces «*t

mis plus confiant dans le futur et «tansL'honorable J»*ati-( harles Chapais la prospérité grandissante du pays,

né â St-D»*ni8-(l«*-Rivtère-Ouelle. Qué. ! FÎn 1N07. le Canada était formé était I* tils «U* J.-C. Chapais. mar-M'un groupe «le colonies situées sur «•hand II étudia au collège de Ni«.*o-' l’Atlantique et qui n’avaient aucun

Mil© Ant«*inctt»« (iagnou. Mlle I \’»*rmette «*t M A Vermeil© étaient

« n visit© «diez M J.-A GagnonMm»* l*aul Niurg<H»is d»* Sain *•-

Ang»*le. «‘st v»*nu«' en vi>ii«* <*li«'/ sa >oepr. M me Dr R«>ul©au

Mlle Rachel Dés i let s, «1** Nto-Ger- trude est v»*fi'n*s en visit© «du ^l J - Knr Auger M J.-Arthur Aug*-'*

M « t Mut© Félix Beainh-1. de j Drum mord v ill©. -on verus visiter derv par**i't s *t d« * amis, la s«‘mair.e déni i*'-re.

M me H .-B Rouleau * allée Montréal, en vi*it© chez de* pa­

rent»1M. J.-O. Carigrar.. Mme Cari-,

gnan et leurs enfarts >«»r.t allés i. Ottawa, ©p visit»» chez M et Miph Henri Baril

Nill** Fleur-Anv« La l<*r*-M est venue * t» visit»* cl'e/ Aim»* Napol 1 ^liberté, -a tante

Aim»* J.-F Alain. Mlle- Margue­rite A lam * t Rosette Bcaudet sot'* a liée n Montréal, au-devant d»i M.I -K Alaii» qui revjep.t «I’up vo.vage

dans l'ouest cat adien.

heure*1*Vête

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Je suis lors«Jue

flocons

seri?c,1:^sert;e

l«*t ©t suiv it la «•arrièr»* d«* son pire.h «lébuta dans la p*ditique en 1851

quand il fut élu à l’assemblée <*ana-

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Tous les trains suivent l’heure solaireDes trains arrivent h 8herbr«x>ke à proximité du district «Je-

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ditomo. déput*' de Kainouraska. il gar-1 m«Klerne L»* «•< inmer«*o «lu ( "anada da >on sièg»* jusqu’à la Confédération ©st sur un pied toujour- «*roissant Kn 1 xbI il devint membre du t’ons* il en proportion «b» sa populati«»ti F,\»*cutif. et tint la «‘barge de Commis Dans l’éducation plus particula r*- sait© «J»*s Travaux publies de cette «la- j m©nt ikrofes-ionnclU-. teehniqm* et te jusqu'à la (Mnfédération r*n 1SG7. .uême «lans l'éducation agri«toI**. le

Quand U* projet d’union d**s’diver-' progrès a été très acc«'Qtué depui» la ï-es )>rovinces surgi». Chapais fut un j Confédération. D* Canada occup** appui actif du mouvenmnt et n fut, un»? digne plac»- dans le pr(*grè.-. de la. délégué à I'ass»*mblé*> historique «.science et l invention. L«‘ côté spi- Qijéi)**c en 1SÜ4, où les bas€*s de l’acte ! rituel d© la vie s’est aussi grand*- Britannique «le 1 Amérique «tu Nord1 ment déxeloppé; en effet, nous avons fur«*nt jetées. lune littérature distinctement «*at a-

('’hapais fut assermenté comme j dienne et un art qui offre «le b< ll« s membre «Iti Conseil j>.ivé et nommé espérances La chanson, la musi- ministre «l’agriculture dans l© gouver-1 «me et rarchit©ctur© «lu terroir nement de la (’onfédératuui. Il gar «la î étaient fortement «nracinés dans le cette charge jusqu’en 1870 où il «le-' r'ana«ia depuis lortgt' .i'ps «Jéjà vint receveur général. ! Maintenant nous avons raison de

De 1807 à 1871 il représenta aussi I croire que les Canadiens «les deux le comté «le Champlain à l'assemblée 1 langues seront eu mesure d© orodui- Législative de Québec et a aussi «ié-|re des ouvrages d© plus grande va­

nne position coD’ine directeur rar.d-Tnir.k «lar.s 1© gouverne-

tenu du ( meut.

li© 13 janv 1er 1808 il fut nommé ' Sénateur et il y testa jusqu'à, sa mort I en 1885. Il fut inhumé av ec t»jus les ' honneurs du - à un patriote qui avait

serv i avec dévouement la prov ince de Québec et tout le Canada

! (Vs hommes d’état quoique dtepa- ' rus ont légué les bases d’un monu­ment «pie la ( 'onfédération a cotiron-

I néI Ln effet, le projet d'union des <*o- j louies britanniques de l’Amérique du j Nord sous un seul gouvernement fut

proposé «lés 1789 par le «*hef de la I justice William Smith; et 25 an- plus J tard le chef de la justice Sewell ébau­

cha ut. projet semblable. Kn Fabsen- ! ce «le fn-quentes et rapides communi- | cations et transportations, aucune ré- j union ne fut possible. F*n 1.858 i Alexandre Galt détenrira le gouver- | rtnient Cartier-Alacdonald à envoyer • un© mission en Angleterre pour inté- I resser les autorités Impériales sur le j -ujet, mais ri«*n «le tangible en résul­

ta. «■*• fut un abattement pour l’As­semblée Législative Canadienne qui, détermina quelques année- plus tard] le gouvernement du Canada à pren- dr© la chose eu considération. «Il v 1 * ut. «La ut res facteurs qui y contri- * |f”

Mlles Fétlora «-t Vvonn© Roux, de Sanford. Maire, >(»nt venues en visite cli«'Z leurs parent s, M. Johnny Béc«>tte.

Ni. et Mme Raoul B«nhier. M et Al.ne Rosain» Bot hier. Al. et Aime Wilfrul Bothier, <1«* Léonnnster. sont enuu en v isiti ch< - M M Kddi

i’othier «t K HamelAl l abbé Gustav*- Bourbeau.

curé <l<' Bor.tgravé «le 'l ingwiel.. est •> er.u en visite chez son père Aï.

J -( > BourbeauMire J. Mousseau et Aime

Jacqne- de Montréal. -«>rt verties «.u vi-ite cl1*./. Anne VN iltrid Talbot

Ai «ne Albert Ihnirquc de War- wi«*l., «>-t venie en visite «'bez son frère. Ai Arthur Gouin. et sa sœur Aime Johrry Bécotte.

- Mlle Sm'ore Talbot ©st allée passer quelques jours Prirceville. ef Québec, en visite chez des pa­rents.

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La ('onfédération a développé un! mode «I»1 gouvernement admirable-i ment adapté aux «inalités « t aux be-J soins d’un pays tel que I* ( anada ;! en effet il est bilingue, démocrate et j varié, sa constitution a été étudié*» et bien souvent pris*» co.run* mode- j le par d’nutres gouvernements nuis J d*- I’Empire Britanniqm

li»*s facilités modern*-'- «J* trans-| i p«>rt et «le communication pour con- ! férence ©t coopération, ont rapide* ment fait disparaître b-s derniers ves­tiges de mauvaise entente entre les différentes parties du pays, nous ap- prenons à <*oinprendr*’ les intérêtsl communs qui favorisent 1© bien-être! • t le cara«*tèr** national

Quoique unis à l’Kmpire Britanui-j que. n«*us s«y.nmes associés «1* l>onn«* volonté par une commun© allégeance à la «•ouronne.

Kt maintenant pour I* travail dé-j ployé a la promotion d© la Confédé-« ration dont le (’anada a tant béné­ficié. nous offrons nos profonds hom : mages à la mémoire de l’honorable! Jean-Charles Chapais. dign*-* BLI* K;de la CONFEDERATION

huèrent, tels que lavis des Etat I ms que le traité «1© réciprocité *e- tait ébrogé, et l'intimation du gouver tumeiii anglais, que le (’anada de-

j vait pourvoir à -a propre defense.! Eu l8('*4 l*> (ioubernement-l’rn fut formé au ( ’anada dans le but d© né- j

| gocier la * ’onfédératioo «i- - prov i •• i t'ritanuiques «l*- l'Anurique du Nord.

D- gouv erntuient I ui dont Sir Etieu-1 ne l âché ©tait la tête s«* composait !

: d«- Sir John A Niacdonald. Sir (leur-J i g* Eticiin*' ( artier. Georg»--. Br«m n. j

« Miv 1er viowartet Vx illiam Macdonald ] j r« pr«-* !iiaient la réforme «lu Haut '; ( 'anada î

I ♦ iidu'r «•* l' nips le- législatur* - ,' d« s troi, aut«*ri>e i.ur g«juv»‘ru«'«lient a tenir j epoux

uii«* «•oufér»-nce afin <1© consi«Jérer la '

VICTOR IA VILLE.j*

a nageMardi. i« Il «‘ourant. AI abbê

Autote. I>éuissait !♦* mariage «le Mlle ('ormn* sainl-I terre, fill»- «!<* ( M. Gerinain st-l i**rre. «|* c*ttH \iil*. j ave© Al. B**«loly>he Houl*-. industriel, i fils d*1 feu B. Houl». en son vivant; aussi de «•ett© » ill«- Ai. St-Biorre| .-©rvait de témoin ii sa tille et M. L.-FL Baril, à son beuu-frère. Cn* magnifique programme d»- «*Jmnt et ! de musique fut rendu par !©> ;Enfants-d«*-Vari<v. *-t autr»*s soliste-.!

prov iti«'4-s iiiaritimc-s avaieui faims «les familles d«-s nouvieuxl\|>r«-s la messe <1«* mari g«

réception «‘lu / l«* p« re «le ia marié*-

UN VOYAGE INJTRUCTIFTraversez les C,rands I acs au moins une fois en faisant le \o\aj»e de l’Ouest cana­dien. C'est une expérience dont vous garderez un souvenir ineffaçable. ! ne croisière de deux jours sur ces vastes mers intérieures, à bord d’un bateau luxueux, vous offrant tout le confort d’un paquebot.Gutsine et service incomparables - char­mants compagnons de voyage. Vous continuez ensuite vers les Rocheuses, vous vous arrêtez à Banff. I ac Louise et Field, avant d’atteindre la Côte «lu Pacifique.C'est un voyage sans rival, que tout Cana­

dien se doit de faire afin de mieux connaifre son pays.

- ■ • i• • ii«‘* «i uu* union «‘ommun* . ;4 lu «*«mf«*r« n»*»- «uil lien Charle town!« i iiu»is «|« o-ptembre 1804. j

John A v lardon aid. Cartier. Brown < t «|’autr«s du ('ana«ia étaient pré- -«•ni^ *’ insister» nt la conférence ai t «.ru;» run pr«»j«-t arrêt© «j* la Conté- |

• ué ration, l*-^ délibéra turns ,1* la con- Tliouip^on» ill©. » rér©ri<*« *!♦ < harie town furent ajour-! mtvur©r

laqu*dl© ahsittaiei'l «1«» nombreux invité*. Les ©poux sont partis en* voyage «1«» noces aux Chutes Nu-; gara

Al Arthur Dufresn* îii «J© v . , Jo.'.eph Dufresne. »*st ail© r©j«nn«lr© s*»n fr©r**. A, Albert Dufr««sn© à !

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L^SOLElL^QjJ£BEC VENDREDI 8 JUILLET 1927 M

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L’EXPOSITIONMISSIONNAIRE

Suite d** la 1(^> «eur* (irisas oomptent ill mis- sy>u5 dont 15 sont «lestin^n ex- «lusiwment à 1 >v«ngAlisati< ri d» > Indien^.

I^es élèvec de «»e8 15 missions apiwt if nneut aux tribu» de» f'rië, de-» Montagna i», de*i Kioux. de» Plats, des «'Ate8-d<-<'bien», «les Es­quimaux, de» Ijoueheux, des Rou­leaux jaunes, des Esclaves.

l^»s exhibits nombreux et bien •iispos^*» illustraient bien l'immense i travail accompli par t'es dl\ouées! missionnaires <lans iv*s régions in­diennes.

SOEURS DE JESUS-MARIE S1LLERV

DE

gauche. »e voit1la oongrégat ion I désert algérien

1. En entrant, a l’écusson indiquant de Jésus-Marie aux Indes

•j. loi s'étalent nombre d’art et euriosités en métal ivoire . superbe» écrans ajouré, riches draperies. e,e> «x hi bits viennent des Indes c'est le travail des élé« <s des orphelines et «les Indous employés au service «les religieuses «i« s missions ('’est ensuite la galerie de photographies des Sœurs <,nria<ii<ui- nos, après un séjour «!«• .‘K). 45. 47 ans aux Indes. départ <i«- Inpremière canadienne «mt li»*u en 1 >♦'*!*

I Peinture. Vous \<i\ops des religieuse' allant parles ullage", «ri­

des religieuse», on se croit d’autant mu ut transporté «ians ces pays loin­tains uue <1« magnifiaues tableaux au ti»i oriental, présentent dans

' leur pitt4»r*t8que et les villes, et les hommes et les chameaux qui ne sau­raient manquer, l’œil se reposant au dessous ♦■.»! agréablement satisfait l>ar l«‘S dentelles arabes enrichissant pur leur surprenants» finesse, robes, chemins «le table, services à thé. pu«'hette. etc. etc aussi bien que par I«’S broderies artistiques depuis les |»lus anciennes nous apportant une ornementation sans envers ou de gracieuses échar|>es aux cou­leur» et dessins variés : et encore «les vannerie* «i«i tout sorte qu'on ne sait trop apprécier.

b on ne manque « epeudant j>as au milieu «le tout ce «lécor <iû aux doigts féminin». «1 admirer aussi grandement les cuivres «-iselés. les lw>is sculptés 1 » coussins d«* cuir, et autres objets de maroquineries (n’en ayant que le nom puisqu ils sortent des ateliers du

scigner.f JHS .

Le» tableaux, sons. - médaillons sur les «inivres «h* seulement dan» L travers le momie,

ti Vitrines représentant

Les curuieitéa \enucs des pays noirs «1 «objets Soudati «<t Afrique Equatoriale, pren- • n l»oi». nent d’autant plus d'intérêt pour les n Ikm» i visiteurs que les explications données

tous i à propos «l«*s vêtements d’éeoroe foulée. - d**» instruments fl»« musique, «les pip»*s

i résenées aux dames, b*«aux bijoux en 1 i>aille tressée ou en perles, nous don- ! nent un»* petite «*«mnaissan<‘e des moeurs et des usages, aussi bien que

: des travaux.Cette grandiose exposition «le tous

. «es produits «le n«>s missions cana- I «iiennes qui couvrent aujourd’hui le i monde entier est une preuve | du bien immense accompli par nos /.élés missionnaires et de lu gramle ac­tivité qu ils déploient pour promouvoir

,les intérêts religieux. Elle atteste un ,l ' lM ' •eru‘'" ( progrès fort consolant et fait augurer

nou> r* i\»«-igiu*n (jm, conquête «•omplète du monde païen au Christ-Rédempteur et Roi.

frères venu» respirer ici l’air natal qui n a pas en<*ore «*hangé qui «»st encore imprégné «le» sentiment» de f«u et de |»atrie.

M. le chanoine (Tarneau aj«»ute que le clergé «le Quéliec suit em»* une gran­de attention les efforts «les nôtres en dehors de la province II fait allusion à la Confédération, "basée sur l’éga­lité «les refc'es et la reconnaissance «les droit* des minorités”.

L’Eglise <i«» Québec félmiu* les Franco-Ontariens de leur dévelop-! pement et leur souhaite «le nouveauxhUC«*è»

M l’abbé J.-B. Dubue, «niré «le l^t- ngne. ré]K»n«l à cette alNs'ution. et dit que les visiteurs partiront en em­portant un souvenir ineffaçable de leur séjour parmi nous.

Il fait allusion è la mort d«* Mgr Affre, «iui a\ant de mourir sous 1«‘ o«»up des balle» française», affirmait

VICTORI AVILIE

Distribution de prix à l’Académie Saint-Louis de Gonzague

Sous U président de Mgr O ! Milot. IV D . s’est faite la distribu­tion des prixàeetto institution. Parmi les assistants on remarquait aussi le maire «lt» cette ville. M J.-D Gagné, musm président «le la c«»m- mission scolaire, et '• le notaire .1-

! A. Beauchesn»'. aussi «b la «‘ommis- j Mon scolaire.I Un magnifique programum «le l « liant a été exécuté par les élèv« s 1 Une a«lresse «le remerciements fut lue à "Mgr Milot. ainsi qu’aux mem-

! Près «h» la c«»mrnission «colain» par * Ni. Maurice Hanul. au nom «le» élè-

catéchiser. soign«-r les mala-

“Plus ««n est jrrêtre, plus on reste pa- .tri>ie”. Fi <*’esi là ««e que souhaite! Mgr Vnl«>t réjxuulit à ««'tic a«Jr«'»- le clergé eanadien-français d’Ontario, j »e par de» félicitât um» aux pr«*fe.»- Etre beaucoup prêtre pour êtr«* très seurs et «'*l«N\«is «1«« I institution il patriote, o’est 1« \«m*u «les prêtres de «lonna «A ces derniers des conseils 1 Cant in notre raoe! Ils veulent «‘*tr«* coura- pour les vacances. *•? les invita à geux |s>u«* répandre 1«* n«*m «b Dieu »’efforcer «le garder toujours la «1:» et son Evangile, ]>our r«ndr«* plus] tinction «lu bon langag» l n l»«iti solide l'établissement de notre ra«*«*. I cana«lien-franvais doit touj«>ur» parler

L« clergé fran<*4>-Onlaricn « »t la ! purement sa langue, éviter les torums sentiu«'ll** »ur U*» r«-mports. Il veut j «ju* prêtent it I’equivoqiK*. 1« » « xpr» aocomplir son «levoir «‘nvt'rs Di«*u «*t j si«ms ImuiIcvar<lièr««s. J<‘s paroi» » a la jiatri*-, sans p.'ur et sans r«»pro-j «louble sens «pii prov««qiient l«» ma i- ch«\ Il regarde comme plus nêoes-.vais sourire «t inquiètent le» <*ons sain* «jue le eommerc*» <-t !«• déwlop- . ciences honnêtes.Pement éc4tnomiqu«'. !►* maintien * t Le président «le la cominis»i«m s«*«»- 1 expansion «le la foi; et |»>iir non», lain-. M J-D (lagne. seconda le»

de Atgr Ai îlot « f «lu qu« l lui «l'être clin r; u«

Jésus-Mari**, mm » ln«les. mais à

1«-habitations,

d*» Indou :le» meuble

«l’Agra. le miniature j

'achet his- * ont tr«-l

SOYEZSUR LA BRECHE

ges. i. ■ usage»

V . Le célèbre mausol黑Taj-Mahal”. d«»nt la at tir»' l'attention par son torique ; JO.OOd ouvriers \ aillé pendant 22 ans : i! a coûté 50 millions et fut «•onstruit pour inhu­mer l’empereur M«>ngol «*t sa femnu-.

i pou.»- i Los victoires «pii portent le plus I nrchi- «le fruits sont les victoires paeifi-

soitjques. Les peuples les plus forts s«>nt I «‘eux «pii combattent »ans violence

idé«* '.Mais avec le plus «le r«*fiistence.

e maintien ««le la f«»i; «*t pour non*.

Cfina«ljens-fran«.*ais la Inngm «*t les 1 parole tradition» sont intimem« nt liée» AI plaisir c’est p »ur !n foi année à la distribution «les prix a

LA VfLLF notre académie. M reiimrci* en»uif«os RR. FF. du Sacré-( «i ur pour !« uri1.1s H (' Main Martin, présente1 jrraud dévouement à la caus<i «I*

n*-

pays

La cruauté «le c«*t «*nipereur I sé à faire crever !«»s > « ux «1«* t«*«*te. afin «pie le plan «»\écut< pas reproduit.

s Photograplu**» «lonnant du travail des religieuses en infidèle.

9 Magnifique peintur«‘ représen­tant la forteresse «l’Agra. «4111 a s«*r\ 1 de refuge, pemlant II moi», aux r»4i- gieuse» et leurs élèvts. lors «1«* l'in­surrection «les Cipayes. « ti 1S57.

10 Un<* coj n» «lu «liplônu* «lécerné >1 la corvgrégs’i«»n «le Jésus-Mari**, par Pu \l. è l’exposition vati«*an« ■ 1825

11 Médaille «lu gouv'ern«*iiu»nt. «lé- < « rné** aux reltgu us«»s «pii «mt soigné le^ pestiférés «*n 1807

12 Une reltgi«*us«* «léï^orée |»ar le vnce-roi pour s«*s (10 anné«*s «h* servi­ces aux Indes.

•Suite «le la page 16) français n’avait pas exité. si la colo­nisation fran«;ais«» navait pas été

1 fait*» sur l«‘s bords du St-I auren». le , ( ana«la n«- serait pas aujourd’hui , partie de l'Empire britannique.

CONGREGATION DES MISSIONNAIRES DF

D’AFRIQUE'Sœurs Blamhe*

fopdét. par Son Fminencc le dinal de Lavigerie

SOFURSN.-D.

Car-

chatoyantt <• «in du plus Kabyle, un travaux «les ouvriers ou clirétieunes dehor* ; «*t

\l <'ar*»n eonst lie aux F’ranco- Ontariens «le continuer cette résis- tetic** pacifique mais c«mstance 11 l«s «-xhorte aussi h demeurer atta- «•hés à la terre, attachement qui assurera notre surv 1 vance. qui est

| la base «l«» notre vie nationale.M. < aron «lu ensuite que la fem­

me cauadienne-française, comme nos mère», constitue un facteur «*ssentiel

! «Ians notre v i«* Il faut que nos jeu- ! iu*s filles aient une instruction prati- , qu«*. adaptée aux besoins «le sa vie

« t «U* son milieu.I.<os Kranco-ontanens ne sont pas

i un rameau «létaohé; ils cfinstituent in«* forte racine de l’arbre, une ra-

cine qui s'est développé plus parce que soumise au combat. 1** combat fait les race» fortes et les Franco- Ontarifps «loivent sans cesse <*tr« sur la brèche, pour préparer l'ave­nir <i«* leurs fils qui récolteront «n Ontario la moisson semé»* par leurs pères

la* ministre invite les Franco-1 Ontarien» à revenir tous les an*. 1 l*nir visite est une leçon pour nous «ie la province de Québec car nos! frères «le l'Ontario sont «les ‘‘por-l teurs «le fiamU»aux”

M l'abbé O. Vemer. d«* Vemer, Ontario, remercie l’honorable NT.( 'aron «le son discours. Il ajoute que

membres du “Voyage du Sou-à

alors aux visiteurs l'hrmmag*- <1« n<»t** cité, par un bon discours d’où nous déta«*h«ms les phrases suivan­tes:'Qu««i «ju'il arrive, à Québ«<-. « lia-

que heure «lu jour. chaqu«- pi«*rr«* «le nos édifices s rappellent à noscœurs les plus be«les t«ag«s «le notre histoire. Nous vivons de souvenirs ♦*t. même plus, par le sang, nous sommes un vivant souvenir «le la survivance français»* sur le «ontiuent américain.

