Les restes humains des dolmens de Puyraveau (Saint-Léger de Montbrun, Deux-Sèvres, France)

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PUYRAVEAU À SAINT-LÉGER- DE-MONTBRUN (DEUX-SÈVRES), LE DOLMEN II Sous la direction de Vincent ARD Un monument au mobilier exceptionnel de la fin du Néolithique dans le Centre-Ouest de la France Collections particulières, et collections des musées de Poitiers et des Tumulus de Bougon

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PUYRAVEAU À SAINT-LÉGER-

DE-MONTBRUN (DEUX-SÈVRES),

LE DOLMEN II

Sous la direction de

Vincent ARD

Un monument au mobilier exceptionnel de la fin du Néolithique

dans le Centre-Ouest de la France

Collections particulières,et collections des musées de Poitiers

et des Tumulus de Bougon

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Puyraveau à Saint-Léger-de-Montbrun (Deux-Sèvres), le dolmen IIUn monument au mobilier exceptionnel de la fin du Néolithique dans le Centre-Ouest de la France

SOMMAIRE

– p. 9 –AVANT-PROPOS

Jacques BUISSON-CATIL

– p. 11 –PRÉFACE

Jean VAQUER

– p. 15 –LES PARTENAIRES

Éric GAUTIERAlain CLAEYS

– p. 19 –

REMERCIEMENTS

– p. 21 –INTRODUCTION

Vincent ARD

– p. 25 –CHAPITRE 1 :

Les dolmens de Puyraveau : présentation générale

I. Cadre naturel D. PoncetA. Localisation géographiqueB. Contexte géologique

p. 27

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II. Historique de l’exploration des monuments V. ArdA. Les premières mentions au XIXe siècle B. Les années soixante : des fouilles clandestines à la dispersion des collections C. Les années soixante-dix : les premières publications scientifiques D. En 1997, les premières fouilles, mais trop tard …

III. Les données architecturales : les fouilles 1997 F. BouinA. Le dolmen I B. Le dolmen II C. Datation

IV. Nature pétrographique et origine géographique des matériauxde construction des monuments D. Poncet

– p. 83 –CHAPITRE 2 : Un mobilier exceptionnel

déposé dans le dolmen II

Préambule

I. De 1964 à 2009, l’histoire mouvementée du mobilier V. Ard

II. Le mobilier du NéolithiqueA. La céramique V. Ard B. Les industries lithiques P. Fouéré, E. Ihuel, J. Pelegrin, C. Buret,J. Linton, P. Pétrequin, D. Poncet, J. Primault, J. Vosgesavec la collaboration de F. Blanchet et N. Mallet

Observations techniques sur les poignards de Puyraveau II J. Pelegrin

C. L’industrie en matières dures d’origine animale A. MaingaudD. Les éléments de parure non métalliques A. Garin Carmagnani et J. VosgesE. Les perles en cuivre de Puyraveau dans le contexte de la fin du Néolithique du Centre-Ouest B. Mille et V. Ard

III. Le mobilier du CampaniformeA. La céramique L. SalanovaB. Le poignard à languette en cuivre de Puyraveau B. Mille et V. Ard

IV. Un indice d’une visite plus récente du monument E. Bouchet

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Sommaire

p. 437

p. 438

p. 440

p. 442

p. 444

p. 446

p. 449

p. 452

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p. 461

p. 462

p. 466

p. 478

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– p. 435 –CHAPITRE 3 :

Les restes humains Ludovic Soler

Introduction

I. Collections étudiées, représentativité du matériel et approche générale

II. Répartition des restes humains

III. Dénombrement des individus du dolmen II

IV. Sexe et âge au décès

V. Ostéologie quantitative

VI. Caractères morphologiques

VII. Les restes de faune

Temporalité du fonctionnement des monuments et conclusions

– p. 459 –CHAPITRE 4 :

Puyraveau dans son contexte régional

I. Le mégalithisme du Thouarsais A. Matériaux utilisés pour l’érection des mégalithes du Thouarsais D. PoncetB. Le mégalithisme du Thouarsais dans son contexte régional F. Bouin et R. Joussaume

II. La fin du Néolithique dans le Thouarsais : le groupe de Taizé V. Ard et E. IhuelA. Une documentation quasi exclusivement funéraireB. Aire d’influence et proposition de phasage du TaizéC. Un secteur clé dans la circulation des premiers poignards en silexde la région du Grand-Pressigny

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III. Un nouveau témoin campaniforme dans le Centre-Ouest L. Salanova, A. Cormenier et V. ArdA. Inventaire et répartition de la céramique campaniforme dans le Centre-OuestB. Le cadre chronologique du Campaniforme dans le Centre-OuestC. Les rapports des groupes du Néolithique final avec le Campaniforme

– p. 513 –CONCLUSIONS

Vincent ARD

– p. 517 –BIBLIOGRAPHIE

– p. 549 –ANNEXES

p. 491

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p. 498

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Cliché : L. Soler.

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Ludovic Soler

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Les restes humains

INTRODUCTION

Les dolmens de Puyraveau font partie de ces ensembles trop anciennementfouillés et remaniés pour que l’on puisse en retirer des informations sur les gestesfunéraires faute de données sur la répartition des os humains, tant en plan qu’enstratigraphie. Lors de la reprise de la fouille de tels monuments, on peut espérerretrouver des lambeaux de niveaux en place, encore faut-il que la méthodologieait été adaptée.

Les travaux les plus récents menés par Frédéric Bouin sur les dolmens dePuyraveau auraient pu porter leurs fruits de ce point de vue-là, mais les niveauxarchéologiques avaient été trop largement remaniés par les fouilles clandestines.

