Dimanche 28 mai 1899 - Fashion

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■Quméi^o 22r QUARANTIÈME ANNÉE Dimanche 28 mai 1899 CONTENANT LES DESSINS DE WOOES LES PLUS ÉLÉGANTS, ET DES MODÈLES DE TRAVAUX D'AIGUILLE, ETC. BEAUXARTS NOUVELLES CHRONIQUES LITTÉRATURE. ETC. Toute demande non accompagnée d'un bon sur la poste ou d'un mandat à vue sur Paris, à l'ordre du gérant, sera considérée comme non avenue. PRIX DE LV ÜIODF. lI^I.HSTltÉE Paris, 50, I'tic .fiicol). PARIS, >*EI».E ET SEI^'E-ET-OISE | BÉl'AltTmiEATS 1 l!.'\IO.\' l'OST.VI.E Un au, 12 fr. Six mois, e fr. Trois mois, 3 fi. [ Un an, l-I fr. Six mois, 9 fr. Trois mois, 3 fr. 50. j Un an, la fr. Six mois, S fr. 50. Trois mois, 4 fr. «5 Sommaire. —" DESCRIPTION DE LA (iP.AVURE coLORiicE : Toilette de ma riée. MODES. DESCRIPTION DE LA TOILETTE DE LA PLANCHE COLORIÉE. VARIÉTÉS: Le savoirvivre expli qué. Encadrement en tapisse rie pourtapis de table, escabeaux. Robe de campagne. Coiffures" de mariées. Encadrement pour mou'.lioir; broderie en coton blanc ou S"ie lavable de couleur. liour se; petit sac et chaîne pour pre mière communiante. Dentelle tricotée (grandeur originale). Collet en'drap d'été. Toilette de mariage.—Chapeau Directoire. 'Toilette de mariage. TAPIS SERIE ; Quatrième fauteuil Louis X'VLouis XVI (siège). L'AVO CAT DE LA EAMILLE ; Destitution de la tutelle etdela puissance pater nelle.— PLAISIRS D'HIVER; Le théâ tre de salon. ÉLÉCASCE MASCU LINE : Chemises, cols, cravates.— UEAUXARTS : Les salons de pein ture. LES PEtlTSINSTRUMEKTS DE MUSIQUE ; La mandoline. CHRO NIQUE DE PRINTEMPS. FÊTES A SOUHAITER DANS LA SEMAINE. ME K,j. RECETTES DE CUISINE. REN SEIGNEMENTS. Supplément littéraire. ROMAN Los Fromentier {suite et fin). NOUVELLES ; ChaiRoyal et Castel Fleuri [suite et lin). LES CHA TEAUX DE CARTES. PROPOS DE SALON. DESCRIPTION DE LA GRAVURE COLORIÉE Modèle de M"» Louise Piret rue Richer, 43. Toilette de mariée Robe de satin blanc souple, cor sage drapé devant, col et empiè cement de tulle bouillonné très fin, fichu croisé en tulle drapé, orné d'un double volant bordé d'un biais de satin piqué, un pli de satin pare le fichu de tulle de l'empiè cement bouillonné. Le fichu croisé est retenu du côté gauche par un bouquet d'oranger et le coquille retombe jusqu'à la taille. Jupe unie à traîne ronde. Voici, Mesdames, une poi gnée de petits renseigaements pratiques, dédiés aux femmes industrieuses qui ne dédai gnent pas de tenir ellesmê mes l'aiguille, ou à celles qui, à tout le moins, font exé cuter leurs vêlements chez elles, sous leur surveillance et leur direction. Nous appellerons tout d'a bord leur attention sur le choix des doublures, la forme actuelle des jupes donnant à cette question une grande Toilette de mariée. Molèle de M"« Louise Piret, rue Richer, 43. ( JPatrone découpés \ N" 299. Jupe. N" 300. CorsageJ importance.Les jupescloches, les jupes sans couture der rière, les jupes à lés droits élargis du bas continuent à se doubler en plein, pour la plupart. Nous préférons, pour notre compte, cette prépara tion au système du fond de jupe indépendant, qui alour dit la robe, la rend encom brante, difficile à porter et impossible à relever. La dou blure en plein a l'avantage de soutenir le biais et de re tarder ainsi la déformation et l'allongement qui résultent fatalement de la coupe dite « en forme ». 11 faut que cette doublure ait une certaine consistance, pour favoriser le développement de l'ampleur vers le bas, et donner plus de grâce à l'ondulation dos go dets; mais il est essentiel aussi qu'elle soit suffisam ment souple pour laisser au tissu le moelleux, le flou, qui constituent la caractéristique du costume actuel. C'est évi demment le taffetas qui satis fait le mieux à ces exigences et qui reste, au point de vue de la recherche et de l'élé gance, la doublure sans ri vale ; mais il a l'inconvénient d'être de peu de durée, en même tertips que d'un prix assez élevé ; aussi, hésiteton et renonceton le plus sou vent à faire les frais d'une doublure, aussi coûteuse par fois que la robe même, et qu'on a la perspective de de voir renouveler au bout de quelques semaines. La prévoyance et la raison donnent donc, sans hésiter, la préférence à la Silésienne, laquelle jouit en ce moment d'une faveur exceptionnelle et presque exclusive. Son suc cès, il faut le dire, paraît être mérité; bien supérieure comme solidité à la polonaise et à l'austria, elle joue la soie tout aussi bien, et peut servir de dessous aux lainages légers et transparents, tels que le voile, l'étamine, le barège, etc. Le silkcrin qui, à l'origine, faisait de si agréa ble.=! et si excellentes dou Àk\i,2iKàiS7;^

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■Quméi o 22r QUARANTIÈME ANNÉE Dimanche 28 mai 1899

CONTENANT LES DESSINS DE WOOES LES PLUS ÉLÉGANTS, ET DES MODÈLES DE TRAVAUX D'AIGUILLE, ETC. — BEAUX­ARTS — NOUVELLES — CHRONIQUES — LITTÉRATURE. ETC.

Tou te d e m a n d e n o n a c c o m p a g n é e d 'un b o n s u r la p o s t e ou d 'un m a n d a t à vue s u r P a r i s , à l ' o rd re du g é r a n t , s e r a c o n s i d é r é e c o m m e n o n a v e n u e .

P R I X DE LV ÜIODF. lI^I.HSTltÉE P a r i s , 5 0 , I'tic .fiicol).

P A R I S , >*EI».E E T SEI^'E-ET-OISE | B É l ' A l t T m i E A T S 1 l!.'\IO.\' l'OST.VI.E Un au, 12 fr. — Six mois, e fr. — Trois mois, 3 fi­. [ Un an, l-I fr. — Six mois, 9 fr. — Trois mois, 3 fr. 50 . j Un an, l a fr. — Six mois, S fr. 50 . — Trois mois, 4 fr. « 5

Sommaire. —" DESCRIPTION DE LA (iP.AVURE coLORiicE : Toilette de ma­riée. — MODES. — DESCRIPTION DE LA TOILETTE DE LA PLANCHE COLORIÉE. — VARIÉTÉS: Le savoir­vivre expli­qué. — Encadrement en tapisse­rie pourtapis de table, escabeaux. — Robe de campagne. ­Coiffures" de mariées. — Encadrement pour mou'.­lioir; broderie en coton blanc ou S"ie lavable de couleur. — liour­se; petit sac et chaîne pour pre­mière communiante. — Dentelle tricotée (grandeur originale). — Collet en 'drap d'été. — Toilette de mariage.—Chapeau Directoire. — 'Toilette de mariage. — TAPIS­SERIE ; Quatrième fauteuil Louis X'V­Louis XVI (siège). — L'AVO­CAT DE LA EAMILLE ; Destitution de la tutelle e tde la puissance pater­nelle.— PLAISIRS D'HIVER; Le théâ­

tre de salon. — ÉLÉCASCE MASCU­

LINE : Chemises, cols, cravates.— UEAUX­ARTS : Les salons de pein­ture . — LES PEtlTSINSTRUMEKTS DE MUSIQUE ; La mandoline. — CHRO­NIQUE DE PRINTEMPS. — FÊTES A SOUHAITER DANS LA SEMAINE. — ME­K,j. — RECETTES DE CUISINE. — REN­

SEIGNEMENTS. Supplément l i t t é r a i r e . — ROMAN

Los Fromentier {suite et fin). — NOUVELLES ; Chai­Royal et Castel­Fleuri [suite et lin). — LES CHA­TEAUX DE CARTES. — PROPOS DE SALON.