“Filles et fils d’un même sang, vous nous venez, comme l«-s pèle-1 rins antiques, afin «1«y r« voir le soil natal. De votre nouvel!** j>atrie vous ap,jx>rtez un messag** «|«* bu n- veillance et «l'amitié à vos fr«Ve81 plus anciens: vous U-ur apprenez

iwir votre exemple «•o;nbi«*n faux « st i f«» provorbe: Loin des yeux, loin du cœur: et c'est avec un légit i- , me orgueil que nous r «'connaissons parmi vous «les frèms «pii nous sont chers «*t «iui. dans h* domain** nou­veau <111'ils ont élu pour vivre, tUm-j nent un rang plus <pi’lmu«»rabl«* «*t remplissent «les «•harg«*s puhliqu où ils déploient I»*k vertu tes à n«»tr«- race fran<*ais«-

l’éducationl^os récompense.» étaient nombreu

s«*s et variées. Médailles «1 or et «1 ar volumes, articlesgent, volumes, amci»-» «le valeurs

jorit été largement distribués aux I nombreux élèves méritant».

I^*s diplômés <i«! cette atin«*« '««ut 1 Ni Yi. Paul Leblanc. Mauri«*c Habel, J.-Paul B«>isvert. '.Maurice Hamel

Les cinq premiers «le chacune «le» «•lasses s«»nt les suivants :

Cour» supérieur Lucien Marcli.in«l <lérard Courtois. Hoilaixl C'«)urt«>is nü> (uoml \a«ieau. Florlco Ü<»i*»onnault

l’remière «-lasse t. ni i le Xiatt»' lai i*-n t'r«)vencher. Ldouanl. Baril Kvariste l’ro \en«*hcr. .1 -Paul Dubois

Deuxième «-lasse l<ou«s 1 aillon Vmln I aroehi- .l««s -K*t Chartier Koçer Hré chi-tt** Donat Boisvert, i* Kmil«* Koy

Trotaième <-l;«ss*‘, Roger Lavallée. (•«-«,! ««-» Boisvert. Maurice Leahe>. Ri«-iiai(i l.ablanc. I.»-Paul F*»unii<*r.

«Juatriême «-lasse «i«*or(r<*s Parafii» «•< rar«l B«'aii<left* André Carignan. Fernand st -< yr. .( -Marie Hain«*l

<’in«iuiènie elasse Vlanru-e Auger. Ma jelta K«>«4X. Jactiues Bourbeau, l.uci«n < loutirr. Robert Boaudct

Sixième «-lasse .la«-QU«*-» D«v»t-ot«jaux. I F.mile Boulanger, «itnnain B«>llema«< .1 Paul .lutras H**nri Henrich«*n

Septième «-lasse RichariJ P«>u«lr « i >\ illers. (îérard Anti««t. Conr.-ol

FEU Mme ACH. GIROUX\ >'.«-Marie B«*e U* -'i niin demu r >

ci' dé«*édée Mme \clille ( î i roux. I «Née Vnaline Paradis' La défunte était âgée <1«* 75 ans En plus «le son | é|x»ux, Mme Ginnix laisse cin«i gar-, «.«•ns «t une fille MM AuuhI» ti»!'-. tair.«* Montréal KlitMiore Giroux. Maurice Giroux, R«*né Giroux. Hono­ré (i r« u\. «h» Ste-Marn- I ne fille Mm** Joseph Cantin

l.«* service et la fépultun* «le Mire] («ir*»u\ ont eu heu le 2 juillet è Ste- Marie. au milieu «l’un «*onoours très consul» rahle «l«* parent» et «l'amisL«...... . « tait p«»rt«* par M.M Klio-

d«>r» (îir«>u\. H«»i'ore (îiroux. Mauri- «• <iir**i\ Théopinlu Cantin Adélard. Bilo«l.*a i M Fcnlinand Giroux por­tait la «*r«>ix Le «leuil était <*onduit par M Amédé Fontaine fils «le la defui • «• ».t les nombreux par«*rt» par-J

arqualard <iir«»u\ St--Ilenri: Théophile

St-.Lan; Théophile Roberge. Pinti-tnlr» \«lélar«l S'adeau. St- H«*nrt . Pamphile Blais, St-llenri . Ferdinand Giroux. Ste-Maru* . Ar- tl ur Giroux. Scoot Roinuahl Pa-ra<li». Victoriaville .!«»» Paiadis,st«*-Clair«' William Paradis. Québ«*<* Alfred Giroux, Vallée Jet; Henri Giroux S'e-Marie . G«»«> Leblond. S: «'-Mari«*. I»id«»r«* Deblois Pintendre; l’hilippo Rob«*rg«* Pintendr** ; Lucien L’oberg»*, St-J«*an Alexandre Pnra- «h-, St-Jean; ()«*t Tar*lif St-An.ges T'cfi Lagrange St-Ang«»». Alexis

\■ g i id(S’ \ng«*s Alph. Bilo<leau Ste-Ma- ri• Dans l«* n<>mbr(*ux <‘«>rt«*g«* on r« ii arquait MM Kl.éar «Simard. L«»ui» Ib lM-i't A rd \ aebon. Stan. Poulin.I* ( ’liln- Kd . Bisou. ,1 «>». Lessanl \rt. Pelchat. D. Lafortun»*. Aug. (;ourde. Godé. Tardif. Alci«l«> Tanlif. Plun Lacroix, J«»s. LarochelU*. Jules F«*rlan«l, Dr J.-W Jacques. J IL (i«*t\«lron, A. Gagnon, Fug Fortier. L«1 Lendiix. Ern. Poulin Krn ( 'a- t«*tt« A. Bil«xleaii. Arth. Beaulieu. Kd Turcotte. O. Maillet. A. Gagné. Kd l un ot te, < ).Mail let. A ( lagnon •i Ou«‘llet JeanM ('arette star* Dostie Stan. Poulin l’.ug Vallée, ti*" Bifo(i(*ati. Il Marchand. H P«*rron. S.M«>rin (Jeo. Cliche. Gon /ague L« b«-I. Al«x NIalady. < ). Jac- «pics.Kd. Bistop. JanBiss«>n, P-A < -uitur* . A NTaladv. R \’o«*l. Arch. Poii.in. J.-O.-A. Bilodeau

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Paul «I«inl)ér«*n- ! Nadeau. ^ -Xiarie Tétr«au

Huitième ‘las?e Jean Blan«-ii«‘i »] D>uis Br«inell«‘. <*èrar«t Hamel J M;. Daudet <J.-Albert l^atiuerre. (iêrard D

. noncourt.v i«*ux Quel»»*»* reconnaît Neuvième «-lasse Femaml Heau«ten

en chacun «le vous ses «lignes

“Honneur à riens : \a

vous, nos frèr«*s onia

fils Kdouard Du

K. K A

étaitandre NTaladv. « t l’orgue était teru par Ni Henri Carrier «•rguniste «b* St«-Niari« Les funérailles étaient sous la «iirection «le M. Ludger Bilo­deau entr«*[*reneur «le pompes fun*- br«-' Me-Niarie.

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NI. l'abbé Koussei. un «les "igani- j| sateurs du voyage et natif de Que-j B

No» félicitations aux «liplônu*» «-i à ' .>• i\ «pii par leur «*<»n«ltm«*. leur assiduité leur iravail ont mérité des rêcumpen - - >

< entre«lale, K.-L. s \ Halm* U*mieux. «h* est «lé«*é<Té* vendredi l'âg* de 85 ans et 9

Nla<ieni«uselle «•* tte j>ar«>isse lt* 29 juin, à mois. La «Té-

St-

hSTE-ÜENEDINt

lui franchissant INuitrési de la gran- • I • s«* KxjHisit ion Niissiounair*'. l'on s« t r«m vh presque attiré {»ar un r:". «mnement «le teintes «.rientales guidant la' vue vers !«♦ Kiosque ré- s«rvé aux Sœurs Ni issioimatres «le N D. «l’Afrique

IJi. »e pressent et s etitassent «Ians un gracieux pêle-mêle, aux cotil.uirs

aux dessins marqués au pur Btvl.» noir, arabe ou , •• jr

,1.^ ,l,fT,r,nts ;.,'n'r * tous <lem. urerin.iiRfr».... miuitus d.-- <*>«*? [R,n\1 r<*uwl^ *';6

«les orphelinats, femmes ou non. Ira vaillant au ,,l« dir«otionlIM>,le ,m

l«*S

que et à tous

doux • lorer«*tig«* . Le

»« .s ip u lt iples il«*s- l«' *li\in garni «le t là sans apprêt p«mr «Tonner a\«<• pla«•»’» à »«■» pie.«i»

grands ou Laghouati,colorie blan son bleu si fort et sins, formant pur «■oiiKMiis jetés ça «♦ t qu'ils encadrent• es tapis toiiar..g.s.

ri«lé«*. d’un riche intérieur in«Tigèn«*. à l’houre. surtout, où s'y rep«>se mol- lenieiit uae jeune f«îfiun.‘ au «*ostu- me do là-bas. auquel rien ne manque l»as même le» «''nonnes 'Tlialrhal»” bracelets il«>s jambes . ni la parure

«les bras tu la pern re «lu e«>u. ayant «•<‘)lé d'elle la table travaillée avec

art portant le» lasses où « Ile saura offrir le thé* «mi lo <-af«* aux visit«»use»

chaleureux. Québec rappelle de doux souvenirs. Il rap-

souvenir personnel et «lit émotnm qui l’étreignit à son ré­

unir «l’Europe alors que le navire j qui le transportait entrait dans no­tre port. Il ajoute que le clergé franco-ontarien comprend son devoir sur cette ci t ad (die de la race Les paroles de Nlgr L’Ecuyer cncoura-

Pj. , . geront les jeunes prêtres dans Tac-T. , ,Jcr 1 j corn plissement de leur «levoir na-

iner ouk, ;i"iii«>n8l Ixs institutrices sont héroï- om)>ouctoii avec|ques ff cl,e8 font ljnP œuvre vrai.

ment admirable dans leurs écoles

auX(|Uoll(i» ut uirwiiiMi • î« .*ti la survcillanec «l»*s s«i tn .» assun nt \ un gain fort apprécié dans l«*i famille ♦ t fa«*ilito grand» iiM iit les débuts «1«! | l’apostolat-

Que oonvient-il d'admirer le plus'.’ l.e magnifique et grand tapis persan, j au fond discret ou l«i» tentures à •

I bec. est h«‘iireux do remercier Qué­bec «le sa belle réception Cet ac­cueil chaleureux est une récompense

J pour ceux qui ont organisé le i “Voyage du Souvenir”, un réconfort pour nos frères d’Ontario. visite à Québec laissera un souvenir impé­rissable car nulle part ailleurs on ne fait si bien les choses

AI. L.-A. Poulmt propose la santé j, des dames et profite «le l’occasion pour rappeler quelques souvenirs historiques, les «qualités «i«* la "Ca­nadienne’’. et l’œuvre admirable ac­complie ici par nos mères.

M. Théodore Légault, député pro­vincial de Sturgeon-Falls r«;p«»udit à cette sauté. 11 se «léclare ému de la visite qu’il a faite à Québec où constaté que l’on a conservé nos bon­nes traditions, nos qualités nati«>na- los. I^a qualité de notbe rac«* fera l’avenir plus que notre population.

NI Onésime Gagnon proposa la st-Zacharie MM. santé de la presse. Kd.-M. Maurice, ‘uononus Laçasse!

Illi

■—li

M. O. Larivièrejuin, ont eu lieu

ou «'Iles parents.

sont les c«»llaboratrices des

Funérailles deI Samedi, le 25 juin, ont eu lieu a Ste-Hénédine les funérailles «Te NI. Ode»sa Larivière. fils <l«* NI. Zéphir Bégin ; i! est décédé ae ddent Bernent

Ile |s « Détroit. Michigau à l’âge j «Te v ingt ans et sept mois. Le o-du corps <*t service chant** par M. l'abbé

V Fi set curé de la paroisse, a»- sisté « «* NI. l'abbé Bertrand Larivière. petit cousin «lu défunt, comme «ha­

ie re et de NI. l’abbé K. Gagnon, com- ' me sous-diacre ; deux messes furent ! dites aux autels latéraux par NI. j l'abbé H Tremblay, curé «j* Ste- ; Marguerite «*t Al. l’abbé I’. OinranL Ivieaire <1«* Ste-Margueritc. L«-cor-

aibillard était conduit par NI. Louis Maure, la croix portée par Al Henri Deblois; portaient l« «*orps. se.» cou­sins NI Valère Bégin. «Je St«-Mar- guerite ; M Roméo Larivière de

Hennas Aurèle et

; funt«* était natif «lu Canada Ka)>ha(»l. comté «Je Bellechas»**.

Kl!«* était tille, la «Ternii-re «ie »a familh- qui survivait. «Ile a r«*sté tout*' »a \i» a v «•<• NI. K.-.V l^etou- neau, «huit elle était la gardienne depuis son bas âg«*. et «le sa famille jusqu ’à ce jour. HI h* a été inhumée «ians le cimetière «le St-Anne d» Providence, après un service «'hanté à l'église «1«* St-Laurent à Centre- lÜh R I

Suivait h» «‘ort.ège mortuaire, la JUunille «b* NI François-X. I^étour- reau «*t un «le ses neveux «lu nom de Xavier Koby. résifTant à \ew- Be«lf«ird. Mass.

____ ___ _____ . «le Shenlev ; NIrédacteur au Nouvel-Ontario répon- .|„les-Fmile Labbé. do Ste-NIari« dit. La soirée se termina, commeelle avait commencé, par le chant de (’«imiuisaient 1«* <l«-iiil l«* p«r«* «lu «h'fun!

(V Cann/t»" I M Zèphlr Larivière. sa mère nè<* Marie-(t v anaoa . Louise Bégin* »*•“Au cours du --------- -----------

M LE CHANOINE GARNEAU

: Au nom «le S. G Mgr Bouleau, ar-J «-hevêque «le Québec, et au nom du ' ("lergédeQuébe»*. M. lechanoine B.-P. (iarneau souhaite la bienvenue aux visiteurs nos “frères par la race, par la religion, par la langue' ’.

“1/Eglise de Québec est Hère «le rec«»nnattre des frères fidèles à la foi

vials |s ri<laut (|iie sous I » » panJ« > j aux tra«litions, aux vertus ancestrales;

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banquet, h» program- ’ me musical suivant fut interprété j avec le concours «le l’orchestre «Te 1 ( ’hâtean.

En Avant. Marchons! "Dieu .sauve le Roi”; “O ('anadu. mon pays mes amours” «*t ' I<a Feuille d’Erable”, par Mme J.-A. Gagné.

“L'Enfant «'hantant la Marseil­laise.’’; “O Carillon”. Par M. le Dr l.-A. Jinchereau; Chant Par NI. le régistrateur Aurèle Leclerc. N. P. Chant par AI. Olivier Bresse, avocat.

“lies N’tX'e.s de Madeleine” par NI. Alphonse H nard Chants Cana­diens, «'ti chœur

Mlle NI.-A. Bresse et M Téles- pltore Verret. jnr. accompagnaient au pian«i.

if;,|| STE-CLURF' IL ........ ......... .

Sic Dorchcshr

DécèsNI Frnrçoi* Croteau, «ie Nt«>-C!air*.

e»t décédé. I«* 22 juin. ; l'âge «h* 7b ans. après quelques j« ur» «le teala- die. Les porteurs étaient . NI Simon Fortier, la croix , NI Paul La<*asse. Louis Fourniel*. Thomas ('«.rriveau. Sigefroi liamontagne. Cyprien La-

| flamme. Joseph B«>v.Conduisaient le deuil Marie

Beaudoin, son «>pouse. m*» «>nfants: Albert Cr«)t«'Hu, «le Ste-Clair**. Mme Maxine Filluni i Ernestine' Nim«*»los Di«»n Alberta ; Arthur, Erne»t.l

j Orner. «T«. Bonnx v ille. Alberta . 0«li-1 Ion. de Fort-Frarcis. Ontario; Joseph ! Dion. Nlaxin»e Fillion. »«*» getidres. (

i Mme Albert t'roteau bi Ue 1 J** ; ’ I Bolland. Fernand, H«*i'ri. Paul. Noe imie. Ann«»tte. Sim«ine Dion, «le Que-j ! bec. Alb«>rt. Jeanm‘tte. Fernande.I Noel In Paradis, de Charnx Ni. Lu-j• eien. Marcel. Inme. Lueienne. Jean-; n et te. Thérèse Croteau. l/‘«>. Léa.

j Laura ('r«»teau. Lionel. Adrienn»*. | ) Lticetle. Ferramh* Croteau. t«>u» «l«* Monny ville. Thérès»» ('r«.t«*au. «b*

* Fort-Franci» Ont Snmuu* (’r«M«.au. de Ste-Claire

I \ssistsinnt h 11 v fun«’r.ull»*« \lt*«*r( son! Il N Krmvnttne \lbena •‘♦•s till*'- J"»«‘ph 1 I Mon t'htlias FaraUi» Maxime Ktllton. »**s j

i gendre» Hollnnil l><«*n Hnsatr ■ I‘ara*Ii' ' Nnèmie Dl«>n. Jeannette «*t Fer.nmJ»’ «’a , a«li» Joseph Cinteati <l«’ S( «ièrar.l X*

«*! Ni .ne Kurène ('r«*feau Xrihir ('r.*(e.iu <|o »t-»> l\«‘*tro M me l><*l": De«,i!r*a'i \drnMPM' ri Kvang«'line D«s*h' ■•au «!•• ' ' Basile I* J (Miev*ll«;i «le Monnoal Ai et Mme (.'vrlîle Beamlmn *|e S«e Hènè «Une At Fr< Bètisrd NFme .l"*^ Bèdard. Aune Kvangellste Bourgauli «le Pstno**

; tou* parents du «tèfuni, Mme \If Nau .lean ei Vlheri Tariltf «le shawinlgan Mtne \ug Bolsettl. D<*nnnt«pio H«'i»«*tti ,|i- Limoil"U Mme louis Dion. Klol Di.m Mervllle Dion «le sie Mènè«lln*> M I «* "•nz** Xioren«-> «le sj |»ld«>re Ai «.en**»! ri Mm* Le«'oiir*. «le »«*oll. AI .1 Ale ■ u*r

sours Mm«‘ Kdouard Boulet «née Alarl* Ang»-: B<>s« AmiaMarie Anna Marl«-J«ann«- Annett** « lain* HélètK- »« s frèr« s Kosari*» .!«•»« pli-A!l>ert « harU's-Kihniarfl son Iwau-fr* i• M

douant Bouh t. »♦*.» grands-parerns. M «■t Mme Alhanas*' B«'gin de St«* Alari»* .ses grand&-on<*l« » M H«m«»rè Lanvün*. d

i S(-Za«*hari«‘ M. * ' Mme Jean Bégin «t Mm«* .1* an V allé**. <l«* Stf^Mari** »• » «mole» Al et Aim.- France Larivière. M Damas»* I.arivièr» «te »t /acharn*. M « t Mmi* Arthur Larivière «le Frampton. M Ho-

! main Larivière. «I«* si-B«*ruard M. *‘t Mne- I.u«U«t Larivière «l«* st-Hénédin«' ai «-t

1 \inie Foctnnat Carlxmneau. de Lev;» Ai ♦•t Mme Jo» «i« n«st. «i«* St-I»i<ior« M « t

, Mme Adélanl Bégin, de st-Henri ai «i Aime Man*«‘llin Fcuiltault. «I*1 M«'-Uénè

' dim* M *‘t Mim* Arthur Bégin d» sn Aiargnerite M et Mme Wilfrid Régin M St an i si a» Bégin «!«* Ste-Man**. AL «•« xini«' Tancr«\l«' ('l«Mitier. d«* St«* Hénèdin*'

: Ai et Mme Kl/éar Lai-assc. M « t Mm**; Ont'slnn* La a»s« «Je Shenley »**» «*ousin»

«•t « » i»ln“» Al .*t Mm«* .h'»"ph l.arivière « t U«»mè<* Larivière. «I*- st-Zachari** M

^ri ! et Mme Arthur Aulx ri Alim* ( .vrill«* I :« Il <•*.»»«• M et Mm«* K«i«>uard B«*gin MU*jj > Mire ••( Nairn* Begin «l«* St<* Atargumfe Il 1 M et Mtn«* Kl«n l.arivu'r»* Al «'i Mm«'.. Aiiclwl l..*ri\i«r«* M Muunr«* LarivFn'

1 1 Nldrod .lean-Baptist»1 IJum'ii. L«nii» Kn gt'ui• Atari*1 Anna Mari.' Laure. Lawn-no irèm*. «iermaim* Ant"ineu«* Lan\i*n. «I* St»'- H«'n,Siin« Al « t Alm«* Joseph ram« » Atari** Ann«* Claire Hélèm . de .»f<*-ll«- nédin*' \m«*inetie Larivlèr.' «h* m-B*' nard M <*t Mm** J««» (lagnon M. «tAlnn* i^vi I..«flamme Al et Mni«' J«>s;« phat F«*uiUault. M Adé«>.la F**uil«ault. «I*

' >t ■ Ilené«lme Al (’élestln !ari\i«‘re II.‘ lan«la «m !<«>»•• Nlma Cloutier , «le sto-H«I mnline M Mauric Lu«i«*n AnumnMt* 'Hélène J«‘ann«' l<«»»«‘ (i«'in*»l . «h* st-l»; !«|or«*. \apol«‘on *■! I.oui» BoulTanl «h- S» j Isidon Atari*.-»Main' et Nntoino « arbon

n«*»u «h* Ij0\ is I .éopol«l Larivièn*. «i«*Frampt«»n XIII** K u génie L.i« .«»»« «f*

; shenh’.' H«isi' Minée Larivière «h1 ; Mari»1 \nn«* LahlW* «l«* sn Man*'

Parmi la f«*ul«* «m nmianpiai' M Do \ignv Ativiite D«-«hén«* ci sa fatnill** *.•

1 st«*-\1ari«* M .lo»«ph I .eli.millier «h 'Frampton M. Li.>,. n« et l'ierr*- Samson

d«* s« Isidore M B;»i*ti»l«* «•action 1s«.pii p«t>iliot d»- si«- AtargiKTite Boni«" I.va-iSe «|e Ste-AlargiM-ril. I»«* »t«*-H< nédtne la i*ar«»iv»< pr«‘s«4U<' an «'omp!« t assistait aux funéralll* »

Oitrsndr» de messes: n ' al-l-é il. t ran«l * .a v «*rdtèr«' <!«• »te-Héué«tin«' M Dot* niignv \ i i v i I h* Dé«hèn«* «h* Ste Man** M Henri Detiloi» »t« Hi in'dim Ai I ion* î .nliiM*rté •!'• Détn.it A, \Vitfrt«i Anv«•«'•m de I >ét roit A» Loui» Aiame «!«' » le Hén.'.tine un groupe «le o.mpagnotu «h* l>étr«*tt ptii«i«*urs a m i» «le ste-Héné «lin*' .livseph «iagnon. «le Détroit Ai N.in’iH»»* Bourg-ault A. \ at< n Mou- g.iult de sn Hénédtn*' M Franç*»!*» R«'i lean «t«* Si*- Hén<'xin,«

Bouquets srlrltnets: V) • ■ Am * «« r |an\i- '« •’<• »t« iténédnn' Aille Hoe*'

\nn««' .« '\I . ||«' I éM» Aille Nftlio «

Rov »eott. Allie Marie-Laure J^arivor»*. «le -J* Hénédin* M «*t Aim»- Michel î.ari\i«,r<*. «le Ste-Hénédine M et Mme Jo»*'ph i.aeasM de ste-Hénédine la fa- mille «ie Xi Kug Beauchemin. de Ste- tfénédine. Mll«* Bernadette et M F.mile Merciet <i«* Sfe-Hénédin« la famille H«*- tnain i.arivi.n* «ie St-Bernard la famille Fortunai CarboniNvau «l*' Lévis M et Mme Vi«*t(.rUn Boulet «i«- Me-Hénédine, Mine Anselme D«*hIoi8 de Ste-Hénédine vl Joseph I.ehouillier «ie Frampton M Alphon»»* Dahaire de Ste-Hénédine Mlle Anne-Marie Thifaudeau. inst et ses élè- \«*s «ie Ste-Hénédine

S y m oath les : A i lie Hélène «.ene»t «le st-lsidore Ai Jean-Paul (tendron, «le Ste- Marie

l.a famill»* ri« M Zéphir Larivnr*. r«*- in«,rei«> tout**» I**» p«*rsonnes «pii ont bien voulu lui témoigner «1«* la sympathie soit par offrande- «1«* messe- bouquet» spiri­tuel». ofTranndes de sympathies, visite, h la chambre mortuaire assistance aux funé­railles no» sincère» remerciements à tous.