Quant aux études des ossements eux-mêmes, les conséquences d’une interven-tion non adaptée sur le terrain sont directes, car elles en limitent la portée. Dansnombre des travaux anciens, les publications abordent, la plupart du temps, deux aspects. Les éléments morphologiques, métriques et pathologiques les plusremarquables sont décrits et un dénombrement des individus est effectué à partirdes éléments considérés comme les plus importants (crâne, os longs, dents) ou lesmoins fragmentés. Certaines parties anatomiques, pourtant témoins d’individussupplémentaires ou de classes d’âges différentes (enfants périnataux par exempleou fragments d’os significatifs), sont ainsi ignorées. Le cas des ossements humainsde Puyraveau étudiés par É. Patte ne fait pas exception en la matière (Patte 1971 ;1976).

La prise en compte de l’ensemble des os aujourd’hui connus, issus desdifférentes collections réunies, permet d’avoir une vision plus complète du nombred’individus déposés dans ces monuments. Au-delà du simple décompte, nousproposons également de discuter la représentativité de ces ossements et ce qu’ilsrévèlent sur le fonctionnement des espaces sépulcraux.

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I. COLLECTIONS ÉTUDIÉES,REPRÉSENTATIVITÉ DU MATÉRIEL ETAPPROCHE GÉNÉRALE

Sans doute plus que pour le reste du mobilier archéologique en raison d’une

moindre considération portée aux ossements, on ignore la fraction des os humains

disparue, en particulier ceux remis en terre ou rejetés dans une carrière par les

premiers fouilleurs du dolmen dans les années soixante et tous ceux récoltés et/ou

jetés par d’autres “intervenants” non identifiés à ce jour.

Les ossements conservés sont aujourd’hui répartis entre trois collections

particulières et les collections publiques des musées de Poitiers et Bougon. Nous

avons réalisé un inventaire définissant l’état de la collection pour chaque musée

ou lot privé. Un dénombrement des individus a ensuite été réalisé en prenant en

compte simultanément l’ensemble de ces os.

1. Description des séries

Les collections contenant des os humains et auxquelles nous avons eu accèssont les suivantes :

La collection Patte (musées de Poitiers)

La collection É. Patte livre la plus grande partie des ossements connus. Il s’agitde ceux récupérés par É. Patte lors de son premier passage sur le site en 1965, aprèsles déprédations des premiers fouilleurs, ainsi que des quelques os ramassés parÉ. Patte lui-même lors de la petite opération de sauvetage qu’il a effectuée en 1966.Les os ont été relativement bien nettoyés et leur état de conservation est trèsvariable : du crâne complet (dépôt médiéval) à un ensemble de trois caissesd’esquilles. La plupart des os sont malgré tout très fragmentés. Les plus completsont été pris en compte dans l’inventaire réalisé par É. Patte : “Les restes humains,sauf les petits os, sont dans un état lamentable. […]. Il y avait certainement aumoins 30 individus, d’après le nombre d’astragales droits ; les autres os utilisablesfournissent des nombres inférieurs mais de même ordre. L’os long le moins briséest un tibia gauche fracturé à 50 mm au-dessus du trou nourricier” (Patte 1971, p. 215-216). Il s’agit des seuls éléments publiés relatifs au dénombrement des osde Puyraveau. Une partie était rangée dans les tiroirs du musée Sainte-Croix dePoitiers par élément anatomique et porte le numéro “916”, correspondant au sitede Puyraveau II dans l’inventaire réalisé par É. Patte des sites qu’il a étudiés.

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Les restes humains

Les collections conservées au musée des Tumulus de Bougon

Des ossements issus des dolmens de Puyraveau existent parmi plusieurscollections du musée de Bougon. La collection Labitte comprend une mandibule.

Le musée conserve également les vestiges osseux résultant des fouilles de 1997

dirigées par F. Bouin. Provenant la plupart du temps de niveaux remaniés, c’est deloin la collection présentant la plus grande fragmentation des ossements. Cesderniers n’ont pas été lavés avant notre étude, mais étaient rangés par provenancearchéologique (cf. infra) et les trois monuments sont distingués (avec une très largemajorité issue du dolmen II ; 4 lots proviennent du dolmen I dont l’intérieur nefut pas fouillé, car la chambre avait déjà été vidée anciennement).

Les collections particulières

La collection particulière Gérard M. est d’un point de vue qualitatif identiqueà celle de Patte. Il s’agit d’une fraction des ossements qui n’avait pas été remise àÉ. Patte par les jeunes fouilleurs en 1965.

Deux autres collections particulières présentent des restes humains : celles deJean-Pierre N. (une mandibule) et d’Henri C. (une mandibule, un lot de dents etdeux axis).

Afin de déterminer le nombre d’individus représentés par l’ensemble des ossements issus des dolmensde Puyraveau, chaque os fut identifié, puis comptabilisé par partie anatomique. Ici est figuré un exempledu premier tri et du conditionnement effectué par É. Patte par type d’os dans les années 1960 (collectionPatte, musées de Poitiers ; Cliché : L. Soler).

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II. RÉPARTITION DES RESTES HUMAINS

L’exploitation des archives de fouille, même plusieurs décennies après lestravaux, peut s’avérer fort enrichissante pour peu que les données soient préciseset objectives (cf. pour la région, les travaux sur le gisement éponyme d’Artenac à Saint-Mary, en Charente ; Duday, Soler 2008 ; ou encore les travaux collectifs encours sur la nécropole de Champ-Châlon à Benon en Charente-Maritime par L. Soler, J.-P. Cros, J.-M. Gilbert, R. Joussaume et R. Cadot). Ce n’est malheu-reusement pas le cas pour le site de Puyraveau.

1. Ossements mis au jour avant 1997

L’absence totale d’archives, ou même d’une description sommaire de larépartition des ossements, interdit toute tentative de discussion relative à la gestiondes espaces funéraires.

2. Ossements mis au jour en 1997

Considérant, à juste titre, que les remaniements à l’intérieur et aux abords desmonuments furent importants, le prélèvement du mobilier fut réalisé par lots etenregistré par rapport aux éléments architecturaux. Les ossements que nous avonsétudiés se répartissent en deux groupes : ceux issus des niveaux remaniés situésen fonction de leur position relative aux orthostates (e. g. à l’ouest de la dalle K,au sud du A, etc.) et ceux retrouvés dans des fosses (de calage ou non) ou sous deséléments effondrés du dolmen.

