Reccopolis y los contextos numismáticos de época visigoda en el Centro de la Península Ibérica,...

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Dirigée par Fr. Duyrat, C. Morrisson,M. Bompaire, O. Picard

Secrétaires de la rédaction V. Drost, A. Hostein, J. Jambu

ISSN 0484-8942

2014(171e volume)

SOCIÉTÉ FRANÇAISE DE NUMISMATIQUE

Diffusion : Société d’édition « Les Belles Lettres » 2014

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Manuel Castro Priego*

Reccopolis y los contextos numismáticos de época visigoda en el Centro de la Península Ibérica

Resumen – La política edilicia seguida por el reino visigodo de Toledo durante el periodo final del siglo vi d. C., se manifestó especialmente en las ciudades. La fundación de nuevos centros, como fue el caso de Reccopolis, significó la plasmación material de la reorganización del Estado, de la que también formaron parte las acuñaciones monetarias. La nueva articulación monetaria, conllevó un periodo de consolidación que se pude dar por finalizado en el 584. Este primer modelo, supuso la puesta en marcha varios centros productores en el centro de la Península Ibérica. El nuevo modelo monetario, permite sugerir un circuito de circulación limitado, del que los contextos arqueológicos están aportando nuevos datos, especialmente para el periodo final del reino visigodo, en el primer tercio del siglo viii.

Palabras Clave – tremis, contexto arqueológico, periodo visigodo, ciudades, fiscalidad, monedas merovingias.

Résumé – Les manifestations de la politique de développement urbain adoptée par le royaume wisigoth de Tolède et par ses édiles sont bien attestées dans les cités à la fin du vie siècle. L’éta-blissement de nouveaux centres, comme ce fut le cas à Reccopolis, a entraîné une réorganisation de l’État qui a également concerné la production monétaire. La mise en place du nouveau réseau monétaire a conduit à une période de renforcement qui s’achèverait en 584. Ce premier modèle s’est accompagné du mandatement de plusieurs centres de productions implantés au cœur de la péninsule ibérique. Le nouveau modèle monétaire laisserait plutôt penser à un fonctionnement en circuit fermé, ce que confirment les contextes archéologiques, surtout pour ce qui est de la période finale du royaume wisigoth au cours du premier tiers du viiie siècle.

Mots clés – tremis, contexte archéologique, époque wisigothique, villes, fiscalité, monnaies mérovingiennes.

1. Introducción

Durante la fase de formación y consolidación del Estado visigodo, que se desarrolla en la segunda mitad del siglo vi d.C., se produce un significativo aumento de la política edilicia promovida fundamentalmente por el Estado y la Iglesia en la Península Ibérica (figura 1). La actividad eclesiástica se orientará en la construcción de nuevos complejos episcopales, tal como observamos en Valencia (ribera i LaComba 2008, p. 307-311), Tarragona (maCías i soLé 2008, p. 299-300); Barcelona (beLtrán de Heredia berCero 2010, p. 40-43), Mérida

* Universidad de Alcalá (Alcalá de Henares, Madrid). Dpto. Historia I y Filosofía. Investi-gador Postdoctoral. Correo: [email protected].

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(aLba CaLzado y mateos Cruz 2008, p. 265-269), Córdoba (marfiL 2000, p. 123-130), y el Tolmo de Minateda-Ello (Hellín, Albacete) (gutiérrez LLoret, abad CasaL, gamo Parras 2005, p. 353-365). Sin embargo, uno de los aspectos novedosos que está documentando la investigación arqueológica, lo constituye la participación del Estado en este proceso de transformación del paisaje urbano. A través de un programa de intervención directa en la trama urbana que se extiende, de manera evidente hasta la primera mitad del siglo vii d.C. Nos referimos con ello, a la fundación de nuevos complejos como Victoriaco y Recopolis (30 ha.) durante el gobierno de Leovigildo (572-586), la fundación de Ologicus por Suintila (621-631), y especialmente por el enorme proyecto planificado a los pies de Toledo conocido como la Vega Baja (92 ha.) (oLmo enCiso 2008, p. 43-46; oLmo enCiso 2010, p. 88-98).

Las noticias que en época visigoda documentan la fundación de Reccopolis (figura 2) en el año 578 d. C., vienen a refrendar este acontecimiento como uno de los ejemplos más significativos del poder del Estado en el momento de su consolidación. La habitual parquedad de las fuentes escritas de época visigoda, contrasta con la relevancia que estas mismas dan a la fundación de la ciudad, que conocemos a través del cronista contemporáneo Juan de Biclaro, quien transmite en su Chronica dentro de los hechos acaecidos en el año 578:

Figura 1 - Península Ibérica (580 d.C.).

100 km

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“ANNO II TIBERII IMPERATORIS QUI EST LIVVIGILDI IX REGIS AN. X” “Liuigildus rex extinctis undique tyrannis, et pervasoribus Hispaniae superatis sortitus requiem propiam cum plebe resedit civitatem in Celtiberia ex nomine filii condidit, quae Recopolis nuncupatur: quam miro opere et in moenibus et suburbanis adornans privilegia populo novae Urbis instituit” (CamPos 1960, p. 88).

También Isidoro de Sevilla en su Historia Gothorum se refiere a la fundación de la ciudad, siguiendo lo ya expresado por Juan de Biclaro. La significativa unión en la descripción de los hechos, que realiza San Isidoro de la articulación fiscal del nuevo Estado, se ve culminada por la fundación de la nueva ciudad. Todo ello, subraya la relación estrecha entre la organización financiera del Estado visigodo y las ciudades como centros redistribuidores del nuevo modelo fiscal:

“Aerarium quoque ac fiscum primus iste auxit, primusque inter suos regali ueste opertus solio resedit, nam ante eum et habitus et consessus communis ut genti, ita et regibus erat. Condidit autem ciuitatem in Celtiberia, quam ex nomine filii Recopolim nominauit” (Historia Gothorum, 51,5; rodriguez aLonso 1975, p. 258-259).

Figura 2 - Reccopolis.

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Estos testimonios, refrendados por las investigaciones arqueológicas actuales, constituyen un claro ejemplo de la intención de Leovigildo de asimilarse al Imperio Bizantino, dentro de un proceso de aemulatio imperii. Con la fundación de Reccopolis, a la que se le otorga el nombre de un miembro de la familia del rey, su hijo Recaredo (586-601), Leovigildo se equipara a las prácticas de los empe-radores bizantinos, y más concretamente de Justiniano (527-565). Se sigue, por tanto, una práctica habitual en el imperio bizantino, con precedentes en el mundo bajoimperial, mediante la cual los emperadores cambiaban nombres de antiguas ciudades a las que le otorgaban el suyo. Como ya argumentó D. Claude (CLaude 1965, p. 176), la ciudad fue fundada observando las circunstancias bizantinas, donde Justiniano había concedido los nombres de Iustiniana, o rebautizado como Iustinianopolis o Theodorias, a asentamientos previos (HaLdon 1999, p. 10), entre los que destaca el ya conocido de Iustiniana Prima (Bavant y IvanIševIć 2003; bavant 2007). Esta política de ciudades que fueron renombradas con nombres de los miembros de la familia imperial fue parti-cularmente notable durante el siglo vi en el Norte de África, tras la conquista bizantina (PringLe 2001, p. 110-111).

1.1. La organización de la ciudad. El conjunto palatino

La planificación urbanística de Reccopolis se desarrolló siguiendo una jerarqui-zación del espacio urbano definido a partir de un conjunto de edificios principales localizados en la zona más alta de la ciudad (figura 3). Este conjunto de edifica-ciones palatinas − el de mayores dimensiones hasta el momento conocido en la Península Ibérica para este periodo −, caracterizadas por su función administra-tiva y residencial, se localiza en la zona superior de la ciudad y era visible desde gran parte del territorio cercano. Estaba formado, tal y como constata la investiga-ción arqueológica realizada hasta el momento, por los restos de un complejo de edificios estructurados alrededor de una gran plaza, del que hasta ahora se ha descubierto una superficie de 7 000 m². El espacio abierto se encontraba cerrado en sus lados Norte y Sur por los dos edificios de mayor envergadura (figura 3:A1 y A3), que en su origen eran de dos plantas, siendo frecuente plantas con esta disposición en otros complejos palatinos peninsulares (beLtrán de Heredia berCero 2008, p. 279-280).