LISTE DES PRIX A GAGNER A

SHERBROOKESherbrooke . <D X. * . >

Les direct**;.r» «le l'Exi^ifition «le «*! erl ro«»k<* v iennent «le fnr«* **«m- naftre la li»»te des prix qui .seront «•(Torts cette année aux vainqueurs des «*on cours en ire com tés p«*ur moutons «le marehé et porcs à ba- con. ainsi que pour les «•«m<*ours « titre les jeunes éleveurs M J -A NlcCIary. de la Ferme Ex péri men tale, est le président «lu comité chargé «le ces concours.

Voici la list»* «les prix. ie!l« qu«* la compiler aussi

c«>n«*f*rnant ces c«»n-

ii U haqu» lasse

l'on vient de des règlements c«»urs

ut réo «Tan pour sen «listriet

Tous le» ntnmaux exhibés «lan» • •es deux «4a»ses seront vendus à l enehère publique «m f»ar soumis­sions ;i la «li»«*rétion «Tu «•«•mité «les veaie.»

Le.» prix adjuge» «Ians «*es <*lass**s seront pavés sans «lélm par l'Asso- eiation aux représentants agricoles nu aux agronomes <i*« «listriet» «pu auront fait les entrées, et les «lits prix seront « nsuite distribués par eux au pr«>rata alors que chaqu** con­tributeur devra recevoir non moins d’un sixième ni plus d'un tiers «lu montant

Les elas»« » «l'agneaux et dt seront jugè«*s sur une base points vivant- et 40 points abattus

Ce concours entre «‘omtés est or­ganisé par les Départements d’A- grioulture Fédéra! et Provincial en coopération avec l’Association Agri­cole des < ’antons «l«

. «i»* M.ui'- jour» «ju il fill.* Mil'f

St -\’alli«*rNI Win Cliapir

réal, liasse les quit a «T«* vacance* el'ez E«lm«)i'«l Therrieti

Le Bév Fr«r« Al«biiar-N)a- ri«*. «1«. la CotTMiuir.auté «I**» Frèr«'s de l'Instruction ('liréti«*nm*. pn»se un*» semaine chez »on p«r«*. Ni Arthur Chabot

NI Sirar«l. «I*- W est-îslieff«»r«.l, est depuis quelques jours .« l’hôtel Boldm*

Mfne Klzéar Turgeon. «!f* tjué- bec. était, cette semaine, die/; sa soeur. Mme V v ** .lean (i«»dbout

NI. Robert Ruel. «i«. Québec, porcs j passe quinze j«>ur s de v a«*ancp, chez

de 001 son grand’père.

NI. Lucien Gosselin, «le Law- renoe. Mass., est venu vor ses pa­rents et surtout sa grand’mère Mme Jean Picard.

l’Est

Concours

l’orc» à Ba«*on

entre comtes

le

Débarrassez votre nezen été

t .Moutons pour Marché

Ouvert à tous I«»s comtes «Ians la province «le Québec et aux com­tés situés à l’ouest «Ians la provin­ce d’Ontari*», comprenant les com­tés de Peterborough. Hastings. Nor­thumberland et N'ippising.

Classe 1 Les meilleurs sixmoutons pour le marché, pas plusde deux, choisis parmi n'importe quel troupeau d'éleveur ou fermier.

15 prix S75. $65. S $.30, $25. $20. $20 $15. Jj $10. $10.

Classe 2 l>es meilleurs six|K>rcs, pas plus «le deux, choisis,parmi n'importe quel troupeau leveur ou fermier.

15 prix $75. $60, $.55, $4.».$25. $20. $20 $20. $15.

$.30.$10.

«Fé-

$.30.$10. $10. $10

•ncours entre éleveur.» «le

les cercles de jeunes génisses pur sang et

entre les cercles d'alimentation de veaux Garçons et Filles

Auront droit de participer à «*e concours seulement, tou» les < 'croies de la province de Québec, organi­sés par la Division de Animale. Département «1 «*t par les Agronome»

A«lr**sser ie» «mtrées à R. M. FJ- 'li«»tt, a-s. I^i Grande Exposition des ( ’an ton s de l’Est. Sherbrooke Qué.

lies trophées suivants seront ac- «•oroées en plus «1 prix en argent $700.00.

Pour le meilleur exhibit de mou­tons pour le marché, ir«»phée Birks’ coupe d'argent et une coupe d ar­gent miniature à chaque exposant.

Pour le meilleur exhibit de porcs à bacon, trophé<» “de Iaa»!' . coupe d’argent

Pour le meilleur «*xhibit. de veaux pur sang, trophée de la “Banque «Te Montréal

Pour le meilleur exhibit de veaux pour le marché (Feeder Calves) tro­phée “Sir Henry Thornton’’ avec médailles d argent à chaque expo­sant

I^es trophées resteront en posses­sion de l’agronome du district ou autre, personne responsable, pen­dant un an et devront, être retour­nés avant le 14 août de l’année sui­vante

«|p »« Patrw'o. \un«> Joseph ('orrivs* . \,.n«» N*rr|«»»« Lanion* »gn«' M I.surent F«"irni« i Ai Tulo» \ti«tr( Sitn««n For-

Offrendst d* rns»*#»: Ai V «.«■t’.rv rt Mm». L«»*<*ur« ATnu* L" ms I* «n r l 'i Dion Mtii«' Mf \au«l

Bouquet* tplrltusl»: Aftn«' !• . D «•arro»n A| ( >TlIon r.«r«iif Nlbr I .»t«|if• Mill** Heau.fidn A,,m s,mon F«»rrtrr

Sympathie: M «"A. r. Nrî « nrtf' loseph Rédarri M ef Mnu» N M i«i A« itt** \ i«*t«ir B«' »«!t 11

TèlSgremme* d» «ympsth»#: Al J - « n»t* r«ii F« • n.iml Hé*l:o't

Un «-fittf- rlèrharg*. <*a- tarrhnle «*onstantH «pii Il »«»n tour finit par t«»mher dans la gorge et la ren«ire au vif et malade’

Debarrasse/ lotre ne/ «le «*e» a«*cumula- tions dures «a leases «•t \«»tre gorge «le cette sensation «le sè«*heres- »«• et «le ehatouille- tne.nt ' Débarrasse/ vos! yeux de «*e larmoie-1 • nent continuel!

Débarrassez votre ha­leine de cette mau- \ai»«' «xleur' Dètiarras- »«■/ vous du souri «le sa­voir «■«• «pie tient «ieve- nir votre catarrhe' Dè barrassez-vous des nom- hr«uix ennuis présents du catarrhe et «i«> ses suites.

Dan» tout le pays des ne/, ont été dé- j barra»»«'•» «lu «atarrhe nasal « t »«>tit de-

venu» « tt santé et Jouissent «l'un»- respi ; ration « lairç «e ft «pioi il» étaient «tes i tiné» l.e» haleines ont été adoucies Les

gorg«is ont été «lébarra»»**»- «i«‘ «e tnticus «’puis «lébarrassées «le ««• graillonnernent

i «-t «i«> « «*» nausées

TRAITEMENT GRATUIT<*e traimment ;« été crée et fondé prr

|. spé. ivliste Nl*H(M LK contre !»• ca tarrhe «pu dei>uis 10 «pielque» annè-cs » ocrupe de soulager les ne/, rt 1rs gorge» . Lui et se» associé» tendent maintenant aux

'lecteurs du Soleil tin trait«ment gratuit j ! do I j«Mir» contrr le « :.';«r**li«‘ nasal

Ecrive/ dé* aujourd'hui «t voyez «C le traitement ne peut pa* être celui qu'il vou* faut pour débarra*«er VO TR t nez de ce* ennuyeu*e* Incom médité*.

Tout <*e «pie vous av« / A faire e c»* 1 j décrire un htllei ou «1env«i>er une «arr« l postale an spé«*ialistr Sproule pour le 'catarrhe .’»'• * ornhill Building Ho»t«in J ■ Drinandc/ simplement le traitement t,K\ J i Tl T T «•«intre le ratarrhe l>è» «pu* la j post»» p«»nrra vous l'apporter vous rrer I i \re/ une boite «lu traitement «pii «tans» i tant «!«• ras différent» s est révélé une I \taie méthode pour »• PagfT !«*» ne/ J

NE VOUS NEGLIGEZ PAS LE NEZ ! , Ne p, rmet te/, pas fpi'il voua rende nia-' lad»» parce que vou» ne mois s«iuriez pas | d'«i»»a\«r «piehpie chos** «le nouveau oui «i« <liflér«*nt

tirtirr: dts maintenant \ «•>•■/ le trait* ment, puis voyez. « «* «pill p* ut faire poir »oulag« r \otre r« / Kappeh'/-» 'Pie grtc«* ft «’cite méfh«»«l«' plus d une p«r sonne a é*é soulagée «l«^ maux du ne/ Kcrivc/ «lé» an.i''t;rd hui p«" r avoir x«.trr traltenten, gia it pour «léharrasMr \«itr«'

■ i ,au Spéclalltte Sproule rontro le Ca­tarrhe. 21* CornhIM Building. Boston IRa*«

F Industrie Agriculture

du Ministère Provincial d'Agriculture

('e ettneours entre les Cercles est organisé par let Départemen t s «1 A- grieulture Fédéral «*t Provincial en coopération avec F Association Agri­cole des Cantons de l’Est

Il ne sera pas permis à aucun <*«>mté d’avoir plus de deux «l'alimentation de veaux représen­tés «Ians la classe 2. Ces 2 cercles seront choisi.» par I agronome et le représentant de la Division Fédé­rale de l'Industrie Animale

l/e» garçons et. filles doivent être âgés de 10 à 20 an»

Cercles de jeunes éleveurs < 'lasse A

Concours entre les «*erclps de jeu­nes éleveurs «le veaux «le rar«* H

ST-CHS-de-BELLECHASSE 1

Nos noyés - .Le .30 juin «»u a conduit à leur | t‘nIan‘H

dernière demeure nos deux jeunes, Paren^s gens «pii se s«»nt noyés, samedi der-

M Joseph Blanche!, «Te l,axv- rence, Mas» . est en visite chez son frère. N! Charles Blanche!. 11 est venu ou automobile

M Arsèno Bilodeau, qui était parti l'automne «Ternier pour l’Eu­rope est revenu, après avoir visité l'Angleterre, la France, la Belgique, la Suisse. l'Italie et une partie de l'Allemagne. Il est très satisfait, de son voyage. 11 a eu 'honneur d'une audience du Très Saint-Père. J1 est, venu à St-Charles voir sœur) Mme Joseph Ruel. Il était accompagné, do M. et Mm*; Adélard Bilodeau de St-lsidore. son frère. Il se propo­se de passer quoique temps ©h« z ses pa rents.

—M. et Mme Joseph K uni a eu le plaisir de voir leur fille, la Rév. hr Ste-Donate. des S8. de la Chari­té, Elle est venue passer quelques jours ici.

M Onésime Roy. est en vj*nt* chez son frère M. Franço s Rov.

— M. et Mme Beuemare avec mur fits de Bennington, Mass., sont venus voir leurs parent» et en particu ier Mme Vve Joseph Le-

Blane.• —Mme Henri Bélanger et «es en­

fants ont passé la semaine chez M Georges Cnabot.

.Mme 1-a gu eux. de Lewiston. Mai ne.

v « aux Sect. 1

tein. Avr»hirepn\ <■*<)

Races lourdes Short bohorn njo. $; 0, 4 j*rix

ementnier, flans un petit lac à Rivière-»-] ^u#* • Pierre, etmité «le Portneuf. Le pre-! 51mier service a été chanté 9 h -TO ^par M l'abbé Edmond Poulin pour -M- Arthur le repos* de l âme du jeune Joseph

cercles I Desmeules. figé de 19 ans Le s«*- «*ond service à 11 heures par M l'abbé J-A Poulin, curé, pour le jeune Philippe Fradet. figé de 17 ans

M K«lm«»nd Beaudoin conduisit le | j «orbillard fM»ur chacun. M William i I Gosselin portait la croix MM Phi-1 flippe A»»«‘lir. Eugène Gosselin. Jules i Gosselin et Philippe Marquis por-j J talent le corps. Ils appartenaient J j'ous deux à la Ligue «lu Sacré-Cœur I ; «les jeunes gens et le Drapeau de la;! Ligue était près «les corps

Le jeune Desmeules. outre sonmère, laisse neuf sieurs et demain

est arrivée avec deux de ees passer un mois chez ses

du Canada, elle est actuel- chez sa sœur Mme Georges

Adé ard Khéaume. détecti- York est ehez son frère. Rhëaume.

FEU Mme OCT. COTE

H<p«'re «*t sa

Sert( 'ana<iier»

I pii/ $ Classe B; i ’encours

mentation de Sect I

$27». et N de !

< es pet ites

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Malo. 1^. convoi funèbre quittera la résidence «le la défunte. N«> 239 rue St-Luc. à 7 h. 45. L’inhumation se ra faite ensuite au cimetière St-Char­les

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Dans l«* compte rendu de la cause qui » est plaidé**, ce? jours derniers, en cour des Faillites, cause qui était un écho 'lu naufrage du “Guide**, un*1 erreur » est glissé** que nous nous empressons «le corriger. l>» nom d*» NI J.-Art Gagnon a été substitué à celui de M .T.-Edouard Gagnon, svndic.

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1/es jeunes pens de Ste-Marie. Ii«*^' fêleront pr« ehainement M (Jahri* ! Tasohereau de <8* v illaièe. à 1 «mmvi».» u *1«* »**n oinquani ième anniversaire <*«* naisstne**. On sail que M Tt.sche- r<‘r«u fut un dévoué oeopérateur des «.rk'anisatv ns faites par les jeunes gens. **t eeiix-ei, * n n connaissauee do ces s**r\ i«*« ». joli* ront <l ’al»*rtl la soirée annuelle en 1 1.» nnetir «:♦ M Taschereau, et ils lui 1er» nt plus tard une bell*» réception. D** «irganisc- tours s** propos.nt «i«* faire M Taschereau une belle fête- Le piqu-nique des egricu Iteurs

D pi«pie-nique des agriculteurs ii SH-Mari» . a remfstrté un succès com pU 1 M \’î> La flamme I a- LTtmome de notre comté, a «Irait à

n* s félicitations J8»ur son suoc>s. :>(K) cultivateurs étaient présents. M. .F.-Kiik'- Portier 1«* député provincial «1»* Boauce a adressé la pirole aux

: agriculteurs, a donné «les conseils I Plusieurs personnes compétentes en <n matière «raviculture «»nt adressé la parole, f ’** fut un succès complet D» pique-nique eut lieu chez M Honore Lahreque. à Ste-Marie.Un pèlerinage

1>C4 voyageurs de eommerce de la Beauee. feront prochainement av«'c hoir famille, un pèlerinage h Ste-Anre de Ste-Marie. te p'ie- rinajfe aura lieu le Jii juin Tous les \ «nageurs de comment de Lé-

1 vis, Niégantie. Dorchester et Reau- ee sont invités à se joindre aux Beau(9*rons. pour cette cérémonie, qui sera des plus intéressantes. Une messe »**ra «lit** aux intentions des voyageurs, à huit heures (heure so­laire . M y aura sermon **t vénéra­tion de la relique de St* -Anne.La soirée annuelle

I 1 11 -■ ■ — —......... .

M. Uarette fut malade plus d’un mois, et actuellement il fait ses premières sorties.

M. et Mme .Iules Breton, de Québec, ont passé la journée de la S:-.lean-Baptiste, à «Ste-Marie. chez M et Mme Emile Uarette.

M Paul Uarette. E. E M , est «le retour d’un voyage de plai­sir s Québec.

Si Uoiirad Blouin de Ste-Mari*uade

est d.S’ -.lo^

retour d'une pr«-»me-

De noir** err Spécial

Trois machine.» sont '«nues «n collision n St-U«'»ino d« Beauee, sur In route I*évis-Jackman, lundi. Une des machines appartenait à M.tieork'es Rhéaume «le St-Georges, l'autre M. Trudel employé aux tiouanes. I.a tnusvme est une machi­ne Kméneaine Les suites de eet acci­dent seront probablement fatales ;i M. (ie«»rs:*»s Rhéaume. qui est très

' Lravement blessé. N. Trudel est douloureusemert blessé r, la figure, n ais ses blessures r.'inspirent pas de «•raintes pour b* moment. Aux der­nières nouvelles ou nous disait que M. Rhéaume était un peu mieux. Son cas est très risqué tout de môme

j nous dit-on.

Sur la route l^évis-Jackman » un mille du \ illage St-Georges. la ma­chine appartenant à M. N. Towel de S.-G«*<>rgo* à capot* et les quatres occupants furent douloureusement

est dirigée \ors 1 hôpital ou ( blessés. Bien de grave cependant

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Iji construction du magasin \a- «*roi\ s** continue vivement I^es fondations seront terminées prochai­nementLa Fête-Dieu

Celle année la procession a «*u lieu dans la rue de la station, et élitétait érijeé le reposoir Un «les plus nombreux suivait les bannières.Note\ oublions pas la soirée des jeu­

nes ns qui sera donne*» prochai­nement. au collège en l'honneur do NT. Gabriel Taschereau'Notes personnelle*

Mme .1.-0 Bilodeau, de Ste- Marie. est actuellement en ft«>>aipt à Motifréal avec sa tillette. Blan­ch**. Mme Bilodeay sera de retour dans auelques jours.

M. Ernest t'arette. de Ste- Marie. relève d une longue maladie

cortegetoutf

«lans

A îb^auceville en face de I hAtoi Bouchard, un ieune homme du nom de Ulcrmont Bisson a été frappé sur le trottoir n êîne par une machi­ne américaine passant à une grande vitesse. Ue jeune homme fut très sérieusement blessé, il souffre tie *fra-

ives blessures aux jambes et au cran». I Le* an éricams ont filé sans se faire cor.naitr* Des témoins ont pu. pa­rait-il. prendre le numéro de la ma­chine. «pii n'a pas cru devoir arrêter

i pour cet acculent.

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Programmes de demainPROGRAMME CHOISI DU SOIR

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K V A' ).“i (’ ncix * < ' r.tnii\.il11 h oo

LE CIRQUE AU RADIO

amutourN do radio qui lieront aux écoutes ce soir, vers sept heu­res. immédiatement après l’émission

Ides nouvelles du “Poleil”. pourront (entendre par le poste <’HR(\ une intéressante causerie décrivant la Vrie Intime d’un Cirque

< ’ette causerie sera donnée en franyais et en anglais par un des officiers du cirque £ parks qui sera ici samedi et il sera certes intéres­sant de regarder derrière l’écran pour apprendre quelques cdtés in­times d un grand cirque, vivant. ainsi

! qu’une ville entière, sous la tente.Le poste CH RC donnera cette

émission.

Programme populaire

t’NRW U'.*» Winnipeg l'iaserands de la musiquesilmcieiu M|»r-*s 7 heures du s(»ir CK'P Khltt KM o KOI! K TNT

l'AA \N \l W il A . VV III) K \A’rws wrx VV IK » | ) V\ | H HVVUUF VA H WHO VA OA I W'Ol W R\ \ WTUVWW.I

PROGRAMMES DE U APRES-MIDI

rüU RECEPTION4 h 00aPAB 300 Lincoln

ri orchehireWBB.ii -'S9' < riicaéo

ra leW.Ijd 366 Moi>sehei»rt

de Moosehearf 4 h . :tn

PASSABLE HIER SOIR

Lisez

d’abord

PAGEANT DE LA CONFEDERATION

AU CIRQUELe cirque Spark»., qui sera a

Québec samedi demain', com­porte dans sa grande parade a la fin du spectacle un attrait particulièrement intéressant: le Pageant de la Confédération.

On voit, du ns ce pageant, l’histoire du Canada Sauvages, colons, grandes figures des an­ciens temps canadiens.

Cette partie du cirque sera d'un intérêt particulier pour les Canadiens: Rlle a été ajou­tée >(lécialement pour la tour­née du (’anada.

Ce soir au radio a.j |M»ste CH RC. vers sept heures, une intéressante causerie sur la Vie Intime d’un Cirque sera don­née. Que les amateurs de radio soient à l’écoute.

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M-oouis musiuue de

KKRi JAOi Columbia que d orchestre

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entertainersWA AT J4t> Jersey City concert WAS W AaiD 21 .r>' ..plA musicale WPO 273) Atlantic City, les menes-

t re»sWJ.JD 3»lf» .Atooseheasrt concert

WSI \ 21» NorfolkW LW 4Si t’inc i "j

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3 h. 00W AAM <34») Newark dîner-danse j W' A AT 24«> Jersey-t ity orchestre W C A E 31; Pitts hftel Wilhi-m Penn WEAK IU2> N V h.tel Waldorf!

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h h. 30W'Kl 403: Phila h-tel Adelphia WN AC' 2631 Boston dîner-danse

6 h (X)

KM A 270' Shenandoah, iru» Ruby W HT 416 Chicago programme cas

siqueWiBc» (416 Chicago concert rie deux

heuresWJ/ 453> N -V orchestre du diner WOR 122' Newark ensemble Jacob WPCJ 273' Atlantic City Hôtel N.or-f

ton.WRfco i,231 Lansing Nïich Concert

du riincrW8B i47H' Atlanta Concert du crépus- •

culeW’TiC 461 Hartford Concert du dîner

6 h 13 4

WCAl 361A h 30 Phila "Huruioiiy songs

461 Louisville, programme deWH AS studio

WHK 265) Cleveland riuartuor l nder-wood.

WViAtj 44S' Cqicago, Song cycle » h 00

K..Ds 236 Independence gramme studio

K..i.\4J 230 Clay Center Neb pro­gramme de variétés

WRAP 500) Kt WorthKing

W'DAr 370> Kansas Citypopulaire

WK. 405) Phila quatuor d hommesI\in.