Lorsque des os ont pu être retrouvés dans une fosse de calage d’orthostate ousous un de ces piliers affaissés, il fut logique de supposer qu’ils pouvaient être “enplace”. Nous avons tenté d’identifier des répartitions préférentielles d’ossementsen recherchant des regroupements cohérents liés à l’âge ou aux parties anato-miques du squelette. Les rares cas observés de ces liaisons secondaires ne noussemblent pas significatifs de gestes funéraires particuliers, de la gestion des espacesinternes ou encore de remaniements postérieurs aux dépôts, qu’ils soientanthropiques ou non. Ainsi, un lot d’os longs (humérus, radius, tibia), une scapula,deux dents déciduales, des métatarsiens et une scapula compatibles avec un mêmeenfant furent retrouvés et enregistrés comme provenant du même secteur (“n° 64,au nord-est de la dalle C, dolmen II”) mais dans le niveau de déblais. Unappariement talus-calcanéus droit provenant également d’une même zone (n° 52)a été observé, mais un tel rapprochement au sein d’une sépulture collective n’estguère étonnant et peu significatif à lui seul. D’autres os compatibles en fonctionde l’âge furent retrouvés groupés dans des fosses, qu’il s’agisse de fosse de calage

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Les restes humains

(“fosse de calage dalle G, n°143”) ou non (“fosse entrée Dolmen II”), mais ils nereprésentent jamais de squelettes complets et sont toujours accompagnés aucontraire d’os d’autres individus. Il peut donc s’agir de regroupements postérieursaux dépôts des corps dans le cadre d’une réutilisation des lieux par exemple outout simplement de remaniements fortuits anthropiques (fouilles clandestines)ou animales (cf. infra). D’ailleurs, dans la “fosse creusée à l’est de la dalle D” furentrécoltés de nombreux os humains mais aussi un squelette presque complet deblaireau. L’altération des os humains est la même dans la fosse qu’ailleurs dans lemonument alors que les os de blaireau sont très différemment conservés, au vude leur coloration et des nombreuses empreintes de radicelles.

État de conservation des ossements de Puyraveau : l’altération de la matière osseuse est en généralfaible. Ainsi, malgré la forte fragmentation liée aux nombreux remaniements de la plupart des os, leuridentification reste correcte (Collection Patte, musées de Poitiers ; Cliché : L. Soler).

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III. DÉNOMBREMENT DES INDIVIDUS DU DOLMEN II

Nous avons insisté sur le fait que les conditions de découverte ne permettentpas de distinguer les défunts se rapportant à telle ou telle période d’occupationdu monument et que les ossements parvenus jusqu’à nous ne représentent qu’unepartie indéterminable de l’ensemble des individus déposés. Il nous a cependantparu important d’en évaluer le nombre minimal (NMI, nombre minimumd’individus) identifiable sur l’ensemble des collections (fig. 292). Nous n’avonspas tenu compte du squelette médiéval de la collection É. Patte qui se distinguedes ossements néolithiques par une altération différente des ossements, ni d’unesérie de mandibules et d’os longs qui pour les mêmes raisons proviennentclairement d’un autre site (les os ne sont d’ailleurs pas marqués du n° d’inventaire“916” de Patte).

Le principe du dénombrement consiste à décompter l’os (ou la partieanatomique) le mieux représenté, qui constitue alors un NMI de fréquence. Cetteestimation peut être améliorée en tenant compte du degré de maturation des os(âge au décès) et éventuellement du sexe des individus (ce qui n’est pas réalisableici à cause de la trop grande fragmentation des os coxaux). On parle alors de NMIpar exclusion (Bökönyi 1970). L’effectif le plus grand est obtenu par la caninesupérieure gauche présente 88 fois. Elle témoigne au total de 85 individus de plusde 15 ans (maturation de la dent et mise en place achevée avec usure avérée)auxquels il faut ajouter 14 sujets immatures de moins de 15 ans. Le NMI dePuyraveau est donc de 99 individus. Il est possible de compléter cette analyse enintégrant les résultats des appariements (Krantz 1968 ; Chaplin 1971 ; Masset1984). Cette opération impose cependant que l’on soit certain des relationsd’exclusion entre les os potentiellement appariables. Or, la forte fragmentation,l’origine indéterminée des ossements et l’échelle chronologique concernée neréunissent pas ces conditions de fiabilité. À titre indicatif seulement, nous avonstenté cette estimation à partir de quelques os relativement bien conservés (talus,calcaneus, patella). Les exclusions ne sont pas significatives et le NMI restesimilaire.

Nous retiendrons donc l’effectif minimal de 99 individus, plus de trois foissupérieur au chiffre de 30 sujets avancé par É. Patte à la suite de l’examenanthropologique de l’échantillon qui lui avait été remis à l’époque (Patte 1971).

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Fig. 292 : Saint-Léger-de-Montbrun, dolmen II de Puyraveau (Deux-Sèvres) : NMI de fréquence (tousâges et toutes collections confondus) déterminé pour les dents et pièces osseuses. Les incompatibilitésd’âge ne sont pas considérées dans ce tableau. Les effectifs donnés pour les dents tiennent comptedes alvéoles vides. Le meilleur effectif est fourni par la canine supérieure gauche. Si le déficit de laplupart des petits os est à mettre sur le compte de leur non-reconnaissance sur le site, c’est le forttaux de fragmentation qui explique facilement la mauvaise représentation des grands os longs desmembres. Ils sont par ailleurs très bien représentés par leurs données pondérales. L’hypothèse duretrait d’un certain nombre de crânes est avancée pour expliquer le déficit en blocs cranio-faciaux eten mandibules.