La plaza del conjunto cerraba en su lado Este por otro edificio de planta rectangular de menor tamaño que los anteriores, con unas dimensiones de 40 m. de longitud por 10 de anchura (figura 3:A2), y por la iglesia palatina (figura 3:B). Esta última se trataba de un templo de planta cruciforme, inscrito en un rectángulo (Cabré 1946, p. 42-48). Se ha apuntado la posible relación que este templo tuvo, tanto por su carácter palatino como por su planta, con el de los Santos Apóstoles de Bizancio, debido la influencia que esta iglesia tuvo en el occidente medite-rráneo, como se comprueba en los casos de los templos áulicos dedicados a los Santos Apóstoles en Toledo, o en el fundado por Clovis en París (oLmo enCiso 1988, p. 175-178; PaLoL 1991, p. 790; Ward-Perkins 2000, p. 75).

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El acceso a este conjunto palatino se efectuaba a través de una puerta monu-mental, una de las construcciones más significativas de la ciudad, que constituía el elemento de comunicación entre el Palacio y el resto de la ciudad y de la que partía la calle más importante de Reccopolis (figura 3:C). Se edificó en un momento inmediatamente posterior a la construcción original del conjunto palacial, dado que amortizó la esquina N.E. de uno de los edificio comerciales de época fundacional (figura 3:D), y constituye una muestra más de cómo el proceso de monumentalización de la ciudad no terminó con la fundación, sino que prosiguió con posterioridad a ésta.

El estudio que en la actualidad se ha iniciado sobre el complejo palatino, excavado por J. Cabré, a excepción del edificio A3 (figura 3:A3), está refle-jando la existencia de sucesivas reformas y ampliaciones y, por tanto, la presencia de varias fases en él. Esto lleva a plantear la hipótesis de que todo este proceso se sucedió, fundamentalmente, a partir de la construcción original, durante la primera fase de la ciudad, entre finales del siglo vi y las primeras décadas del vii. Todo ello mostraría una continuidad de su proceso de articulación, y que se refleja también en la continuidad de las acuñaciones con el nombre de Recaredo (586-601 d.C.), que transmitirían el impulso que este rey dio a la ciudad que llevaba su nombre, y que se había iniciado bajo el gobierno de su padre, el rey Leovigildo (568-586 d.C.).

Figura 3 - Reccopolis. Organización Funcional.

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1.2. La zona comercial y de viviendas

A ambos lados de la calle principal, en la parte más próxima al palacio y a continuación de la puerta monumental, dos grandes edificios se dedicaron a las actividades comerciales y artesanas, en tiendas con sus correspondientes talleres o almacenes (figura 3:D y E). Los materiales encontrados en estos espacios indican que en ellos hubo talleres de orfebrería y de producción de vidrio, y que también se comercializaron los bienes de consumo que llegaban a Reccopolis, procedentes de otras zonas de la Península y del Mediterráneo.

Estos edificios forman parte del diseño urbano original de la ciudad, en el que se planificó la localización de estas construcciones, dedicadas a actividades comerciales y artesanas de prestigio, en la zona próxima al palacio y abiertas a su calle principal. No deja de llamar la atención como estos edificios fueron concebidos con anterioridad a la construcción de la puerta de acceso al conjunto palatino (figura 3:C), que no estaba contemplada en el diseño original de la ciudad, aunque formó parte de un sucesivo proceso de ampliaciones y monumen-talización de los espacios más representativos. La presencia de estos edificios en la planificación original de Reccopolis constituye una muestra más de su inserción dentro de los cánones urbanísticos imperantes en el Mediterráneo en esa época, donde la ubicación de edificios comerciales en los ejes viarios principales y vinculados a los conjuntos palatinos, es un elemento fundamental del paisaje urbano de las más destacadas ciudades. Asimismo, la presencia de materiales de ámbito mediterráneo en Reccopolis – contenedores como ánforas (Keay 61 y 62) y anforiscos, (spatheion tipo 3), o vajilla cerámica de mesa tipo ARSW D, todas ellas producidas en el norte de África –, la mayoría vinculados a la zona comercial de esta ciudad, ofrecen un dato de suma importancia a la hora de entender su papel centro como comercial (bonifay y bernaL 2008, p. 103). Hasta el momento de la aparición de estos materiales de importación, sólo había evidencia continuada de este tráfico comercial en las ciudades costeras del Mediterráneo como Barcelona, Tarragona o Valencia, dentro de los territorios visigodos, o Cartagena, Málaga, y las de la zona del Estrecho de Gibraltar en los territorios peninsulares controlados por el imperio bizantino. La existencia de estos materiales en Reccopolis, si bien en menor volumen que en las citadas ciudades costeras, unido a los hallazgos de materiales similares en la Vega Baja de Toledo (gaLLego garCía 2010, p. 324-325), ofrecen los primeros datos sobre la participación de las ciudades del interior peninsular en una red de comercio a larga distancia que permitió la llegada de productos mediterráneos.

Los paralelos del complejo comercial y productivo, se encuentran también en el mundo bizantino, como se comprueba para Próximo Oriente en Sardis, Antioquia, Éfeso, Scythopolis, Berytus, Sagalassos (Lavan 2012, p. 348-349). Este esquema, era también conocido en el occidente europeo ya que, además de Reccopolis y tal y como nos reflejan, en este caso, las fuentes escritas lo encontra-mos en el París de la época. La presencia de un espacio comercial en esta ciudad, la transmite Gregorio de Tours quien describe una zona definida por

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domus negotiantum situadas a ambos lados de la platea, la calle principal, donde se vendían mercancías y productos de prestigio (Greg. Tours, H. 8, 32 citado en gautHier 2002, p. 61-62), con una organización similar, por tanto, al esquema existente en Reccopolis.

Las zonas de viviendas, excavadas hasta el momento, se localizan al sur del complejo de edificaciones palaciales y a continuación del área definida por los edificios destinados a actividades comerciales y artesanas (figura 3:F). Con los datos existentes, se puede apuntar cómo en el momento de inicio de la construcción, se planificó una zona de viviendas estructurada en manzanas trazadas siguiendo el modelo de tendencia regular, que caracteriza el urbanismo de la fase fundacional de Reccopolis.

El yacimiento tuvo una extensa perduración que finaliza a principios del siglo ix d.C. A lo largo del siglo vii y viii d.C. sufrirá una profunda transformación del área productiva y habitacional, con la conformación de un nuevo conjunto de viviendas, que se superpondrán a las áreas abiertas anteriores. La fisonomía del yacimiento será alterada a partir de mediados del siglo viii d.C. con la disminu-ción del hábitat, y la amortización de gran parte de la trama urbana, coinci-diendo con la conformación un núcleo reducido y relativamente fortificado, aprovechando el conjunto palatino. A principios del siglo ix, será abandonada gran parte de la zona alta de la ciudad, y se generaliza el proceso de expolio y saqueo de materiales constructivos, coincidiendo con el surgimiento de la fundación islámica de Zorita de los Canes, situada a 1 km. bajo el gobierno del emir al-Ḥakam I (796-822 d.C.).

2. La Ceca. La Relevancia de Reccopolis en el contexto de las emisiones monetarias visigodas

La fundación de la ciudad, dentro de un programa político-ideológico previamente diseñado, implicó también el comienzo de emisiones monetarias y el funcionamiento de una ceca. El análisis de las series emitidas bajo la officina de Reccopolis ofrece dos significantes claramente diferenciados. Por un lado, el componente propagandístico, vinculado a la consolidación del Estado Visigodo, y por otro el peso de la ceca en el conjunto de las emisiones monetarias penin-sulares y muy especialmente de la provincia Carthaginensis. Desde criterios políticos, las primeras emisiones monetarias de Reccopolis se caracterizan principalmente por la presencia de la inscripción Reccopoli Fecit en anverso, tanto en emisiones de Leovigildo como de Recaredo. D. Claude ya subrayó en 1965 (CLaude 1965), la trascendencia de estas series, principalmente porque ninguna otra ciudad peninsular acuñó con esta leyenda. El mensaje de Reccopoli Fecit es un tipo fundamentalmente propagandístico, dentro de un programa ideológico en el que la moneda juega un importante papel. Sólo así se entiende la reiteración en el uso de la moneda como elemento de afirmación política bajo el gobierno de Leovigildo. La desaparición de la leyenda Reccopoli Fecit para el caso de Reccopolis, con posterioridad al gobierno de Recaredo (586-601),

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permite subrayar la estrecha relación de la ciudad no sólo con la formación del Estado visigodo, sino con un programa dinástico interrumpido a partir de 603, con la ejecución de su hijo, Liuva II (601-603). Las acuñaciones posteriores de Sisebuto (612-621), Suinthila (621-631), y Witiza (702-711), no volverán a utilizar la leyenda.