W'tiT 416' Chicago, votre heure WJ R 441 Détroit, priigramme de

st udio » h. 15

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6 h 30400 Cleveland. H''*H Cleve-

KFAB 30» Lincoln N eh Concert du dîner

K Y W' 526’ Chicago Hôtel Congress WOY' .380) Schenectady Or chest re

Onandagowoo ( 5081 Phila Diner-da me WR N Y i30»' N -T Y orchestre de con­

cert « h. 35WMA K 54.> Butfalo On*he«tre

6 h 45

WOC •'353' Davenport Concert de elo-ches

7 h ooCKCL i3571 Toronto Trio de concert WAMD 225 Ni pis Orchestre WRAP 300: Ft Worth Mentestrel* WLW '»28i Cinct Orgue

7 h. 15:

WCCO mers'

» h 3040 Nipl*-st-Paul. Kim Tl-

PWX 400 Ha van» concert cubain KTHS 385) Hot Springs. Harmony

Four quatuor d homn.es WFAA <500) Dahas. quatuor mixte WON 306) Chicago. Over the hiU* WSC. '265) .owa f’lty. programme

musical 10 h 00

KM A 270 Shenandoah, chanteur Ju­bileeKKAB 30») Lincoln. Neb studiol\ N i OX 300 i St-Loui*. toloeWCCO 405' Nipls-St-Paul écoie rie

musiqueW.HO 4It»» Chicago programme po­

pulaireWTAM 4(Xi Cleveland, heure du Mis­sissippi

10 h :«)

WCCO (407, Barlow

7 h 45M pis-St-Paul < ‘rchest re

W'SM 741» Nashville H tei Jackson

POOR LES PETITS5 h 00

Demi heure deWEB H 366 Chicag»enfants

WGBS '34»i N -Y L oncle t-ee Bee5 b 15WMAQ 44‘ Chicagt

5 h 45WJ JD 366

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K Y VV .536' Chicago oncle Moi, W1P .508) Phila i. oncie Wip

6 h. 10WON 306 Ch ica g*

6 b 301 oncle Walt

KYW 525 Chicago Congres Car-' nival .W BAP '<00 Ft Worth programme

populaire Il b (XJ

CNRW 40.5 W umqieg Tisserands de muSKiue

K FAI ,285' Boise Idaho concert K MT R '526» Hollywood. Movieland

■ nightK 1*0 1422 > >an Francisco. Saturday

Night Review Aussi KH! KFOA KGO KOW K H «J K0MO

W ABC (326' N.-Y Midnite uiedio1 h 45WSB (476) Atlanta Concert

MinuitK Kl 46» Los Angeles Chansons KKN'F (270) Shenandoah Musique du

vieux temp-cKUO <384) Oakland ^soprano. tént>r KtiW l»21 Portland Musicale K SO 2271 Clarmda la Orgue WCtES 242 Chicago Ozone Clul»

1 i) 00K Fl 46» I.O- Angeles Radio Club W'M4(J 148) Chicago Programme !>o-

pulafre

Lenoro Kritnlman. soprano, don- rora un récital demain .soir à b h. lô <heure solaire), au poste WCBO. de Chicago.

Creature et son corps de musique une des associations musicales les mieux* connues d’Amérique aujour­d'hui, se feront entendre demain soir à H h (heure solaire) au poste Wl’O. d’Atlantic City. Après la musique on placera le microphone de fayon à ce que les amateurs de radio puissent entendre les vagues déferler sur la grève. Si cola peut vous rafraîchir.

L'orcheatre de danse du steamer Américain Wilmington, composé de di marins, fera les frais d** la musi­que au postes WHK. de Cleveland pondant une heure demain soir.1 Cette partie au programme com­mencera h 10 h. (heure solaire

— oAu poste WOK. de Newark, de­

main soir à 7 h. 30 (heure solaire ; on donnera La Pagode de Fleurs ", dans laquelle le “quatuor urbain tiendra la plus grande place

— oLe poste WIP. de Philadelphie,

offre demain soir h 9 h. ôO (heure solaire) un programme rendu par des instruments à cordes seulement La mandoline sera l’instrument prédo­minant.

oLes amateurs de longue distance

liront récompensés par la réception d’un beau programme demain soir s’ils peuvent capter les postes KFl de Los Angeles. K PO. de San Fran­cisco : KG O. de Oak’and ; KOW, de Portland ; KHQ. de Tacoma KOMO et KFOA. de Seattle.

W B/ i.3-î Springfield Leo Rusinan 10 h 00

KOA 326' Denver ('bief CfonzaloKTHS '341 Hot Springs prognmme

•le danxeWKAF '402 N A orrhestre du Pu

lais ri'OrWOY 380 Schenectady, musique rie

daiUMWJ JD 366 Mooseheart Victorian»*WOKT 210 Rochr.st» r Rustic Dar­

densWOR (422' Newark hôtel Mang<r

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K a nsa s <*ity- WesternWDAK 370 chefs

I W'P<i (273’ At la nu*' City orchestre du Casino

I 11 h 00KMOX 300' St-Louiv orchestre Bar­

terWT’CO 40.5 ‘ Mpls-St-Paul. (>r»*he.stre

f'oliseu/nW EBH 366 Chicago. Ldgnwater

BeachWHK '265 Cleveland, orchestre de

danseWJR 461 Détroit The .Merry Old

ChiefWMC.4 34I1 N 5 orchestre AfcAl-

Nouvelles par Radio

Cm aoftr à € h. )0 le poete CKCI * Le Seleil" émettra- lee dernière* neueellet, eete tiens de bourse, nouvellesdiverses.

CAO SERIES

2 h 45*WMAQ 448

vs Boston3 h 00

Chicago, bakeball Sox

W WJ '375 Détroit baseball gaine 3 h 55

WHAD 204' Milwaukee Milwaukee vs Columbus

4 h 00lia se ball

WDA F t370i scores

5 h 45Kan*** City baseball

K MOX 300 M-Louis Safety v; ni WFAA '500 Dallas Heure ries enfa

7 h 30 enfants

CONCERTSCLASSIQOES

WEAP 4»2 N -Y WCAE. ERV

« h. 45iiartetiall

AA SNf ,31» Nashville Histoire du cou­cher

PROGRAMMES POPO LAIRES DO SOIR

8 h. 30WM A K 545 Buffalo rhé tre BiiTalo AVE A !• 14 »2 N -V 'The AAeek-ep

ders auksi AVRC 7 h 00

W A AM 14» Newark. Iieijre rie niusi-

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W^EÎ 44v Boston musicaleRadio Evening

heure rie musique

:eiW .1 / 454) N

John HurleyAA CA 370) N A

allemandeAA TA M 400 ( le\cianri. prograintm- île

stitriio 7 h. 15CK AC 411 Montréal numéro spécial

rie musique ’ h. 30AV'GBsi 34» N.-A. musicale

j 7 h. C0. KYW 525) Chicago Home Lovers Hour

W K B AA' ‘217 Buffalo Concert * h 30WIP .508 Phila Récital WEAK 49‘J N -A* Fanfare de concert

I’ < i old man. Aussi KSD WCAE W KFfWOR WJAH w K» W8AI WTAM WW J

Mb 00AV H H (337) Kansas City . Orchestre de

concertWMAX 337 Jacksonville. Little Sym­phonyWLW (42k) Cincl. Concert.

, 8 h 05WBZ 333 Springfleld p#.p concert

au Symphony Ifall» h 15WIP .Vis, Phila

Keystone » h 30

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WOC (353)sport.

6 h 50WEKI <448

delights7 il 16

WH AI 361 7 h 30,

WMAQ 'Chicago7 h 45

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8 h 00

Davenport nouvelles rie

Boston. Newspaper St-

CincJ revue de* nouvelle*

Rad io photologqe !

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rogramme clas-

Nvilwauaee Sixka’arv

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WMAQ 448) Chicago Radio pbotolo-gue

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10 h oot enter VfusiqiH

W'OW .Vis Omaba ('oncert

WOESJigg"

7 h 00242 Chicago Maggi

WLS 34. dance

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3 heure.*. National Barn

Un régal toujours prêt

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Avec fraises fraîches et lait. Filaments dorés du blé complet.

Un fameux plat de santé.

WBBM 389 Chicag 8 h 13

WLW 428 du Zoo

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Cinci Orchestre *|e concert

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RitzW MC >17 Memphis Synmpafnr*

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CK 4C <n Montréal Red Jackets KF AB .40» Lincoln, '•eh ttrehestre AA C A t 2M t'hila Thé&tre tbrcariilly W Fi '4 05 Phila Hôtel Aoelphia ™ N V f,rrl'f*tr» Twin DaksWMAQ 4 «8, r hlr. go I r*el Sie%ens

AC 26.5 Boston 5i'nlque «Je j|,,H j

pinWO< 353 Davenport, silver King

O» otttre comxpondant spécialSport

l>» club St-.Joacph qui devait rencontrer le club St-Maurice dé Thetford- n a pas jojé. dimanche dernier, l'n accident, survenu à la machine qui devait conduire les joueurs de Thetford à St-Joseph, a empéohé cette partie. Dans la mé- in»* journée, le club Ücaiiceville a

. défait par un score d»* M à 4 le club St-Georges.A St-Georges

1 ne grande soirée-concert aura lieu le 11 juillet h St-Georges dans la sali»1 des Chevaliers de Colomb. De bons amateurs figurent au pro­gramme. et on antici|>o un concert des plus beaux. L’orchestre de St- Georges a préparé pour la circons­tance un programme choisi.Note

l'n bon nombre de citoyens «le St-Joseph étaient «je passage h Beauceville à l'occasion de la célé­bration d** la St-Jean-Baptiste. ÎVl. Léonce (Miche, avocat, maire de St-Joseph a fait, fi cette occasion un magnifique discours h Beaucevit- le de même que Ai. Paul-Henri Bouffard.Soirée à St-Joseph

Des amateurs beaucerons prépa­rent actuellement une soirée, qui doit être donné»* à St-Joseph au cours du mois d’août. Cette soirée sera donné»* en plusieurs villages beaucerons.Les classes

A St-Joseph. comme dans toutes les localités beauceronnes, les classes

Mettez une cuillerée à thé de

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> EN FLOCONSdans le récepteur à vidanqres tous les quelques jours. Cela empêche les mouches de se multiplier

La LESSIVE GILLtTTentretient tout propre

et sanitaire.

les coIUges Me-Amie. Lévis et le *é- minair» de Québec. Aux fêtes «lu | «entenaire du uollAff** Ste-Anne. St-' Joseph comptait un finissant de «-e j collège. M. Robert Vézina. fils du*

■ protonotaire de notre comté.Notes personnelles

M. Armand Bernard, de St-Jo­seph. ét ut récemment de passage à

j Ste- arie.MM. Jean-M Carette. du 'So­

leil’. Paul Carette K.K M. et Ni- <‘holas Carette étaient récemment de pa>sag«* k St-Joseph.

M. I Idcric Va**hon et quelques amis étaient <ie passage à .Sto-Marie ce* derniers jours

Mlle Manette Vachon. était de passage à Deauceville, à I occasion »le la célébration de la St-Jean-Bap-

■ liste.Mlle Cécile Giguèit* de Vallée

Jet., passe actuellement quelques j»iurs à St-Joseph, chez Mlle Jeanne Gagné.

Mlle Annette Chatoauneuf. de Ste-Marie. est de retour d'une proine-

I nade à St-Joseph.M. Odilon (Miche, de St-Joseph.

i était en promenade h Ste-Marie, ces derniers jours.

Mlle Marguerite Jolicœur. de Boauceville. est de retour à Beauce-

1 ville, après une promenade chez Mlle Mariette Vachon, à St-Joseph.

Mlle Alma Vachon. de St-Fréd*'*- ric, était chez Mlle Carmen Poulin la dernière semaine.

M. et .* me Xap. Poulin. Mlle Carmen Poulin, de St-Joseph, doivent partir prochainemnt pour un long voyage aux h tats-Cnis.

Mlle Lucille (Miche, est de re­tour d’une promenade à Ottawa,

Mlles Marie-Ann»* et Ange Ber­nier. étaient récemment en pnmiena- de à St-Joseph.

Mlle .Juliette Poulin, de Ste- Marie. éta t ces derniers jours de passage k St-.Joseph.

Le Porto Convido

OXTO

est imite sans scru­pule mais aussi sans succès. On ne saurait en co­pier ni 1 âge ni la réputation.

Ije Porto Convido — vieux de trente ans — ne p* vend qu’en bou­teilles

Rappelez-vous le nom

reprendront au commencement de septembre.Les Etudiants

Les étudiants de St-Josepli sont de retour. Ce villag** compte b»*au- coup de séminaristes répartis entre

UNE AFFAIRE D’ASSAUTL’hon. juge P.-A. Choquette a en­

tendu. jeudi matin, une affaire d’as­saut qui eut pour théâtre une mai­son de pension de l’avenue Nte-(îe- neviève. durant la nuit du .M au 1

juillet, l’n pensionnaire de la mai­son ayant voulu pénétrer chez lui avec trois amis, fut arrêté par son logeur qui ne voulut pas le laisser pénétrer dans sa chambre Quelque temps après, comme il revenait à son logis après une sortie qu’il Ht. déclara avoir été saisi par une jambe au moment où il montait l’escalier. Il faisait très n»»ir à ce moment et Je plaignant se retourna pour frapper la personne qui l’ar­rêtait.

“A mon regret, dit-il. je <*ons- tatai que c'était une femme.

Il fut alors jeté par terre, frappé à coups de pied et à coups de poing

L’accusé et sa concierge ont ré­pondu qu'ils avaient dû intervenir à cause du désordre que <*ausait le plaignant et ses amis. L’enquête se continue.

2100 Milles pendant les plus fortes Chaleurs—Sans ajouter une seule Chopine d’Huile

UNE des épreuves les plus convaincantes pour l’Huile à moteur Marvelube dont les détails nous soient parvenus à ce jour, est la randonnée de 2100 milles, battant tous les

records, et qui fut faitç l’été dernier par Monsieur G. J. Rathbone, Gérant de la “Brown Wire Specialty Co.” d’Hamilton.Monsieur Rathbone, employant la Marvelube Epaisse dans son Coach Oldsmobile 1926, a fait ce long voyage dans des conditions excessivement dures, sans changer ou sans ajouter de l’huile dans sa machine.Il décrit son expérience en ces termes :

“J’ai rempli ma voiture de Marvelube au commencement de me* vacances, et j’ai couvert 2100 mille*, pour la plupart aux Etats-Unis, alors que la chaleur était torride, à certains endroits le thermomètre marquant 110° à l’ombre.“Je n’ai pas ajouté une seule goutte d'huile durant tout le trajet de 2100 milles, et quand à la fin j'ai enlevé l’huile, celle-ci avait si belle apparence, que la Station de Service ne voulait pas l'enlever."

Ce rendement sans relâche, où deux mille milles furent couverts dans une chaleur torride, constiti e une rude épreuve pour l’habileté de la Marvelube à “résister" et à conserver «es propriétés lubrifiante*. Une huile ordinaire n’aurait su résister, et le résultat aurait été des désagréments pour l’automo­biliste et un moteur endommagé.Le succès que la Marvelube a remporté au cours de cette épreuve est claire­ment établi par les dires de Monsieur Rathbone quand il réfère à l état dans lequel l’huile était au moment d’être enfin soutirée du carter.Il n’est point nécessaire de battre des records pour prouver la bonne qualité de la Marvelube. Etablir et briser des record* est un passe-temps dangereux —et l’état du mécanisme de votre voiture est tout aussi important que l’huile employée. Mais vous pouvez être certain d’être satisfait et de réduire vos frais d’entretien en employant la Marvelube régulièrement dans des conditions ordinaires et en changeant d’huile tous les 500 milles, comme il est recom­mandé par la plupart des experts en lubrification et fabricants d automobiles.

IMPERIAL OIL LIMITED

MT-"- -

HUILE A MOTEUR

MarvelubeEmployée aujourd’hui dans plus de 200,000 Voitures Canadiennes

LE SOLEIL, QUEBEC, VENDREDI 8 JUILLET 1927 23

NAISSANCES•OURQST.—M Arthur Bourg«t et

Mm»- H »urget née Simone LAV»lière fon» r^rt & tour» u*r«ou et î»niiii de U nui *•

d une fille nAe le .tt juin et baptitAe >e l«r juillet »oui* le» prAnum» de Mine- T nftrAse-Alherti neVarrain et marraine M *t Mm** t.«>r

I^avahAre grands-parent» de I enfant T • rteiiæ. Nfiue H Idela Ho> . grand tnAre de enfant

GAGNON. \f HAal tiagnon et Mme Oa^noo, nAe Armora Racine font pArt h Vur» parent» et ami» de la nai»»ance d line

fille née le ft Juillet et I»aptl»Ae le rafu e Jour a I hôpital Nt-Françofr-d'Aaaisr aoua lea prénom» de Ma rit-Andrée

Parrain et marraine M et Mme I hi léaa Ratine gntn<l»-parent» de » enfant l’orteuæ Ni lie Berthe Racine tante de 1 enfant A

SLATER. M Harold Mater et Mme M-vter. née Marie-Anna Robitaille font P Art & leurs parent* et amu de la nais - »ance d un fil* né le 3. haptlaA le 4 Juil­let »ou* le» prénom» de Joaepn-Malcolm Harold-H arvej

Parrain M Malcolm Slater marraine Mme slater grand»-parents de I enfant 1 orteus. Mme Amédée Robitaille grand mère de 1 enfant

SUR L’EAU...Le “Montnaim’, est arrivé hier soir Les

“MontcIare’\ “Megantic” et “Athenia”, attendus demain L,é‘Antonia” attendu di­manche Enquête sur Péchouement du “Gaspésia” Nouvelles maritimes données tous les soirs par le poste de radio du “Soleil” Départ des navires “Minnedosa”,

Andania” pour PEurope des navires Le service des

“Ausonia” et Le mouvementgoélettes

Le “SoUil’' donnera loua le» aoira par radio daa nouvelle» maritime»

Tous 1UM lecteurs nux choses de la

jui s mtéresdeiil marine »*t eu

: ménu- temps au radm auront tous I l«»s soirs entre t» h JU et 7 heures, i a i poste CKCI du Soleil", le d* r- 1 nier rappi>rt du Se rvice des Signaux.! Ia>« (virent s des navitcateurs. de ceuxI surtout qui s oecupimt de na\ i^a-| non fluviale. i»nirront s*- rensei^ier dimanche à \ew-Vork 'ainsi sur les allées et venues d** ceux i La* "Luetzow”. d*‘ la ligne North qui les touchent de prés Ceux qui German Lloyd. i»arti de Krénte le ‘J7 attendent le retour de quelque a.niljuin. est attendu aujourd’hui é New - d Kurope sauront quand leur navire'^ork

ü juillet, est attendu mercredi pro chain à Halifax. #

L** Vaiendam". de la ligne Hoi-1 1 andt-Amérique, parti de Kott*rd«ni le 'J'J juin, est arrivé hier à Halifax

I-e “(’ont»* de la ligiu*Lloyd Sabaudo, piirti de Gén.' le',.H,.1er juillet, est attendu lundi prochain i (ja'ioj» , t à NfW-Yorî.

1^- lieu tea h land . de la ligne deux roU* Hambourg-Amérique. jK»rti d«* N.*.- bleu-marm t Uampton le 1er juillet, est attendu l\liue ( l ni li

la roU» blijHUlSJllt.Ni me i

LE PROCES DELA FEMME GALLOPSuite de la page 3'

allée magasiner av»*«- .Ni me •t qm.lques autres amies. A

Gallo

navire(est signalé. De plus tous nos lec­teurs apprendront ainsi la tempéra-

qu’il fait sur le fleuve, jusqu'àle ce service

I tare qu'il fait sur 1 | Terre-Neuve au moven (nouveau du "Soleil"

Ia» ‘ Geo Washinton". de la ligne l’nited States, ]»arti de Hréme lo Jt»

! juin est attendu aujourd'hui :* New- 1 York

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i mai- ie/. lui ar son laisser uelque naif à ’il lit. r une lontait

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PROCHAIN MARIAGEGIROUX-RHEAUME. On aonnn^e

pour to 1 h Juillet prochain, to mariage de mademoiselle Bernadette Oiroux. /nie de M et Mme A -P Giroux, à Xf Edouard Khémme fil» <to M et Aime P

'Rhéaume tou» deux de cette ville Pas de faire paît

Services AnniversaireParents at ami* tan prié» d'y a»»lit»r

«ans autre Invitation

DUPUIS, l.e mît vice anniversaire «Je M Rock-C Dupui» époux do dame Kve- ]een <’arbery do sniti. Don-hester. aura lieu à M - R och-d es-A u I nai es lundi l« Il juillei à t» heure» AjlI-Jfa-b

FAUCHER. Samedi k 0 julllei h 6 h tr. sera «-hanté en I église de St- Kauveur. le service anniversaire do feu dame Dolphin»' Rochon, épouse «io feu Napoléon r anchor

FO K G U ES. «a* service anniversaire de Mlle Oeorgiana Korgues sera chanté en

I église de St-Roch. lundi le 11 courant 8 heures Hjll-JfsLABERGE. Lundi la n juillet njtf heures, sera chanté en I église M-Foch.

le service anniversaire de feu Alphonse I-atn-rg** époux «le «lame Emilie i au rge

8jll-2f*l)(MOISAN. le servie»* anniversaire de,

feu l atV.é Ijouis-Kené Moisan aura lieu* nu I égli'«- St-Oeorgea de Beaure mardi matin le 12 juillet à ?» heur»* précise* -t

PRGULX L' n ü le 11 juill» t 1927 sera « hanté dans i églis<- d«- M-Tin mas de Montmagny. à 9 heures, heure solaire, le servie»* anniversaire «le Klphége I roulx fli* de M Onésiphore Proulx de Mont - magny 8jll-2f»u

REMERCIEMENTS. i.a famille t'h»- <> < «renier rem en-le bien sincèrement tous les parents et amis qui leur ont témoigné d«s marque» de sympathie ft l'occasion o»' la mort de leur père, soit par otfran- d»s «le mes.»es. bouquets spirituels, tributs loraux. v.sita ou assi*tan«-«î aux funérail-

A tous un cordial merci - b

DECES

Par C.-H. ParéLe Montnaira". du Patîitiqufe Ca-

nadion. vepant d’Anvers, est arrivé dans rotre port, vers 10 heures, hier soir Au non bre des principaux |>as.-

! sabers de cabine, il y avait Mme H.JGaillardetz, de Nhauinjgan Falls; le |I>r F-\V. Snow, le capt. A. Cyril

Hjii-jr» 1 Hav, accoit'pagné «le son épouse et {de .-«tt fan ille ; Mlle A.-M.-H. Pecl:, IMine C.-ll. Lewis. NY. A. Stapley, T-L. Hartley, Mlle K - Robertson, Mlle F.-K Ross, tie Montréal; NT. et Mire 11.-R. Drummond Hay et sa famille. Mme O.-H. ClarL. M. et Mme F.-K. Halls, «le Winnipeg; Mme

Taprell. de (Maparv Mme Parsons, secrétaire du Conseil Inter­national des fen ir es de Toronto.

Ive "Montelare", du Pacif.que Ca­nadien, venant tie Liv’erpool, est at­tendu ici domain matin, vers 3 heu­res. Au nombre des principaux pas­sagers de cabine, il y a sir T. He­witt SI.inner. Bt., fils de fou sir Tho­mas SI.inner, un financier bien connu tie Londres et avant des intérêts • ans plusieurs entreprises canadien­nes ; Campbell Molnnes, de Toron­to, chantre bien connu ; Mme K. Cun m.in^s, v ice-présidente du Con­seil National des femmes Mme \N illoufchby Cun n ings. S.-B. Gundy, M. et Mme NY.-H. Burgess, .1. Ers- ;ir.e. Mlle M.-M. Young, d»* Toron- lo; .John Eaton, de Montréal ; AT. et Mme H. Reifel. de Vancouver et Mlle Maguire, de Winnipeg.