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IV. SEXE ET ÂGE AU DÉCÈS

La diagnose sexuelle est basée sur l’os coxal. Malheureusement, l’état deconservation de la série est tel que même la méthode utilisant uniquement l’aspectde la surface auriculaire n’est pas applicable (Bruzek et al. 1996). Nos observationsse limitent alors à noter la présence de caractères très variés tels que deséchancrures ischiatiques très ouvertes ou bien fermées, des tubercules de Buissontotalement absents ou bien marqués, des surfaces auriculaires peu élevées ou pasdu tout et la présence ou non de sillons pré-auriculaires. Il s’agit de caractèresmasculins et féminins marqués mais qui observés isolés des autres caractèresanatomiques n’ont que peu de valeur. On ne peut donc que supposer la présencedes deux sexes dans ces sépultures.

Les données relatives à l’âge au décès des adultes sont tout aussi lacunaires.Les méthodes sont basées sur les phénomènes de sénescence des articulations. Or, en plus des problèmes simplement méthodologiques, liés notamment à la variabilité intra et inter populationnelle et à la vitesse de sénescence, lafragmentation des os est là encore le principal élément nous empêchant touteconsidération sur l’âge au décès des individus adultes déposés à Puyraveau. L’aspectde la surface auriculaire (Lovejoy et al. 1985) suggère la présence d’adultes jeunesmais aussi de sujets plus âgés, dont témoignent les différents degrés de synostosedes sutures crâniennes rencontrés sur les fragments de voûtes (Masset 1984).

Pour estimer l’âge au décès des sujets immatures, nous n’avons pu utiliser lesdonnées métriques que pour les individus morts en bas âge (Fazekas, Kósa 1978 ;Sellier et al. 1997). La maturation dentaire (Ubelaker 1984 ; Moorrees et al. 1963)et les degrés de synostose des points secondaires d’ossification (Birkner 1980) ontété utilisés pour les enfants plus âgés. Très peu de dents étaient conservées surarcade, ce qui limite là aussi la précision des estimations. Les 14 individusimmatures identifiés se répartissent selon les classes d’âge suivantes : 3 individusde 15-19 ans, 4 à 5 de 10-14 ans, 4 à 5 de 5 et 9 ans (un des individus pouvant êtredans l’une ou l’autre des catégories), 3 entre 1 et 4 ans, et 2 à 3 périnatals. Un trèsnet déficit (25 à 30 % de l’effectif total) du nombre d’individus apparaît pour lesclasses d’âge les plus jeunes (moins de 5 ans) par rapport au nombre attendu pource type de population (selon les calculs théoriques obtenus à partir des tables deLedermann (1969) et en considérant une espérance de vie à la naissance entre 25 et 35 ans). Il n’y a pas de raison que les os des plus jeunes enfants aient été plus affectés par la taphonomie que les autres, de manière continue sur près de 5 000 ans. L’ensemble des espaces funéraires ayant été totalement exploré, on nepeut suggérer que les individus les plus jeunes furent déposés dans une zoneparticulière des chambres. Enfin, certains os des jeunes individus (mais pas tous)sont de petites dimensions et auraient pu échapper aux premiers explorateurs des

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monuments. Cependant, de nombreuses pièces de petite taille furent récoltées àcette occasion comme des ossements (phalanges, dents isolées, etc.) et du mobilier,à l’instar des perles, dont les dimensions sont nettement inférieures à celles d’unfémur par exemple, même de périnatal. En outre, il faut souligner que les terresont été tamisées, ce qui a permis de récupérer de telles pièces au cours des années1960, puis en 1997 lors des fouilles Bouin. Tout cela nous conduit à penser queles déficits en ossements d’individus des classes d’âge les plus jeunes ont uneorigine culturelle plutôt que taphonomique ou liée aux méthodes de fouille.

L’absence de données précises quant au sexe et à l’âge au décès des individusdu site est d’autant plus décevante que le caractère exceptionnel du mobilierretrouvé dans le monument aurait pu trouver une explication dans le recrutementdes individus déposés. La mise en évidence, par les travaux de F. Bouin, du passaged’un monument de type angevin à un monument à couloir aurait également été l’occasion de voir si des changements étaient également perceptibles à traversles gestes funéraires et les individus ayant eu accès à ces tombes. Ce n’est malheu-reusement pas le cas, mais on notera tout de même que les deux sexes et toutes lesclasses d’âge semblent représentés parmi les os conservés, à l’exception des enfantsde moins de 5 ans presque totalement absents sur toute la durée de fonctionne-ment des monuments.

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V. OSTÉOLOGIE QUANTITATIVE

Le cas des sépultures collectives présentant une longue durée de fonction-nement et un grand nombre d’inhumés implique souvent une accumulation, undéplacement, un enchevêtrement, voire un retrait des os de l’espace funéraire.Quantifier le nombre des os retrouvés par catégorie anatomique dans un assem-blage archéologique par rapport au nombre d’os attendu dans une population, enfonction du nombre total d’individus défini, apparaît comme un moyen efficacepermettant de discuter du fonctionnement de l’espace funéraire. Le problèmeprincipal est le taux de fragmentation (très important ici) limitant l’identificationdes os incomplets. Pour pallier cela, l’enregistrement des données pondérales desdifférentes parties du squelette est une solution souvent utilisée, car moinsinfluencée par le taux de fragmentation. Il s’agit de la méthodologie appliquée àl’étude des sépultures à incinération (Duday 1987b ; Duday et al. 2000). Elleconsiste à déterminer les proportions relatives des différentes parties anatomiquesconservées (pourcentage d’os du crâne, de la cuisse, de la jambe, etc.), puis de lesconfronter à un référentiel (Krogman 1978). Nous discutons donc ci-dessous laconservation des os à partir de ces deux types de données.