DESCRIPTION DE LA G R A V U R E COLORIÉE

Modèle de M"» Louise Piret rue Richer, 43.

Toilette de mariée Robe de satin blanc souple, cor­

sage drapé devant, col et empiè­cement de tulle bouillonné très fin, fichu croisé en tulle drapé , orné d'un double volant bordé d'un biais de satin piqué, un pli de satin sé­pare le fichu de tulle de l'empiè­cement bouillonné. Le fichu croisé est retenu du côté gauche par un bouquet d'oranger et le coquille retombe jusqu'à la taille. Jupe unie à traîne ronde.

Voici, Mesdames, une poi­

gnée de petits renseigaements pratiques, dédiés aux femmes industrieuses qui ne dédai­

gnent pas de tenir elles­mê­

mes l'aiguille, ou à celles qui, à tout le moins, font exé­

cuter leurs vêlements chez elles, sous leur surveillance et leur direction.

Nous appellerons tout d'a­

bord leur attention sur le choix des doublures, la forme actuelle des jupes donnant à cette question une grande

T o i l e t t e de mar iée . Molèle de M"« Louise Piret, rue Richer, 43.

( JPatrone découpés \

N" 299. Jupe. — N" 300. C o r s a g e J

importance.Les jupes­cloches, les jupes sans couture der­

rière, les jupes à lés droits élargis du bas continuent à se doubler en plein, pour la plupart. Nous préférons, pour notre compte, cette prépara­

tion au système du fond de jupe indépendant, qui alour­

dit la robe, la rend encom­

brante, difficile à porter et impossible à relever. La dou­

blure en plein a l'avantage de soutenir le biais et de re­

tarder ainsi la déformation et l'allongement qui résultent fatalement de la coupe dite « en forme ». 11 faut que cette doublure ait une certaine consistance, pour favoriser le développement de l'ampleur vers le bas, et donner plus de grâce à l'ondulation dos go­

dets; mais il est essentiel aussi qu'elle soit suffisam­

ment souple pour laisser au tissu le moelleux, le flou, qui constituent la caractéristique du costume actuel. C'est évi­

demment le taffetas qui satis­

fait le mieux à ces exigences et qui reste, au point de vue de la recherche et de l'élé­

gance, la doublure sans ri­

vale ; mais il a l'inconvénient d'être de peu de durée, en même tertips que d'un prix assez élevé ; aussi, hésite­t­on et renonce­t­on le plus sou­

vent à faire les frais d'une doublure, aussi coûteuse par­

fois que la robe même, et qu'on a la perspective de de­

voir renouveler au bout de quelques semaines.

La prévoyance et la raison donnent donc, sans hésiter, la préférence à la Silésienne, laquelle jouit en ce moment d'une faveur exceptionnelle et presque exclusive. Son suc­

cès, il faut le dire, paraît être mérité; bien supé r i ­ eu re comme solidité à la polonaise et à l'austria, elle joue la soie tout aussi bien, et peut servir de dessous aux lainages légers et transparents, tels que le voile, l'étamine, le barège, etc. Le silkcrin qui, à l'origine, faisait de si agréa­

ble.=! et si excellentes dou­

Àk\i,2iKàiS7;^

258 LA MODE ILLUSTRÉE, JOURNAL DE LA FAMILLE.

blures est tout à fait démonétisé, parla faute des fabri­cants ; le tissu qui répondait primitiveaient à cette appellation est devenu introuvable, et, on y a substi­tué des articles dégénérés, de laide apparence et de qualité absolument inférieure. Très heureusement pour nous c le Bengali », tout à fait similaire, est venu le remplacer. Cette nouvelle étoffe à doublure possède tous les précieux avantages qui avaient valu au silkcrin son immense succès; c'est un tissu de coton, mais si brillant, si soyeux, ayant de si jolis re­flets, qu'on regrette de lui voir jouer l'humble rôle auquel il est destiné, et qu'on serait tenté de lui en at­tribuer un plus important et plus apparent. Joignez à cela que a le Bengali », ferme sans être raide ni cas­sant, est bien propre à donner du soutien et de l'appa rence aux étoffes déjà fatiguées par l'usage; à celles aussi dont la qualité un peu inférieure et la mollesse ex­cessive rendraient difficile, impossible même, la coupe nouvelle, si le Bengali n'était là pour sauver la situation. Cette jolie doublure se fait dans toutes les nuances unies et glacées, mais en petite largeur seulement (GO centi­mètres) ; la modicité de son prix complète très agréa­blement l'ensemble de ses qualités (1 fr. 25). Pour les fonds de jupe indépendants, on peut employer, outre le taffetas réservé aux toilettes de luxe, la silésienne et la «: Moirette », jolie moire de coton, ferme et solide, qui est très demandée également pour doubler en plein les jupes-tailleur en forme.

Les doublures sont très rarement, aujourd'hui, assor­ties à la nuance de la robe; la mode les préfère de cou­leurs tranchantes claires et vives : glycine, pervenche, rouge, jaune, bleu.

Les fonds de jupe séparés servent principalement de dessous aux péplums, aux polonaises ouvertes, aux doubles jupes dé:oupées ou drapées ; en ce cas, la jupe de dessus ne se double jamais. Ces fonds de jupe se garnissent sur une hauteur, variant de 40 à 50 centi­mètres, d'un seul grand volant, ou de plusieurs, en forme ou plissés accordéon. Les volants plissés étant tout à fait à l'ordre du jour, il est bon de dire qu'on les monte en les fronçant et qu'il faut avoir soin toujours de tirer l'étoffe à plat pour passer le fil de fronces ; jamais on ne doit laisser un pli formé sous le passage de l'aiguille ; le plissé reste, de cette façon, bien plus léger et bien plus mousseux. Très souvent, dans les fonds de jupe (et dans les jupons) coupés en forme et garnis d'un grand volant, celui ci se pose à faux.

Nous engageons vivement nos lectrices à n'employer que des doublures de bonne qualité, dont la durée puisse être égale à celle de la robe ; el es y trouveront d'abord un réel avantage au point de vue de l'économie; de plus, elles s'épargneront un travail fort ennuyeux et fort compliqué; remplacer la doublure d'une jupe en forme, sans défaire celle-ci et sans la déformer, étant chose difficile, voire même impossible.

Les faux-ourlets en crin ou en mousseline raide sont tout à fait proscrits: celles de nos lectrices qui désire­raient rajeunir et remettre au point iine ancienne jupe, devront donc supprimer tout d'abord cette armature qui n'est plus de mise aujourd'hui. Les revers, les grands cols Médicis, les manchettes-entonnoirs, en revanche, exigent une doublure apprêtée, qui les maintienne bien fermes et les empêche de se déformer; nous conseil­lons pour cet usage la t toile de coton élastique », bien préférable aux toiles de fil, aux mousselines-caoutchouc, et à la plupart des tissus spéciaux préconisés sous des noms pompeux et sensationnels.

La forme des jupes nouvelles impose, hélas! la sup­pression complète de la poche; les couturières restent inflexibles sur ce point et c'est en vain qu'on les supplie et les implore. Dans les jupes croisées seules, dont la fer­meture placée devant est, non simulée, mais réelle et apparente, agrafée ou boutonnée, la poche trouve en­core sa place; elle est même d'un accès facile dont nous étions déshabituées depuis longtemps ; mais dans tous les autres cas, on est réduite à mettre la poche au fond de jupe lorsqu'il y en a un et, à défaut, au jupon: quelques couturières ont imaginé de la placer dans le volant de celui-ci, ce qui nous semble fort peu pratique.

Bref, on s'ingénie à trouver une cachette pour le mou­choir et cette recherche inspire des idées parfois origi­nales; l'indispensable accessoire se glisse volontiers sous la ceinture; ou bien on l'entre dans la manche en comptant sur le plissé ou sur le poignet-?ntonnoir j)our le dissimuler; très souvent aussi on le met dans le porte-carte. Quant à la bourse, il faut se résigner à la tenir à la main ou à l'enfermer, soit dans le petit sac américain tenu par une chainetle, soit dans le ridicule qui donnent alors asile en même temps au mouchoir, mais qui sont embarrassants, ennuyeux àpoi t r, et que l'on court grand risque de semer sur les routes.