Las propias características de la fundación de la ciudad, así como el mensaje ideológico-dinástico de las acuñaciones, explican, en gran medida, su relevancia reducida en el contexto provincial de la Carthaginensis. Los tipos más antiguos de Reccopolis se caracterizan por presentar en el reverso el conocido tipo de Cruz sobre Gradas (CSG), una imitación de las piezas acuñadas por Mauricio Tiberio en Oriente a partir del 578, que comenzaron a acuñarse entre el 579 ó 580 d.C. en el reino visigodo. Con las nuevas emisiones comienza un proceso de reorganización monetaria a partir de los centros urbanos (Barcino, Caesaraugusta, Tirasona, Toledo, Elvora, Reccopolis). El tipo se extendería paulatinamente a otros centros a lo largo del 581-582, pero manteniendo su emisión en ámbitos exclusivamente urbanos.

En el conjunto de las emisiones monetarias de Leovigildo, Reccopolis ocupa una posición secundaria, con sólo un 2,52 % de los tremises conocidos con nombre de ceca1. Sin embargo el análisis de la producción de las cecas, y especialmente en la organización provincial, señalan que la primitiva articula-ción monetaria en el centro peninsular, a partir del tipo de cruz sobre gradas (CSG) se produjo a través de tres cecas (579-580 d.C.). Por un lado, la capital – Toledo −, a la que se sumarían Reccopolis y Elvora. En conjunto representan el 53,75 % del total de las emisiones conocidas de esta serie.

Los indicadores actuales señalan la concentración de la producción monetaria de la ceca de Reccopolis en el contexto de la Carthaginensis, por tanto, durante el periodo 579-584, con emisiones que representan entre el 9-10 % del total provincial. La relevancia de éstas se irá reduciendo a partir del 584, especial-mente por dos procesos. La paulatina puesta en funcionamiento de cecas en el sector sur de la Carthaginensis, en las áreas próximas de la Bética, y de la Spania bizantina recién conquistada, dentro de un modelo de implantación territorial articulado en colaboración con la Iglesia, que se consolidará a lo largo del siglo vii (Castro Priego en prensa). Por otro lado, el paulatino reforza-miento de Toledo como capital y principal centro emisor de la Carthaginensis.

1. Los datos sobre el numerario conocido se han extraído de dos grandes corpus. Por un lado, el elaborado por Miles en 1952 (miLes 1952), y por otro, la actualización publicada por Pliego en 2009 (PLiego vázquez 2009). El porcentaje del número de piezas conocidas de Reccopolis, durante el gobierno de Leovigildo, apenas ha cambiado. Un 2,10 % en el trabajo del investigador norteamericano, y un 2,52 % en el corpus de Pliego. Sobre un análisis reciente de la evolución de las cecas a nivel provincial, y una interpretación general del modelo fiscal de época visigoda (Castro Priego 2011; retamero 2011).

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Esta lenta disminución de su relevancia, explica la ausencia de emisiones durante el último periodo monetario del gobierno de Leovigildo − 584-586 −, y la situación durante el reinado de Recaredo, en el que sus emisiones ocupan una posición más reducida, limitándose al 5-6 % del conjunto de monedas conocidas de la Carthaginensis. Sin embargo, continuará en este momento el mensaje político de las emisiones, con el mantenimiento de las leyendas Reccopolis Fecit. A lo largo del siglo vii ocupará una posición marginal con una producción entre 0,5 y 1 % de las emisiones totales conocidas. A falta de una contrastación con nuevos hallazgos, podría haber comenzado a emitir un mayor número de ejemplares bajo el gobierno de Witiza (702-711) − 5 % en el contexto provincial −, cuando se produce el reinicio de la acuñación de un importante número de cecas, tras la clausura y reducción drástica que se emprendió bajo el gobierno de Recesvinto (653-672).

La reducida influencia de Reccopolis desde criterios de producción monetaria, no se está viendo corroborada por los datos arqueológicos. Principalmente, por la continuidad de la ciudad a lo largo del siglo vii, la ampliación de las áreas industriales, y la reforma del conjunto palatino. Uno de los elementos centrales en la actualidad en el análisis del asentamiento, está siendo la perduración como centro activo de llegada de productos mediterráneos, lo que marca la continuidad comercial, promovida en este caso por la superestructura del Estado visigodo. Las producciones anfóricas señalan el mantenimiento del abastecimiento durante el siglo vii e incluso comienzos del siglo viii. A todo ello se suma la continuidad y extensión de la producción de vidrio y orfebrería, subrayando su continuidad como nodo de intercambio (Castro Priego y gómez de La torre, 2008). Sin embargo, este patrón de acumulación de bienes, del que también participa acti-vamente Toledo, ofrece todavía un panorama reducido en el interior peninsular, concentrado en asentamientos urbanos con una fuerte presencia del Estado.

Los hallazgos monetarios en contextos arqueológicos de monedas con ceca Reccopolis, se limitan, hasta ahora, al hallazgo del tesoro de la C/Holguín de Mérida, en el año 2003 (mateos Cruz et alii 2005, p. 258). Se trata de un conjunto de 20 monedas acuñadas bajo el gobierno de Leovigildo, que se localizaron debajo de un muro de una vivienda ó área doméstica que se situaba en las inme-diaciones del Foro Provincial, abandonado al menos, desde el siglo v d.C. La estructura empleó para su construcción elementos del templo del siglo i d.C. − Templo de la Concordia − que se ubicaba en la zona. El tesoro se halló tras el desmonte de un muro con orientación N-S que definía uno de los lados del conjunto, levantado en el siglo vi d.C. Se encontraba escondido debajo de un sillar de granito que actuaba de jamba de un pequeño vano lateral que daba acceso a una estancia. Las monedas aparecían agrupadas, y se ha supuesto que se encontraban en un contenedor de madera. La vivienda de época visigoda tenía dos fases de ocupación, separadas por un estrato de amortización con abundante material cerámico del siglo vii d.C.

Los tremises recuperados fueron acuñados en cecas del centro de la Penín-sula Ibérica − Toledo 6 piezas, Emérita con el mismo número, Reccopolis con

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4 tremises, y Elvora con tres, junto a un ejemplar sin ceca –. La aparición de un tremís de la serie Inclitus Rex en anverso, con reverso con cruz sobre gradas (CSG) es una de las principales novedades, y señala un desarrollo no unilineal de la evolución monetaria de las series bajo el gobierno de Leovigildo. Parale-lamente al comienzo de las nuevas series CSG (579-580 d.C.), existen algunas cecas que pueden estar combinando tipos antiguos y nuevos, con un conjunto de emisiones transicionales más amplio del que hasta ahora conocemos. Las emisiones en cualquier caso de la serie Inclitus Rex y reverso con cruz sobre gradas no pudieron iniciarse con anterioridad al 579 y posiblemente 580. La presencia de ejemplares con la leyenda Emerita Victor, señala que al conjunto se sumaron piezas acuñadas en Emérita a partir de 582, cuando se produce el definitivo control de la ciudad por Leovigildo. Es en ese momento, ó en el periodo inmediatamente posterior, con anterioridad por tanto a la generaliza-ción de los tipos de busto en anverso y reverso, que se sitúa en el 584, cuando se produce la ocultación. En cualquier caso, coincide con el esquema planteado anteriormente en el que el proceso de organización estatal, que incluía la reor-denación monetaria, se realizó principalmente desde el centro peninsular y el sector noroccidental, a partir de una serie de conjuntos urbanos controlados por el Estado.

3. Los Hallazgos Numismáticos en Reccopolis (s. vi-ix d.C.)

3.1. El tesoro de Reccopolis

Se ha recuperado en contexto estratigráfico un importante conjunto numis-mático de los siglos vi y ix d.C. La mayor parte de la piezas encontradas se circunscriben, sin embargo, al periodo comprendido entre el último tercio del siglo vi y la primera mitad del vii d.C, coincidiendo con una prolongada fase de articulación y éxito de la ciudad. El depósito monetario que ha merecido un mayor interés por los investigadores, ha sido el conocido Tesorillo de Zorita de los Canes ó Reccopolis, localizado en 1945, durante las excavaciones de J. Cabré y Aguiló (Cabré 1946, 1947; beLtrán viLLagrasa 1953; barraL i aLtet 1976, p. 86-92) (figuras 4-5). Su localización se produjo en una estructura de planta rectangular identificada como baptisterio, en el ángulo noroccidental de la iglesia del conjunto. Se trata de un ocultamiento de finales del siglo vi d.C., formado exclusivamente por 90 tremises. El conjunto monetario representa un momento de transición en las series emitidas por Leovigildo (568-586 d.C.), previo a la producción de piezas que presentan en reverso cruz sobre gradas (CSG).