On notera tout d’abord que le nombre (fig. 292) et le poids de fragmentsindéterminés sont importants (12,42 % sur 30,453 kg ; fig. 293). Le déficit en bloccrânio-facial et mandibule est flagrant, quel que soit le mode d’enregistrement.Pourtant, le nombre des différentes dents (majoritairement isolées) reste globale-ment correct, malgré quelques disparités (liées parfois à l’identification de certainespièces : symétrie des incisives inférieures par exemple). Ces dents témoignent dela présence des crânes ayant par la suite disparus. Le crâne est la pièce du squelettela plus visible, la plus volumineuse et souvent la plus porteuse de sens quant à lareprésentation de l’individu. Il ne serait pas étonnant qu’ils aient préférentielle-ment fait l’objet de retraits des espaces funéraires. Alors que de rares crânescomplets sont mentionnés dans les témoignages oraux des fouilleurs de l’époque,seules des portions de voûtes, parfois importantes, et quelques mandibulescomplètes sont parvenues jusqu’à nous. Des pertes sont indiscutablementimputables aux “méthodes de fouille” des premiers intervenants, mais on nesaurait exclure totalement que le temps de fonctionnement des sépultures et lenombre d’individus cumulés aient incité au retrait de quelques-unes de ces piècesvolumineuses au cours du Néolithique.

Les éléments du tronc très fragmentés sont très faiblement représentés dansles décomptes (ici seuls les atlas et axis ont pu être enregistrés). En revanche, enconsidérant les marges d’erreur, le rachis et les côtes sont correctement conservésdu point de vue de leur poids. Ces pièces se conservant souvent mal (notammentla partie spongieuse des vertèbres), leur bonne représentativité indique la faiblepart des phénomènes d’altération des os dans le sol. On s’étonnera alors de la

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mauvaise conservation, même pondérale, des os plats des ceintures (os coxal,scapula) qui pourtant s’identifient relativement bien.

À l’inverse, si la fragmentation de certains os longs des membres supérieurs etinférieurs biaise les décomptes, les données pondérales nous donnent à voir unautre tableau. Ainsi l’humérus est sur-représenté par rapport au taux attendu (plusde 8 % au lieu d’un peu plus de 6). En revanche, radius et ulna restent largementdéficitaires, quel que soit le mode d’enregistrement. En termes de poids, cela peuts’expliquer par le fait que la fragmentation est telle qu’il n’a pas toujours étépossible de distinguer les deux os qui ne sont donc pas inclus dans le décompte.Or, lorsqu’on ajoute le poids des fragments enregistrés simplement sousl’appellation avant-bras, le taux remonte à 3,34 %, ce qui se rapproche des 4 %environ attendus. En outre, ne sont pas pris en compte les fragments de diaphysed’avant-bras qui n’ont pu être distingués des fragments de diaphyse de la fibula(922 g). Cette dernière ainsi que les restes de tibia et de fémur sont égalementbien représentés par leur poids. Ainsi, malgré leur importante fragmentation, lesgrands os longs sont parmi les parties anatomiques les mieux conservées de lasérie. De fait, ils paraissent même presque sur-représentés.

Fig. 293 : Saint-Léger-de-Montbrun, dolmen II de Puyraveau (Deux-Sèvres) : représentation pondérale des diversesrégions du squelette, en poids absolu et en poids relatif par rapport au poids total des os humains retrouvés sur lesite. Les deux colonnes de droite indiquent les valeurs théoriques du poids relatif et leur écart-type (SD, standarddeviation), d’après les données de Lowrance et Latimer in Krogman 1978.

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Enfin, les os des mains et pieds montrent dans le détail une disparitéquantitative entre les différents os concernés, malgré une bonne représentativitégénérale. Les plus petits os ont dû sans aucun doute échapper aux premièresinvestigations dans les monuments, facilement confondus avec de petits cailloux(tarse antérieur et carpe notamment). Les os longs du métatarse et du métacarpesont bien représentés en nombre (avec parfois des scores proches du NMI global)et les différences entre certains sont à mettre parfois en relation avec l’impossibilitéd’une identification précise (latéralisation, détermination du rang), à cause del’altération de l’extrémité proximale comme c’est le cas pour 77 métacarpiens. Cecipeut expliquer que leur poids soit artificiellement gonflé lorsque chaque os desmains et des pieds est individualisé dans les données pondérales (plus de la moitiédu pourcentage attendu).

Ainsi, le nombre des fragments indéterminés limite la pertinence des inter-prétations en général et il en ressort des disparités qui ne sont pas toujoursexplicables : bonne conservation générale avec présence de petits os et des osfragiles (corps vertébraux), mais faible représentativité d’autres os habituellementbien représentés (calcaneus) ou bien identifiables (os coxal). Malgré tout, plusieurstendances nettes se dessinent. Le déficit en crânes associé à une bonne repré-sentation des dents (qui auraient été perdues sur place) permet d’émettrel’hypothèse de retraits de cette partie du squelette, peut-être pour gérer les espacesfunéraires au cours des différents épisodes de fonctionnement des monuments.Les grands os longs des membres sont très fragmentés mais très bien représentéspar les données pondérales. Ils ont pu eux aussi, de par leur volume, faire l’objetde piétinements expliquant une partie de la fragmentation (sur os sec) et desretraits, dans ce cas-là de moindre importance. On peut également envisager, pourexpliquer leur sur-représentation par rapport aux autres parties anatomiques (oudu moins leur relative abondance), qu’au lieu d’être retirés, la plupart des grandsos longs furent regroupés en différents points de l’espace funéraire. On peut aussienvisager que l’on ait amené et déposé des os déjà décharnés, ce qui ne va pas dans le sens du reste du mobilier osseux (présence des os issus des articulationsles plus labiles). Ce phénomène de rangement est observé notamment dans lesniveaux supérieurs de la grotte sépulcrale d’Artenac (Duday, Soler 2008, p. 85).Malheureusement, l’absence de données relatives à la répartition des os dePuyraveau montre toute la limite du raisonnement que l’on peut avoir sur cesossements. La très importante quantité de mobilier découvert a pu, elle aussi, àun moment donné, inciter à des rangements au sein de l’espace sépulcral. D’aprèsl’un des jeunes fouilleurs de l’époque, les vases, pour beaucoup intacts, étaientempilés les uns dans les autres le long des parois (le corpus céramique rassemblépermet d’estimer une densité de 7 vases par mètres carrés dans la chambre dudolmen II !). De la même manière, on peut envisager légitimement des rangementsd’une partie des os les plus encombrants au cours de l’utilisation des espacessépulcraux.

