Plan du travail Partie 3 : Conclusion Conclusion INTroduction

EQUIPEMENT IV : ECLAIRAGE

TRAVAIL PERSONNEL DE TECHNIQUE D’éCLAIRAGE

Equipement du bâtiment - Travail personnel de technique d’éclairage - Année académique 2013/2014 - CHAPELLE Célia MA1

Plan du travail

Partie 1 : Intro Table des matières............................................................................1 Introduction.......................................................................................1 Partie 2 : Analyse des photos Rue des Barbelés..............................................................................2 Place du Parc...................................................................................3 Rue de Nimy.....................................................................................4 Grand’Place.....................................................................................5 Rue des Epingliers.............................................................................6 Rue de la Couronne.........................................................................7 Rue Léopold II...................................................................................8 Rue du Chapitre................................................................................9 Rue de la Chaussée........................................................................10 Rue de la Poterie..............................................................................11

Partie 3 : Conclusion Conclusion........................................................................................12

INTroduction

Equipement du bâtiment - Travail personnel de technique d’éclairage - Année académique 2013/2014 - CHAPELLE Célia MA1 1

Dans le cadre du cours d’équipement du bâtiment, un travail person-nel de technique d’éclairage est demandé aux étudiants de Master 1. En soirée, les élèves ont pour objectif de réaliser une série de 10 pho-tos portant sur l’éclairage intra-muros de Mons. Grâces aux notions théoriques présentées en classe par Monsieur Renglet, les étudiants doivent commenter chaque image selon les techniques d’éclairage. L’importance du travail consiste à montrer la transition entre l’éclai-rage ancien et la nouvelle génération. Les ambiances, le rendu de couleurs, la visibilité, la lisibilité, la sécurité ne doivent pas être négligés.

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Place du Parc, 7000 MONS

Lors de mon passage à la Place du Parc, j’ai constaté que l’éclairement est au mini-mum, de faible intensité. En effet, des lampadaires sont positionnés uniquement le long des allées et certains en périphérie, sur les habitations. De plus, les arbres sont monumentaux par rapport aux habitations basses. Ils dominent principalement la place par leur hauteur et par l’éclairage disposé sous leur couronne. Comme on peut le remarquer sur la première photo, une réduction du niveau d’éclairage dans le quartier permet de mettre en avant un élément remarquable, en l’occurence ici le musée de la peinture. La couleur diffuse est de teinte blanche : bon rendu des cou-leurs. On pourrait croire le contraire mais l’éclairage est suffisant selon les coureurs qui empruntent tardivement les allées de la place pour un jogging de fin de journée.

Les sentiers sont visibles grâce à leur revêtement minéral et à leur éclairage qui indique le cheminement à parcou-rir pour se rendre d’un point à un autre de la place. Ce dernier point améliore les vues transversales du site qu’on connait pour être de morphologie pentagonale. Cepen-dant, l’alignement des lampadaires menant au centre de la place peut apporter un manque de cohérence par l’irrégularité des allées dans ce polygone irrégulier.


Photos personnelles prises le lundi 14 avril 2014 à 21:27.

> Type d’éclairage : fonctionnel & culturel - Classement : nouvelle génération

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Rue des Barbelés, 7000 MONS

Le long du boulevard de Mons, nous retrouvons un éclairage plus routier. Ce qui va de soi car il est principalement traversé par des véhicules motorisés. Dans la ville de Mons, il existe une hiérarchie au niveau de l’éclairage. Ici, le long d’un axe important, l’éclairement est plus fort, plus net, les lampadaires sont plus fréquents. Les réverbères se comportent d’une seule source lumineuse mais de forte intensité car on se trouve sur un boulevard. Comme ce dernier est assez large, on retrouve des lampadaires de part et d’autre de la voirie. Un des atout remarqué est la dif-fusion de lumière de la source lumineuse vers le sol. C’est très important car elle doit souligner les différents espaces publics. (voirie-plantation) Le spectre d’émission est monochromatique (un ton orangé) qui a pour conséquence d’avoir un rendu des couleurs assez mauvais. Il y a une nette lisibilité de l’espace : la route est mise en avant. Le revêtement de la voirie est visible et permet à l’automobiliste de ne pas déborder sur les plantations mais d’un point de vue sécuritaire, l’automobiliste visualise difficilement les piétons dans la pénombre sur les trottoirs latéraux. Actuel-lement, seule la voirie est marquée par l’éclairage public, le piéton peut ressentir un sentiment d’insécurité sur l’espace qui lui est dédié. En tant que piéton, on aurait apprécié fortement un éclairage par le sol marquant plus le trottoir et ses usagers.