Desde su hallazgo, la situación contextual del tesorillo generó cierta contro-versia (Cabré 1947, p. 349-356; beLtrán viLLagrasa 1953, p. 177-183), especial-mente por los principios interpretativos elaborados por Cabré. A la dificultad para considerar posible la fundación exnovo de la ciudad en época visigoda por parte del excavador, se unen otros elementos que han puesto de manifiesto las intervenciones recientes. El dato más significativo que están aportando las nuevas

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Figura 4 - Reccopolis. Hallazgos monetarios en contextos de los ss. vi-vii d. C.

excavaciones, ha sido la divergencia cronológica con la estratigrafía descrita por Cabré, y el lugar dónde se encontró el conjunto. El hallazgo monetario se situó, de acuerdo a lo descrito en la década de los 40, en un estrato de naturaleza arcillosa (figura 5), sin contenedor alguno, en los depósitos superiores de la secuencia estratigráfica (Cabré 1946, p. 38-41).

Cabré incluyó el hallazgo en su explicación general de la iglesia, levantada en dos fases constructivas (oLmo enCiso 2008, p. 31-32). La primera de ellas integrada por un sencillo edificio de una sola nave, que situaba cronológicamente en la segunda mitad del siglo iv d.C., a la que se asociaba una pavimentación de opus signinum. Posteriormente, el templo sufrió una profunda ampliación durante el siglo vi, convirtiéndose en una construcción de tres naves, siendo interpretada como de culto religioso arriano. Entre los años 580-583, según Cabré, se produciría un incendio generalizado, que además conllevó su destrucción (Cabré 1946, p. 48). Ése sería el momento de ocultación del tesorillo.

La mayoría de los investigadores que se han ocupado con posterioridad a Cabré del conjunto monetario (G. C. Miles, P. Beltrán, X. Barral i Altet), plantean una fecha de ocultación en torno al 578-579, que es por tanto coincidente con las fechas de la fundación de Reccopolis. Asimismo, otros investigadores plantea-ron pronto dudas sobre la periodización de la iglesia (Torres Balbás, Raddatz,

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Figura 5 - Hallazgo del Tesorillo de Reccopolis. Revisión crítica.

Cabré, 1946; oLmo enCiso, Castro Priego, en prensa

Trabajos arqueológicos 1944-1946 (IPHE)

Palol, Vázquez de Parga). Sin embargo, las excavaciones que se vienen desa-rrollando desde la década de los 80 del pasado siglo, han permitido desmontar definitivamente gran parte de los argumentos defendidos hasta entonces. En estos nuevos trabajos se ha comprobado la inexistencia de dos fases constructivas en el edificio religioso, tratándose todo él, a partir del análisis de las uniones de las cimentaciones, de un único proyecto levantado contemporáneamente (oLmo enCiso 1988, p. 163-164).

Asimismo, la contextualización estratigráfica proporcionada por la investiga-ción actual ha permitido identificar cómo la fase de incendio y ruina del edificio, adscrita por Cabré a los años 580-583, corresponde en realidad, a un momento de ocupación bajomedieval, tal como atestiguan sus materiales. Esta última, producirá una profunda alteración en el yacimiento y reconstruirá parcialmente la iglesia de época visigoda, con un tamaño menor, entre los siglos xiii y xv. Ante esta situación surge un nuevo interrogante ¿Es posible, sin embargo, la existencia de un conjunto monetario sin intrusiones del siglo vi d.C., deposi-tado en un contexto del siglo xii-xiii d.C.? (Castro Priego 2008, p. 135).

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La revisión estratigráfica se ha confrontado además, con los testimonios de los trabajadores que participaron en la excavación de los años 40, y una revisión crítica de la estratigrafía, con la excavación de las áreas inmediatas próximas. Todo ello, permite afirmar que el tesoro se encontraba en una situación contextual anterior a la descrita por Cabré. En realidad, inmediatamente por debajo de la pavimentación de opus signinum de la posible sala bautismal de la iglesia, y formando parte del conjunto de estratos vinculados a su levantamiento. El hallazgo del tesoro se produjo durante las tareas de rotura del pavimento, que fue eliminado en amplias áreas, con el fin de detectar las hipotéticas construc-ciones de época romana (figura 5). Con esta corrección estratigráfica del hallazgo del tesorillo, que coincidiría en realidad con la construcción original de la iglesia en el siglo vi d.C., surgen a partir de esta revisión nuevos interro-gantes. Si consideramos que fue depositado durante el proceso de articulación del edificio, se le dota de un valor alejado de la mera acumulación monetaria. Predominaría así un nuevo significante, su formación como depósito fundacional (oLmo enCiso y Castro Priego en prensa).

Algunas de las características tipológicas del tesorillo también apuntan en ese sentido. El conjunto es “extraño” en el contexto de los hallazgos monetarios del siglo vi y vii en la Península Ibérica (figura 6:1). Fundamentalmente por su propia estructura, formada por piezas de diversa procedencia. Por un lado, los tipos preleovigildianos, producidos a lo largo del siglo vi d.C., (tomasini 1964, p. 248-251), la mayoría de ellos imitaciones de los tremisses acuñados por los emperadores bizantinos Justiniano (527-565) y Justino II (565-578) que han sido identificados tradicionalmente como emisiones visigodas. A este conjunto debemos añadir, además una pieza sueva de la serie Latina Munitas, emisiones merovingias (3), (barraL i aLtet 1976, p. 87), bizantinas peninsulares (barLett et alii 2011, p. 376) y acuñadas ya bajo el gobierno de Leovigildo (series Inclitus Rex, CVRRV). El número de tremises externos a la acuñación visigoda repre-sentan un 7,77 % del total del conjunto. Un porcentaje reducido, aunque signi-ficativo. Esta unión de piezas de diversa procedencia no ha tenido similitud con otros hallazgos peninsulares. No sólo por su heterogeneidad sino también por la distancia de los centros productores de éstas. La diferente composición del tesorillo de Zorita de los Canes con respecto a los relativamente contemporáneos de Real de la Jara (Sevilla) y La Hermida (Santander) (barraL i aLtet 1976, p. 82-86), reflejan una diferente accesibilidad de tipos en la formación de los conjuntos. Todo ello, sugiere interesantes alternativas. Por un lado, un corolario de piezas que respondería a motivaciones ideológicas ó políticas en la forma-ción del conjunto. Por otro, se trata de piezas que llegaban a Reccopolis en el momento fundacional de la ciudad, lo que demostraría unas características en la circulación monetaria anómalas con respecto, a los rasgos del resto de los depósitos monetarios de los siglos vi y vii d.C. en la Península Ibérica, caracte-rizados por la reducida intrusión de piezas externas, y un sistema monetario relativamente cerrado (metCaLf et alii 1992, p. 77).

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3.2. Las actuaciones arqueológicas recientes: los hallazgos monetarios

Los tremises hallados con posterioridad al periodo comprendido entre 1944-1946, se han recuperado tanto en el momento fundacional de la ciudad (s. vi) como en las ocupaciones posteriores (figuras 4, 6). Asociado a la fase de articula-ción y organización del área industrial y productiva que se ha mencionado con anterioridad, se ha recuperado un tremís de época visigoda, emitido entre el 580-586 a nombre de Leovigildo, con ceca Elvora2 (figuras 4, 6:3). La aparición de la moneda se produjo durante la excavación de la base de uno de los pavimentos de los espacios de tránsito o adarves del área industrial. Se localizó en la inter-facies de contacto entre un estrato de arcilla apisonada que realizaba propia-mente las funciones de suelo, y en la base de cal ó preparado que servía de asiento. Esta moneda aporta una información interesante, no sólo por su locali-zación estratigráfica, que debemos situar a finales del siglo vi d.C., siendo relativamente contemporánea del Tesoro de la C/Holguín de Mérida (mateos et alii 2005), sino también porque subraya de la intensidad del proyecto de cons-trucción de Reccopolis. Poco tiempo después de la ocultación del tesorillo que se documenta en la iglesia (Cabré 1946), se está produciendo la preparación y urbanización de las áreas inmediatas, lo que sugiere que la primera articulación de la ciudad se produjo en poco tiempo, dentro de un programa constructivo intenso y continuo a partir del 578 d.C.