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Les restes humains

VI. CARACTÈRES MORPHOLOGIQUES

1. Variations métriques et morphologiques

L’absence de positionnement stratigraphique des os, leur forte fragmentationet la durée de fonctionnement importante des espaces funéraires nous ont conduità ne pas développer d’étude morphologique et métrique. Rappelons un cas despina bifida sur un sacrum et la présence d’un os inter pariétal décrits par É. Patte(1976, p. 304), et un second os inter pariétal non indiqué dans la publication.

2. Pathologies

Dans les deux publications consacrées aux ossements humains de Puyraveau(Patte 1971 ; 1976), on retrouve quelques considérations sur l’état de santé etl’hygiène des populations inhumées dans ces dolmens. Nous reprenons ceséléments et ajoutons un cas de fracture observé dans la collection particulièreGérard M. Ces éléments ne sont pas suffisamment pertinents pour en retirer unesynthèse épidémiologique.

Le doyen Patte évoque le port de sandales lorsqu’il observe la courbure trèsmarquée de certains cinquièmes métatarsiens (Patte 1971, p. 215 ; 1976, p. 303).Deux exemplaires ont été mis à part au sein de la collection, mais il n’est paspossible, à notre sens, de pouvoir considérer qu’ils sont le résultat d’une tellecontrainte, vestimentaire ou autre.

É. Patte signale également un fragment decrâne possédant des traces d’origine anthro-pique : “Un fragment triangulaire de pariétal(?) (de côtés égaux à 43, 40 et 46 mm) a sa faceconcave décortiquée (sauf un fragment infimede table interne de 6 x 12 mm près des angles).Le diploé y apparaît usé, la face convexeprésente des stries de raclage parallèles au plusgrand côté et s’étendant sur environ la moitiéde la pièce ; il s’agit d’une amulette crânienne[…] . Les 3 fractures n’ont pas l’aspect de cellesproduites sur un crâne frais, mais les saillies en sont mousses comme lorsque la pièce a étéportée” (Patte 1971, p. 212). Nous ne sommespas en mesure de confirmer cette observation.Pour nous en effet, les traces observables surle fragment de voûte crânienne proviennentplutôt d’un outil utilisé lors de l’explorationdu dolmen concerné (fig. 294).

Fig. 294 : Saint-Léger-de-Montbrun, dolmen II dePuyraveau (Deux-Sèvres) : fragment de voûte crâniennepublié par É. Patte (1971, p. 212 et 213) comme portantdes traces de raclage d’origine anthropique. À notreavis, la morphologie de ces traces incite plutôt àprivilégier une altération liée à l’action des outilsutilisés lors de la mise au jour du fragment (Cliché : L. Soler).

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Puyraveau à Saint-Léger-de-Montbrun (Deux-Sèvres), le dolmen IIUn monument au mobilier exceptionnel de la fin du Néolithique dans le Centre-Ouest de la France

Atteintes dentaires

Six cas de résorptions alvéolaires ont été repérés sur des mandibules et un cassur maxillaire. Elles sont parfois associées à de vastes niches formées aux dépensdu corps de l’os et correspondant à des infections de type abcès. É. Patte note aussila présence d’une molaire isolée avec une fusion à la cuspide postérieure, d’unedent en cheville ayant sa propre racine ainsi qu’une autre molaire avec l’adjonctiond’une dent en cheville à couronne très distincte, mais à racine à demi fusionnéesur toute sa longueur. Nous avons également enregistré 27 caries, préféren-tiellement situées au niveau du collet des molaires avec des cas envahissants.

Pathologies dégénératives

Quelques rares cas d’arthrose affectent les champsarticulaires observables sur des fragments de vertèbres.Le seul autre cas digne d’intérêt pour ce type depathologie est une atteinte sur l’articulation proximaled’une phalange proximale de pied gauche. Le champarticulaire présente, le long des bords dorsal etmédial, une plage lisse et brillante ponctuée de trous vasculaires ; sa largeur varie entre 40 et 60 mm.L’articulation est bordée par un léger bourreletostéophytique avec une extension du champ articu-laire le long du bord dorsal et à l’angle médio-plantaire. Il s’agit vraisemblablement d’une arthroseayant évolué jusqu’au poli articulaire (fig. 295).

Pathologies traumatiques

Un fragment diaphysaire d’os de l’avant-bras (radius gauche, identifié commeun “cubitus droit” dans la première publication) présente un cal osseux consécutifà une fracture consolidée avec un faible déplacement de l’os (fig. 296).

Fig. 295 : Saint-Léger-de-Montbrun, dolmen II dePuyraveau (Deux-Sèvres) : poli articulaire sur l’extré-mité proximale d’une phalange proximale de pied(Cliché : L. Soler).

Fig. 296 : Saint-Léger-de-Montbrun, dolmen II de Puyraveau (Deux-Sèvres) : fragment diaphysaireprésentant un cal osseux consécutif à une fracture sur l’avant-bras ayant peu entraîné de déplace-ment de l’os (Cliché : L. Soler).

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Les restes humains

Fig. 297 : Saint-Léger-de-Montbrun, dolmen II de Puyraveau (Deux-Sèvres) :extrémité distale d’un radius droit d’adulte décalée vers l’arrière par rapport à l’axe diaphysaire au-dessus de l’articulation radio-carpienne. Il s’agit trèsprobablement des suites d’une fracture que l’on rencontre classiquement lorsd’une chute où l’on tente de se rattraper sur les mains au prix d’une hyperextension du poignet (fracture de Pouteau-Colles). 1 : face postérieure ; 2 : facemédiale (Clichés : L. Soler).

L’extrémité distale d’un radius droit d’adulte (collection Gérard M.) est décaléede 7 degrés vers l’arrière par rapport à l’axe diaphysaire au-dessus de l’articulationradio-carpienne. Il s’agit très probablement des suites d’une fracture observéeclassiquement lors d’une chute où l’on tente de se rattraper sur les mains au prixd’une hyper extension du poignet, dite fracture de Pouteau-Colles (fig. 297).