Le "Mégar.tic". de la ligne White 'tar. venant de Liverpool, est attee- :u ici demain matin, vers \ heures,

avec de nombreux passagers.L’"Athcnia", de la ligne Anchor-

Dor.aldson. venant de Glasgow, est attendu ici demain soir, vers K heu­res. avec de nombreux passagers.

L’"Antoi)ia ". de la ligne Cunard. venant de Southampton, est attendu ici dimanche prochain avec de nom­breux passagers.

samedi U* 16 juillet, ses croisières de tin de semaine dans le bas du fleu­ve. Ce superb»* navire partira de ce port le samedi midi, arrivant à la Malbaie vers K heures du soir pour y rester jusqu’à minuit, afin de por-

s«*s passagers Pointe-au-Pic

Le départ du Liverpool

la»‘Gnpsholm de la lign»* Sué* [étions

j doUe-Américaine parti de Goth» ;n-' ,j„s 1<t Minnedosa pour j bourg le‘J9 juin est attendu aujour

I d’hui à New-York.

l>e "Minnedosa". du Pacifiquo-Ca-, nadieu, est parti ce matin «le Mont-' réal et quittera ee port ce soir avec «i»*

Le départ di F" Andania

l”'Ausonia" et pour l’Europe

mettr»soirét

nombreuxtroisième

j>assag»*rs de cabine. «Je touristes et de troisième

«ie passer la | classe pour LiverpoolManoir. Au nombre des passagers de «*abi-

Richelieu ou autr«*s en<iroits a'oi-.n»*, il v a Mme George I>*ighton »*t amants. Ia* "New Northland’’ par- j Mlle lA*ighton, M. et Mme H.-B. Bibby, tira «1»» la Malbai»* pour la Gaspé-j Kdward et James Bibby. M major J.- sic et se rendra à Ntt*-Ann»'-«les-ATont • A. Leheau et son épouse. Mme J.-A où des arrangements ont été faits| Fleet. M. et Mme George-E. Chari, s pour fju’une messe spéciale soit diU> (j. Arch. F. E. Be»iwell. Mme E Swin-

1a* départ «le dells. J. G. lAUgelier. Mlle M A K»*»*fe aura lieu di-'et W-K. Heptinstall, d»* Montréal; vers 3 heures.'MM. John Bohan, M. et Mme C-C

quelques

pour les passagers St e- A n ne-d es - M on f s manche après-midi, et le navire, après quelques arrêts, arrivera à Québec vers 2 heures, lundi après-midi.

ligne Clyde vient d’annoncer que le nouveau navin* "Irocmois”, qui fera le service Québec. Sague­nay. Halifax. New-York, partira de New-York b* 9 juillet pour Québec avec plus de 409 passagers de ca­bine. Ce navire est le plus beau des oAtes »le l’Atlantique. Tl peut accom­moder jusqu'à 000 passagers de pre-j mière classe. De plus les personnes! qui le désireront auront l’avantage; de pouvoir embarquer h bord, leurs automobiles.

etRaull. Mlle V. l'aull. Henry Button. M.et Mine F. L. Summerliayes. Joseph l’rb-e. Mlle S. Birtwhistle. Mme(î. F. Beaumont. Mlle Mary Beaumont, «le Toronto; James Chisholm, de Hamil­ton, Ont.

Parmi les passag»*rs »fe troisième touristes, il y a un groupe qui se ren­dent faire un voyage eu Eur«>pe sous les auspices de la Air Crafts’ Guild.

on. Mme Gallon, a achété i. dont un** ue couleur

mai', ajoute le témoin,M> a retourné au magasin, ‘U-mann. parce quelle la!

noire Lors«(u'ell<* l acheta allop a acheté apr»*s cela un»

étoffe j\ rol>e »i«* couleur noire et 1 de la mort de son mari elle |H>riail un** r«ib»' lait «1»* «•♦* matérit*!. Avant, la mort «le s»»n mari, «lit U* témoin, j'ai eu occasion »1»« parler d«« |H>i»on avtcj

usé»* en différents temps, nous j plusnuirs â parler de gens mala-j elle <avait que j amais soin d** |

I nia belle-mère. »>ll«« m a «icmundél J alors comment il *»• faisait »jue , la j morphine injecté»* par U bout*lit*. ii é«*l

I tait pas aussi t ftb’Lwe qu’utu* piqûr- I hypodermique, j»' lui ai «lit que j«* ru*

Ausonia d»* la ligne Cunard, j a**i'a*s Paw est (>arti ce matin de Montréal ,m ! **»*.* a aussi «lemand» au t.-quittera c<» port c<* soir ave»* de j ,uo*u combien il fallait d** bu-htorur nombreux pa8*ag»»rs pour Plymouth, r1** P°ur t,m.T>oi,ionm‘r unct*,, n

’horbourg et I»ndres Parmi lossjdiaaiit qu«* son j prineijmux j assagers «i»* « abine, i| Niu’elle avait la y a le professeur W S. Hohisworth. j b** témoin sMst

l qui enseigne la l«>i anglaise à Oxford ! uuaiUité qu’il avait bu«* et a conseillé Il est acoomi>agné d»» son éî>ous«*. ^ l’n'^'iisé»* d»« fain* ingurgit« r »pn*lqu«* Aussi M. et Mme J.-J. Mel«*hers. vhose do <*haud â son chien. L’accusée M et Mm»* Thomas Dionne. Mil»* !a dit u'en oertaimis nrconstanc»" Violet Dionne. Mlle (' Dionno. ' plu>ieur> «l«*s |*arents do sou mari Mme Nfontcourtois, Mme C.-A I étaient morts de maladie <1«' coeur Room»'. M et Mme Donald-A. An-! L’accusé»» «lit aussi au témoin que sonI drus. Mil»* Nancy Andrus. T An-i nmri u’était pas bien du tout, uu’elle drus, N11l«* Val. Andrus. R.-B Webb, ! b' croyait malad»*, quand elle. 1«* té- John Sullivan. C. R., «*t Mme Sul-|moin. trouvni**nt qu’il avait l’air bi«»n. livan. G Artout. Mme H.-P. Nigh-' Le témoin dit quo M Gallop allait tingal»*. Mm»* John M Martin. s»»uvant chez ell»* et qu’elle u’a jamais ju

| son

I*

!!’

Le mouvement des navires

Parent* et ami» •'»ni prié» *!• y fan» autr* Invitai! >t

n«t i‘.«

1

BELLEAU. \ ('hivoutimi to S juillet 1927. à I hk«* de 4ft an», ««si dé»*édé»* daine Al vine Veilleux. épouse »!»• NI Raymond Relleau. notaire

l.**s funérailles auront lieu samedi, le t courant, ft tO heure», heure avancée

Départ de la maison mortuaire, avenue du S'éminaire. à 9 h 4ft pour la «"athédrale de C’hicoutimi. e* de Ift au cimetière d«« la paroisse 7jll-2fsk

COTE. A Québei' U* «» juillet 192. ft I ft«e de 79 ans, est déf-étié»' dame Ju-

I 11 et te Lortto. époux «le M Octave Côté i f,es funérallU*s auront lieu samedi ma­

tin ft s heuresDépart «le la maison mortuaire \<> 239

rue St-Lur ft 7 h 4ft pour l église de St- Nlalo et «le Ift au cimetière St-('harie»

7jll-2fshCO U ILLARD. \ < ap -St-Ignace. U* fi

juillet 1927 ft l âge de 71 an» «»st décédé, dame Wilhelmine Proulx. épouse de feu Philippe ('ouillard

Klfe était la mère »le M ('amiIle ('ouil­lard. pilote. (Jeorges et Kdouarrl tous du Cap-St - Isnat'**

f,«-s funérailles auront lieu samedi ft9 heure» ft l’église du Cap-S t - Ignace

7jll-3fsCROTEAU. X Loretteville le fi juillet

1927 ft 1 ftg«* «l«i 2ft ans. est «|é«*édée Aime J.-Roméo Croteau, née Corona Deshale

Les funérailles auront lieu samedi ft10 heures, heure solaire en 1 église de («eutilly. comté Nicolet

l.e» reste» mortel» seront exposés chez son père M Edmond Deshaie ft (ien- tilly. comté N’icolet 7jll-2f»

LABRECQUE. A tjiiéhe»*. le 7 juillet 1927 à l'ftg»* «le 1 .*» ans fi mois est dé«*<'*<lée Simone Labrecque. fille «le M (>eorg« I.abrocque et «Je «lame Azilda Poupin

Ee» funérailles auront lieu samedi ft 9 h Départ «le ta maison inortuair**. \o 21

rue Laliberté ft S h 45 pour I église de St-Roch et de là au cimetière St-('harl«s

„ 7JII-2fsk LAMONTAGNE. V Lévis le fi juillei 1927 ft I ftge de 79 an» fi mois, est dé« éd( Al Cyprien I.amontagne. gardien au bureau de poste, époux de Xf.n«> Octave Feuiltault et en lèrn noces de Mlle A|>ol- line Alorency

Los funérailles auront lieu samedi ft 9 heures

Départ «le la maison mortuaire ft K h an pour l égllse «le Notre Dame et de Ift au cimetière Mont-Marie

Il laiss». pour déplorer sa perte son épouse, un beau-fils M Alfrrd Bolduc, une belle-fille. Mme Jos Morin, plusieurs neveux et niè«'e.s «Jll-2fsb

PICHETTE. V Lhfii >ital («énérale, to 6 juillet 1927 ft I âge «le 70 ans fi mois, est dé«-édée Marie-Flore I’i«'hett«*

Les funérailles auront lieu samedi ma­tin fl 7 b 25. heure avancée à l’hôpital («énérale et l inhumation se fera au cime­tière St-Charles

Elle était du Tiers-Ordre et Enfant de Atarie de Sf-Roch 7JI--2fgb

Enquête sur l’échouement du “Gaspésia"D* capt Demers «•ommissaire en­

quêteur sur les accidents maritimes a tenu hie* une enquête sur l’échoue- ment d'i ‘‘Gaspésia’’ et on croit que le jugement sera rendu la semaine procha inc.

l^e ’Montcalm", du Pacirtque- C&nadien. parti de Montréal et Québec, le 1er juillet, **st attendu aujourd’hui à Liven*ooI.

L'" Empress of Russia", de la même ligne, parti de Hong Kong le JJ juin, est attendu dimanche prochain h Vancouver.

; L’"Albertic’’, de la ligne White I Star, parti de Montréal et de Qué-

l»oc le J juillet, est attendu diman­che à Liverpool.

Le "Celtic”, «le la mêm«* ligne. Le» principaux tails racontés à parti «le Liverpool le J juillet, est

cette enquête furent que le capital-t attendu lundi prochain à ne «lu navire qui est bien connu Yorkoour un marin expérimenté et ha-! L’'Alaunia’’. de la ligne Cunard. bile. avait été sur le pont! parti de Montréal et de Québec pendant toute la montée «lu navirejle 1er juillet, est attendu dimanche sur le fleuve. Il fut a ppelé pour! à Plymouth.

Mlle Jean Rolland. Mlle N Silver. Mme Elizabeth Plante et Mlle Eve­lyn Stanford, tous d** Montréal; l'hon. H. Phippen. de Toront»*; M et Mme Roderick Pringle «>t Mme Roger Ix*an. «l’Ottawa.

La ligne Cunard vient de tlécider que d’ici le JJ juillet ses navires qui font le servie»* de la Manche n» transporteront pas troisième tourist navires «le la Hgn» son faisant, le service de (ilassg«>w et de Liverpool transporteront «les passag«*rs de troisième touristes d’ici la fin de la saison <i<* navigation.

L’"Andftnia", <1« l«n ligne CunanL est parti <*.e matin «le Montréal et quittera ce port ce soir avec do nom­breux passagers pour Glasgow et Li­verpool. dont 4.‘>() de troismnu* toii-

\YW- r*8t?s Au nombre «les passagers «f») cabine, il y a H-P Brown. M. et , M me D.-M Ballantyne. J.-B. Bal- lantyne. S.-P. Smith. D.S.C., Pi»*rre '

plu têt bleui tr»* l«i. veille «l* la mort d»* Gallop, il n'a pa« v u d'automobile

i venir chez Gallop durant i heurt* du I dln»*r.

En réponse à Maître Ta>ch« t» au.I«* témoin affirm** ou'une automobil» pourrait j»as>**r par l«* chemin «*n am«- r«* du «amp ties (iailpop et «pu* lui- même en avait <iéjà vu pass» r une couple d«* f«us. c’est un eh» nun »olitai- r«*. pa» iM-aucoup fréquenté

\a- d«'rni«»r témoin » Attendu oar la Couronne lu» r. fut Mm» William

iS»iuir» s. demeurant uctu» Hem» nt à ; truction et pour les |[ Toronto, «lui. en It J,*». r»*M«i»il à lsl«* ont déjà été votés.

», .our Malign**. A projMiN »t«* l'aehai d**s ro-........... !>«**. «•»* témoin «lit absolument la

t mêrn« « hos»* qu«* Mme Herlwr- ' McMorran Mm» Gallop lui a dit un jour, ou «il» avait » im»v«' »a |H*tit»* till»* Margin r« t, au bur»au «h* |H»»t«' i*orter un paquet adrets»'* à IVt«*r

j But «au. «\u« «•«‘tait »tu |>oi»on et »ju«* «• «•tan Kon mari qui avait prena- ré le paquet Après la mort de Gallop l'acvus«k* a d*H*laré au témoin que son man «Mail mort bien paisibl«*m»‘nt. j

Mme Squir«*s n’a pas vu venir d’au- s PC U v a detomobile die/. Gallop le midi veille de | b*.nn«*s raisons «le penser que les ehif- sa nmrt En répons»* aux question» frPS ,j„ tonnage des ««roiseurs <»nt été poaées par Nit»* I ascheri'ftu l«* témoin ; d|S(.uj^s avant-hier «lans les appar-

pio|*«.» «i». l ;i« ha' «l«*s rob«'s. (um | t<inH,nt K j,rn,vs de l 'amiral japonais fül]«»p lui a rapporté qu ell»* | Saito. Etant donné le fait que le Re­

pensai’ avoir ach«*ie un rob»* noir** an 1 „r,,| |,, p|ua <v»mplet est encore gardé i.*u d«* la hl«*u-.nanne et «p. elles «Hutt ! ,| , v, ,.no<>r,. lim»**ssible p«*ur le mo

tnunpee. I accusée - « st fait une rob** Tnrnl (io dép-undre la situation avecnom* du matériel qu «'11»« a v ait aclnte. rxaf.t it ude. mais on peut dire toute-

•■’ait garni»* «h* fl«*urs f0j8 quo les Japonais sont «lisp«>séR à mai» «• était I affair»- réduire le plu» possible U* tonnage

quelques mmut.-s pour <»nlovor cet te jdON omiseurs et «le» destroyers. Au- garmtur»* de »*«)ul» ur !.. témoin «lit ; trenmnf dit. il estiment que le but <iu«* vim»* (iall«»p lui aurait dt^claré'| original d** la e«infér«'noe navale ne

uu eue| • axai' r^ourn*‘ 'a rob»« bleu»* i pout être atteint, (^n croît savoir que(*llè ]«• parce que son nmn ne I avait pas ! |os Jaixmais regar<lent aven faveur

aimé»». Le témoin <i»mn«* d* s ♦*xpli«*a- |,,s chiffres proposés par les Etats lions quant «i la situation «1»*» li»*ux «i» j ( uis i*our le bmnag»* des la résidenc»< de Gallop. \im»* (îallop

fait part le courant <!«• l’été

Japon. »*e dernier n* réclamé que 30.000 tonnes de plus \xnir les deux »*la»s«»s que le chiffre projiosé par la délégation américaine.

I<« problèm»* »!**» M>u«marins que i«» .lH|H>n vient d'ajouter à un»* situation «îéjà compliqué»* va paut-ètre «s:»*e kionxior «lu trouble, mais l’amiral Sa! t<> va s'en t«*mr obstinément à se- «Icmandes. vu que le Japon i>«Assè«le à vrai tliro 7K s«» us ma ri ns réprésen tant un tonnage total «le 79,000 tonn«*s. d«*nt douze »*n voie «le «*on*«

juels «les créditsIéjà été votés.

M. Hugh Gibson chef de la délé gation américaine, et NT. W -C Brigeman Premier Lord de l’Ami­rauté britanni»iue. s«» sont «‘onsultés de nou\T*au. hier au soir, à huis clos, dans l’espoir «1»> sauver la «ituatuion "J'**.s|>èr«* ”, a «lé<*!aré M Gilbons, "qu«* nous allons réussir à trouver un compromis”

LE TONNAGE

*hi«*n en avait bu «lans une cMaudmr

alors informe <1«< h

dit,Mme

robe noire et roses.

i .. ......i i.,.,. a part 1»‘ c«>uraut «n* i «>ie qu»n«*n remarque d anormal dans son, son mftri son(aapparcme»*. I lui a dit aussi qu’il avK„ transnuosu.m par Utr.. Tanche- |undj pr<.,.Mint „ r»*au. le témoin maintient ee qu **!1«* adit quand A l’achat d©« I l'avait vu avant cela le mardi après-!n.tour «le la blcu-mar, «*t I acl at «I e- ^ ^ d6 sa mai8on 8ur ^ ltoffe noir»*. L** témoin dit quelle a'- déjà vu Âime Gallop porter un»* rolx* noir» av'ec un slip rougo. Ell<* l’a v u»*

s»*ntait pas hi«*n, cil» ait été malad»*

précédant sa mort Le témoin I a vu Gallop le jour «ie sa mort « t «*11»

be. Gallop avait été malade » t a «lit au témoih «tu’il souffrait «1«* trouble à

nis f*nur ie tonnage «les croiseurs «*t «i«*s destroyers, ft qu’ils se réjoui­ront si ccs deux classes peuvent Atr* réduit «*s davantage.

— ---------- *r I . .. « « r . I l’estomac, il a été B*, sius ,1.. pHssag.Ts d,. IH.rter CH,, roi», l-lum.'ur, fois * ne s- ; bonu<, urt,(, d v ^es. tanuis que les I rapfK*lle pas ttv«ur vu »!«• garnitures î t -pie Anchor-Donald’j v«*r es «*t blanches «lessus. Quant au | témoin a \ u (ïalk

sur l’herbe, une •midi \o mardi

l^a barge Annie-M. Nadeau par­tira ce soir «ie ce port avec un char­gement général pour les ports de la <;ôte Sud. de St e-Anne (les Monts ,usqu’r. Gaspé.

La barge "Marie-Lydia . capt i.-A. Dumont, partira demain midi de ce port avec un chargement gé­néral pour Bersimis. Papinachois et Matane.

Le navire "Gaspé County" par­tira lundi soir de «;e port avec un chargement général pour les ports «V a côte Sud. de Mont Louis jusqu’à (jaspé et la Baie des Chaleurs jus­qu’à Dalhousie.

Le "Manchester Producer" est passé ici cette nuit, pour Manchester Angleterre, avec un chargement gé­néral .

«juelqucs instants ailleurs »*t se fit remplacer j»ar son second officier

I qui possèd»* un certificat comme tel. , Par suite d’une distraction la course du navire ne fut paa changée as­sez vite et lorsque l’ordre fut donné de changer cette course la navire

! s’échoua sur le riva g»*.Ix* choc fut si peu violent que

très peu de oassagers s’en aperçu- ! rent **t lorsqu’on anprit l éehoue- ment il n’y eut aucune excitation, puis les passagers furent embaroués sur un autr»* navire pour revenir à Québec. En aucun temps non plus

'il n y eut de danger pour les pas- ; sagers ou les membres de l’équi­page

I>e "Gaspésia" est actuellement en cale sèche à Lau/.qn où I subit les réparations nécessaires et il repren-

L’"Aquitania". de la même li gne. parti «le Southampton le J juillet, est attendu aujourd'hui à New-York.

I*» "Caronia”. de la même li­gne. parti de Southampton le J

attendu dimanche à

L* "New Northland", «je la Oar- ! «Ira son service mercred' k»* Steamship Co. Ltd., inaugurera le 13 juillet.

prochain,

juilllet, est New-York.

I>* ’’Letitia", de la ligne Anchor- Donaldson. parti de Montréal »*t Québec le 1er juillet, est attendu dimanche h Glasgow

L'”Arabic”. de D Ligne Red Star. * parti «le Southampton le 2 juillet, est

attendu demain à Halifax.I>* "Paris", de h* ligne Française,

parti «lu HAvre le 6 juillet, est at­tendu mardi prochain à New-York.

Le "Roahambeiu", «le li .nAem li­gne. parti, du Hüvre le J juillet, est attendu lundi prochain b New-York.

U Lituania”, de ia ligne Balti­que-Américain0. t>arti de Danzig le

bieholorure «i** mercun* ou** \lmei Gallop lui a dit que son chi»*ii av ait bu. ell«* maintient ee qu’«*l-Nie a dit »‘t ajou qu'ell») a aussi » <ms«*il!é â l'accusée de fair»* bom* â l’animal de la graisse chaude.

Mme Gallop a «lit au témoin »*n certain** occasion qu'elle avait eu soin d»* sa belle-mère «*t qu’elle avait uti­lisé «le la morphine, mais qu’elle avait été obligé»* d'arrêter de lui ♦ n donner parc»* qu'» II** craignait que la dose n<* j fût trop forte. D* témoin ajoute quel

«le Boucherville, .ville V.. Godreau. !eett« qu»*stion de moiphine est venue j Rév . Père Albert Pinoault. Stanley | au «-ours «l'une conversation oû l'on' Wilson, vî Ile E. Wilson. aI. et Mme parlait des malades «t le ténu tin dit Adrien Boileau. Chas.-A. Boileau, vi. loue cette conversation de l'a pas sur­et Mme A.-J.-G. MacDuff, Ni lies Yi.-j ptis«* alors. »*t (pi»* Mme (Jall«)p n»* pa-j A. et C.-M. Kilburn. Jrais.^ait pas plus renseignée qu’elle

i au sujet «les poisons. I>* témoin a vu Parmi les passagers de troisième | Gallop plu.*é» iirs foi» avant sa mort et |

il

allopla v cille »l«* »amort. iN la porte de sa maison, le té-j moin lui a alors demandé comment il se s«*ntait «*t Gallop a tépondu qu il s»* sentait bien. A cette partie «le l’enquête la cour s’ajourne à demain ù dix heures. La couronne a **ncore un bon nombre «I»* témoins a faire »»nt**n- dr»*. entr»* autres Walter Simpson et Ford McNeil, qui tous d«*ux étaient jiensionnaires de ai mo Gallop lors d«* j ward la mort de son mari, ta» public porte toujours un»* attention très suivie \ ce procès, ce qui met dans Rohcrval une très grande activité. Tous les hôtels «•! maisons «le pension sont remplis d’étrangers «pu viennent assis­ter à ce procès.

VA-T-ON S’ENTENDRE?