Xous recommandons le système des boutons à pres­sion pour la fermeture des jupes; le ruban, dans lequel les deux parties du bouton sont encastrées, se coud aux deux bords de la fente (en dessus, d'un côté, en dessous de l'autre), qui viennent se superposer l'un sur l'autre. De cette façon, la jonction est complète tandis qu'avec les agrafes, qui rapprochent seulement les deux côtés de la fente, l'écart est pour ainsi dire inévitable.

Les manches, très plates et très collantes, doivent ce­pendant se soulever un peu dans le haut, à la monture ; cet effet est obtenu au moyen d'épaulettes en toile élas­tique ou en toile-tailleur, placées dans le haut, entre la toile et la doublure. Ou bien, lorsque les manches sont cerclées de petits plis, on introduit dans deux ou trois un fin laiton, une baleine mince ou une cerclette en plume.

M. THEVENOT.

DESCRIPTION DE LA TOILETTE DE LA PLANCHE COLORIÉE

Modèle de M"" Angenault, rue de Provence, 67. Toilette en drap ideal perforé sur transparent en taffetas bleu-

pastel. Jupe-peplum festonnée au bord inferieur retombant sur une

double jupe en drap perforé sur transparent bleu-pastel. Corsage boulfant, serré à la taille sous une ceinture de taffetas

bleu; le devant s'ouvre sur un plastron en taffetas bleu orne de ganses, encadré par deux volants froncés, festonnés sur le bord.

Manches ajustées, ornées d'un groupe de petits plis et termi­nées par une pointe festonnée.

(Prix de la planche coloriée à part t O fr. 35)

LE SAVOIR-VIVRE EXPLIQUÉ

ffn^'£^f^ ÜCDN sujet, ni celui de l'ameublement, m \sir'^^(À '^^"^^ celui de l'accoutrement, ne me ^ ^ f e 3 r ^ vaut autant de questions que celles con-ÜM\*1\^J cernant le savoir-vivre; leurs motifs sont ^>^^-*^i2*^ d'ordres divers : Jeunes filles privées de

leurs mères, qui auraient pu les initier; jeunes femmes ayant eu peut-être une éducation incomplète, et peut-être établies dans des conditions de fortune supérieu­res à leur éducation; personnes timides à l'excès, scru­puleuses, craignant de manquer à quelque obligation principale; d'autre part aussi, le désir d'être tenues, même sur ce point secondaire, au courant des usages, peut-être changeants, de là mode, tels sont, je crois, quelques-uns des motifs qui alimentent cette corres­pondance spéciale.

Le savoir-vivre n'est pas ce qu'un vain peuple pense ; il ne consiste pas, seulement, en quelques détails exté­rieurs; ses racines plongent plus avant, dans un sol particulier, et il n'est pas une de ses prescriptions, en apparence futile, qui ne se puisse réclamer d'une ori­gine très noble.

D'aucuns font profession de mépriser lesdites pres­criptions, qui, suivant eux, sont puériles, ou bien, en­tachées d'hypocrisie; ceux qui tiennent ce lanj;age, ont certainement de bonnes raisons, fort personnelles, surtout, pour professer cette opinion ; ils pensent que pour démontrer qu'ils sont au-dessus de la puérilité, et aussi, étrangers à toute hypocrisie, il suffit de ne s'astreindre à aucune règle de savoir-vivre, et qu'en un mot, la grossièreté est une attestation d'intelligence et de sincérité.

C'est que, pour eux, le savoir-vivre n'a jamais été expliqué; le jugeant sur ses dehors, ils condamnent et dédaignent quelques-uns de ses préceptes, dont ils n'ont pas pénétré la raison d'être. Or, si l'on veut prendre la peine d'y réfléchir, la moindre de ses pres­criptions, en apparence même la plus futile, procède d'un même principe, lequel est infiniment respectable. Et ce principe est celui-ci : Eviter à ses semblables, tout ce qui pourrait être pour eux une cause de déplai­sir; c'est tout; mais le savoir-vivre tout entier tient dans cette définition, et l'on ne commettra jamais au­cune faute contre ses lois, si l'on veut, dans ses rela­tions, tant mondaines que familiales, se conformer à ce principe.

Quelques-unes de nos lectrices sont elles en posses­sion d'un vieux, fort ancien bouquin ayant pour titre : la Civilité },ui'i-ile el honnêley Ce petit volume vieillot

a souvent donné lieu à des plaisanteries, surtout de la part de ceux qui, passant sous silence le deuxième adjectif de son titre, avaient découvert que le premier de ces adjectifs, donnait la mesure de son contenu. Hé bien ! le volume en main, il n'est pas une seu'e de ses prescriptions naïves, qui ne soit exactement conforme au principe duquel émane le savoir-vivre; sans doute, l'éducation s'est, depuis les origines du volume, ré­pandue sur un public plus nombreux, et l'a rendu moins fruste. Peu de personnes ignorent aujourd'hui qu'il est nécessaire d'éviter certaines attitudes sans gène, quand on se trouve dans une réunion ; cependant, quelques personnes l'ignorent encore, et, beaucoup d'autres n'ont pas encore pénétré le sens de quelques instructions contenues dans ce volume.

Prenons pour exemple la plus insignifiante de toutes (en apparence): quand on a mangé un œuf à la coque, briser sa coquille avant de rendre son assiette — ou bien : casser son pain, et non le couper.

Que signifient ces recommandations? Rien du lout pour les uns.

Erreur : la légère coquil e vidée, non brisée, pour­rait rouler sur le voisin, la voisine, la nappe, le tapis ou le parquet; tous inconvénients préjudiciables aiir autres, qui peuvent être évités, moyennant un soin facile à prendre.

Il en est de même pour le pain co'jpé au couteau ; un éclat de croûte pourrait atteindre l'une des per­sonnes présentes.

Les citations pourraient être nombreuses; j'aban­donne à ceux qui sont en possession de ce curieux petit volume, le soin d'établir le rapprochement que j'in­dique; on ne peut méconnaître que tous les enseigne­ments inscrits à chaque pige émanent du même souci d'éviter à autrui tout inconvénient, tout acciJent, tout aspect déplaisant.

Pourquoi est-il de mauvais goût d'élever trop la voix dans la conversation?

Parce que l'on pourrait impressionner désagréable­ment les assistants, en criant à tue-tête.

Pourquoi est-il interdit de toucher le bras o a l'habit d'un interlocuteur pour fixer son attention, ou appuyer une démonstration?

Parce que cette marque de familiarité pourrait sem­bler déplacée aux uns, et désagréable à ceux qui ne veulent pas qu'on les touche.

Les personnes qui sont les mieux élevées, celles qui savent agir en toute circonstance conformément aux règles du savoir-vivre, sont donc, indubitablement, les personnes qui agiront toujours avec le souci de ména­ger leurs semblables, en leur évitant tout déplaisir; ce soin leur conférera, en outre, un caractère degrande dis-tincion. Voyez les religieuses : par cela même qu'elles s'expriment sans élever la voix, qu'elles ne médisent pas des absents, ce qui pourrait faire craindre aux pré­sents d'être dénigrés à leur tour, quand l'absence exis­tera pour eux, il n'en est pas, qui fassent preuve de vulgarité; sans doute, elles s'inspireront surtout d'un sentiment de charité, en s'interdisant la médisance; mais la sobriété de leurs gestes, la discrétion de leur langage est, en outre, conforme aux règles du savoir-vivre. Celui-ci ne consiste donc pas seulement en quel ques déta Is, en somme peu importants, comme entre autres de se préoccuper de l'envoi d'une carte de visite, ou de la façon la plus dislinguêe de plier la lite carte, en la déposant... Et encore, je me trompe : en s'absfe-nant de plier ladite carte, du côté où l'adresse se trouve inscrite, on évite l'inconvénient de faire disparaître celte adresse, dans le cas où l'angle de la carte serait coupé par le pliage.

Voulez-vous être bien élevé? Pensez aux autres pour leur épargner tout ennui, si léger puisse-t il être.

Voulez-vous ne jamais manquer de savoir vivre? Pensez aux autres pour leur éviter tout déplai!>ir, toute incommodité.