> Type d’éclairage : fonctionnel - Sorte de lampes : lampes à vapeur de sodium basse pression - Classement : ancienne génération

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Photo personnelle prise le lundi 14 avril 2014 à 21:30.

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Rue de Nimy, 7000 MONS

La rue de Nimy a été rénovée récemment (revêtement de la voirie, espace rue, éclairage..). Le projet était très judicieux car c’est l’unique porte d’entrée vers la Grand’Place par le biais des véhicules motorisés. L’éclairage a été positionné afin d’embellir cette entrée de ville. Comme nous pouvons le constater sur les pho-tos, les lampadaires sont placés au niveau intermédiaire des bâtiments (entre le rez-de-chaussée et le rez+1), alors qu’avant, ils se situaient au dessus du rez+1. Ce changement permet aux étages des habitations d’être préservés de l’éclai-rage public peut-être trop imposant pour certains usagers. On peut donc dire que l’espace public nocturne se réduit à la rue et au rez-de-chaussée des bâti-ments. Il ne s’étend pas au niveau supérieur, laissant une intimité aux habitants. Dé-sormais, on se sent en sécurité dans cette rue, les larges trottoirs amplifient cette sensation de confort. L’esthétisme est un élément majeur pour la rénovation de la rue de Nimy. En effet, les mêmes réverbères sont accrochés aux habitations, les fils électriques sont invisibles, les lampadaires sont situés à intervalles réguliers.. Afin d’apporter un peu de dynamisme, on retrouve également des points d’éclai-rage au sol (LEDs). Ces derniers ponctuent d’avantage un mobilier urbain ou un encadrement de porte. Cet éclairage rasant apporte une touche déco tout en indiquant le passage, la direction à prendre. Les différentes sources lumineuses offrent des tons froids de couleur blanchâtre qui rend l’ensemble très harmonieux.

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> Type d’éclairage : fonctionnel & esthétique - Classement : nouvelle génération

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Grand’Place, 7000 MONS

Sur la Grand’Place de Mons, une scénographie visuelle est mise en place. Elle éclaire de manière précise des bâtiments imposants : l’Hôtel de ville et le théâtre. L’Hotel de ville :- bornes lumineuses dans le sol orientées vers la corniche (une par travée) - la texture différente (teinte verte) du Campanile est soulignée par son éclairage - lumière continue le long de la corniche mais peu pour la toiture (zone ombrée)- projecteurs situés au premier étage illuminant les fenêtres en ogive- le passage sous un porche est renforcé par l’éclairement au pied de l’arcThéâtre royal :- le fronton est éclairé par une lumière tamisée de couleur jaune- les trois portes cochères et les trois fenêtres arquées sont illuminées par des spots éclairant ces éléments du bas vers le haut en les valorisant Grand’Place :- éclairage public via des réverbères doubles écartés de +/- 15m- un rond central en face de l’Hôtel de ville créant une dynamique> Principalement usage des LEDs pour la rénovation. Qu’on se trouve n’importe où sur la place, les édifices sont facilement remarquables. Il y a une bonne in-tensité et un bon rendu de tons froids. Le centre de la ville est souvent le lieu prisé pour les événements. Il est important d’avoir un éclairage suffisant pour assurer la sécurité et l’arrivée d’un grand public. L’ensemble rend l’espace agréable et crée une harmonie parmi tous ces types d’éclairages différents.



> Type d’éclairage : culturel & esthétique - Classement : nouvelle génération

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Rue des Epingliers, 7000 MONS

Nous sommes dans une rue typiquement montoise. Rue à pavés, bordures en pierre, châssis et corniches en bois.. Or, ces différents éléments architec-turaux ne sont pas mis en évidence dans cette rue. Ils sont justement négli-gés par un éclairage provenant des luminaires accrochés aux bâtiments. On pourrait tirer profit de ces éléments en aménageant un éclairage par le bas. Lors de cette prise de vue, on remarque parfaitement un éclairage sur le côté gauche lors de l’avant plan et un éclairage sur le côté droit pour l’arrière plan : création d’un rythme. Ce phénomène attire notre regard vers la profondeur de la rue et accentue l’effet de perspective. Même si un seul côté est éclairé, cela n’augmente pas l’insécurité car la largeur de la rue n’est pas importante. Le rendu des couleurs n’est pas mauvais : une teinte blanche éclairant suffisament la rue.