Wasuington. s (pc.ï On ernit. ferm*»ment. au secrétariat d’Etat, que le problème des croiseurs à la corféren»*»* navale «le Genève va être réglé ; la satisfaction des trois puis­sants qui v participent

Non seul<*mert !<*s délégués à (ie nève travaillent dans <*e but, niais les capitales des tr«>is puissances s'en mêlent aussi L'amdassadcur Howard, de la Grande Bretagne, et l’ambassadeur japonais, le maron Matsudsira. s«* sont rendus à tour «le rôle nu bur*‘au de sei*rétairo Kel­logg. hier Le secrétariat n'a pas voulu jeter In moindre lumière sur le sens de la visit»' »l«* Sir Esme Ho-

ON VEUT DEBLAYER

touristes, il y a un certain nombre j il n* s’est pas plaint mais, ajoute-t-elle, qui. sous les auspices de la Pit man 1 nous savions qu’il n'était pas bien. Tours. Ltd. se rendent visiter les ! uous lui avons «leinandéalors comment principaux centres musicaux en Eu-'était sa santé, ta* témoin mainti*nt rope, à l'occasion du centenaire de que Mme (îallop lui a déjà dit que sa Beethoven. Ils sont sous la conduite belle-mère était morte d'une maladie de George-M. Brewer, organiste hide cœur.

SERVICE DES SIGNAUX

VENTE A REDUCTION DE JUILLET

l’église du Messie, à Montréal et «i»* ! Berkley E. Chadwick, directeur «lu I chœur de chant Elgar, de Montréal. 1 Ces excursionnistes et musiciens vi-i beffroi, contenant plus de 40 cloche.-»; ' Bonn, sur le Rhin, le lieu de nais-, sance de Beethoven ; Bayrouth. en i Bavière, «jù ont lieu les famuex fes-| Jiy^ls Wagner et auxquels les excur-1 sionniestes pourront assister au théâ­tre Wagner; Vienne, ou Beethoven vécut et travailla et Salzburg, riche j en associations avec les vues «te i Haydn. Mozart et Beethoven

11 y a aussi d'autres groupes, dont un organisé par Hoseason

10 h. 30

ta* témoin suivant «le la «*ouronn»*j «*st Cari Shurmann. demeurant à Isle Maligne, en B Jô. il connut les Gallop intimement. L’homme dit-il était d»» forte <*«mstit ition. Le témoin l'a v u le 5 août la veille de sa mort, il i est revenu <l«* l’ouvrage avec lui. à six heures P. M.. et il lui paraissait i aussi bien qu’il lavait toujours connu.Il n'a rien remarqué d»* particulier. 11 l'avait vu aussi le midi. Gallop! était un d°8 meilleurs de l'équip»* ta* midi. •”> août. Gallop lui a dit qu’il i

rapport msrltim»QuéiMw*. !»* s juillet 192;

Genève. S. (P. C ta* «b'ailloek a«*tuel à Genève est manpié par tuun- br«» d«» réunions sans «•aractère ofli«*u l «lans lesquell«*s les délégués et expert - <1«'S trots puissances en présenee «*her- «•hent h déblayer U» terrain M Gib son. qui est à la tête d»* la délégation améri«*aine. «*t M. Bridgeman. jiremifi lord de l'amirauté anglaise, «ontinuen leurs entretiens privés. M. (îibs«*n.t avant sa d«rni»Nr«‘ conversation ave«* le chef de la délégation anglais»', se

I montrait optimiste. "Nouscherchons 1 honnêtement l’un «*t l'autre à saisir U*i |M>mi de vue «le notre interlocuteur

•o LA RUPTURE SERA-T-ELLE EVITEE

‘n’allait pas dîner à la maison, il avait | de Toron-1 quelques citrons. s«* ferait de la limo-1

nade, et prendrait cela vec des biscuits , ta* témoin est allé diner, et ,

à une heure moinsne, conduit aUs«i un groupe de vovh-I ** ,r,inu,os.' 0*,loP «*'• « ''«“"f; 'les nrincinô.. v ’ Pa,^a,ttment sobre. (îallop ne buvait

; un autre sous les auspices du , » ,•N. R. et conduit par Mme Atkins. I;i UfHnVF. Hone, de la maison Jules Ho-| fT

minutes. (jailop

lle-aui-Gr ur», 31. .lontanilunifrr D»*s«'endant 12 20 a'tn R«* )

««•mount I 30 am ’Janclieiiter Pro­ducer' Hier fi 50 p rn ‘ (.abor 7.30}p ir \ritz Jeudi 9 15 p.ni Maple- Paris. > iSpécialei. Pertinax,ton 11.45 pin MetaRania collaborât «uir n l'Echo de Paris, ditCap-aux-Saumons, 12. Mruine èpaiss**. . , , • •. . , ,nord est .Vfontant 1 30 a m V apeur qu«* d»*8 prodiges d ingéniosité «le laDencendant h'er <» p m Ke>»«*st part «les délégués anglais et amén-fi 10 p m W -Il Daniels fi 15 p ni^ ,.a)ns ù Genève peuvent encore »vn'-

P te -Nelre.—Deacend a n t hier 2 p.m a' pécher une rupture des pourpar- Tremblay lers. Cependant, continue-!-il. si

Tadoussac. n s Dmid arrivé hier jout perdu, nous pourrons nousPte-Au-Père, 1§I. Pluie fort *'Hi In consoler «le l éch»M* de nos amÎH à la

6 a ni Umus Iliei M55 pin . p«*nsé<* que nous leur avons donne(»onn 9 40 n m Jv«*vvive 9 10 leçon de modestie. A l'avenir

f’.ïï. on.ùn;'”!*0'.! .î m"' " JiiSM Washington > pensera peu.^tr» ,

7 m p rn Lord Strath«*«*na Ce matin ! deux f«»is avant de se précipiter san-, 5 am. L -W Rohlnson fi 40 a m. J préparation dans ces sortes de p«»ur-

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ses «‘«ni Turgeon. E I Trmlel. A.

I>e<; funérailles «le M J«»s. Tur-j ge«»n. décédé à l’Age de S0 ans. ont! eu lieu. le J3 juin, en l’église de Jac­ques-Cartier.

M l’abbé Dupuis a fait la levée du «*orps et chanté le serv ice; il • était assisté «le MM les abbrs| Bloau «*t J. Héoult ta* «leuil était! efuiluit par l«»s fils «lu «léfunt : MM I R» n. et Alex. Turgtsm. ses gendr» s, !

p M M L. N « m * I «-t Paul Le chasseur,1 de Montréal. s< s p«*tits-fils Jean-j Paul. Laun nt. (i«<»rg«s. Ibrri Tur-I fitsm; ses iiev«*iix, S Guay. R. Guav | R. Turg«‘«*n, (i«'«*rg'*s-H» cri Turg« on. i Francis Côté, J Cottand sins, l'hon Turg»«ui. K Breton.

La chorah» de la panusse a chan­té la mess»* «1** requiem. ta*s solis­tes furent M l«» notaire Heard. M liétoumeaii «*i M J.-A. Fra««»*tt»* ; celui-ei a chanté In n^aru- tuas. Domine”. M Sou lard louchait. I’«*r-

• r •On r«*mar«|uait «lans l’assistance

MM D. Blais. Jos Bout *»t. se«*ré- tair** «h* I l ni«>n Libéral»* taiuri«*r.F Arcand, S IV l^icroix. Sr. P Brunet, le Dr A ta»«'r«'ix. R Be- dar«T. Art Lacroix. O* iloti Lacroix Guy ta'chass*nr. A Montr»»uil. A. R*»iisc#:iu. J.-B Boutet. Ch. Mi- eh.ainL J«*s Ham«'L (V Fillion. K Cloutier. L’ \’n«i» ft i. .1 Drouin. A Minui. C. Tti'\. K Montmigny,F ta ssanl, Il \ é/.ina. Jean l)r.»l* t

lAchanc» , |; Savnrd. V R«*bi- • taille, Maurice Turgeon. -I A \s «î«*au. Jos (Murk. Emil** 'rrudel, A liftchniie»*. .1 N«»el. A Paquet. C

,r«»té. Elzéar ta*mieii\, (’ Sutivagi'au,1 ta>uis Nolet. M Têtu. »*t«*

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Le service des goélettes

l*es goilettes suivantes partiront aujourd’hui : "Cap aux Rets”, capt \. Mailloux, pour la Bai«*-St-Paul. "Tadoussac”. capt. Ph. Boulianne. pour Sault-au-Mouton. »*t Mille Vaches ; "J. Bouillon’’. capt. Jos. Boui l.m. pour ta» Bic. Rimouski et Luoeville ; "Lel”. capt N. Blan-

i diet te. pour le (’ap-St-Ignace ; "G.1 Gagnon”, capt Geo. Gagnon. p«»ur la Malbaie ; “Don de Dieu", capt.

1 L. Leclerc, pour Kamouraska. St- j André. St-Pascal »»t St-Denis ; A j \. FL” capt. T Harve« .pour la Baie- ■ St-Paul ; "St-Michel ’. cant M. De- ! gagné, polir l’Ile aux Coud res “Charlevoix”, capt Jos. Gagnon pour la Rivière du-I»up et la Mal-

l baie ; "Dori’dft”. capt Alb. Bou-

absolumcnt pas.Ijt matin d** la mort de Gallop,

h* témoin est allé chez lui. sa femme l'accompagnait »*t il a vu dans la mai­son. le pensionnaire McNeil, (îallop avait alors r«ndu h* dernier soupir

a figure laissait voir une couleur

'p«.ur «les chambres «à louer, j ta» Dr Arthur Vallée, l’un de ceux *oui s’epposent au projet. »*nvisagea la j>*»siti«>n tout «*4>mm«* l’avait fail

! le Dr Paquet et il ajouta: “un autre j <»mp«*dieniPïit à l’entreprise, o’est ce­lui «lu public «jue ces garag**s en-i

i train«»nt.S'arrêtart égal«*m«*r.t au point de j

j v ue purement esthétique, il termina; |en disant 11 semble qu'il y a1bien assez «l'avoir laissé gâcher le

i ron«l de chêne et son voisinage sansi* _^ll_ rr, , . . aller, aujourd'hui, sacrifier le seul)l lianne. pour I aqoussae et l«*s Berge- , , . , , , ■ _ , i.„- . •<___ » 'endroit convenable qui reste, dans.ronnes ; St-Paul . capt. ( v r. Le-. .. . . « rv - , i .i, vesque. pour l’Ile-Vertf ft Iok Her- c,'1'p l;nr,,P- ,P ,>arP d.P 1 hA’P' ,ip 1

j geronnes ; -('ap Saumon ", rapt. .1. * ',Up SPS prv,ror’ Au rP* iSavard. pour St-Siméon ; “Clara .1" capt Chs Bernier, pour Méchins et Bersimis ; "Lina Gagné",capt. J.-B

j««*??• f°ur. «'«pA'hai. Sto-Anne-, Tl..,vn„v ,,llhlln nln sl^ra U| Ides-Monts et Mont-l/ouis: “O.-L ! Mont St-A.". capt Oct l^angloi pour Ste-Anne-des-Monts.

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Xi«?ntdar** . ISO nord Descendant hier fi 50 p ni I) B Hanna

Chandler. halfond arrive le fi .»h m . parti le fi au midi en route pour Bridge-Water. N -S

Maternel». Montant hier l pm Na- varit"

Pte-dea-Montt. DMcendant hier 1130 am " North Shore

Bale-Ctlle.. Fleurus arrivé hier. 1130 a m . "Sable T . au quai hier. 7 a m

Nord-Sydney. N. S. Hier, 5 p m . Rai four" pansant St-Pierre-Miquelon Mon­tant hier 4 45 p m Modi* . 25 est Ce matin 7 a m Calgorolite 20 s -o de Canso

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la Martre nt Mont-ta>uis | La goélette “J. E T , Truchon. partira demain St-FidèleLa marée

I La mar«»o haute aujourd’hui * 1 heure 05 a.m. et à I heur»' 36 p.m

| cet te partie, le pare i v ille et ses ervirons, au res’e. ce i qui nous est proposé est une entre­prise purement privée et pas autre chose."

^ . ' 1 n peu plus tard, le comité des. te-Anne-j rpmvaux j^j^üc qui siégera sous la

! présider»*»» «le l’échevin Coulombe, en I ... . l'absence de l'échevin Bouchard. |ntvi re I donnait le coup de grftce au projet j

du garage, en refusant carrément le | pern* is de construire que deman «laient MM. Tanguay et Welch.

LA RECEPTIONSAUX

Lonyue-Pointe, 134. Nuit«eux. nord- «)U*»*«t Montant 1 10 a m “('airntorr 3 30 a ni Jame»« B Foote , 4 15 a m

i “Jiulfffl Henefick . fi 10 a m "City «»f Windsor1 \ 5 45 a m "(’omino fi 55 a m "Canadian Fisher S 15 a m "(Jueber h a in. St. Lawrence"

Sorel. 100. Nuageux, nord Descendant ‘ 9 10 a in Manchester Spinner

Trele-Rlvléret. 45. Nuageux, nord Mon tant fi. 20 fin " Keybar . Ryburn ar rivé 9 a m. "Jamaica" arrivé descendan 7 amPeinte Cltreullle. §5. IMuic -»ud-«»ueet Vantant 7.45 am ' l’ariflr

Quebec. Nuacmix. oord-oueat Biche- lieu nrrivé doacendant 5 30 am Ar­lington 315 a m 'Saguenay : 05 am Marco Polo * 10 am Richelieu' parti 7 05 am Talaralue pâmé 45 am sratwell" arrivé montant 12 30 a rn Metagama passé descendant hier 9 15 p rn " Man«*heeter producer 10 30 pm Montnairn ' arrivé hier montant 10 30 p m "Wahana" 1100 pm Canadian Raider 11 30 pm

A ftmifla 5 30 pm "Regina

parlors, et ta»ndr»ts ne s«*ra peut.-êtro j»as si prompt » lev er les bras d'hor- r«*ur quand le gouvernement franqais «lira "Pour nous la sécurité de la France importe avant tout."

AVISRè Succession MAIIIE-LAUNE PEL-

LETIEB. décedee è Quebec le 30 juin dernier.

(Toute personne ayant d*« réclamations «'entre cette succession est pride «le les faire parvenir aux notaire-* soussigné* et

toute personne endetté-» envers la dite succession «*st priée «to payer aux notaires soussignés de ce Jour au 12 Juillet prochain DELACE, DELACE • DELACE.

S4 rue du Pent, notairesTél: 2-2131, Quebec

fi-7-éjuH

SOUMISSIONS DEMANDEES

IL FAUT QUE«Suite dr Ih page 3*

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APALACHES

Par un vote de 3 contre 2, le j comité «les Finances a voté un o«»tr«u I de $300. au comité qui a été orga- 1 nisé pour prépar»*r la réception;

; aux membres de (’Appalachian See-, pour contrecarrer les dires d»*> adv«»r-jric llighwav Association, (jui nous s'ircs du garage. Ils étaient accorn-J v isiteront nu mois de septembre. «

I j jagnés d un avocat qui réj»»»ndit aux i après que le maire, pour réptu.^re , i object ions posées, faisant rt'marquer j aux objections que faisait l'échevin ; que la rue Ste-Annc avait i»»*rd’i son | Drolet, eut déclaré que la ville ue j

j caractère de rue résidentudle. du fait «levai* pas hésit»*r. même s'il lui fnl- qu il v avait dt^jà. un luMcl et «les liait faire de« «acrifices. pour nncou-;

| chambres à louer”, caraetère «pi Vlie rager le tourisme, où si l'on aime i i j»»rdit aussi, lorsqu’on y établit ' un»* ! mieux. I«* c»»urant v«»rs Québ«»c. cou-i j industrie comme celle d»* 1 Action rant qui n aura d’autre but. l'expe- SociaU . :• j«« ita le proi in up d< pp* • r ■ e lu pi I.« pro .• é, aue cmuî 1 moteurs, qui ««xpliqua. ons.iiu? que si , ri'irteresscr les capitalistes étrangers

(nos rues sont congestionnées, «•'était à notre développement industriel, bien regrettable, mais que cela était! L'on veut des touristes, nous

l du surtout au fait qu ellt's sont peut - | sommes contents «le les recev ou i être un j»eu étroit» s i ne nous arr»‘*tors pas là. ("est deI r^«'v«.ns nous pr«'n«ir»' «les raison^ | l'argimt qui nous vi«*nt. ces’ «le d intérêt particulier pour arr»‘tter| i'irdusin»» . conclut le maire

i le progrès? Demanda l'avttcat «lest |^> comité de ré«*eption. dans une promoteurs aux membres «lu c<»mit«* ! lettn*. »i»»!namiait un octroi «le $.s0()

{qui «conclut: Si ncus évoluons, il’et l'échevin M«»ody. qui fait partie dej faut bien s y ««mmettre. Devant »*e comité comme représentant de la

l importan«v* qu«» pretul l«* t»»iirisnie. | \ illr*. abonda dans U*s remarques du chaque anné»* dari' njitr»' vill»*. il est .maire, cependant qu»* l'éclievin Trem-

« reconnu qu il n y a pas ass» / «1» «'es « blav faisa;* remarquer. t»mchant la ’garages A prés nt. «>st nue, s»«uvent.ques* ion dos touristes Si ôn pre-| les touristes .*» nt «vbli^és «le parqu» r j nai* -*r> montant plut«M ja»ur arranger

n«.s r i»»s afin qu’ils ne sr cassent j»as le

arriva hier fi 30 p m

descen«lani 40 p m

OENNIENI HEURE

ll•-aul-Crust, SI. Moiit.in' 9 0 l.ingan" f)e*cemlant 8 50 am

li«*rgpnColntt-au Cér». 15*. Mentant s t

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Des noumissinns «*arhetee>» seront remues d Ici au 15 juillet 11*27 par les soussigué, pour la «construction d un système d a«m> duc dans les limite’» du village de St-Mi «•hel-des-Salnts. «-otntfi «le B*irthier. d'a prCs les plans prépares par C -(’amill© Les­sard. ingénieur ri vil d«* Québec. leerjuels plans sont déposés ;«u hur«vftti du secré »aire «le la municipalité de 8t-\flchel-des

I Saints, et au bureau «les soussignés. 107 céte do la Montagne. Québec La CU D'ENTREPRISES PUBLIQUES

n-9juil llmlfaa

DANS LA COUR DE MAGISTRAT

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I* tira aul»»s dans les rue-M (térard Tcnguj» . à une ques.

(ion qui lui fut p« <ée par le prési­dent du <v»nnté, dé<'l»»rf' que l’édifi«»e que r»»n veut «onstruir». aura trois é âge-, que I. ha sorv irAit «b garag**« plu4 tard, lo haut <« rv utili-c

«ou en arrivant ici. ce serait peut-être plus sage

Les «•chevins Godbout et Moody v«v- t*‘ren1 av«*«* le main* pour un <»cfr»>i de SiîOO. c«»prndant que les éehevin* Dn*- le’ et D.nan votaient c«*ntr«*.

Frévléricton. N.-B . ♦’> juillet. D’a­près le rapport du département de l’agriculture, la réc»>lt«* a Ivonne mine «lans toute la province du Nouveau- Brunswick. l^es semences ont été retardées par le mauvais temps, mais Unit pausse bien. Ix*s conditions sont favorables aux patates et autres végé­taux. au foin, au grain et aux autres récoltes en g»<néral. Les vergers pro­mettent un bon rendement. à IVxoep- tion toutefois de la pomme Mclnfosl».

L’ANGLETERRESuite de la page 1

mer. t la part du Japon|>»s Ktats-l nis a.'ar,! en premi»r

lieu reromtnardé un minimum de tôtt.OnO tonnes er croiseurs e» de IJO.OOO tomes eu destnvvers |*our le

1 que l**s biens m«*ubie.s » t I du défendeur satsj» «m» cette cause en \crtu d'un bref «le Hcri-Fncla>. seront xemius en vertu du mémo bref 1«* dlv- liultléme Jour «le juillet prc*chaln ft «Jl\

i heures de l'avant-midi Iwuru avancé»* ,iti «lomicllc et place d affaires «te la d«* fenderes'e. situé au No <* Ile \ oit-W. en l.t «ité de (ju**iw*o Les«iits biens meubles

et effets mobiliers c«»nststant en mi pho n«»grsphe «to la marque P -T Legar * 20 disques, un «et de salon, etc î.»> t tu* -»'ra ven«iu suivant la loi Quebec a lull let 1927

i. SENECHAL,H. C. S.

SOUMISSIONSProvince de QuébecMuntcipnlit» «ie Notic-name des-Lauren

tilles . . .g \4« public est par le prés, nt donn«> que

l< fonseil municipal de cette municipalité rrcerra Jusqu à fi heures apr«vn-inidi. lUD«1t to i Se jour de Juillet 1927 au bumau du srrn'taire trée««rier soussigné. <!»*•> soumis

• «ions pour 1e grattage et le peinturage «lu I pont ne.sae situé sur la rivière *»t-( harlcs

darts ia«ilt*' municipalité «Je Notre Dame- i des-1jiurentide« T es devis de l'es travaux

-«•nt dé i osés au mtreau du consrit tnuni- ru^l I» N otre-Pame-des-i-aurentldes et

I -ont visibles en tout temps Justin au lundi ' is Milllet prochainJ ALEX BEDARD. ^ _

sscritairs-trèaerier• « M Votre P*me-dee-î*auraotidea

4-9-1 I Jiiii.

24-*

LE SOLEIL QUEBEC. VENDREDI 8 JUILLET 1927

LE DEPART AURA LIEU

DEMAIN A 2 b.Plu# de 2C0 de no# com­

patriote# vont faire le voyage de TUniversité de Montréal dan# I’Ouest Ver# les Ro­cheuses et la Côte du Pacifique Douze wa­gons de luxe.

BRILLANTES PERSPECTIVES

DES NOTRESUne entrevue avec

M. C.-A. Lapierre, député fédéral de Nipissing M. T. Legault, M.P.P.

ILS SONT PARTIS A

7 HEURESLÉ RESULTAT DES

EXAMENS AU BARREAU

Chamberlin et Levine, accon\pagné# de Drou- hin quittent Pari# pour se rendre à Londres, à bord du 4'Columbia”

Drouhin fera Ten - volée Paris—New-York

LA LISTE DESVOYAGEURS

LEVINE PASSAGER

Moatré&l, s -Demain à J p

convoi special

(Spécial au‘ Soleil" nv. heure solaire, le <ie rt niversité <ie

Montréal partira <le la i;aro Windsor pour entreprendro sa grande tournée tranacontinentale II emportera vers l'immensité de l’Ouest pr« s de JOt) de nos compatriotes, recrutés parmi l'é­lite de la imputation canadionne-fmn- çaise. <’(' sera !e commencement d 'un voyage ^le trois semaine» qui réserve t> ceux qui v prennent part, des heures d'une existence pleine de charme et d'intérêt d<»nt ils garderont sûrement le meilleur sou v enir.

Le voyage «le l'I’mverM’é «le M ont- réal remporte, cette année un succès qui cour«»nne «lignement les efforts de ses organisateurs qui. depuis fr«>is ans. n’«>nt rien épargné pour inciter les < *ana«liens «le langue franvaise à visi­ter d abord les merveilles «le leur pro­pre pa.v > avant «l’aller à l’étmager. i.a propagande du Pacifique-Canadien en ce sens ne s’est jamais relAchée. et tl est intéressant de constater aujnurd.- hui Ses efforts chez, les nétres.