Voulez-vous être — et non pas seulement paraître — aimable? Pensez aux autres, et non à vous; évitez dans la conversation de parler seulement de ce qui vous inté­resse ; vous risqueriez de leur infliger un ennui dont vous pouvez mesurer l'étendue, en songeant à celui que vous éprouvez vous-même lorsque votre interlocutrice ne vous parle que de ce qui l'intéresse personnelle­ment.

EMMELINE RAYMOND.

^• ­IZ. ­ 1899) L \ MODE ILLT STRÉE. JOURNAL DE IA FAMILLE. 259

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D — -CO _BB ao 1 o f t I°S l ' i ; i l I ~ I I c o " Encadrement en tapisserie pour tapis ­ar ­co ­ZJZJZZZZmZno ^e ta'ole, esoateaux, etc. _ _GO BB_ao ' ' ""xxxxx­S:^ ~BBiBB~5 BICO Explication des signes B Bleu loncp. a Bleu Ixxxxxx­co Z» BZB a­Go 1 clair. ^ Chamtis. D Rouge fonce. ■ Noir oli\e. î ^ x x x x x x l c ' I B Bâ a l a o , Hel io t rope fonce I F o n d .

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°8SISBgig<i iS «r: 5rB2 ' Robe de campagne. naaaa-a^ - a a - a o - a o * ^

"ööööölc'^ : " B r " " " : a o Kobe en lainage quadrille bleu acier, iSoSSoolio I*?I I I c o i la jupe est entourée d'un volant en for­­"^$*52*­S'­' ­­­­âS­RX \ me commençant sur les cotes, s'elevant

o o o o o - a ^ B B - C O 1 , j , j j _, a ' BCB­Co J derriere, garni de bandes de drap

Z~ ­a l i " "S lBaB;no 1 blanc, on garnit le devant delà jupe de Ico lioxxSinaSzaSi bandes de drap blanc formant une

~ Zah I ­ 'üaSna ' lZao ! pointe Le bord superieur des bandes —n^n a~no I­îacBBîïiÏBo ' de drap est orne de tresse bleue étroite, Cgg^ljCao ­aaçBBXxoB­no ^ formant des courbes, le corsage ajuste, Z­l!. ro^Ico ­ |Bi ­S2as i~a$j ' ' pointes, est également garni de "IBBBBBIc ' lanaZ l a o j bandes de drap et de valons. Ce cor­BacaancZco ZS­IZIIZI­IcJoa sage ferme en biais en croisant de

\ant, est recouvert sur le grand revers triangulaire a\ ec du drap blanc, orne de

motils en passementerie bleue L'ou%erture en pomte de\ant et derriere Cöt remplie par un plastron plisse en guipure blanche, pose sur du taffe tas. Les manches sont ornées de bandes et de tresses.

est posée en diadème tres prononce, le \ oile qui entoure la pb\ sionomie doit former des coques en tulle (genre Louis \ I \ ).

N" 2 — Avec les che\eux ondules et rele\ es sur la nuque on tait un tortillon se diMsant en deux parties, après avoir fixe la couronne d o ranger, on pose le voi le en den te l l e comme une mantille espagnole

jyo ^ _ Tous les che\eu\ sont ondules en 'arges \agues et forment la raie sur le cote gauche a\ec quelques légères Insures sur le front, le

DESCRIPTION DES COIFFURES DE MARIÉES Moleles de la Maison Camille, il, rue du 4 Septembre

A" I — Les cheveux sont ondules tout autour de la tcte, le chignon aisez eleve devant, est forme avec les cheveux courts qui auront ele frises, etl'on execute un pouf frise qui doit être leger sur le Iront ; la couronne d'oranger

lU liL

pnoadrement pour mouoliolr, broderie en coton ou soies lavables de couleur.

dessus. On fait d'abord une ran­

gée de 11 carrés, la plus proche rangée de 13, puis 2 rangées de 15 carrés aux­

quelles se ratta­

che encore une r a n g é e de 14 carrés, et une rangée de 13 car­

rés ; la dernière rangée forme la rangée du mi­

lieu, et l'on exé cute la seconde moitié en sens con­

traire. On pose les . deux morceaux l'un

sur l'autre, on fait sur le bord exté­

r i e u r en prenant ensemble les cotés de mailles des deux morceaux—^ 4mail les simples sur les 4 mailles précédant la. plus proche maille du milieu, 1 picot de 4 mailles en l'air et 1 maille simple sur la m a i l l e s i m p l e

•f^

È^^tf Dos de la robe de campagne.

K" 1, — Coiffure de mariée Modèle de la Maison Camille, rue du 4­ieptembre.

bandeau du cote droit doit être tres eleve et bouffant, a\ ec la pointe des cheveux qui auront ete frises on fait quelques coques a maiu levée ainsi que 1 indique notre figurine on pose ensuite la couronne de fleurs d oranger et le voile qui doit tomber devant jusqu'aux genoux de la mariée.

Jioue de ^ .nipagnp. Modèle de 5Î'»' Bpun­C­" ­ ,,),r.„(

Bourse, petit sac et chaîne POIR l'KEMlEIÎE COMMl.MWTE.

Cette garniture &e compose d'une bourse, d'un peilt sac pour contenir le mouchoir, et d'une chaîne, exécutés en petits carrés au cro­

chet. On prend de la soie cordonnet fine, blanc crème, et de petits anneaux en métal argenté ayant 1 cenlimètre carré.

Pour le sac, on fait en commençant par le devant •

1" lour. — * 13 mailles simples pour la moitié supé­

rieure d'un carré exécuté en biais, et l'on prend avec Id 4' et la 10" mailles simples un petit anneau de métal, de façon à ce qu'il soit posé au milieu du carré; on re­

commence 8 fois depuis '". 2" tour. — En revenant pour l'autre côté du carré

comme le 1" tour; mais toujours après la 13° maille simple, 1 maille simple sur les côtés de mailles entre ce carré et le plus proche carré; en terminant 1 maille simple sur la 1" maille simple. On exécute de cette façon la plus proche rangée de 10 carrés, les 7 rangées suivantes de 11 carrés, et r ­ re 1 rangée de 10 et nn .­ar„f le 0 '"' t ­s ratfpcue les an­s

'linant, r i

ares un' le maille: "r. i.< >

.,metres de ]r>rgvt t passée ensuite à onvers, et 1 un fait SUT­ ^is mailles un tour de mailles simples. — On exécute ensuite l'envers, en le prenant avec le côté dentelé replié en

Bourse, peti t sao et cbaîne pour premiere communiante.

Modèles de M'" Rimbot, rue de Richelieu, 73.

Dentelle tricotée (grandeur originale).

« ^ 1 ^ 4 . ^

260 LA MODE ILLUSTRÉE, JOURNAL DE LA FAMILLE.

précédente, — 1 maille simple sur la maille du milieu, — I picot, — 4 mailles simples sur les 4 plus proches mailles, — on recommence depuis '. On rattache ensuite les cordelières à une agrafe argentée, qui est recouverte d'un nœud de ruban.

La bourse se compose de deux mor­

ceaux ayant chacun 6 rangées, exécu­

tées d'api'ès les indications du dessin. On fait sur le bord supé rieur toujours alternative­

ment 3 mailles simples sur les 3 mailles de milieu d'un carré, 3 mailles en l'air, — puis 5 tours de brides ajourées, — mais le 2° au 5" tour sont faits l'un après l'autre sur cha­

que moitié, — en termi­

nant on fait 1 maille sim­

ple sur chaque maille en 'air, et l'on entoure au

J^:^ite^^ >.• ,:^^^s^ rettes argentées, réunies par une chaînette.

La chaîne se compose de 41 carrés,ratlaches d'après les indications dU dessin.

« M

Collet en drap d'été. Modèle de la Mode lllnstrce.

Dentelle tricotée ( G K A N D E U R O R I G I N V L E )

Cette dentelle, exécutée avec du coton n° 30, est

\ 1

N" 8. — Colffare de mariée. Modèle de la Maison Camille, rue du l­Septeiubre, 9.