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> Type d’éclairage : fonctionnel - Classement : nouvelle génération

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Rue de la Couronne, 7000 MONS

Lorsqu’on se situe sur le Marché aux herbes, on perçoit une contradiction avec les rues qui bordent la place. Cette dernière a été rénovée récemment alors que les rues alen-tours sont toujours adaptées à un éclairage ancien. C’est le cas de la rue de la Cou-ronne. Il s’agit d’une vieille rue typiquemment montoise. Elle est caractérisée par des luminaires ancrés aux bâtiments au niveau intermédiaire des habitations. (+/- 3,5m au dessus du sol). Le choix du réverbère est un échec car il diffuse plus de lumière vers le haut, en incluant les étages des habitations à la vie nocturne de la rue alors que l’ob-jectif principal d’un éclairage public est d’éclairer le sol afin de mieux percevoir l’es-pace rue. On peut donc ressentir quelques sensations d’insécurité dans cette zone. La réverbération jaunâtre provoque un mauvais rendu des couleurs. Les lampadaires sont situés en quinconce de part et d’autre de la rue. On remarque qu’ils sont quand même implantés à distance égale les uns des autres (8m). La rue comporte un chan-gement de direction en son milieu qui n’est pas du tout valorisé par l’éclairage de la rue.

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> Type d’éclairage : fonctionnel - Classement : ancienne génération

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Rue Leopold II-Place Louise, 7000 MONS

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> Type d’éclairage : fonctionnel - Classement : ancienne génération

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La rue Léopold II procure un accès piétonnier direct sur la place Leopold, juste en face de la nouvelle gare. J’ai trouvé intéressant de cadrer la Place Louise et la rue Léopold II principalement pour montrer l’importance de l’éclairage d’angle. Ici, il est négligé, on n’a pas de point de repère. Un bon éclairement d’angle permet d’un point de vue sécuritaire de marquer le carrefour, le changement de direction. Il est important pour les conducteurs et les piétons. On se trouve dans une allée plus large avec une voirie centrale, des places de stationnement et des trottoirs agréables. Or, l’éclairage n’est pas en relation avec l’architecture. La rue Léopold n’est pas valorisée par un positionnement en quinconce des lampadaires. Depuis la place de la gare, il y a un énorme enjeu : cadrer des vues sur l’obélisque. Malheureusement, cet édifice n’est illuminé que par un spot situé sur le bâtiment en face et la réverbération des lampes. Comme pour la rue de la Couronne, les lampes réfléchissent une couleur orange et envoyent un mauvais rendu des couleurs. Les sources lumineuses anciennes sont pla-cées trop haut par rapport à l’espace rue. Elles sont de plus fortes intensité sur l’étage (rez+1) des habitations et moindre au niveau du trottoir. Les lampadaires devraient être ancré au dessus des rez-de-chaussée afin d’éclairer au mieux l’espace public.

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Rue du Chapitre, 7000 MONS

Comme l’éclairage de la Grand’Place, celui de la rue du Chapitre met en évi-dence un symbole de la ville : Sainte-Waudru. Un jeu de différentes lumières a été mis en place sur cet édifice considérable. L’escalier monumental est marqué par des bornes lumineuses implantées dans le sol. Elles mettent en évidence la rampe d’accès mais n’éclairent que la portion de voirie située à côté. L’entrée principale est également soulignée par une lumière de couleur différente et formant une croix, symbole religieux pour un bâtiment religeux. Le concept repose principalement sur l’éclairage de certains détails architecturaux, pas sur tout le bâtiment en lui-même. Les portes, les fenêtres, les clochers sont illuminés par des spots diffusant une lumière blanche assez éblouissante. Cette lumière froide attire directement notre attention sur la Collégiale. Un des inconvénients principaux relevés sur le terrain est l’éclaire-ment maximal de l’édifice qui délaisse l’éclairage des voiries proches. En tant que touristes, piétons, automobilistes, les usagers empruntent fréquemment les routes avoisinantes du monument. Il est donc normal qu’elles doivent être mieux traitées et recevoir plus d’éclairage qu’à l’heure actuelle où règne un sentiment d’insécurité. Nous pouvons constater sur les photos que les deux symboles de la ville sont nette-ment plus éclairés que les rues. Le square Roosevelt n’inspire pas trop confiance : les réverbères sont placés sous le feuillage des arbres et n’éclairent pas fort. L’intensité est au minimum et crée des zones d’inconfort dans la pénombre de l’espace vert.