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Puyraveau à Saint-Léger-de-Montbrun (Deux-Sèvres), le dolmen IIUn monument au mobilier exceptionnel de la fin du Néolithique dans le Centre-Ouest de la France

VII. LES RESTES DE FAUNE

Les collections É. Patte, Gérard M. et celle issue des fouilles de F. Bouin

contenaient quelques os de faune mélangés aux restes humains (232 restes,

cf. fig. 298 ; détermination Lisandre Bedault, UMR 7041). À l’instar des restes

humains, ces os sont en général bien conservés mais très fragmentés, d’où une

détermination parfois imprécise et un inventaire par grands types.

Le corpus indique une forte présence de faune sauvage probablement intrusive :

blaireau et petits carnivores de type martre, rongeurs et taupe. Parmi les quelques

éléments de faune domestique, certains sont probablement un apport récent

(dents de cheval). Ils se distinguent en effet d’un point de vue taphonomique et

furent retrouvés aux abords du dolmen II au cours des fouilles de F. Bouin. On ne

peut donc pas les attribuer avec certitude aux époques de fonctionnement des

monuments. Les autres espèces s’apparentent davantage à ce que l’on retrouve

classiquement en contexte néolithique : bœuf (NMI : 1), capriné et porc (NMI : 2)

et le chien avec le plus grand nombre de restes (39 de chaque grande partie anato-

mique pour un NMI de 3).

452Fig. 298 : Saint-Léger-de-Montbrun, dolmens de Puyraveau (Deux-Sèvres) : inventaire des restes defaune répertoriés parmi les ossements (Détermination : L. Bedault).

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Les restes humains

Il n’existe qu’une seule association directe de faune avec des restes humains.Elle a été rencontrée lors des fouilles de F. Bouin dans une fosse creusée dans lachambre du dolmen II, qui pourrait se rapporter, comme la plupart des autresfosses mises au jour, aux diverses explorations clandestines du site. Il s’agit dusquelette incomplet d’un blaireau avec des os humains très variés.

Les os de faune se distinguent par une altération de surface très nette : présenceabondante d’empreintes de radicelles totalement absentes sur les os humains. Lamise en place de ces deux ensembles n’a vraisemblablement pas eu lieu en mêmetemps.

Étant donné le contexte des interventions sur ces monuments et les élémentsconservés, la faune n’apporte pas d’informations pertinentes sur le fonctionnementde ces sépultures.

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TEMPORALITÉ DU FONCTIONNEMENT DESMONUMENTS ET CONCLUSIONS

L’ensemble du mobilier déposé dans le dolmen II de Puyraveau témoigne de plusieurs épisodes de fonctionnement, du Néolithique moyen (période deconstruction probable au moins du premier monument) jusqu’à la fin du IIIe millénaire avant J.-C. Malheureusement, l’étude des ossements et l’absence dedonnées stratigraphiques ne permettent pas de discuter du caractère continu ounon de l’utilisation du monument II.

L’étude architecturale fait état d’au moins trois phases comme on l’a vu. Lemonument le plus anciennement construit est le dolmen II avant que la mise enplace du tumulus du dolmen I vienne en condamner l’accès. Cette seconde phasea probablement marqué un temps d’arrêt dans le fonctionnement du dolmen II.Cette interruption peut être située au Néolithique moyen si l’on s’accorde àattribuer la construction du monument I à cette période (seule période de cons-truction avérée pour ce type de monument). Ce temps d’arrêt n’est pas perceptibleà travers l’étude des ossements ; ces derniers proviennent en effet principalementdu dolmen II alors qu’on ignore tout de la chambre I. Enfin, nous ne connaissonspas les conséquences sur les dépôts du dolmen II de l’adjonction d’un autre espaceà ses dépens (dolmen III). S’ajoutent bien sûr à cela les biais liés aux interventionsrécentes que nous avons déjà discutées.

Il ressort tout de même de l’étude des ossements humains plusieurs infor-mations intéressantes liées notamment à la durée d’utilisation du monument. Eneffet, l’accumulation, dans le temps et dans le petit espace du dolmen II, d’au moinsune centaine de corps et le profil ostéologique de la série conservée permettentd’envisager une gestion de l’espace sépulcral via le retrait (crânes) et/ou leregroupement des os les plus volumineux (grands os longs des membres). Àquel(s) moment(s) ces déplacements ont-ils commencé dans l’histoire du site ?Nous l’ignorons. De telles manipulations ont pu être mises en évidence régionale-ment dans des contextes très divers et pour différentes périodes du Néolithique :regroupement d’os à la Goumoizière à Valdivienne (Vienne ; Soler 2007), dans la grotte du Quéroy à Chazelles (Charente ; Detante 2002) ou La Pierre-Virante àXanton-Chassenon (Vendée ; Chambon 2003), des rangements de crânes à Bougon B (Deux-Sèvres ; Chambon in Mohen, Scarre 2002 ; Soler in Mohen,Scarre 2002), des retraits de crânes au Trou Amiault à la Rochette (Charente ;Souris de 2007), des regroupements d’os longs dans les niveaux supérieurs sur lesite éponyme d’Artenac (Duday, Soler 2008) ou leur sur-représentation dans lesdépôts du couloir du dolmen B de la Boixe, également en Charente (Souris de2000).

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Les restes humains

Fig. 299 : Saint-Léger-de-Montbrun, dolmen II de Puyraveau (Deux-Sèvres) : datations radiocarbonesobtenues à partir du même os (talus gauche) de quatre sujets distincts (calibration Reimer et al.2004 ; Oxcal v. 3.10). Ces dates illustrent et précisent le calage chronologique de l’une des phases defonctionnement du monument au cours du Néolithique final, à laquelle peut être attribuée unepartie du mobilier qui accompagnait les ossements. D’autres phases de fonctionnement, avérées aussibien par le mobilier que par les évolutions architecturales, ne sont pas illustrées compte tenu dufaible nombre de datations effectué par rapport au nombre total d’individus déposés.