^ s ^ ^ / ' aite dans le sens transversal avec des ai­

guilles d'acier fines, sur 29 mailles : l " tour. — Pour le bord ajouré on lève la

I'" maille, — 3 fois alternativement 2 à l'en­

droit, tricotées ensemble en biais (dans le cours du travail ces mailles sont toujours tricotées ensemble à l'endroit en biais, nous ne les indiquerons pas plus loinj, — 2 fois un jeté — en terminant 1 à l'endroit en biais, — puis 2 à l'endroit tricotées ensemble, — 2 fuis 1 jeté, — l à l'endroit, — l à l'endroit en biais, 2 à l'endroit tricotées ensemble, — 2 fois 1 jeté, — 1 à l'endroit tricotée en biais, — 2 à l'endroit tricotées ensemble, — 2 fois 1 jeté, — 9 à l'endroit, — 2 fois 1 jeté, — l à l'endroit en biais, — 2 à l'endroit.

2" lour. — La 1'° maille levée; ensuite on lève et on tricote deux fois les mailles l'une après l'autre sur l'aiguille de gauche, — 1 fois 1 jeté (chaque tour pair commence de cette façon, nous indiquerons donc seulement les autres mailles) on lève les 2 plus proches mailles, et en outre on lève pour la 1'° maille le côté de maille de derrière, afin que la maille soit en biais, et pour la 2° maille, le côté de maille par devant, — on tricote sur les 2 plus proches jetés 1 à l'endroit, et l'on passe sur cette maille les deux mailles le vées, — ­12 fois I jeté, — 2 à l'endroit trico­

tées ensemble, — 5 à l'endroit, — 2 à l'en droit tricotées ensemble, — 2 fois 1 jeté, — 3 à l'endroit (la 1'" à l'endroit est faite sur les 2 plus proches jetés) puis sur le plus pro­

che jeté I à l'endroit, — on tricote enstmble en biais le jeté suivant et la plus proche maille, — 2 à l'endroit ensemble, — 2 fois 1 jeté — 2 à l'endroit (la 1'" a l'endroit sur le 2" jeté), — pour le bord à trous 1 à l'endroit, — puis 3 fois alternativement sur le plus pro­

che jeté I à l'endroit, le jeté suivant et la plus proche maille tricotés ensemble comme au­

paravant, — puis J à l'endroit. 3* lour — Pour le bord ajouré, on lève la

plm proche maille, — 7 a l'endroit, — puis 1 à l'endroit, — l à l'endroit en biais, — sur le 2«jeté 1 à l'endroit, — puis 2 fois 1 jeté, — 2 à l'endroit tricotées ensemble, — 3 à l'en­

'"roit, — 1 à l'endroit en biais, — sur le 2" jt^te 1 à l'endroit, — 2 fois 1 jeté, — 2 à l'en­

(Jro t tricotées ensemble, — 3 a l'endroit, — 2 à l'endroit tricotées ensemble, — 2 fois I jeté,— ù.'ï 'aisse le plus proche jets sur l'ai­

guille, ­ le '^^ suivant et la plus proche maille tricoté■" ^usemble, (pas en biais,) — 2 à IVnr^ •;(

Toilettes de mariage. Modèles de la Mode lUustiee.

(N° 22. — 1899.) LA MODE ILLUSTRÉE, JOURNAL DE LA FAMILLE. 261

v ^ N' 3. — Coiffure de mariée

Modèle de la Maison Camille, rue du 4­Septembre, 9.

9' tour. — 2 à l'endroit^ — 2 à l'endroit ensemble, — 2 fois 1 jeté, — l à l'endroit sur le 2" jeté, — 1 à l'endroit en biais, — 3 à l'endroit, — 2 à l'endroit ensemble, — 2 fois 1 jeté, — 2 fois alterna­

tivement, — l à l'endroit, — 1 à l'endroit en biais (la 1" à l'endroit sur le 2° jeté) puis 1 à l'endroit sur le 2° jeté, — 2 fois 1 jeté, — l à l'endroit en biais en terminant 2 à l'endroit comme à la fin du l'tour.

10" tour. — Les deux plus proches mailles ensemble (pas en biais), — 2 fois 1 jeté, — 1 à l'endroit sur le 2'jeté, — 1 à l'endroit en biais, — 2 à l'endroit, — on passe le brin à travers la maille tricotée en dernier (comme dans le 5° tour) — 1 à l'endroit, — 1 à l'endroit en biais, — l à l'en­

droit sur le 2° jeté, — 2 fois un jeté, — 2 à l'endroit en­

semble, — 3 à l'endroit, — 1 à l'endroit en biais, — l à l'endroit sur le 2" jeté, — 2 fois 1 jeté, — 2 à l'endroit ensemble, — l à l'endroit.

11« tour. — 2 à l'endroit ensemble, — 2 fois 1 jeté'

Chapeau Directoire. Modèle de la Mode Illus/rce.

4" tour. — Comme le 2« tour jusqu'à f, puis 2 fois 1 jeté, — 2 à l'endroit fricotées ensemble, — l à l'endroit, — 2 à l'endroit ensemble, — 2 fois 1 jeté, — 1 à l'endroit sur le 2' jeté, — l à l'endroit en biais, — 3 à l'endroit, — 2 à l'endroit ensemble, — 2 fois 1 jeté, — 1 à l'endroit sur le 2° jeté, — l à l'endroit en biais, — 2 à l'endroit, — pour le bord ajouré 8 à l'endroit.

5° tour. —(On tricote le bord ajouré tou­

jours alternativement comme dans le l"' au 4' tour, nous indiquons donc seule­

ment les autres mailles) — 3 à l'endroit, — l à l'endroit en biais, — 1 à l'endroit sur le 2" jeté, — 2 fois 1 jeté, — 2 à l'en­

droit ensemble, — 3 à l'endroit, — l à l'endroit en biais, — l à l'endroit sur le 2° jeté, — 2 fois 1 jeté, — 2 à l'endroit ensemble, — 3 à l'endroit. — 1 à l'en­

droit en biais, — 1 à l'endroit sur le 2'^ jeté, — 2 fois 1 jeté, —3 à l'endroit tricotées ensemble en biais, la maille ainsi tricotée s'élargit pour former une bouclette, on y passe le brin du travail, et l'on tire la bouclette, — 2 fois 1 jeté, — le plus pro­

che jeté est laissé sur l'aiguille, —■ on tri­

cote ensemble le jeté suivant et la plus proche maille (pas en biais), — 2 à l'en­

droit. 6'* tour. — Comme le 2= tour jusqu'à t

puis * 2 fois 1 jeté, — 1 à l'endroit sur le 2° jeté, — 1 à l'endroit en biais, — 2 à l'endroit ensemble, — 2 fois 1 jeté, — l à l'endroit en biais, — * 2 à l'endroit ensem­

ble, — on recommence depuis * à *, — puis 1 à l'endroit.

7" tour. — 2 à l'endroit, — f sur le plus proche jeté 1 à l'endroit, — le jeté suivant et la plus proche maille tricotés ensemble, — 2 à l'endroit ensemble, — 2 fois un jeté, — t 3 à l'endroit, (la 1™ sur le 2° jeté — on recommence depuis t à f, — puis 1 à l'endroit sur le £°jeté, — 2 fois 1 jeté, — l à l'endroit en biais, — 2 à l'endroit, mais la P* maille, après avoir terminé le tricot, est intercalée sur l'aiguille de gau­

che, puis tordue et prise sur l'aiguille de droite.

8 tour. — Les deux plus proches mailles ensemble (pas tordues) — 2 fois 1 jeté, — l à l'endroit sur le 2" jeté, — 1 à l'endroit en biais, — 1 à l'endroit sur le 2° jeté, — 2 fois 1 jeté, — 2 à l'endroit ensemble, — 3 à l'endroit, — 1 à l'endroit en biais, — 1 à l'endroit sur le 2° jeté, — 2 fois un jeté, —2 à l'endroit ensemble, — 3 à l'endroit.

i|if!||i::ï'||(jj|i ^ W ^ '

Patrons découpt 'i' "^­~ Toilettes de mariage. — Mod( les de la Mode Illustrée.

