AAC012 - PROJET COURT 04 URBAN UTOPIA
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1211
2009
"CARTE" BLANCHEATELIER AACRENDU PROJET COURT 04URBAN UTOPIADANIEL ANDERSCH
12112009
SOMMAIRE AAC012-0384
FAITES DEMI-TOUR DES QUE POSSIBLE AAC012-0386BONIFACE MarineGARDAIR Marie
FAITES UNE PAUSE AAC012-0386BERGERET MaximeFOCK AH CHUEN EmilieFONTANA Laure GRIGONE Lasma MIECAZE LaurineMAZILLE MatthieuMOL StephaneOUGIER CamillePONCON ChloéSEVRE Julie
HARMONIE AAC012-0386COQUART JordaneFEUGERE Pierre
INSTANTANE AAC012-0386BORDEAU AnaisFONT MarineMAZARI MalekPASQUIER JordanPALLOT CamillePUIGSEGUR ErwanSAINT GERMAIN Louis
SOMMAIRE
S t u d i o . A r t . A r c h i t e c t u r e . & . C o n s t r u c t i o n - S 5 - E N S A M - 2 0 0 9 - 2 0 1 0 - H A Y E T
Travaux pédagogiques à l'intention des étudiants, et de l'équipe de recherche AAC. Diffusion res-treinte au cadre pédagogique et de la recherche, diffusion interdite sans autorisation expresse, contact: [email protected] .Se référer au " Bulletin officiel n° 34 du 17 septembre 2009 - Propriété intellectuelle -Protocole d'accord transitoire sur l'utilisation des livres, de la musique imprimée, des publications pério-diques et des oeuvres des arts visuels à des fins d'illustration des activités d'enseignement et de recherche . NOR : MENJ0900756X RLR : 180-1 . protocole du 15-6-2009. MEN - DAJ A1"
AAC012-0384 AAC012-0385
"CARTE" BLANCHEATELIER AACRENDU PROJET COURT 04URBAN UTOPIADANIEL ANDERSCH
Synthèse des travaux pédagogiques de l'ATELIER AAC, École Nationale Supérieure d'Architecture LANGUEDOC-ROUSSILLON, sous la direction de William HAYET, Daniel ANDERSCH, Michel GVISTGAARD et Pascal MEGIAS.
AAC012-0384 AAC012-0385
FAITES DEMI-TOUR DES QUE POSSIBLE
FAITES UNE PAUSE
HARMONIE
INSTANTANE
BONIFACE MarineGARDAIR Marie
BERGERET MaximeFOCK AH CHUEN EmilieFONTANA Laure GRIGONE Lasma MIECAZE LaurineMAZILLE MatthieuMOL StephaneOUGIER CamillePONCON ChloéSEVRE Julie
COQUART JordaneFEUGERE Pierre
BORDEAU AnaisFONT MarineMAZARI MalekPASQUIER JordanPALLOT CamillePUIGSEGUR ErwanSAINT GERMAIN Louis
Étalement urbainSaturation du solTrouver une autre fonction au solRévéler l’espace libreL’espace « blanc »L’espace a construireImplantation sur un carrefour représentatif du lieu qui est déjà a l’heure actuelle un symbole du questionnement, un repère urbain, Proposer une nouvelle direction et une nouvelle circulation en 3DLecture verticale de la ville. Passer de l’horizontale a la verticaleDécouvrir la ville les yeux vers le cielPoser une question, Amener a une réflexion et pas une réponse sur l’es-pace dit « a bâtir »Densification urbaine.
«Les signes, les panneaux et flèches dont tout cela est bardé nous empê-chent de rien voir : on circule avec aisance, que chercher de plus ? Mais éteignez votre portable et votre GPS, masquez les publicités et les enseignes lumineuses : que voyez vous ? Regardez bien, vous êtes passé par ici des centaines de fois : est ce que vous savez où vous êtes et ce qui s’y passe ? Privés de leur nom et de leur fonction, les bâtiments s’avachissent comme des emballages crevés. Les poteaux, les fils, les rues tracent des figures, encadrent des détails, en soulignent d’autres, mais rien n’a de signification ni d’emploi; il n’y a que des objets incertains et des événements indécidables. Où est votre place ? Comment habiter ici ? Malgré la couverture satellite permanente et le maillage des caméras de surveillance, nous ne connaissons rien du monde.»
C’est à travers les yeux d’un extraterrestre que notre analyse se construit. Cet avatar, choisi pour sa neutralité s’atèle à mettre en musique les divers éléments constitutif du site pour en faire ressortir les harmonies et les points problématiques. Chaque famille de bâtiments est illustrée par un type de son. Chaque constituant d’une famille par une note ou une mé-lodie rythmique. Le montage proposant des scènes avec plusieurs plans simultanés permet d’entendre les différentes combinaisons de famille, les séquences regroupant uniquement des bâtiments de la même famille donnent une musique harmonieuse, alors que celles qui mélangent dif-férentes familles donnent un son désagréable à entendre. De la même manière que dessiner un bâtiment aide à le comprendre, la mise en mu-sique nous a demandé une analyse poussée.
Rythme, hauteur, forme, texture, de nombreux architectes se sont déjà intéressés aux similitudes des vocabulaires architecturaux et musicaux. C’est donc sous forme d’un échange constant entre notre point de vu d’architecte et le point de vu de Lucien, musicien, que les sons se sont construits.
Instantané, comme pour signaler ce rapport au temps qui finalement a motivé notre étude…
Notre étude qui voulait montrer la temporalité dans laquelle les usagers du quartier s’inscrivent…
Leurs pratiques de l’espace pendant la journée sont en partie agressées par la présence de cette « mer de bitume », l’avenue de la Liberté.
Créer par une ligne lumineuse formant un graffiti subtil : le LIGHT PAIN-TING, un moment fixé bien qu’éphémère qui rappelle dans la noirceur de la nuit les usages de tous ceux qui pratiquent l’espace le jour telle une mémoire.
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