En 1998, se produjo el hallazgo de un nuevo tremís merovingio, que se suma a los tres que forman parte del tesorillo localizado en 1945. Su hallazgo se produjo en un edificio perteneciente a una segunda fase de reformas y ampliaciones del conjunto palatino. La moneda fue acuñada durante el gobierno de Chariberto II3 (629-632) (figuras 4, 6:2), y se engloba dentro del conjunto de emisiones aquitanas realizadas durante el primer tercio del siglo vii. Apareció en el relleno de la fosa de cimentación de la fachada exterior de un edificio de 40 × 10 m., que cierra el conjunto palatino por su lado oriental. Tal como están poniendo de manifiesto las actuales excavaciones, el proyecto de plasmación material del conjunto palatino no finalizó a finales del siglo vi, sino que se extendió durante la pri-mera mitad del siglo vii, unificando el conjunto septentrional con la basílica. El conjunto de tremises merovingios hallados confirman la llegada de tipos externos a las acuñaciones visigodas, aunque dentro de las áreas limítrofes del regnum visigothorum, como es el caso del Suroeste de la Galia. Aquitania, y las zonas próximas representan también el área de mayor concentración de tremises visi-godos del siglo vii en la Galia, al margen de la Septimania (Lafaurie, PiLet Lemière 2003, p. 258-260). Se trata por tanto de un área de influencia directa y de contactos político-económicos entre el reino merovingio y visigodo.

2. Miles, 36a. Peso 1,30 grs.3. Belfort 755, Bourgey t. 171 var (staHL 1994). Peso 1,21 grs.

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Junto a la circulación y atesoramiento de tremises, uno de los aspectos más interesantes es la contemporaneidad en el uso de bronces tardoantiguos − AE 2 y AE 4. El conjunto de las monedas bajoimperiales aparecidas se han localizado en la fase de planificación urbanística inicial (figuras 4 y 6A:4). Aparecieron en una pequeña ocultación, contemporánea de la construcción de la ciudad, en la que se había producido una significativa concentración de metal. Se entremezclan clavos, agujas, restos óseos vinculados a la actividad textil, y dos AE2 de tipo constantiniano, uno de ellos fragmentado, que señalan la reutilización de ejem-plares tardoantiguos4 a finales del siglo vi d.C. Una situación bien conocida en el Levante peninsular, que demuestra que el abastecimiento de piezas de pequeño valor se producía fundamentalmente por el mantenimiento en circulación de las piezas romanas, mayoritariamente del último tercio del siglo iv y v d.C., junto a tipos bizantinos, que, sin embargo, son poco frecuentes más allá de las zonas costeras (marot 2002). Asimismo y en contextos estratigráficos posteriores, pertenecientes a la segunda mitad del siglo vii se ha recuperado otro AE2 ilegible, a los que se debe sumar ya en estratos fechables en el siglo viii d.C. un antoni-niano de M. Probo5 (276-282) (figura 6B:5), y un as acuñado bajo el gobierno de Calígula en Caesaraugusta, en espacios domésticos de la primitiva fase islá-mica. A estos hallazgos se suman los referidos por Cabré (Cabré 1946, p. 43), que destacó el hallazgo de piezas de Graciano (359-383 d.C.) en la iglesia, lo que le sirvió para mantener el origen bajoimperial de la construcción.

La contextualización estratigráfica de piezas tardoantiguas en yacimientos de época visigoda no es frecuente, pero es significativa en algunos asentamientos urbanos. C. Doménech y S. Gutiérrez (doméneCH beLda y gutiérrez-LLoret 2005) subrayaron hace algunos años la continuidad de la circulación de tipos tardoantiguos en la fundación visigoda y emiral de Ello-Tolmo de Minateda (figura 1). Su posición geográfica, resultó estratégica para los intereses del Estado Visigodo, dentro del paulatino avance y organización del sureste peninsular, durante el primer tercio del siglo vii, frente al territorium bizantino. Aunque de origen altoimperial, sobrevivirá marginalmente a lo largo de los siglos iv- vi d.C., hasta que se produzca la instalación de una nueva sede arzobispal en el siglo vii d.C. Es frecuente la documentación estratigráfica de cobres tardoantiguos junto a ajuares domésticos en los contextos del siglo vii d.C. Un antoniniano de Claudio II el Gótico acuñado entre el 268-269 d.C., se recuperó sobre el pavimento de una de las casas de época visigoda, y un radiado oriental emitido entre el 295-307 d.C., en la fase de transición de la única puerta excavada hasta la fecha, entre época visigoda e islámica (finales del s. vii-inicios del viii). La secuencia estratigráfica ha confirmado también que, para el área donde se estructura el barrio islámico por encima de la antigua basílica de época visigoda, con una cronología entre el siglo viii e inicios del ix, el 85,84 % del numerario registrado son todavía bronces y cobres tardoantiguos (doméneCH beLda y gutiérrez-LLoret 2006, p. 365-366).

4. AE3 y AE4. Peso 1,4 grs. (fragmentado) y 1,6 grs.5. RIC 862h. Peso 3,5 grs.

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Figura 6A - Reccopolis, contextos numismáticos 2/3 vi-1/2 vii d.C.

Figura 6B - Reccopolis, contextos numismáticos 2/3 viii d.C.

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Figura 6C - Reccopolis, contextos numismáticos 1/2 ix d.C.

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3. 3. Los contextos numismáticos de Reccopolis en los siglos viii-ix d.C

En un contexto nuevo, alejado ya de la ciudad de los siglos vi-vii, Reccopolis se va a convertir en un extenso asentamiento de época andalusí a lo largo del viii y primeras décadas del ix d.C. Se observa en este momento, un paulatino proceso de concentración de la población en la parte alta del cerro, con la arti-culación de viviendas sobre las áreas industriales y habitacionales de época visigoda, y una reestructuración del conjunto palatino convertido en un espacio fortificado (figura 6B-C), en un proceso con paralelismos con la Vega Baja de Toledo y Ello. Es en esta situación, que se conforma definitivamente a finales del siglo viii d.C., cuando se combinan hábitats con sencillo zócalo de mampostería y muros de tapial, con cubierta de teja ó vegetal, junto a una intensa división de los espacios habitacionales e industriales previos. En este periodo de la secuencia estratigráfica, se han localizado varios feluses anda-lusíes de primera época (figura 6B:76), en un contexto del finales del s. viii d.C. − inicios del ix, en el espacio abierto inmediato al conjunto palatino (u.e. 17417) y en silos ó fosas de almacenamiento, confirmándose la profunda alteración de los contextos de época visigoda y la readecuación de las estructuras anteriores a una realidad doméstica. En esta fase de amortización, y en uno de los rellenos de las fosas-silos vinculados a la extensión de espacios de almacenamiento agrícola, se ha encontrado un tremís acuñado bajo el gobierno del rey Tulga7 (639-642) (u.e. 16019) (figura 6B:6). Se ha considerado la formación de éste depósito arqueológico, como resultado de la remoción antrópica de otros previos, y por tanto alejado de una circulación monetaria que incluyese los tremises durante el gobierno de los primeros emires. La moneda se presenta en un contexto claramente secundario y posiblemente como resultado la alteración de contextos arqueológicos próximos.

Poco después, en el primer tercio del siglo ix, se produce una intensificación de la amortización de gran parte del conjunto, y empiezan a documentarse estructuras habitacionales en material perecedero, sobre las ya expoliadas. (oLmo enCiso 2011, p. 42-46). En este momento comienzan a documentarse los primeros dírhems acuñados bajo el gobierno de al-Ḥakam I (796-892) y ‘Abd al-Raḥmān II (822-852), de los que se han recuperado varios ejemplares, junto a feluses8. De ellos, destaca especialmente un ejemplar perteneciente al año 197 H. /812 d.C., ceca al-Andalus9 (figura 6C:9), que se localizó en el pavimento de

6. Frochoso Grupo II-a, Walker 683, Miles 26. Peso 2,30 grs.7. 1,30 grs. Ceca Córdoba. Miles 306b.8. Vives 218. Peso, 1,6 grs. Se trata de un tipo muy común, que Vives en el siglo xix consideró su

acuñación durante el gobierno de ‘Abd al-Raḥmān II (822-852). Sin embargo son emisiones todavía poco conocidas a partir de contextos arqueológicos, y posiblemente se produzcan entre finales del siglo viii y la primera mitad del siglo ix. A todas luces se trata de series más ligeras que las que caracterizan el siglo viii (doméneCH beLda 1994).

9. 2,4 grs. Vives 103 var, Miles 88f. No presenta ornamentación en reverso.