301. Corsage. — N» 302. Pantalon. — N° 303. Gilet. — N" 30J. Smoking.

262 L\ MODE ILLT^STRKE, JOURNAL DE L V EAMILLE,

— l a l ' e n d r o i t s u r Ie 2" j e t é , —

1 a l ' e n d r o i t e n b i a i s , — 2 à l ' en

d r o i t e n s e m b l e , — 2 fois I j e l e ,

— l à l ' e n d r o i t e n b i a i s , — 2 a

l ' e n d r o i t e n s e m b l e , — 2 fois 1

j e t é , — l a l ' e n d r o i t s u r l e 2"

1 à l ' e n d r o i t e n b i a i s , —

2 à l ' e n d r o i t , — 2 fois 1 j e t e , ­—

2 fois a l t e r n a t i v e m e n t 1 a 1 en

d r o i t e n b i a i s , — 1 à l ' e n d r o i t ( la

2" a l ' e n d r o i t s u r l e 2 ' ' j e t e ) — p u i s

2 fois 1 j e t é , — 1 a l ' e n d r o i t e n

b ia i s e n t e r m i n a n t 2

d r o i t . — O n

t o u j o u r s le 2° a u 11'­ t o u r , —

m a i s d a n s l e

2'' t o u r a u h e u

d e s 3» et 4 d e s

l ' e n d r o i t ,

la survei l lance d e son p è r e , son t u t eu r na ture l et legal

Oelui­ci, n a t u r e faible, t ou rne mal il c o n t r a c t e peu a peu

des hab i tudes d ' i n t e m p é i a n c e et d ' m c o n d u # e , de d e s o r d r e

et de diss ipat ion

Il faut bien un peu lui p a r d o n n e r , cai r ien n 'es t t r i s t e

comme un foyer d é s e i t , et la so l i tude es t mauvaise con­

sei l lère '

Mais vous t r emblez , £;rand­mere, auss i bien p o u r l 'avenir

mora l q u e p o u r l 'avenir pécun ia i r e de v o t r e petit­fils

Son p è r e qui ne paiera pas d 'exemple , ne sera p a s p o u r

lui l ' éduca teur mora l et intel lectuel qui doit initiei 1 enfant

a la pra t ique de la vie , lui faire e o m p r e n ­

d re la nécess i t e du t ravai l , le p i e m u n i r

c o n t i e les e n t r a î n e m e n t s , en laire en un

mot , un h o m m e .

' I I I I I I I I

a 1 e n

r e c o m m e n c e

Dos do la robe de mar iée de la gravure

coloriée.

l ' e n d r o i t , le 2" es t t r i c o t é a v e c la

d e u x j e ­

t é s à

p l u s p r o c h e

m a i l l e

Collet en drap d'été. Ce collet, fait en drap d été gris pale en^­adre de volants

p isses, en soie de même couleur, est doublé en soie gris changeant La garniture se compose de bandes de soie froncées, et de guirlandes brodées exécutées en soie nuan cee, chenille, et paillettes d acier yVu dessus de ces guirlan des on pique plusieurs foisletolfe Le bord exterieur du collet est dccoupe en courbes, le col droit est orne d un haut volant plissé, et de rubans

Chapeau gris clair, en paille de fantaisie, orne de nœuds de ruban, de plumes d autruche, et d u n e rose a cent feuilles avec feuillage

Toilettes de mariage 1 1 1 1 1 1 1 1 1

. M M M l \ aa

I I aa I M D D I I I I Ü i i l i lDDDDDDD

aaam i i i i i ' I I I I I I I I M I

Toilette demaiiee en moire blanche, robe de forme princesse, ouverte devant sur une jupe en mousseline de soie blanche en fièrement plissée, une dentelle de point d Vlencon est disposée en revers sur le corsage, avec garniture de fleurs d oranger

Toilette du mine habit avec revers chale en moire noire, gilet blanc croise, a trois boutons.

Devioiselle d honneui robe en soie bleu postal ore sage Directoire, avec echarpe de tulle garnie de petites roses pompon et de petits nœuds, en ruban de ve lours noir, places entre chaque rose

n M I I I I I M I I I M

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XXXXXXIJ XI I I

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~\«H\ I I I I I I I -^iZXI I I I I I I

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I I X X I I I ■ I I I I I I

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■zvy/znx I XXI I I ■ 1 X X I I

X X I I X X I I

I X X X M I I I X X I I I 1 I I I I I I I I I M I I I I I I I I I I I I I

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X X X X X X X X X X X X S I U S I B S X X X X X X X ^ l J ^ ^ ^ l S S l S l S I S ^ I I

I I I I I I I I

M i l l I I I I I M i l l

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XXX X XXXX XXXXXX^XXX XX

LA MODE ILLUSTRÉE, JOURNAL DE LA FAMILLE. 263

I I

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X X X X

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X X X ^ ^ I X XXÜ^l I

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XX x x ' ^ x x x x x x g^XXXXiSiJ lüXXXX

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' ! ■' i 1 1 1 1 1 1 ! I I M I I I M M M

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I M I I * ,, . I I I I M I ffi 5,4 I I 11 I

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Quan t a la for tune ce leMer p r e s q u e

i nd i spensab le au jou rd 'hu i p o u r se c rce r

une s i t ua t i on , il est a c r a m d r e qu'el le

I I I M M I I I I I

X X I I XI I I

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X X I

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X x x x x x X x x x x x X x x x x x

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X x x x x X X X

„ x ö ö x x x s \ \ \ ^ n a \ ! : : ! S \ ! » \ : x ; i 5 i n B S x ^ X a n s \ \ n s s B \ x G a \ 5 i \ n B » i Q H x x ^ X x x D i s \ B H a \ \ x x a e « ! i s B \ a t s & a B x x fii x x x x x a \ H \ \ x x x c 3 H a ^ \ n = 3 \ 5 i u H a x

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is!5ggg^j|x i i v < K 5 i ^ a K 5 i M u y

K; i s , xM^^§sBB\ \nàa~ \S ! i \ a9a \ ,

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Toilettes de mariage Costume de mariée, en satin de teinte ivouc , ccibcy i

avec grand col, garni de trois ruches de mousseline de ­oie blanche qui se continuent sur la jupe, et bordent le contour inférieur de celle ci, sur le devant de la jupe qui croise quelque peu, deux bouquets de fleurs d oran ger sont places contre les ruches, un mcme troisième bouquet est passé dans la ceinture laite en ruban de salin blanc, manches plates a ^ a n t a chaque extremi té, trois ruches de mousseline de soie

Mire de la maiiee robe en talletas mauve cor sage veste, a\ec grands revers de guipure formant un col par derriere et bordés, d'une étroite ruche en mousseline de soie mauve, la jupe a trame est ornée de\ant , d u n grand tablier en guipure, ceinture en \e lours noir chapeau Marie Stuart, en paille de riz blanche garni d u n grand nieud, en velours noir et deplumes mauves '

i,aiçon d honneur (âgé de i5 ans), smoLmg en fa counc noir, avec revers de soie, cravate blanche, pantalon pareil au smoking, chapeau en feutre souple, doublé de soie, souhers Molière vernis, a lacets

Chapeau Directoire. Chapeau en paille noire , la passe très relevée, un peu

découpée sur le cote est bordée tout autour d un'boid en paille rose Lintérieui de la passe est orné devant d une grosse rose épanouie avec feuillage On pose sur le cha ' '

peau, par devant, des plumes d'autruche noires, auxquelles se rattachent des bouclettes en ruban de satin rose , la calotte du chapeau est entourée d un ruban phssé

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ne d i spa ra i s se peu a peu pa r sui te de l ' admin is t ra t ion dé­

s o r d o n n é e du t u t eu r

Il es t g r a n d t e m p s , si v o u s ne voulez pas que le mal soit

i r r e p a r a b l e , d'y app l iquer un l e m e d e é n e r g i q u e la loi , qui

a p iévu les faiblesses huma ines , va n o u s fournir les m o j e n s

de sauver l 'enfant

A u \ t e i m c s d e l 'a i t | n du Code civil, son t exclus d e la

tu te l le , et mcme des t i tuab les s'ils s o n t en exerc ice , les gens

d'une i ncondu i t e no to i r e , et ceux don t la ges t ion a t t e s t e r a i t

l ' incapacité ou l ' infidélité

Quand il \ a lieu de p i o v o q u e r ainsi une des t i tu t ion de

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L'Avocat de la Famille " D e s t i t u t i o n de l a t u t e l l e

et de l a puissance p a t e r n e l l e

«OLsa^ez, g r a n d ' m a m a n , un petit­fils

que vous choyez, que v o u s adorez ,

sur la j e u n e s s e duque l vo t r e vieil

l e s se se penche avec cet te im­

mens i té d ' amour q u e les g r a n d s ­

p a r e n t s saven t p r o d i g u e r

Mais 11 est , h é l a s ! une o m b r e au tableau l 'ave

nir d e cet enfant vous p r é o c c u p e

L a m è r e , v o t r e fille, a été enlevée p r é m a t u ­

r é m e n t , et l 'enfant es t r e s t é sous la g a r d e et

(1) Voir les numéros 36, ^9, 43, 45, 4S, 5o et 02 de iSof,

^ 4> 6 , 9 , H , 14, 16, T 8 e t 2 0 d e 1809

0 0 0 X o ^ a X X 1 ^ _ . ü " n o x o o 1 I □ n x = o 1 i I a a n x o _A 1 o o o o _ o ^ X X x : ° X o Jl^XXX

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■ ■ ■ DODI I (lODI

tu te l le , il faut r é u n i r le c o n ­

seil de famille, et c'est lui

qui p i o n o n c e la des t i tu

t ion

C e t t e r eun ion a lieu a la

di l igence du s u b i o g é t u t eu r

ou d'ûflice pai le J u g e de

P a i x .