L’observation la plus marquante est le maintien dans le temps du déficit en

individus de moins de 5 ans. Il existe bien d’autres sites funéraires néolithiques

à occupation longue dans le Centre-Ouest, utilisés dès le Néolithique moyen,

puis réutilisés au cours des périodes récente et finale, que ce soit en contexte

mégalithique ou en grotte (Bellefonds, Artenac, le Trou Amiault, cf. également

la série de datations réalisées dans le cadre d’un PCR dirigé par B. Boulestin ;

Boulestin 2010), mais rares sont ceux qui ont pu faire l’objet d’une étude détaillée.

Lorsqu’elles ont été réalisées, il ressort toujours des décomptes un déficit en jeunes

individus. Avec les précautions de rigueur quant à la reprise de travaux anciens,

on peut considérer cette pratique comme un fait récurrent, au moins entre le

Néolithique moyen et le Néolithique final, dans la région comme cela se dessine

par ailleurs dans d’autres régions.

Enfin, nous avons tenté de préciser chronologiquement les différentes phases

de fonctionnement du dolmen II en faisant dater certains ossements. Pour cela, il

fallait s’assurer préalablement que les sujets échantillonnés étaient clairement

individualisés. C’est pourquoi nous avons sélectionné à chaque fois le même os

évitant ainsi tous doublons (le talus gauche), sans qu’il soit bien entendu possible

de savoir, à partir de la morphologie des os, si les échantillons choisis appartenaient

à une même période d’utilisation du monument. Rappelons enfin que malgré les

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travaux de F. Bouin, il n’a pas été possible de retrouver d’ossements humains avecune provenance stratigraphique claire qui auraient pu être datés préférentiellement.Quatre individus ont été finalement datés dans le cadre du programme “Artémis”(CDRC Lyon) via le Service Régional de l’Archéologie de la DRAC de Poitou-Charentes (fig. 299). Les résultats s’inscrivent tous dans la même tranche chrono-logique du Néolithique final, entre 2860 et 2460 avant J.-C. Aucune corrélationdirecte avec le mobilier n’est possible mais ces résultats correspondent bien à unedes phases de fonctionnement avérées par celui-ci.

Pour ce qui est des autres phases d’occupation, il est bien sûr regrettable qu’onne puisse les appréhender d’un point de vue radiométrique. Le faible nombre dedatations effectuées au regard de la centaine de sujets individualisés en est sansdoute une des raisons principales. En effet, pour le Néolithique moyen, lorsqueles données permettent de le constater, le nombre d’individus est limité à unepetite dizaine par chambre (F0 de Bougon, Champ-Châlon à Benon, Péré à Prissé-la-Charrière). Ce nombre limité réduit les chances de les repérer parmi la centained’individus reconnue dans le dolmen II de Puyraveau. Le mobilier accompagnantces morts est généralement lui aussi limité en nombre, ce qui explique sa faiblereprésentativité dans le corpus de Puyraveau (deux armatures tranchantes unique-ment).

Quant au Néolithique récent, les études de la parure, du mobilier osseux etlithique, ne permettent pas d’identifier clairement des éléments caractéristiquesde cette période. Est-ce lié à la nature peu diagnostique et ubiquiste des objets ou à leur absence ? Seule la céramique fait état de cette période de manièreindubitable et très marquée (phase Taizé ancien ; Ard, Ihuel, ce volume, p. 478).Deux possibilités s’offrent alors à nous : soit l’apport considérable de vases est enrapport avec le dépôt de corps et pourrait par exemple refléter la volonté demagnifier tout ou partie des individus, soit la fonction funéraire disparaîtmomentanément au profit d’un lieu de dépôt pour ces vases (à mettre en rapportavec la position et le rôle clé du groupe de Taizé dans la région), avant de reprendreau Néolithique final. Nous n’avons bien sûr pas la réponse. L’abondance demobilier, surtout lithique, et la datation des os mettent de fait en évidence unfonctionnement funéraire essentiellement au cours du Néolithique final (phaseTaizé récent), ce qui indique soit une reprise des dépôts de corps au cours de cettepériode, après un hiatus au Néolithique récent, soit plus vraisemblablement unecontinuité de dépôts depuis le Néolithique moyen. La question n’est en tout caspas anodine. En effet, si l’introduction de corps humains au cours du Néolithiquerécent est clairement attestée dans d’autres monuments construits au Néolithiquemoyen, la présence d’ossements humains est également rencontrée dans lesniveaux du Néolithique récent des fossés de nombreuses enceintes. Dans la régionde Puyraveau, très peu d’enceintes ont fait l’objet d’intervention archéologique.Le tri du matériel osseux issu des sondages réalisés dans les fossés de l’enceinte de

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Les restes humains

Fertevault (Thouars) nous a permis d’identifier un fragment de voûte crânienneprovenant des niveaux contenant du mobilier céramique du Néolithique récentsimilaire à celui de Puyraveau. Or, la signification des dépôts humains dans lesfossés d’enceintes est encore largement discutée (Pariat 2007 ; Semelier 2007). Leurprésence est de plus en plus souvent mise en évidence dans les fossés du Centre-Ouest : squelettes complets ou os épars, associés ou non à de la faune, déposésparfois dans des structures aménagées et présentant dans certains cas un traitementparticulier du corps comme des blessures mortelles. On ignore encore malheu-reusement ce qu’ils représentent au Néolithique récent par rapport aux corpsdéposés dans les monuments mégalithiques.

Les os courts sont généralement mieux conservés que les autres. Des appariements par symétrie ontété tentés sur certains d’entre eux afin d’améliorer l’estimation du nombre minimum d’individus. Quel’on prenne en compte ou non ces données, le résultat global reste inchangé avec un nombre d’individusautour de 100 (Ensemble des talus gauches, les datations C14 effectuées ont été obtenues sur 4 de cesos) (Cliché : L. Soler).

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