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una de las cabañas en el área inmediata al acceso del recinto palatino (u.e. 9616), durante época islámica. La pequeña estructura de 4,30 × 3 m. coincide con la definitiva amortización de las áreas inmediatas, y confirma que contemporá-neamente a su aparición, gran parte de los edificios de época visigoda ya habían desaparecido. A principios del siglo ix d.C., por tanto, hay zonas del yacimiento que han comenzado a desmantelarse, expoliarse, o simplemente cubrirse mediante un potente estrato de arcilla10. Todo ello, asociado a un hábitat, coincidente con la readecuación de amplias áreas, para su empleo agrícola.

La recuperación de tremises en contextos de amortización, con una datación a lo largo del siglo viii d.C., no es un proceso nuevo, y está documentado en varios yacimientos del centro peninsular como Melque (CabaLLero zoreda et alii 2003), ó la Vega Baja de Toledo (gaLLego garCía 2010, p. 322-326). Frente a su presencia significativa, aunque reducida en estratigrafías del s. viii d.C., es extraña la localización de tremises en depósitos del siglo ix d.C., lo que subraya su lento drenaje, y la aceleración de su desaparición unida a la extensión del sistema fiscal andalusí a lo largo del viii d.C.

4. La ciudad y su territorio: Hallazgos numismáticos de época visigoda en el territorium de Toledo y Reccopolis

En los últimos años, el número de tremises -el único tipo monetario acuñado por el Estado visigodo en el siglo vii − se ha duplicado con respecto a los datos manejados por Miles en la década de los 50 del pasado siglo (miLes 1952), principalmente por la información aportada por grandes corpus de conjuntos, descontextualizados arqueológicamente (viCo et alii 2006; PLiego vázquez 2009). Sin embargo, la interpretación general de los grandes hallazgos, ó tesoros que analizó Barral i Altet (barraL i aLtet 1976) hace ya cuatro décadas, no se ha visto significativamente alterado, ni tampoco las pautas interpretativas sobre ellos. El estudio de Barral, que tuvo como base principal hallazgos del siglo xix y primer cuarto del siglo xx, subrayaba la ausencia de conjuntos monetarios en las ciudades, frente a la concentración primordialmente en contextos rurales.

Afortunadamente, el área inmediata a la capital Toledo, ó de manera más concreta, su extremo oriental, lo que actualmente correspondería con las provincias de Cuenca, Madrid, Guadalajara y Toledo, están aportando nuevos indicadores sobre la circulación de los tremises y su relación con los contextos arqueológicos. Se trata de una gran área de 3 000 km² en la que se han identificado dos cecas − Toledo y Reccopolis −, con una distancia entre ellas de aproxima-damente 110 km (figura 7). Ambas, con una evolución diferente. Toledo emitirá moneda durante todo el reino visigodo de Toledo, aumentando su centralidad

10. En algunas áreas con un grosor superior a 1,10 mts.

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Figura 7 - La estructuración del territorio en torno a Reccopolis.

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regional tras la reforma en la organización de las cecas efectuada por Recesvinto (649-672). Reccopolis, tal como hemos descrito, mantuvo una ceca activa espe-cialmente durante el gobierno de Leovigildo (568-586) y Recaredo (586-601) (Castro Priego 2010), aunque, su peso disminuye a lo largo del siglo vii d.C.

En las proximidades de Toledo y Reccopolis permaneció un importante grupo de ciudades, la mayor parte de ellas con un origen previo de época altoimperial y tardoantiguo, que se convirtieron en sedes episcopales. Lo que demuestra su continuidad dentro del entramado social y económico del reino visigodo. Sin embargo, la mayor parte de ellas no contaron con ceca. Ejemplo de ello, serían Segobriga, Segontia, Valeria, Arcavica y Complutum. Todo ello, parece corresponder a una estructura fiscal y de redistribución más compleja de lo que suponíamos hasta ahora, que tenderá a transformarse a partir del IV Concilio de Toledo (633 d.C.), estrechándose la colaboración con la Iglesia en el proceso recaudatorio, que ya se observa a finales del siglo vi d.C. (barCeLó, retamero 1996, Castro Priego 2011, p. 229-230).

Las distintas intervenciones arqueológicas que se vienen efectuando en los asentamientos rurales del área de estudio, han permitido defender un hiatus en el proceso monetario, que según los registros estratigráficos no alcanzan más allá de la primera mitad del siglo v d.C. El proceso monetario se considera así, cerrado a partir de ese momento hasta los inicios del siglo viii d.C., en que vuelve a aparecer como forma de tesaurización, coincidiendo con la desestruc-turación del Estado Visigodo, y el surgimiento de al-Andalus (vigiL esCaLera- guirado 2011, p. 192). Esta interpretación, que se mantiene actualmente, reduce el fenómeno monetario de los siglos vi-vii d.C., a la circulación de los tipos en oro, los tremises como tipos propios del estado visigodo y de naturaleza superestructural. La circulación monetaria, queda así, al margen del proceso explicativo general que la arqueología está aportando a la organización social del reino visigodo en el centro de la Península, considerándose como un mero accidente ó distorsión del registro arqueológico. Esta visión, sin embargo adolece de un marcado reduccionismo y todavía no ha podido ofrecer un modelo que permita entender las relaciones sociales y económicas entre el mundo rural y urbano.

Una prueba de esta polarización entre áreas con hallazgos monetarios y otras en las que está ausente, es la excavación de la extensa área urbana de la Vega Baja en la ciudad Toledo (figura 7). Se trata de un amplio espacio de 90 ha., en las proximidades del curso del Tajo donde se situó la expansión de la capital del estado visigodo a lo largo de los siglos vi y vii d.C. La consolidación de esta área y los motivos que conllevaron el surgimiento de un extenso arrabal son todavía difusas. Aunque se ha señalado la imposibilidad de expandir un nuevo programa arquitectónico e ideológico en la orografía accidentada del antiguo núcleo romano (oLmo enCiso 2010). Las excavaciones que se vienen produciendo desde el año 200011, han permitido identificar la intensidad del programa

11. Éstas han sido detenidas abruptamente a lo largo de 2009 y 2010.

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constructivo y la expansión de los suburbia, mencionados reiteradamente en los textos conciliares (oLmo enCiso 2007, p. 253). Las intervenciones arqueo-lógicas indican la transformación de algunas áreas del yacimiento a lo largo del siglo vii-viii, en áreas productivas y habitacionales. Durante el siglo ix se extiende el expolio del conjunto, coincidiendo con el comienzo de su abandono (gaLLego garCía 2010; oLmo enCiso, Castro Priego en prensa). La Vega Baja de Toledo ha aportado ya, un amplio número de tremises de época visigoda, junto a elementos relacionados con el intercambio y peso de metal, vinculados a actividades comerciales, como son la recuperación de ponderales y restos de balanzas.

En los últimos años al “tesoro de Toledo”, una pequeña ocultación formada por seis piezas con una cronología entre 680-702 d.C., recuperado en 195712 (barraL i aLtet 1976, p. 130-132), debemos sumar el hallazgo de un nuevo tesorillo de treinta tremises con piezas de Leovigildo (572-585), Suintila (621-631), Sisebuto (612-621), Sisenando (631-636) y Chintila (636-640) (vv. aa. 2007, p. 520; CabaLLero garCía, maquedano, sánCHez 2010). Su ocultación ha sido fechada a finales del siglo vii, aunque queda por resolver su posición estratigráfica definitiva. En otros contextos avanzados del siglo vii ó inicios del siglo viii a lo largo del yacimiento, han aparecido otros tipos monetarios acuñados en época visigoda. El primero de ellos, emitido bajo el gobierno de Wamba, ceca Emerita. Fue recuperado, genéricamente, “por debajo de los niveles de inhumación de cronología islámica” (garCía-Lerga 2012, p. 26), durante la fase evaluativa de las características del yacimiento. En un contexto avanzado del siglo vii (u.e. 80068), en un área doméstica, de habitación, se recuperó una nueva pieza acuñada a nombre de Suintila, ceca Córdoba13. En posición secundaria se ha recuperado una moneda de Suintila, ceca Tarraco (garCía Lerga 2012, p. 43), y otro ejemplar acuñado bajo el gobierno de Tulga, y con similar oficina, que se detectó en contextos bajomedievales en las proximidades del área 10 000 (gaLLego garCía et alii 2009, p. 131; oLmo enCiso, Castro Priego en prensa). Se conoce también la localización de un tremís de Leovigildo al sur del yaci-miento, sin posición estratigráfica definida y otra pieza de Suintila, ceca Tarraco, en niveles superficiales (garCía Lerga 2012, p. 43).