Ce d e r n i e r n e p e u t se

d i s p e n s e r d e faire cet te

convoca t ion q u a n d elle est

fo rme l l emen t r e q u i s e pa r un

o u p l u s i e u r s p a t e n t s , d i i ec t s

ou pa r al l iance du m i n e u r ,

j u s q u ' a u d e g i e d e cousin

g e r m a i n i nc lus ivemen t

L e s g r a n d b ­ p a i e n t s peu

vent d o n c , si la s i tua t ion

leui i n sp i r e d e s inqu ie tu ­

d e s , obl iger le J u g e d e Paix

a c o n v o q u e r le consei l de

famille

I^a decis ion pi ise p a r l e con

sell de famille a heu

I ( en p r é s e n c e du t u t eu r ,

ou lui d û m e n t appe lé ,

elle produi t immédia

t emen t elfct si le tu teut a d h e i e a la dél ibé iaf ion

Si au c o n t r a i r e il r é s i s t e , s'il fait défau t , la deli

bé ia t ion es t , a la di l igence du s u b r o g é t u t e u r , sou­

m i s e a l ' homologa t ion du T r i b u n a l de p r e m i c i e ins­

t ance , qu i ne p r o n o n c e qu ' en p r e m i e r 1 a s s o i t , c'est­

a di re q u e son j u g e m e n t p e u t ê t r e dé fé i é a l i Coui

d ' appe l , soi t pa r le t u t e u i , soi t pa r le s u b r o g c ­ l u t e u r

r e p r é s e n t a n t les i n t é i ê t s de la famille

Voila p o u r la fo i t une du m i n e u r , mais ce t t e d e s

t i tu t ion de la tu te l le n ' en t r a îne pas de plein d i o i t

conti e le p è r e , objet de cet te m e s u r e , la d é c h é a n c e

de la p u i s s a n c e pa te rne l l e , la p u v a t i o n d e droi t de

g a r d e et de su ive i l l ance de son enfant

L e l ég i s la teur a comblé ce l t e l a cune , et p u la

loi du ''1 juillet i"­i9, sur la p r o t e c t i o n d e s enfants

m U t r a i t é s ou m o r a l e m e n t a b a n d o n n é s , il a été d é

c idé n o t a m m e n t q u e les p è r e et m e i e

qui , p a r leur i v r o g n e r i e hab i tue l l e ,

leur i n c o n d u i t e no to i r e et s c a n d a ­

leuse , ou pai de mauvais t i a i l e m e n t s ,

o m p r o m e t t e n t , soit la san t é , soi t

la sécu r i t é , soit la moi alité d e l e u r s

e n f a n t s , p e u v e n t ê t i e d é c l a r e s dé

chus de la pu i s sance pa te ine l l e

d e t ous les d r o i t s qui en dériv ent

P o u i p o u r s u i \ i e ce l t e d é c h é a n c e , il n'v a

lieu a i n t e rven t ion du consei l de famille l 'action

es t i n t e n t é e devan t la C h a m b i e du consei l du

Tr ibuna l du domici le , ou d e la r e s i d e n c e du p t r e

ou de la m è r e , p a r un ou p l u s i e u i s p a r e n t s du mi­

neur , au d e g r c de cousin g e i m a i n ou a un d e g r é

p lus r a p p i o c h é , ou bien d'office p a r le M i n i s t è i e

public

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a Sepia fonce. Q Sfpia raojcn s Le clan chimeie. Ciel. xCiel raojcn. C\ KI u a u

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R e p e t i t i o n g é n e r a l e e t r e p r e s e n t a t i o n

%' p a r t i e

Precautions contre I incendie — Comment on fait

sa tet'

DUS al lons m a i n t e n a n t p é n é t r e r d a n s

les cou l i s ses et véiifier si les m e n u s

dé ta i l s , n é c e s s a u e s a la t ianquiUi té ,

au confor t e t a la sécur i t é des ac­

t e u r s , on t é té p r é v u s

l o u t enve ib d e t h é â t r e monda in

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D B l a n c M a i s o n , m G i i s m o y e n . 0 G i I S c l a n n B l a n c . I ­ o u i l l a e : !

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I H o r i z o n . — E n e a d i e m e n t ^ B l i f o n c e is B i t n i o ^ e n H B l e

0 I r i s m o y e n K l u s d u r n G a i a n c e f o n c t 0 G o u a n c c m o y e n . B G a r a n c e c l a n x

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u t i l e s m o i t e s

t i c s f o n c e d u t i g r e

l a i r . □ B l e t r e s cba i i

G i r m c e

b ien c o m p r i s doi t ê t r e un lieu

s o n n e s uiilei o n t seu les accès

L a c u u o s i t é , le pla is i r d e se sin

gula r i se r ou d e f a n e valoir les

b o n n e s l e l a t i o n s q u e l 'on a d a n s

la moaison, et u n e foule d ' au t r e s

r a i s o n s , p o u s s e n t bien d e s g e n s

a se gl isser dans les coul i s ses L ' e n t i é e de

celles­ci s e i a d o n c d i s s imulée au t an t que

poss ib l e , et le m a î t r e de maison d o n n e r a

c o m m e cons igne q u e a la d e m a n d e d e s

a c t e u r s , l ' accès d e s coul i s ses es t i n t e id i t

au pubUc

Si, d ' aven tu re , q u e l q u e eut l euxpa i vient i

d é c o m n r le p a s s a g e condu i san t au lieu

r é s e r v é , il d e v r a se h e u r t e r a un écr i teau

qui le r appe l l e a la disc re t ion , et si l 'au­

dace dudi t curieux e^t assez g r a n d e p o u r

le f ane p a s s e r o u t r e , il faudia qu' i l t r o u v e

au seuil de 1' a n t r e un ce rbè re qu i le

p u e . p o h m e u t de i c l i o g r a d e i Ce cer

b è r e sera un d o m e s t i q u e bien s t>le , ou un

(1) Voir les n " 3, 5, 9, 13, 15 18, et20 de 1899.

= a c i é , ou les pe r

26 t LA MODE ILLUSTRÉE, JOURNAL DE LA FAMILLE.

ami gracieux, capable d'opposer une volonté souriante aux plus intrépides.

Vos acteurs vous sauront gré de votre vigilance à les gar­der des importuns.

Cependant, au moment des entr'actes, la consigne pourra être légèrement relâchée, car les artistes amateurs ou pro­fessionnels (les femmes surtout) ne détestent pas que les échos complimenteurs de la salle arrivent jusqu'à eux.

Voilà pour la tranquillité. Passons au confort. L'endroit ou se préparent les acteurs sera meublé de tables, de chaises, de glaces, de serviettes, de lampes, de flambeaux, autant qu'il sera nécessaire et même plus encore. Un plateau chargé de rafraîchissements 'et de petits gâteaux permettra aux acteurs de parer à toutes les faiblesses. Enfin, la sécurité de toussera assurée par des dégagements suffisants et par des secours contre l'incendie. Ce point est très important. Com­bien d'accident sont été évités ou enrayés, grâce à des pré­cautions que certaines personnes peuvent qualifier d'exagé­rées, mais qu'il faut prendre, en dépit des sourires narquois. Combien d'incendies graves ont eu un début anodin; que de fois un rideau enflammé, qu'un seau d'eau aurait pu étein­dre, a déterminé des catastrophes! Je connais une dame qui a certainement évité un sinistre, en jetant à propos sa tasse de café sur un tapis de table qui commençait à flam­ber. Quelques secondes de retard, et le feu gagnait. Cette bienfaisante tasse, toute prêle, a réussi mieux que vingt pompiers n'eussent pu le faire, une demi-heure après.