Le tram qui s’ébranlera demain «près-midi. s« dirigeant vers les prai- riey. les Rocheuses et la < ’été du Paci- fioue. est placé sous la «liredtion de M. K do nard Mont périt, pour l'Cni- versité «le Nlontréal, *•! «le V C.-A Lange vin, pour le Pacifique-Canadien. Tl se compose d’une douzaine «le wa­gons de luxe «lans lesquels les v oya­geurs trou'em nt tout le confort possi­ble. Ses principaux points d’arrêt, dans s;i rondonnée «le plus de tiDf)0 «mil»"-, seront ()ttavva . ( ’liaplmu. W in- pipeg. Pégina. ('algar> ■ Banff Win­dermere. Kootenay. landing. Nel­son. Penticton. Nancouvor. Revelsto

Par Irenee MatsonParmi le gr«»upe important «le

FraiuH>-Ontariens qui a visité notre ville, hier, nous avons rencontré «leux représentant s de l’éleotorat de «dte région du nord de l’Ontarn», M ‘K -A l.apierre. député fédéral de ! Paris, .s, P. ( Nipissing et \] T Legault. «léputé (^hainl>erlin. (’hurle de Sturgimu-FalU h la législature I Maurn^ On uhin

M Lapierre m- «I !nre enehanté de | pour londres sur dans notre ville, et dans notre

l>» résulta* des examens écrits pour l adinissiun à la pratique du droit, a été connu à minuit.et un quart hier .soir.

Dans le couloir de la bibliothèque, les candidats faisaient les cent pas

l^age. à ses connaitaanee* légales i J *int une expérience lowabb- dans le 1 domaine musical.

M. Pierre de Roquefort Dé«-arv,qui | h l'instar de N! ( ‘annon n'a que ‘J1 ans. c*t le fils de M. A.-R. Décary, l.C . m-

TRAGEDIE DE LA RUE

HIER SOIR

NUNGESSER EST-IL AU LABRADOR?Un nouvsa-i message à Tho/iorable M. L.-A. Tas­

chereau, premier mi listre de la province, ap­prend qu’une personne a vu l’aéroplane des “a#” français au-dessus de l’Anse aux Fleurs . En route vers la Baie du Temple

attendant avec, une imo&iiencc facile gémeur • n chef du département fédé- h imaginer, la déci^on des eorrecteuis r«il (tes Trav aux Publics pour Ja pro-j qui avau ut Lb cahiers à corriger. vincc de Québec, et president général

Quand *>n annonça que 44 avaient de l'Institut des Ingénieurs du Canada j réussi. «•*• fut avec une explosion de Jeune homme piem de talent il saura , joie que cette nouvelle fut aeceuillie, réussir on peu de temps au Barreau! et !«•' nouveaux élus durent certainr- s'il suit l'exemple de son père, qui ment .>*> sentir soulagés d'un grand est un membre distingué du (îénie

| I>oj«is. et passer une de* plus agréables civil, ou d a conquis des premières1 nuits «le leur «‘arrière d'étudiant». places

Exactement un tiers des candidats. M. Noel Dorion jouit d'une grande jont été "bloauéa". | popularité à Québec. Fils de M.

Ce matin à neuf heure» eut lieu. Charlea-Fraoçoia-Xavier Dorion, de l'examen oval qui n'est en aomme qu’-! Charlesb<jurg. il aussi le frère de un** pure formalité. | deux membres dittmguéa du Barreau:

Ia‘ barreau de la Province d»* Qué- M. C.-N Dorion. C.R.. membre du l>« - «ompt*- maintenant 44 avfK*ats de' conseil du Barreau et maire de Cour-

s,i visite dalla not n* v il le. et dans notre j à 12 h. .12 aujourd'hui Drcuhin » ■'' i plus, oui. nous l'espérons, lui feront ville, et M. Frédéric Dorion Al.pr«»vin«*o. 1 un des meilleurs aviateurs d«* '’‘’m- ,.ur f),. nombre, il y en a 12 N oël Dorion pratiquera à Québec,

b* n** viens pas ni conime étran- merce en Franco II projette depuis!^ guéhec .1 de Trois-Rivières et ' en société avec s*-s deux frères. Megei dit-il. «-ar je suis «Je Montréal j longtemps l’envolée Paris-New-\< rk. [ j« ,1^ Montréal. Me Antonio Per-1 Dorion a pris part avec succès à plu-.. i j ai représenté, pendsnt pluateuralet on annonça il y a que loue* jours | reault de Montréal, était le préKdent aieura eampegnee politiquee, oet der- Hiiuées la maison Greeahield. D’ail- j que tout était prêt pour le départ , jj,, Jurv | nières années, et sa facilité de |>arole

.Une vieille personne. Mlle Rose Vézine, est tuée par un taxi, au plus fort de l’orage, près de la Basilique Elle voulut traverser la rue

LES CIRCONSTANCESClarence

lan ine et Mau- •** vont envolés le "Columbia”

loirs, au parlement d'Ottawa, j** siège* Il est né à Paris en 1^91 entre M M. Parent et Lavigueur et je I consécutives il détint le rec

Trois fois >rd d’en-

ke. Field Lac Louise. Kdrronton.Sas-1 rai katoon. Fort-William. Port vlcN'icoll

l'ierrt

me «toik toujours êtr»» de la provm«*e «le Québec

"Quelles s«>nt les perspectives ♦lans le Nord-Ontario ’’’ '

"Très hrillantf*s Nous sommes encore «lans l’enfance de notre in- dustrie du nickel Nous avons ici

du nickel au monde et nous commençons seulement A exploiter ces mines.

‘Nos compatriotes tarv aillent- ils dan* ces mines

Pas en très grand nombre. Les ( né très s’emparent «lu sol et c’est ce qui assurera notre survivance dans le Nord-Ontario-—”

\l. Lapierre est amené ensuite à rappeler quelques souvenirs poli-

| tiques. Il se présenta en 1917 dans le comté de Nipissing. comme can-

! didat. contre l'honorable T. Co­chran* alors ministre des chemins de

: fer. Il remporta la majorité dans le comté mais les conservateurs utili­sèrent alors le vote «les soldats pour «•onserver ce comté.

Kn 1921. M. Lapierre fut élu par une bonne majorité et depuis «*ette époque représente ces compatriotes

I à Ottawa.M T Legault a été élu. comme

candidat libéral, à la dernière élec- t ion provinciale dans le comté de

' > t irgeor-Falls qui e- t une cies di- \isi«*ns e «« t< n les < u f« n 1 ftMé-

d*‘ N i j issirg.

durant» dans l’air, mois derniers «4u«‘

■s Quebiue .">()() milles ouverts en auto prr les

et Toronto. Le voyage comporte russi dos excursions en bateau entre Vancouver et \ictc>ria. sur b» Inc Kootenay- sur les Grands Lacs, sur le lac «les Bols et sur le Iq»* Ontorio. «-n tout 897 mill seront aussi <* vovageurs.

h’excursion «le l'I *niversité«1e Mont­réal a suscité beaucoup d’intérêt dans les centres «le l’Ouest e» s,*n membres seront, partout où ils .'.'arrêteront, l'objet de sympathiques réceptions de la part «les populations «les deux lan­gues. Ils apporteront là-lm.' la parole «le bonne entente et contribueront h fortifier encore les liens «nii doivent unir les Cana«liens «les «leux parties du Dominion. Le tram «le I I niversité de Montréal sera de retour dans la métropole b* 30 juillet.

Voici maintenant la liste «les j)er- snnnes qui font cette magnifique ex­cursion.LISTE DES KXCI RslONMSTKs

Archambault. Mlle (iabrielle. Ar­chambault. Aille Mimi. 7J3aveStuart. Outremont. Qué., A union t. Mme R . Aumont. Mlle Jeanne. 56 avenue El m wood. Outremont. Qué

Razinet, M Fabbé J.-B.. Ste-Aga- the. Qué.. Reaudin. M. Ls-Philippe; Reaudin. Mme L»-Philippe 3902. Parc l^afontaine. Montréal. Qué.. Ré- noist. M. E.."Le Devoir ’. .NΫ>ntréal; Rerthiaume. M Arthur. Berthiaume. Mme Arthur.: rthiaume. Mlle Marie; Rerthiaume. M André. 97 cheminSte-( ’at herine. < Mitremont, Qué ; Rcul-!ac. M. Roger. SOÔ rue Université.Montréal. Qué.; Blagdon. Mlle Co­rinne. 22 ouest, rue Sherbrooke. Mont­réal. Qué ; Boisclair. Al. P.-A., I>-f’anada’ . Montréal. Bonnier. AL le docteur R.. 2425 rue Adam M«»ntréal.Qué.. Boucher. M. E. "Le Droit”,Ottawa. Ont.. Roudrias. M .L-Y . Rou- drias. Mm»* J.-\ . Rendrais. Milo Lu­cille. Roudrias, M. René. Roudrias.M. Gérard. 1291 rue St-Hubert.Montréal. Qué.. Prunelle. M Emile.74 rue St-Laurent. Longueuil. Qué .Bmnelle. AI. P.-A . Rrunello, Mme P.- . ,A. Ste-Hénédine. Qué : (’ais.se I ^ PM. J.-Horace. 3WJ2 Parc U-i fontaine. Montréal. Qué.. Cardinal.!Nflle Juliette. Hotel Windsor. Mont-) réal. Qué.. Cart ier. Mlle Hortense. j Cannes. Franee. Cartier. M. J.-X. i

I^i Presse”. Montréal. Castonguay.M. A . St-Jérôme. Qué.. Champoux ;'V! John. Champoux. Mme John. 5^ j avenue Rourlamaque. Québec. Qué. <Charton. Mme L . 340ouest. rueSher- brooke, Alontréal. Qéu . Chevalier. M..1.-Hector. Sf-l/on. Qué Chipman Mme J -D U ave Roacdale. Toronto.Ont.. Choquette. Mlle Marie-Anne.22 ouest, rue Sherbrooke. Montréal.Qué.. Cloutier. M. Raoul. 706 avenue Champagrieur. Outre emont, Qué.

Dagcnais. Mlle Eva. 4655 ave du Pan-. Montréal. Qué.. D’Anjou. M l'abbé Flav iu>. Rimouski.Qué.. David .Honrabl* I..-A David. Mme L.-A.David. Mlle Simone. David. M. Nan- tel. 140 rue Crescent. Montréal. Qué.Décarie. M. Etienne. 31 avenu#* Sou­venir Montréal. Qué.. Denys. M J.R. 3812 Par»* I^afontaine. Montréal, t^ué . DeRousselle. M Alexis. De-J St-Jacqu Rfjusselh Mme Alexis. 6.34S rue Poin- N*-Jacques. «■aré. Montréal. Qué.. «je st-\ ict«>r. M . j Sherbrooke

Québec. QuéLa march**. Aille Yvette. 3447 rue

I St-Hubert. Montréal. Qué La.Motho, v.lle Adèle. La v Lot he . .ville Gertrude.

125ô avenue Hloomfield. Outremont.: Qué . Langelier. \l le Docteur Eugê- j ne-IL. Langelier. Mme Eugène-ll. i .">4 rue I ine. Lewiston, .vie., Langevin,

M. C.-A.. 142 me F>as**r, Québec, tju* . LaRue. ai. Jacques. 106. Gran-

, de Allée. Québec. Qué.. Lavenlure. \i. M.-L. Lavordure. Aime vi.-.L.125 rue H«)tel-de-Ville. Hull, Qué. Lav«>ic. ,|. Fabbé C.-A.. Rimouski. Qué.. I^ifebvre. Mlle E.iane. 920 est rue Sherbrooke. Alontréal. Qué.. Léga-' ré. Aime Joseph. l7l6,cAte des Neiges. Montréal. Qué., Viajor. Al. Hervé. “La l'resse".Alontréal, .viarchand, M .Char-

, les,">172. rue St-Denis. Montréal,Que.. Marcil. V». André. 70tt ouest, rue Sh« rhr«M>k**. Alontréal, Qué.. Marcoux

• Mme J.-L . Marcoux Mlle Cécile. 430ô. rue St-Hul>ert. Alontréal, Qué..

: Martineau. Ai . Georges, .Martineau 1 Aime Georges, 2233. rue Hutchison' Montré*!, Qué» Mavrand. Aille xiari*- 119. chemin Ste-('at herine. Outre- mont.Qué.. Mercier. Aille Alphonsine. 153 m*' Cherrier, Montréal, Qué.» Aiillen. Aime Georges, Millen. Mlle Aï«ia. 321 est, boulevard Gouin, Alontréal. Qué.. Montpetit, M Edou­ard. Mont pet il. Aime Edouard.-3447 rue St-Hubert Alontréal, Qué.. Moody Al. AL.-A.. Moody. Mme M.-A. 243

i rue St-Cyrille. Québec. Que., Moreau. M. W -A.. 794-est. nie Sherbrooke. Alontréal, Qué.. Morin. Al. Fabbé J.-D. Causapscal. Qué., Aiount, Aille Marie 416 est. me Dorchester. Montréal, Qué.

Kantel. Mme G.-A.. 30 ave Mar­ceau. Paris France, Xolin. M. Jean T^a Patrie". Montréal.

O’Sullivan. Mlle Béatrix, .A ave i Ingleside, Westmount, Qué.

Paradis. M J.-H . Paradis. Aime J.- ! R.. Paradis, M. Roger. 1450rue Beau-

«Iry. Montréal. Qué.. Parent. Mlle Si­monne, 117 rue Stewart, Ottawa. Ont

j Patenaude. AL Alphon.-L., 334 ave ! Viger, Montréal. Qué . Pelletir. M. A.-S., Pelletier. Mme A.-S.. 267 rue

Lacbine. Qué.. Perrault. \l. .1 -D« ni*. Perrault.M. Lucien.Perrault. Mlle Denise. Perrault. Mlle Jeanne Perrault, Mlle Aiinée. 264 avenue Mc-

, Dougali. Outremont. Qué .Perron. M* Ouv. 24 6 ouest, ave nev Pins. Mont­réal. Qué.. Perron. M. J -C.. Peiron,

, Aime J.-O.. 661 a\ • tue Querbes. Ou- | tremont. Qué.. Pig* «*n, At. Fabbé Jo­seph. Ste-Thérê».*. Qué. Pilon. Albert, Pilon, Mme Alhc-t. 355 Bord- flu-I^ac, Pointe-Claire, Qué.. Pineault. AI. Fabbé L.. 354 est. rue Sherbrooke, Montréal. Qué.. Plamondon. Mile

; Edite. 143 avenue des Erables. Qué- 1 l*ec. Qué.. Plamondon M. le docteur I René. 14 chemin St-Louis. Québec.

Qué.

I Rémillard. M J*an. 217 Gran«le Allée, Québe*. Qué. Rivard. Mlle Mine, Rivaid, MUe Julliette. Joliettc, I Qué.. Rouleau. M. J.-V . Rouleau. Mm«‘ J.-V.. 43 Bord-du-lAc. V’alf*is.

j Qué . Roy. Alim* F-X.. 3835. rue St- Hubert. Montréal. Qué

•f. M. le docteur Eugène. | Mlle l^ouise. 24 ouent rue , Montréal. Qué.. Surveycr

Ce n'est que <*es (’hamljerlin et

Acosta le lui enlevèrent.Hier, mercredi. Drouhin eut une

longue conférence avec le «•omman- dani liyrd. dont il «ut tout les reu- seignements possibles *ur les avenues, courants, aériens et phénomènes di­vers observés par l'équipage «le l'A- merioa flurant la traversé* de l'At­lantique. On sait que son envolée Paris-New-York doit «'effectuer avec I^'vine comme passager. Ce dernier ne sait pas le français et Drouhin. dit-on, ignore I anglais. Levinc. fa- «•étieux, dit qu'il emporte un diction­naire fie poche pour c< nverser avec son compagrif>n durant les trente et quelques heures que durera la tra­versée.

Paris. K (P.C.)—-Le» aviateurs transatlantiques passent aujour­d’hui leur dernière journée à Paris. Ils partent demain midi pour Dun­kerque. d’où ils se rendront à Le Touquet pour gagner ensuite en auto, et peut-être en avion, le port de Cherbourg, où ils doivent s'em­barquer mardi sur le "Leviathan”. I^à Byrd et ses trois compagnons trouveront Chamberlin, qui se sera embarqué à Southampton.

L'America retournera en Améri­que av«3 Byrd. ses moteurs dans des caisses et sms aiVs solidement umpaquetées. Nombreux, cependant sont les petits morceaux de l'avion, qui restent en France, où les ama­teurs de souvenirs les gardent pré­cieusement.

Le projet d'envolée de Byrd au péde sud a reçu hier un renouveau d’actualité par la communication faite à l’aviateur que le secrétaire de la marine ne s'y opposait pas. On sait que le commandant a déjà survolé le pôle Nord. Aussi le pro­jet de frirvoler le pôle sud a-t-il beaucoup d'attrait pour lui.

ENVOLEE DE MONTREALMontréal. 8.—(P. C.)—Une autre

tentative d’envolée transatlantique sans es«‘ale fie Montréal à Londres cet te fois-ci. a commencé à se dessiner hier quand le lieutenant E.-O. Champagne, aviateur canadien-français et vétéran «le la Grande-Guerre a anmmoé qu’il était disposé à entreprendre l’aventure s’il pouvait trouver un syndicat dis­posé à financer le voyage.

TRANSPORT DE MALLESOttawa. 8. (P. C.)— I>* départe­

ment «les postes a accordé la f>ermis­sion à la Western Canada Airways de transporter des malles dans les voyages hebdomadaires qu'effect ent ses ma- «•hmes entre Ri«*e Lake, St late Lak«* et Ix>ng Lake, dans le district minier du centre du Manitoba.

ILS SONT ARRIVESl>‘ Bourget. 8. (P. C. -Claren<*e-

D. Chamberlin a dit adieu à la France aujourd’hui en partant pour Londres sur le Columbia avec Le­vine. son compagnon «le traversée il v a quelques semaines et Drouhin, l aviateur français qui doit piloter Levine «le Paris à New-York bientôt. Mmes Chamberlin et Levine assis­tèrent au départ de leurs maris puis la première entra dans un aérobus de« Imperial Airways pour suivre sou époux dans les airs. Mme I^evim* avait d’abord j>rojeté partir elle aussi mais changea d’avis au dernier mo­ment .

Avant le départ Drouhin exprima au correspondant de F Associated Press le plaisir qu’il éprouvait è la pcrsjiective de piloter le Columbia «lans son voyage de retour è Xew- York

Je suis enchanté, dit-il. Sans doute j'aurais préféré voler dans mon pro­pre aéroplane avec l>*brix. mon na­vigateur. mais il me faudrait beau­coup plus de temps pour le mettre en état qu’il en faudra pour le Co­lumbia. Je compte partir en août après l'arrivée de John CarUi. mé­canicien-chef de la compagnie qui a construit le Columbia. Carisi ap­portera avec mi des pièc**s de re­change.”

Aéroport de Croydon. Lon«|re«. 8 P.C. Le Columbia, avant à bord

Chamberlin. Levinc et Drouhin. est arr ivé d#> Paris à 3 h. 9 cet après- mi di

«1* > nouveaux avocats: | lui rendra sûrement d'imnobrables

ippe-Auguste Noel est honorable juge C.-E. Do-

Voici ia ’ist*Barreau de Québec: MM. Marcel | services

t lément. Philippe-Auguste Noël. J.-' M. Phili Michel Chamberland, < harles-A.< an-' neveu de l'nonoraoie juge non. Paul lisage. Pierre de Beaufort | rion. de la Cour d’Appel.Décary. Roland Fradette, ( harle«-' Bien que n’étant pas de Québec, il Kugèm* Roy. Antoine Lacouraière,, y est très bien connu, et sa carrière Antonio Beaudoin. Noel Dorion. Eli-, sera la continuation de brillantes étu- aée Gaudet. ides à l'Université l^aval.

Bsrmsu Montréal : MAI. Aiaxi-,mili< n C^aron. Francis-G. Scott. Geor '• Marcel < lémeni. es! le fils de ges Rousseau. W.-C.i'les Mousse«*u J “H Clément, de la compagnie Salomon Wevrich. Francis-Campbe ! Géchêne Enr.. qui occupe une place Pope. Emile l*b«>issière. Yves (’he , «*n vue dans le monde fies aftaires quelle. Fernand Chaussé. John-G-• Québec.Port cous. Isidore-Joseph Wainer. J.- •• a»'ra dans la pers«>nne «le sou

-jfls un excellent conseilI-éonohl Henrichon, Maurice l^alonde, , "Le Soleil” offre ses sincères féli- Wilfiam-(’.-J. Meredith. Alphonse-R. citations aux nouveaux membres du Gagné. Bernard (jacasse. W.-L. Kap-! barreau, et leur souhaite les plus pap«jrt. Lawrence Sessenwein. U bald 1 grands succès dans cette importante Boisvert. Marius Lafontaine. Rosario'«"t respectable carrière.Pic her, j.-Onésime Dallair**. A-onn,** —Abbf’y. Ijaurent-K. Archambault, B«r-| nar<i-Land<* Cohen, Victor-. Viédéric1 N'artineau. M.-A. Aiendeloviteh, !Claude-S. Richardson, DavidnM.j Johnson. ■

Parmi les nouveaux disciples «le,Thémis, il y en a qui appartiennent | à des familles très en vue de la cité de |Québec. Entre autres, M. Charles-A. I Car non est le. fils de M. L.-A. Can­non. C.R . ancien bàUmnier général du Barreau de la province de Québec, j Son arrière grand père, son grand-père et s«;n père ont brillé jusqu’ici au Bar-|ont reau II est aussi le neveu de F hono­rai)!»* M. Lucien Qinnon. C.R.. dis­tingué avo<‘at et Solliciteur Général du

L’UN IRA AU BAGNE, L’AUTRE

A LA PRISONj Deux individus qui avaient été i arrêtés par le détective Laliberté. • et accusés de vol avec effraction

vu leur cas réglé ce matin par l'hon. juge (’hoquette.

I^e premier, un nommé Gogette. il.. ,• .. , »i- n (qui avait déjà un dossier iv la (.’our(.anada. de M lahh« \V.-fc.( annon,|3e pol,(,p, a été ...jndamné à deux

seerétaire del l niversité Laval, et de a„s dp |)f;n„pne,pr.\i. rtohennannon.a\ocat de Québe:. Le spcond apr,,s dptai|s four. vie (Jiarles (annon appartient en rjs j>ar |e détective I ..ali ber té. a été- meme temps a l une des familles de ponflaimé f. un mois de détention r. robe les plus distinguées du ( anada. ,a prison du district.dont il représente la quatrième gêné- ____ _ration. Le nouvel avocat n’a que 21 ; an*. || a terminé en juin dernier un brillant, cours d'études à la Faculté «le Droit, et remporté, haut la main, un diplôme de comptabilité, à l’Uni-j versité Laval. Les succès «le Me;Charles Cannon sont d’autant plus remarquables qu'il a été victime, il y a j quelques années, de deux accidents graves oui faillirent compromettre son ! avenir. Malgré tous ces retards, il a!

GRAND EUCHREAu profit de l’église de

Notre-Dame des Lau­ren tides

magnifiquement repris le temps perdu | M. Paul Ijesage est le fils ne M.,

Antoni Ijesage Prévovants du (

gérant général des anada. membre de la

Mardi prochain, le 12 courant, il y aura un grand concours de euchre, à Notre-Dame des Laurentides. au profit de l’église de cette paroisse. Plus «le 150 prix de valeur seront

( hamWc de Commerce. I un de no« j distribuég âuK vainqueurshommes d'affaires les plu* en vue. M. Lesage a connu «le brillantes succès à l’Université de même que son frère, qui Fan dernier était reçu notaire. M.

LES PARIS ET LES COURSES

Uns dépêche de Montréal annonçait, ce matin, que le Gouvernement provincial avait arrêté les courses de chiens qui ont eu lieu depuis quelque temps dans la Mé­tropole. On affirmait que le licence pour tenir ces courses avait été enlevée aux promo­teurs.