El hallazgo más interesante, junto a la aparición del tesoro de finales del siglo vii d.C., ha sido la localización en un mismo contexto estratigráfico, de la primera mitad del siglo viii, de feluses y tremises. Su hallazgo se produjo en el área 10 000, que incluye dos edificios de planta trapezoidal, con una

12. Está integrado por piezas de Ervigio (680-687), ceca Toledo; Egica (687-702), representado por monedas de Gerunda, Egitania y Narbona, y de Egica-Wittiza, durante el periodo de asociación de ambos al trono (700-702), acuñadas en Tarragona (3) y una en Gerunda (benagues 2008).

13. Los resultados de la intervención de la campaña de 2010 permanecen inéditos. Agradezco la información proporcionada por uno de los directores científicos, Lauro Olmo Enciso, y una de las arqueólogas responsables, Mª Mar Gallego García.

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secuencia estratigráfica desde mediados del siglo vi a época emiral (s. ix) (gaLLego garCía 2010, p. 324). Uno de ellos, (edificio 1), formado por cuatro crujías, se encuentra próximo a una extensa plataforma de opus signinum y una canalización al norte. En el espacio central se ha documentado una estructura de grandes dimensiones que por el momento se limita a 10,60 m. de largo por 4,70 m. en su parte más ancha, y 1,65 m. en la más estrecha (edificio 2). Los primeros resultados en la crujía este del Edificio 1 permiten sostener, que el conjunto, al menos en el tránsito entre los siglo vii y viii d.C., tenía una función principalmente productiva. Los datos arqueológicos indican que esta fase de ocupación implicó la compartimentación del interior del edificio y la repavi-mentación del sector norte. Se han observado los restos de un horno de refundi-ción, de pequeñas dimensiones (2,60 × 1 m.), en torno al cual se concentraban escorias metálicas (hierro y bronce) y vidrio. En la zona abierta inmediata a la crujía y en contextos estratigráficos contemporáneos a la estructura productiva, se han recuperado dos especímenes numismáticos que subrayan la cronología de esta fase. Se trata de un tremís de Ervigio (680-687) ceca Ispalis junto a un felús perteneciente al tipo Frochoso grupo IX-a14 con una cronología de acuña-ción entre el 711-756 d.C. El lote cerámico remite a contextos avanzados de época visigoda, con estrecha relación con otros centros urbanos peninsulares, especialmente Reccopolis, pero también asentamientos rurales como la Vega (Boadilla del Monte, Madrid), ó Gózquez de Arriba (Madrid), que muestra la interacción de las ciudades con su territorio inmediato (gaLLego garCía 2010, p. 322-323).

Sin embargo los indicadores de hallazgos de elementos de uso monetario no sólo se reducen a monedas. Durante la excavación del área 10 000 y dentro de un depósito estratigráficamente plenomedieval15, se han localizado tres pondera-les de bronce de origen bizantino (oLmo enCiso, Castro Priego, en prensa). El primero es un ejemplar de dos uncías y forma circular, equivalente a 12 solidi (54,20 grs.). El segundo, cuadrado, corresponde con 6 nomismata (N S) y un peso de 26,50 grs. Por último, y no asociado a los anteriores, se encontró un último, también cuadrado, con peso de 9,2 grs. que correspondería a dos solidi, teniendo grabadas las letras N, y Beta como numeral dos. Estas piezas, que han sido también halladas en yacimientos de Salamanca, Gerona (Puig Rom) y Segovia (necrópolis de Duratón), merecieron un estudio monográfico de Palol (PaLoL 1949).

Frente a esta relativa presencia de los tremises en época visigoda en las ciudades − Toledo, Reccopolis −, su presencia es, poco significativa, en el resto del territorio del centro de la Península. Sin embargo, existen algunos indicios, que subrayan su circulación en determinadas áreas. Algunas de ellas, ítems importantes del

14. U.e. 10453, Felús Emirato Dependiente al-Andalus (711-756 D.C.). Peso, 1,91 grs. Frochoso grupo IX, Walker 740. U.e 10453. Tremís Ervigio (680-687 D.C.). Ceca Ispalis. Peso, 1,5 grs. Tipo Miles Tipo C, 409d.

15. U.e. 10303.

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territorio entre los siglos iii-v d.C., profundamente transformados a lo largo de los siglos v-vi, conformándose en su entorno hábitats dispersos a lo largo de varios kilómetros, coincidiendo con las vías principales de comunicación. Ejemplo de ello sería el yacimiento de la Algarga, (Illana, Guadalajara) (figura 7). En este último, se localizó recientemente un tremís de Égica, ceca Córdoba, formando parte del ajuar de un enterramiento infantil en cista16, y cubierta en lajas de arenisca (Vara Izquierdo y Martínez Peñarroya en prensa). Para el sellado de la tumba se utilizó una cuidada argamasa de cal. La cronología del enterramiento se sitúa a principios del siglo viii. Posiblemente formase parte de una necrópolis más extensa, ya destruida, ya que las inmediaciones del área se encuentran urbanizadas desde los años 70 del siglo xx.

En el área suroccidental de la provincia de Cuenca − Osa de la Vega − se ha localizado un interesante tesoro formado por 15 monedas acuñadas bajo Witiza, Égica-Witiza y Ervigio, junto a una pieza de Leovigildo (bernárdez, guisado 2005) (figura 7). El tesoro recuperado en el interior de una mina de lapis specularis, apareció asociado a un área de enterramiento, reutilizando la antigua mina altoimperial, de época visigoda. Su ocultación se ha vinculado a la invasión musulmana, fechándose en los inicios del siglo viii. La interpretación de este tesoro, junto a los dos aparecidos en la Vega Baja, y la frecuencia de tipos de finales del siglo vii e inicios del viii indican un periodo corto circulación de la moneda, antes de su fundido y reacuñación, dada la escasa presencia de tipos anteriores al 640. Sólo así se explica el predominio de piezas de Ervigio, Égica y Witiza, en contextos arqueológicos de finales del siglo vii y primera mitad del viii d.C.

Dentro de la parquedad de hallazgos, destaca la localización de un número reducido de asentamientos que aunque insertos en el ámbito rural, presentan particularidades que los identifican como posibles centros aristocráticos. Uno de ellos es el yacimiento de la Vega (Boadilla del Monte, Madrid) (figura 7) se trata de una pequeña explotación agropecuaria levantada a mediados del siglo vii, con continuidad en la primera mitad del viii (vigiL esCaLera-guirado 2007, p. 269). Se sitúa en las proximidades de una villa tardoantigua próxima (La Pingarrona) que empleará como cantera y abastecimiento de material constructivo. La intervención arqueológica ha mostrado una paulatina extensión del asenta-miento, organizándose en torno a un patio central, con varias estancias anexas al este (aLfaro arregui, martín bañón 2007, p. 417). A estas características hay que sumar algunas particularidades desde el punto de vista productivo.

16. Desgraciadamente la excavación no aporta mayor información. Se trató de un enterramiento aislado, aunque los excavadores nos han señalado la existencia posible de un asentamiento de época visigoda en las inmediaciones, lo que puede hacer pensar en una necrópolis de la que exclusivamente se ha excavado su área más periférica. Las recientes intervenciones en la margen derecha del río Tajo han confirmado la intensidad del poblamiento en esta zona con la localización de nuevos asentamientos de época visigoda, como “El Sotillo”.

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Quizás la más significativa sea la ausencia de silos de almacenamiento, que permite visualizar un modelo de provisión de excedentes, diferente al obser-vado en otros espacios agrícolas situados más al sur, dentro del área de estudio (vigiL esCaLera-guirado 2007, p. 269-270). En una de las habitaciones de uso doméstico fue localizada una moneda de oro acuñada bajo el gobierno de Égica/Witiza, ceca Tarraco (Castro Priego 2005, p. 1165). El asentamiento muestra similitudes con otros del área serrana como es el caso de Navalvillar (Colmenar Viejo, Madrid), donde se ha recuperado un dirham acuñado en el 711 d.C., en la ceca oriental de Kirman (abad Castro 2007, p. 396-398). En ambos destaca la organización en torno a un elemento central, patio ó espacio abierto, con una delimitación precisa de espacios funcionales y con áreas de almacenamiento no subterráneas. Tampoco se han detectado espacios cementeriales inmediatos. Todo ello, sugiere inicialmente un proceso evolutivo, y también de densidad demográfica, diferente al de los asentamientos situados en las vegas del Tajo y sus afluentes (vigiL esCaLera guirado 2007, p. 243).