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> Type d’éclairage : culturel & esthétique - Classement : nouvelle génération

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Rue de la Chaussée, 7000 MONS

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La rue commerçante représente un lieu attrayant de la ville de Mons. De jour avec le passage des nombreux piétons et de nuit avec un jeu dynamique de plusieurs lu-mières. En journée, les réverbères, presque invisibles, se fondent dans le mobilier urbain, alors qu’en soirée, ils génèrent un éclairage omnidirectionnel grâce à leurs doubles lampes. Dans la même famille, se trouvent accrochés aux bâtiments, des lampes simples. Tous les deux engendrent une lumière jaune sur les parois des bâtiments alors qu’on préconise une lumière vers le sol. Cependant, on se sent en sûreté dans cette rue. Les différents lampadaires sont nettement espacés mais ne créent pas de zone d’ombre par la présence de vitrines et d’enseignes lumineuses. Contrairement à cet éclairage jaunâtre, un éclairage plus récent, plus blanc, a été positionné en hauteur, sous la corniche des bâtiments éclairant vers le sol. Mis à part les nouvelles lanternes, l’éclairage public de la rue piétonne est assez bas, fortement concentré au niveau du rez-de-chaussée où surplombent les enseignes commerciales. De nuit, les vitrines sont également éclairées et l’ensemble crée une dynamique dans cette rue fortement fréquentée mais provoque des contrastes de couleurs différentes.


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> Type d’éclairage : fonctionnel - Classement : mixité d’ancienne & nouvelle génération

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Rue de la Poterie, 7000 MONS


La rue de la Poterie est relativement importante car elle relie divers symboles de la ville de Mons. En l’occurence, ses extrémités sont la Collégiale Sainte-Waudru et l’emblématique Grand’Place. C’est pourquoi, elle est fréquemment utilisée par les usagers. Bien qu’elle soit une rue clé, les différents éléments architecturaux tels que les porches, les arcs, les baies ne sont pas mis en évidence dans cette zone. Ils sont justement négligés par un éclairage provenant du niveau intermédiaire des bâti-ments. Malgré la nouveauté des réverbères actuels, leur position n’est pas nette-ment réfléchie. Ils sont placés arbitrairement dans l’espace mais ne créent pas for-cément de zones d’ombre, d’insécurité dû à la faible largeur de la rue. On pourrait tirer profit des éléments architecturaux en aménageant un éclairage par le bas. L’éclairage est assez doux, pas imposant et de faible intensité. L’espace rue semble confortable, agréable par les réverbérations de la lumière sur le sol et les façades.Cependant, il n’y a pas de différence de revêtement entre la voirie et les trottoirs, ce qui peut amener à une certaine confusion. Un aménagement par le biais de l’éclairage pourrait souligner l’espace pour les automobilistes et celui pour les pié-tons qui se promènent le plus souvent sur la route dédiée aux véhicules motorisés.

Photo personnelle prise le lundi 14 avril 2014 à 22.21.

> Type d’éclairage : fonctionnel - Classement : nouvelle génération

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Conclusion

Lors de la réalisation de ce travail, j’ai pu appliquer les notions théoriques vues en classe. Avant, je ne tenais pas compte des termes tels que la visibilité, la lisibilité..qui sont liés à l’éclairage de l’espace public. Alors que ces éléments ne sont pas à négli-ger, ils sont souvent oubliés. C’est très important dans la concep-tion d’un nouveau projet. Lorsqu’on conçoit une rue, un parc, un espace public.. ces lieux doivent être suffisament éclairés pour ne pas percevoir de sentiment d’insécurité. Il faut également penser à l’ensemble du site, ne pas réaliser un aménagement sans pen-ser au contexte environnant. C’est pourquoi, je vais d’avantage en prendre compte pour la réalisation de mes futurs aménagements.


Plan du travail Partie 3 : Conclusion Conclusion INTroduction

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