Au Bureau du Procureur Général, M. J.-A. Hudon nous déclare que si l’ordre d’enlever la licence a été don­née, il a dû être donné par le Département du Trésor.

Au Bureau du Trésor, M. Robitaille, assistant-contrô­leur du Revenu, nous déclare qu’il n’a pas donné d’ordre semblable.

il ajoute que cet ordre a pu être donné à Montréal soit par l’hon. M. Nicol, tréso­rier provincial, soit par M. Sé- nécal, percepteur du Revenu. D'autre part il faut faire une distinction entre la licence pour les courses et le système de pari mutuel. Le péri mu­tuel n'est pas autorisé, mais les courses le sont.

Si la licence pour tenir des courses a été enlevée c’est probablement à la suite de* rapports des officiers du bu­reau de police au bureau du Percepteur à Montréal au su­jet des paris.

Le* amateurs de eartes devraient profiter «le cette occasion pour faire une promenade à la campagne, pas­ser une agréable soirée et surtout faire une bonne œuvre.

Quatre autobus seront à la dispo­sition «lu public et partiront de Québec à 7 h. 45 p.m. Tous pour­ront revenir à la ville après la soi­rée.

Ije prix d’admission au euchre, y compris le trajet aller et retour, sera de oO sous. On pourra s« procurer des cartes chez le principal organisa­teur de cette soirée de charité. M. Elzéar Carmichael, marchand. 137 rue St-Joseph, et à la prrte «le la sali** le soir du euchre.

Un tragique acculent qui a «muté la vie à une personne qui a été iden­tifié. ee mjLtir, coiriree étant Mlle Rose Vézii a. A^ée «le 68 ans. est sur­venu hier soir aux alentours de dix heures devant la Basilique au mo- msBt «'U Forage redoublent d'ioten* ailé avait rendu les rues presque désertes.

(’’est «lans le court espace de temps qu il aurait fallu à la mal heu­reuse victime pour franchir la chaus­sée qu'elle fut violemment frappée par un taxi qui remontait à ce mo­ment la rue de la Fabrique, prêt à s’engager «lans la rue Ruade.

Relevée in.con.sciante. la dame inconnue fut. transportée ù la phar­macie Laroche, situé tout près, où le Dr Delaney, mandé d'urgence recon­nut le cas désespéré. Entre temps. M. l’abbé Ulric Turcotte vicaire à la Basilique, avait aussi été prié par té- léphone, d# so roodro auprès d** la victime qui devait expirer peu d'ins­tants plus tard, après avoir reçu les derniers sacrements.

Le cadavre fut transporté i. la morgue dans le fourgon de M. Hu­bert Moisan et une enquête est tenue aujourd'hui sur les eirconstan-1 ces de l’accident. Malheureusement peu de témoins, parmis le chauffeur du taxi qui fut Fauteur involontaire de la tragédie ont pu jeter sur elle quelque lumière. L'hon me placé au volant a rapporté, il est vrai, qu’il v avait un autre occupant dans «a machine*, mais celui-ci s'est, pru­demment esquivé de crainte, sans doute qu’on, ne le retint comme témoin.

Le chauffeur a raconté qu’il avait fait tout ce qu’il était humaine­ment possible de faire pour éviter l'aociflent. n ais la femme, dit-il. est venue elle-même se précipier au- devant fie ma machine après que j’eusse lancé le signal d'alarme de la sirène. Le choc fut si violent que l'un des fanaux du taxi fut brisé. Le conducteur «le l'auto «’est im­médiatement porté au secours de la victime et se rendit ensuite au pos­te de police N’«> 1 p«>ur y «lonner la version de ce qui venait d'arriver.

La malheureuse victime «le «mt ac­cident a été identifiée, ce matin, à la morgue par sa soeur, Agée de 68 an*.

Mlle Vézina était une ancienne em­ployée «lu Château-Frontenac où elle travailla pendant plus d’une quin­zaine d’années. On a trouvé sur elle une <*arte «le visite p«>rian* le nom de Vézina avec su dessus les mots sui vaut* : "Je he vous vois nas”.

LE CLUB LAPOINTE AU LAC ST-JOSEPH

Toutes Ici* r«v»her«*hes n Dut |>a* été abandonnées pour retrouver les Ucu\ aviateurs français N ungear el Uoh. di*'»>arus depuis le huit mai dernier alors qu’ils tentaient de tra­verser de Bans à New-York sanfe escale.

Un message «pie l'honorable AL L.-A Tasch«*reau. pr«ini«*r ministre de la province a r«*çu. «•«• matin «le New -A «>rk, laisse v«>ir «pie le* recher­che* continuent et l’information don­née dans ce rncssag** correspond à celle «pii avait été lancée tout «J'a- bord et qui a été a<-«*«‘ptée par 1« « autorité-, au sujet du passage des aviateurs français ii«i-d«ssi*8 de Ha­vre-de-G rf«‘<* et film t ver* le nord

(’«« message, signé j>ar \|. Star lev Y. Beach s«*«*rétaire «h Aero Science (’luh of America, se lit comme suit “Révérend J.-T. Richard, «le l’Asso­ciation (îrennfell a rencontré un homme. A l’Anse aux Fh'iirs Flo­wers Cove) qui a entendu un aéro­plane filant vers le nord-ouest, au- dessus fie la Baie du Temple Tem­ple Bay). Comme la gazoline était suffisants pour six heures d’envolée A ee moment, elle a dû être épuisée

bieltôt et les aviateur» ont drt dé­fendre dans !*• voisina ce

L’Anodes-Fleurs (Flowers Cove* est située sur la côte de Terre Neuve à l’extrémité nord de la Baie du Tempi** est située sur la côte du Lal>rad«»r. «lans la direction uor«l- ouest Si le* aviateur* français «ont passés au-dessus du Havre-de-Grâce et se dirigeaient vers 1** nord il n y aurait rien d extraordinair.- que *•«. soit la machine de Niing«s»er et (’oli que l'homme dont fait nmntion M Richard ait vue au-de-sus de

dirigeant vers

su jet qui

dans cette n. en effet

le mois «Je mai. le (i«>uver-. avait env«>v«'* deux expédi-

l’Anse-des-Fleurs.la Baie du Temple

Une enquête s *n faite ;« <*« par l«*< a itirit s provincial» ont d .; doux a ;roplan*«s direction On s-* r.i;>p«‘!l que dès nom entlions aérienne eontluites par MM \D Hébert et Ths Barr expédi­tions qui ont parcouru la côte «lu Lahra<!«>r et cell** «le l’em'-Nouve sans cependant rien apercevoir \. cette saison d<* l'ann«*e d ailleurs, «lans cette région. I**s rcolmrehes étaient tr •« «liftieiI* -

LES CHEMINS DU LAC BEAUPORT

Les résidents de cette place d’eau vont se réunir, jamedi soir, pour étucîer le pro­blème La protection centre le feuSamedi soir à S heures A l’éco­

le anglaise les citoyens du La*- Beauport s«* réuniront afin d'é •- dier certaines améliorations d utili­té publique. La colonie «le cita­dins qui passent la Ihûu- saison sur! les bords enchanteurs du Uc Beau­port veulent améliorer l'état des ■ chemins autour «iu lac. On ourlera aussi de la protection contr*- l« feu de l'amélioration «1« s ro K-s, et «le la construction «l'une di/u»- four régulariser le tnv**au «lu lie Beauport.

Nul «loute que tous les villégi - rutistes du Lac - Beauport assis­teront à cette réunion «i’un intén’-t capital pour eu .

LE SOUS-CHEF BIGAOUETTE

NOUS REVIENTII a pris

ventien police à

part à la ccn- des chef# de Vancouver

CHARLES MAîR EST DECEDE

Victoria. (’.-A.. 8 P.G Charles Mair. le nlus vieux poète du Canada, est décédé hier : l'Age « e 87 ar* au Jubile Hospital.

AT. Afair. nui naquit à 1 anar':. Ont., fit se* études r, Perth et ù l’U­niversité Oueens. F Kingston. Il étu­dia la médecine et du commerce avant dans la carrière littérairr

Le voyage se fera vers le commencement d’août

Des sympathie# à M.Art. Bcivin et à sa familleUne réunion «les directeur* «lu club

Lapointe de St-François l'Assise r eue lieu hier soir sous la présidence if ADT HF M de M. Alf. Drouin, vice-président. | MlllCAprès quelques questions de routine | ■ n /vnATF AITle club adopta une résolution de! J _K I |sympathie, à l’un de ses membres M. | * *Art. Boivin et à sa famille à l’occa-

Ijf* sous-chef de police, le capitaine A.-S. Bigaouette, «*st «le retour delà convention des chefs ne police qui s’est t« nue à Vancouver, (’olombi*- Britannique.

Enchanté de son voyage, le sous- chef Bigaouette déclarait au r«*pré- sentant du ‘‘SoIeiF’ : "Ij« question «lu trafm a été l’objet principal de notre convention à Vancouver. Tou­tefois, nous n’avons pas été sans nous occuper de* dispositw r.s à | ren­dre pour garer les automobiles «ians les villes.”

DES INSTANCES SERONT FAITES AUPRES

DE LINDBERGHLa ville va renouveller

instances pour obtenir que le colonel Chas. Lindbergh, farreux aviateur américain qui a réussi à traverser l’A­tlantique en 33 heures, nous visite au cours de l’été.

Le maire Martin a été au­torisé. hier après-midi, «le faire les démarches néces­saires pour qu'il vienne au commencement d’août, les 3 et 4, pendant la grande convention internationale des Forestiers Catholique* qui réunira au delà de 3,0.00 délégués de tous les coin* du Canada et des Etats-Unis

On se rappePe que la ville a déjà invité le vainqueur de l'Atlantique lors de son arri­vée à Ottawa à l’occasion des fêtes de la Confédération, mais “Lindy” ne put accep­ter à cause d’engagements antérieurs dens son pays, et dans un message de l’hon William Phillips. représen­tant de Washington au Ca­nada, il en exprimait tous se* regrets, ne cachant pis. ce­pendant. le désir qu’il éprou­verait d’une visite à travers le pays et plus spécialement «'ans notre province-

LA “LIAISON FRANÇAISE”

A VANCOUVERVancouver. 8. (Spécial au *So

leil”). La "Liaison français»*’ * «t }’rrivé« à la c«*>t,o «iu Pacifique Aprv- quelqiu s bf tm s ua**«'cs à Van«'«*u- v»r. hi«ir s«>ir. clin «*st partie p«>ur Victoria, où « le passera la jou n Au retour, elle d«»meurera toute un journée à Vancouv«r avant «le re­monter. passant par D« bnas « * V«*n- «ia. en Saskatchewan. F,lu* «*i Winjir I *-g. a u Mnanitoba. C’ochrane <’ Arnos, «inns l'Abitibi

Hier, les excursi«mni>les «mt «> j admirer la chaîne Snlkirks et cell» des casc&fh's «iu wagon observatoire spécial, mis h leur disposition par l«*

f

Lors «le la première rébeliifip de i RieL dar* laquelle il ioua un r^le ac- |tif, il éprf»uva une rude perte lorsque i le* re' eMes détruisirent plusieurs ma- I rnscrits nrécieux qui lui ni»parte- raiert. Riel le fi* aussi eirprisor-

! ner et le condamne à rr* rt.

gion de la mort récente de l’une de ses filles. Mlle Juliette Boivin.

lie club lApointe a aussi décidé d'organiser une "excursion politique” au liac Ht-Joseph pour le ou ver* le 1er dimanche d'août.

Des automobilistes seront à la dis­position de ceux qui voudront pren­dre part A cette excursion. Il y aura des amusements de toutes sor­tes. courses à piedsà la nage. etc. etc.Des orateur* distingués adressenmt la parole. 1 n comité sera nommé!chez jeudi soir prochain pour s'occuper de hai« mener A ferme l'organisation de «-ette excursion. Le transport du club l^a-

aoccupa aussi p0jntf» au 1.41c St-Jo»eph étant gra- «* lancer ^ j f |*on ferait bien de retenir ><8

place. (*ar le nombre sera liitée.Le* dame* scr«mt admises.

Mme (’andine Deshaie*, épouse «je M. J .-Roméo (’rot eau. est «iécéfiéf' à Lorettev die. à 1 Ag. de 25 ans et 3 mois. I>a santé de Mme Croteau était compromise depuis 6 mois, mais on espérait, que de lions soins lui permettraient «le se rétablir. Vaine espérance. Après avoir fait, généreusement. le sacrifice «le sa vie. Mme Croteau a rendu m«*rare- di dernier son âme à Dieu. La «ié- pouille mortelle a été t ransp«>rtée

chemin d** f«*r National «lu Au retour, ils v< parti»* qu’ils ont tu.v«rs«'<> <

’anada. jour la nuit.

L’HOPITAL LAVAL EN PELERINAGE A STE-ANNE-DE-BEAUPRE

< Vo-

.l«u«li «’ertiier. 1«* le per* iait son ‘-Anii**-

•V)1Qué

avenue Roslyn. Tedier. Mlle

Mapl0-

-Ican- VVcst -

Jeanneloliette. Que-

MmeM 1 Ine. <»0 ruei Georges-V Tessier,

! Ste-I rsule. Québec, i M. .lo*eph. 21 boulcvanl «les Allié Québec, Qué . Tnmblav M Alon/f

Guy, • L* Soleil”. Québec. Qué D««- Mlle Françoise, 128 avenue, marais. M -1.-0.760 avenue l^acom-I wood. Outremont. Qué be. Montraal. Qué . DionncM l’abhé | .._Georges. Rimouski. Qué. Doré. M Ur,H- NIII#‘ 1 artcVictor. Doré. Mme Victor. 368 est. rue

.Sherbr«H»ke M«>ntréal. Qué.. I)up«>n11 Î2,l°1l1,nf .... .. . .M. J.-K 182 nie l)**s c«m.vn.,.i|»lh^MI^Made|e.nr Montrai. Qué . Dussault. M Ile-- 1 «ss,®r* (r*ore*-\ . Tessier34 rue ■! Artign; Québ<ec Qu . .. , .

(in.lilM.-auit. V. -Insn-I'ftul. «i» ,-l SH. rwl^. Vufhw, gu». I hm-rKr yH-nilt. .ville Thérèse. 155. Grande-Allée. Quélw*e. Qué., Gau» hier. Mlle ... . . ..Vruta. Hvenu«* Henrietta vlontréal L .Tr,n ’ ,ar • 1 Ahmzo. S.e-Armf-d* - Nor.l. «(initra- M K-.r'Mnv.,Omjfr*«. Aim« Kortuna*. M r.,.- Su| lm- Ir-n.M».. Mll« B»». North Augustin Québec. Qué., Gougeon, j ' n ’AL Joseph. Gougefm. Mme Joseph. Vézina, M. le docteur J -D . 376 rue Gougeon. M. .Maxime. 271 rue J'rin- Beaubien. Montréal. Qué Vmu \î cjpale, St-I.auront, Qué Lucien. 545 rue S -.lean. Québe,-.Hard. Aime L.-.L. 6.»46 rue Poincaré. I Qué .Montréal,Üué.,Hayward, M. S J..251 W’âtd, M l»a„L W’stel. Mme Paul, rue ( «Hé Alontréal. Qué . 30ave Marceau, Paris. France.

Ooyer. M. A., ‘ Iji Iribune”.]Sherbrooke, Qué..

Jeté, M. Albert Jetté. \i me Albert, ;558 avenue Rockland. Outremont. 1 Qué., Julien, M. Uoch. 7J rue ,st..

RETOUR DEM. TASCHEREAU EN VOYAGE

D’OBSERVATIONOn at.t.erd l’honorable \f. L-A !Ta«chcrcau. premier ministre d«* la prov irce. e» M Charles l^net.ôt.

.assistant yirocureiir général, demain

. soir, à QuébecL’honorable M Taschereau »e

I rendra ;i la Rivière-du-î»up et «er» j;v son bureau au Parlement, lun- I di n'atinj L’hon. M David. Secrétaire de j

la province. r*artira avec le Vovage ] fie Fl’niv ersité de Montréal pour |

1 ()ue«f ( aradien où il repréxen*»*- ra - fficiellement notre pr,»vince

T«>ut le temps f’e le rébellion, il servit dans le territoire du Nord-

I Ouest, comme médecin ndlitaire. N alla ensuite s’établir en Colombie

I Anglaise, où il s’occupa d’éle» âge, puis en 1896 alla se fixer à Prince- Albert. Sask . et subséquemment ù T^ethbridge. Alberta, où il devint officier «lans le serv ice fédéra 1.

Fl fu* t un de* premier* qui orga­nisèrent le parti canadien en 1870, année où il fut élu membre fie la Société Rov ale fin Canada. Durant toute «a carrière, il fut un apôtre

; convaincu du vrai canadianisme.

IL IRA 3 ANS A L’ECOLE DE

REFORME

>0 juin.sormel de !'H«‘*pital Laval fat

son per... M. Edmond iji>V-1p-1. r.n»L.. . side Gentilly. comté fie Ni'*«»|et, ‘ ‘ ' ,l‘r*

où seront chantées les funérailles, samedi 1** 9 juillet, à 9 heures et n,r;30. heure solaire ir,.ns,.:

|^< "Soleil” prie M J-R teau étalés membres «le laen deuil de bien vouloir agréer «es soljr!fTs purl iculi<>r>. <l«" at fouillons

(spéciales j*our «•(• groupe

a'

irconsfarce la lompéra- aite :«!éal«* et les pèl««- \ er> S te-An ne. le «*fi*ur r«»spérance La cran«l«»

do la famille Thann aturge r aura-t-elU pas de*

sincères c«>ndol«;ance*.

MORTS SUBITESi qui ,, inan«l«*r

ACHRTRZ LES MARCIfAMDIffES ANNONCERA

Soye* nflr ff'être Mtfsfalta

\1 W.-F. Walker, flu déparieinent dec Travaux Public* «les Indes es» «le passage flans notre vill» vl Walker est à faire un voyage «I observatitm

tau tour du monde. v« Walkf-r flécla- j rait au représentant du "Soleil”, hier, j "lyv but de mon voyage est «l’étudier le* moyen* de construction «Icm che­min* et de* pont,* du Canada .tic* Ktats-1 ni* et fie l'Europe, afin d'en faire Ivépéficier mon pays,” \i. VVal- k»-r nous faisait part fie «pittlque* eonsidératif»ns ft cet effet Ici dit-il, le con truction «le pon* f»n* pre que

Nous sommes au regret d'annon-! to u jour» sise* m ir l« ro alors nue chsz- eer la mort survenue aujourd’hui à * nfius c'est Irè* rar* . "No* chemin* Beauport fie M Thomas Gendron. . «'onsfmit* sur un t«.rrain rmuivant, en «on vivant médenin Ses obsè- ajoutait-il. sfin* peu profiices aux que* auront lieu lundi matin à 9 lourd.* véhicules Conséquemment heure- Le «onvoi partira d«- la ré-* pour obvier à cette difficulté, nous sidenoe «lu Dr A. Marcfuix un quart j dav«»ns.dit-il faire f|e gran<l« travau d’heure auparavant L'inhurnation i pour rencontrer les besom actuels aura lieu au cimetière d* la parois«e. j ne la circulation.”

\f Gendron était ftgé d«* 8t; an« M. Walker «-M gradué «le F Uni ver- et 9 m' i« No* cf.nfloléanf*ew «ité f|r Vtanchesfer 'Angleterre

Uu jeune rlélir.quant de 14 ans, accusé flavoir volé une somir«< de $77.00 # dar s le coffre-fort «Fure vieille dame, a été condamné ù trois anal «on d’école de réforme, oii il pourra apprendre un n éffi.r et orienter sa vie flans le droit chemin.

Sur ce montant fin $77.00 le détective Lalib«Tfé a retrouvé $55.00

Ce jeune garçon était déjà un habitué du cirén a

Porc hester. S.N.,6juilh't. (D.N.C. M. W'.-H. Chapman.greffier fie la cour de comté» t conseiller du Roi. est mort subit» m« nt hier, il était natif du comté d'Albert «t Agé de 71 ans.

("était l'un «l« spins anciens av«M*ats du conté de W'istmoriand. Il avait été l'associé de feu l’hon. II.-K. Km«*r-

FEU Th .GENDRON

GE OR G F V FT L'ARGENTINE

l/ondre« 8 iP.C Prenant occa­sion «le ce que sir M Robertson présentait des lettres de créance comme nremier ambassador d An­gleterre ft Bnenoe-Avre«, George V a aâblé hier *e* fé!ici»f|ti«»n-« nu pré- «i3ent «|e la Rép’ibÜque argentine.' T'éprouve un vrai T»lai«ir à me

f»ir«' représenter ivrraonnellement » Buenos - Avre«. «lisait le nv^ssage royal D«*pui« ntu* H un siècle no-, deux oay« sont unis l’un à l’autre nar le* liens d'une amitié ininter­rompue et j'ai oleine confiance. dan* In prrinanfnee «le« relation*cordiale* qui le* unissent «i 1--------*c ment."

LES LAITERIES AURONT LEUR

HYGIENISTE

bien connu «Inns strnr cause d im-< l *',x*

M. ( hapman était tout le comté et sa mort menses regrets.

( ocagre. N. R . le 6 juillet. M. Amédée M- («allant « st mort subit«- m»*nt la semaine deruièn II était officier de Jiêche pf>ur l« «listfict «le Cocagne. S««n épouse et sept enfants lui survivent.

L’abbé Gamlet n chanté I. « rv ice funèbre

particuliers, demalades

ml. pleins de cor.hatUM*. lui «!«.- qui leur guérison, «pii un

peu de courage. Kn tout cas. *i cha­cun revenait avec sa lésion, on ne lisait pas de d«*ception sur les figu­res : In bonne Sainte Anne avait été pnidigue «’e grftces. «;n paraissait et «>r se rcii’ettait i\ la vie d'hopita’ avec un regain d'énergie *«t «Fentiain Vive Sainte-Ann»» '

Il eonv ient «le r«Mn«‘r« i«*r les «•hcr* amis do l'Hùpital lAval qui ont gra­cieusement tris !(»urs automobiles à In dispositif)!) îles pèlerins . Mon

Leg a ré. le gérant de la Qu cher mérite une mention spéciale

on lui demandait une machine, nous en avons eu dix et sa bienveillance nous en aurait fourni quarante si liesoin avait été c'est délicieux d’anmbilité et nous en garderons uu ouv enir reconnaissant

ANNA

i\m légation anglaise à Bueno«- Ayre* a été élevée au rang «l am- bansade à l'occasion de la célébra­tion récente de l« fête de l'indé- *>end»nee en Argentine )

Di populat ion de la v ille de Québec. s« réjouira «l’apprendre que nos cinq lait» ries «|e pasteurisation viennent de s’assurer les services d’un hygiénis­te «le gran«l«* réputatmn. «lans la f>er-

t *«>nno de n««tre concitoyen M. le doe- ! feur C -R. Paquin. ex-directeur où j luir«*Hii d'hygiène «le notn* ville

Quelle initiative est. sous contredit, très louable, et ne manquera certes pas

heureu-' d’etre très appréciée du public.Kl le assure en «•ffef. la plus entière

sécurité, en donnant aux con sonint.»- teurs l’u ssii rance «pie le lait qu* a leur «*'rt est sous le contrôle d un n *- deciti hygiéniste travaillant eu colla- Imration avec- les autnrifcie aanitaire de 1» ville de Québe»*

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