En La Villa del Saucedo (figura 7), Talavera la Nueva (Toledo), también se han producido varios hallazgos monetarios de tremises. Se trata de una gran explotación latifundiaria de los siglos iii-v d.C., de la que se han identificado tres fases de ocupación. Entre principios del siglo iii d.C. y finales del siglo v d.C. se levanta una gran domus con dos complejos termales. A principios del siglo vi d. C., se produce la amortización del asentamiento, levantándose una pequeña basílica, dotada de piscina bautismal, y un área de almacenes inmediata. Varias de las estancias de la villa son transformadas en espacios de uso productivo − se ha localizado una prensa de molino −, con continuidad hasta el siglo viii, cuando se produce su definitivo abandono y destrucción (CasteLo ruano, rodríguez 2003). En el nivel de derrumbe del conjunto productivo (siglo viii) fue locali-zado en 1982, un tremís de Witiza acuñado en Mérida, que aporta una cronología para el momento de abandono del complejo en la primera mitad del siglo viii d.C. También perteneciente al yacimiento, aunque sin posición estratigráfica se ha recuperado otra pieza en oro a nombre de Recaredo, ceca Toledo (CabeLLo briones 2008).

La situación de la moneda del Saucedo tiene claros paralelismos con la amortización de la ocupación de época visigoda, en torno al monasterio de Santa María de Melque, que los excavadores sitúan a lo largo del siglo viii d.C., dentro de una intensa transformación del yacimiento, con la generalización de hogares y áreas domésticas que se asientan sobre los rellenos que cubren los pavimentos monásticos (CabaLLero zoreda et alii 2003, p. 237). Una vez más se trata de un ejemplar acuñado en el periodo final del reino visigodo de Toledo − Égica y Witiza (695-702 d.C.) –. La sistemática presencia en contextos ya emirales, marca el final abrupto de la circulación de los tremises, que parece situarse en torno a mediados del viii d.C. Todo ello coincide con los primeros indicadores del final de los modelos de ocupación del territorio que habían caracterizado el periodo comprendido entre los siglos vi-viii (vigiL-esCaLera guirado 2007, p. 245).

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5. La circulación de la moneda Bajoimperial

Frente a este panorama en el que los indicadores arqueológicos sugieren la fragilidad del sistema monetario ¿existen otros elementos que puedan sugerir una situación diferente, tal como se observa en el área levantina? Las investiga-ciones sobre circulación monetaria en la costa occidental peninsular, inciden en la continuidad durante los siglos vi-vii d.C. y viii de tipos en bronce − moneda bajoimperial, especímenes vándalos y bizantinos (Marot 2002; doméneCH beLda, gutiérrez-LLoret 2006) –. La moneda tardoantigua en contextos de época visigoda en el centro de la meseta no es inexistente. Es cierto, también que la Arqueología ha tendido a justificar su presencia como resultado de la residualidad, y carente, por tanto, de naturaleza monetaria. Existen algunos ejemplos que señalan la continuidad de la moneda bajoimperial, la mayor parte de ellos en enterramientos. Buena prueba son los once ejemplares recuperados en la necrópolis de Cacera de las Ranas, fechada entre mediados del siglo v y vii d.C. La mayor parte de ellos, son ilegibles aunque se han identificado un as de Alejandro Severo, acuñado entre el 221-235 y dos AE2 de Constancio II emitidos entre el 330-350 (ardanaz arranz 2000, p. 281). No es el único caso en cementerios de esta época en el área de estudio, como ocurre con la sepultura 234 de Segóbriga, fechada en la segunda mitad del siglo v, inicios del vi (aLmagro basCH 1975), Carpio de Tajo (riPoLL 1998); ó la necrópolis de Quintano (Mejorada del Campo, Madrid), en la que se recuperó en uno de los enterra-mientos de finales del V-inicios del VI, un bronce bajoimperial (vigiL-esCaLera guirado 2007, p. 261).

Hasta ahora, sin embargo, no se ha localizado una asociación contextual directa entre los ejemplares tardoantiguos y las acuñaciones visigodas en oro. En el caso de Reccopolis en las fases fundacionales de la ciudad, como mencio-namos más arriba, se han recuperado varios AE2 prácticamente ilegibles, de tipo constantiniano y con claros signos de desgaste. A todos estos datos se suman otros hallazgos que empiezan a señalar la continuidad de la circulación monetaria de tipos tardoantiguos en los siglos vii-viii en el interior de la Península, como sucede en la villa del Saucedo en Toledo. En una posición estratigráfica secundaria, perteneciente al espacio de almacenaje, conformado a finales del siglo v inicios del vi d.C., se ha recuperado un antoniniano de Galieno (253-268). Un AE2 frustro tipo Reparatio Reipub, se ha documentado también en un contexto de principios del siglo viii. Su posición, sobre el suelo de una habita-ción, sugiere su circulación en ese momento (CabeLLo briones 2009, p. 695). Junto a ellos, se ha recuperado, en un nivel de derrumbe del mismo conjunto de almacenaje, una ocultación formada por 97 monedas acuñadas entre el 270 y 395 d.C. Aunque su posición estratigráfica permita datarla el siglo viii, aún queda por dar una explicación completa de las circunstancias de su hallazgo y el momento de su ocultación (CabeLLo briones 2009, p. 696-697). La situación en Vega Baja, aunque ha sido posible la localización de tipos bajoimperiales, es todavía poco clara.

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6. Conclusiones

La debilidad en la profundización del panorama de hallazgos planteados por Barral en 1976 para la Península Ibérica (barraL i aLtet 1976), muestra unos indicadores más tenues de los que se conocen para otros circuitos monetarios contemporáneos, como ocurre con la moneda merovingia, con un panorama de hallazgos muchos más amplio (Lafaurie, PiLet Lemière 2003). Los procesos que inciden en esta última cuestión son diversos, y en gran medida como resultado de la ausencia de un eficaz sistema de publicación de los registros numismáticos. La contextualización arqueológica está resultando un eficaz elemento para identificar la estructura social y económica del reino visigodo. Sin embargo, la imagen que sugiere sobre la circulación monetaria muestra demasiadas lagunas. Dentro de esos nuevos interrogantes, los hallazgos de los últimos 15 años señalan la concentración de la circulación monetaria en las ciudades. Son ellas las receptoras del circuito fiscal, y son también los ámbitos en las que junto al modo de producción tributario, se detecta formas de intercambio comercial directo, en el que también juega un papel destacado la moneda tardoantigua, especialmente en contextos del siglo vi d.C.

El número de hallazgos sugiere distintos modelos regionales del proceso monetario en la Península Ibérica, tal como se observa entre Levante y el Interior, pero también entre áreas urbanas y sus espacios rurales inmediatos. Es el centro peninsular el primero en aportar información espacial sobre esta cuestión, aunque con resultados que deben ser matizados por el efecto distorsionador que implica la proximidad a la capital del regnum visigothorum, Toledo. Los datos que hasta ahora conocemos, tienden a confirmar la debilidad del registro numis-mático, no sólo en el caso de la circulación del tremís, sino también de la moneda tardoantigua, en contextos del siglo vi-viii d.C., más allá de hitos urbanos y de asentamientos con fuerte implantación y control del territorio. Su detección no es posible observarla de forma significativa en estructuras habitacionales aldeanas y pequeñas granjas. Un panorama que contrasta con los primeros datos de hallazgos de la moneda de cobre y plata andalusí, a lo largo del siglo viii y ix d.C, mucho más visible.

Reccopolis supuso el mayor ejemplo urbanístico de los objetivos político- ideológicos mantenidos por el primitivo estado visigodo en el último tercio del siglo vi, basado en un modelo de fuerte influencia bizantina. La debilidad de las emisiones monetarias a lo largo del siglo vii d.C., contrastan con la continuidad del impulso constructivo en la ciudad, y la expansión de las áreas productivas. Todo ello, con una continuidad del abastecimiento de producciones anfóricas mediterráneas. La continuidad de tipos monetarios tardoantiguos en contextos domésticos de los siglos vi-viii muestran también la permanencia de la circula-ción monetaria, en ámbitos sociales urbanos, más allá de la élite dirigente. La pervivencia de Reccopolis hasta un momento avanzado del siglo viii d.C., junto a los contextos arqueológicos contemporáneos de la Vega Baja de Toledo, indican el vigor y evolución del estado Visigodo, y la transformación de sus

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modelos urbanos a lo largo de los siglos vi-viii d.C. Pero también el éxito de su modelo fiscal, y de una de sus herramientas primordiales, el tremís como elemento vehicular y de mediación, aunque con una visibilidad material redu-cida, reflejo de un sistema monetario carente de una penetración social amplia.

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