Il est donc de toute nécessité de se préparer contre l'é­ventualité du feu. Pour cela, on fait ajourd'hui des extinc­teurs à coup de poing extrêmement commodes. On tâchera d'en avoir un ou deux. Mais leur présence n'exclura pas celle de deux seaux pleins d'eau, disposés de chaque côté des cou­lisses, et dans chacun desquels trempera une éponge, atta­chée à un long manche à balai. Il faut que ces éponges trempent. Sans quoi, si on les laissait à sec à côté des seaux, elles s'imbiberaient au moment critique et leur effet serait fort amoindri.

Toutes ces mesures générales étant prises, nous entrerons dans le détail des préparatifs des acteurs.

Messieurs les artistes, et vous surtout, Mesdames, commen­cez à vous préparer, longtemps avant l'heure indiquée pour le lever du rideau. Vous accomplirez cette besogne posé­ment et vous éviterez ainsi une précipitation du dernier mo­ment, nuisible pour votre entrée en scène. Évitez toutefois l'exagération qui consiste à être prêt trop tôt et a errer dans les coulisses avec un énervement désastreux. En tout, il faut s'en tenir à une juste moyenne.

Votre costume, dont toutes les pièces auront été essayées préalablement, sera préparé avec beaucoup d'ordre, mais avant de l'endosser, vous « ferez votre tête •.

Quand on joue la comédie, même en petit comité, il faut se maquiller. Pour bien des amateurs, c'est une dure obliga­tion; mais il faut en passser par là, sous peine d'apparaître aux yeux du public avec le teint'cadavérique, ce qui est fort déplaisant. On argue parfois que les fards sont des « sa­letés qui abîment la peau », ou bien « qu'ils font ressembler à des personnes peu comme il faut ». Les deux prétextes sont mauvais, car si, de près, une femme fardée a, en effet, une figure peu correcte, dès qu'elle est au feu de la rampe tout se fond et s'estompe, et si l'on prend soin de s'enduire préalablement toute la figure avec de la vaseline, ou mieux avec du blanc gras (spécialité de théâtre), aucune couleur ne peut attaquer la peau. Seul, le vernis à postiches est un peu désagréable, car il faut l'appliquer directement sur l'épider-me; mais c'est un produit très propre et nullement malsain. J'indiquerai plus loin la maniere de l'enlever, sans qu'il subsiste aucune cuisson. Pour le moment, nous procéderons par ordre.

Votre toilette étant faite, les dessous de votre costume étant mis, vous nouez une serviette autour de votre cou et vous posez le blanc gras. C'est généralement un bâton. S'il semble trop dur, on le ramollit à la chaleur d'un tison ou d'une lampe à esprit de vin, jamais à la flamme d'une bougie, qui le noircirait.

La pâte s'amollit promptement et s'étale facilement sous le doigt. On doit chercher à obtenir une face de Pierrot, d'une teinte uniforme. Après quoi on passe à l'arrangement de la barbe ou des moustaches et l'on pose les postiches s'il y a lieu. Il y a deux sortes de postiches : ceu\ que l'on acheté tout montés sur de la baudruche, et ceux que l'on confectionne soi-même avec du « crêpé ».

Je ne parle pas de ceux qui sont préparés avec du fil de fer et que nous laisserons aux mascarades delà rue.

Sauf dans le cas où l'on a besoin d'une barbe, de favoris, ou d'une barbiche de forme spéciale et difficile a obtenir, je préconise le crêpé. C'est, d'ailleurs, le procédé le moins coûteux. Vous pouvez ainsi poser des postiches complets ou renforcer les agréments pileux dont jouit déjà votre figure.

Voici la manière de procéder : Vous essuyez à fond le blanc gras, juste à l'endroit où

vous voulez coller le crêpé; puis, avec un petit pinceau, vous étalez légèrement un peu de vernis sur votre peau. Vous attendez quelques secondes, afin que le vernis poisse bien; après quoi, vous appliquez le crêpé, déjà dégrossi dans la forme désirée. Cette apphcation se fera en pressant sur le crêpé avec un linge, jamais avec les doigts. Le mieux est de saisir, des deux mains, une partie de serviette pliée en trois ou quatre et, tenant cette partie tendue, de l'appuyer fortement sur le crêpé, pendant une bonne minute. Si le postiche tend à se décoller en quelque endroit, on remet­

tra un peu devernis et l'on appliquera de nouveau a ser­viette tendue.

Les postiches ainsi posés peuvent être alors coupés, taillés, frisés, absolument comme de la barbe naturelle. Quand il s'agit de renforcer une moustache et de fondre le poil faux avec le vrai, un coup de peigne et un peu de bril­lantine feront l'affaire, à la condition que la teinte du crêpé ait été assortie aussi bien que possible. On vend des pou­dres teintées et des cosmétiques, avec lesquels on arrive très facilement à obtenir tous les effets voulus.

PLUME-AU-VENT.

CÇctïitses, Cols-, Cravaïes

Les chemises d'hommes présentent, cette année, me grande variété.

Les plastrons, que l'on porte avec gilets ouverts de soirée, sont l'objet d'un choix particulier par l'homme élégant. Il n'a pas besoin pour cela d'y penser un mois à l'ai'ance, mais seu'ement de se faire présenter par le chemisier la liasse de tissus pour plastrons de chemise et de prendre les plus jolis. Il y en a, à gros grains, à grosses rayures verticales, traversées par d'autres petites horizontales, avec semis de petites fleurs, à gros pois, avec des plis larges {on les porte alors peu empesés).

On les fait avec 2 boutons seulement, et on a soin que le plastron ne soit pas trop long, ce qui évite les plis quand on s'assied.

Lorsqu'on commande une demi-douzaine de chemises, les prendre avec trois dessins différents, de telle sorte qu'on en aura deux de chaque.

Les boutons que l'on porte avec ces plastrons sont en général en forme de boule, en perles, ou imitations de pierres; les rubis, opales, saphirs composent de char­mantes garnitures. Pour la campagne et les bains de mer, on peut aussi mettre des boutons de nacre et des boutons blancs plats, imitant la toile.

Les cols se portent très haut; les grands cous sont à la mode et aussi les cols jusqu'aux oreilles.

Nous qui suivons la mode raisonnablement n'exagérons rien, mais tenons compte dans nos commandes d'été de celte tendance.

Les cols les plus portés sont de trois sortes : 1" Le col droit et haut se joignant par devant et que

l'on casse légèrement. 2° Le col cassé largement, dont les pointes sont rabat­

tues au repassage. 3" Le col haut, rabattu, se croisant presque par devant.

C'est le col le plus à la mode, que l'on portera plus que jamais cet été, aussi bien dans la journée que le soir. Nous en donnons le modèle ci-joint.

Comme la vogue, commode du res­te, est revenue aux faux cols, on fait ce col nouveau chez tous les grands chemisiers, et il est facile de s'en pro­curer par demi-douzaine.

Les manchettes sont droites, pas très hautes,

et toujours retenues par deux boulons réu­nis ensemble par des chaînettes.

Lfs chemises de couleur sont presque les seules qu'on porte l'été dans la journée; ré­server les blanches exclusivement pour le soir.

Les dessins si frais et si jolis des étoffes dont on les fait deviennent moins grands, alors on recommence à les faire entières pareilles; lorsque les dessins seront grands ou la couleur choisie un peu foncée, dans ces deux cas, comme le visage serait mal encadré, on met les cols blancs, les manchettes restant semblables au corps de la (hemiie. Beaucoup de devants souples et non empesés.

Terminons par la chemise de nuit, qui se fait ample et longue, en tissus de colon, à petites fleurs blanches : les plus soignéet se font avec devant à plis ou à fronces, garnies d'un jabot souvent piqué de fil de couleur; de même, les manchettes. Il n'y a pas de col, mais seulement un poignet un peu haut et piqué. Souvent, sur le devant à gauche, une petite poche pour le mouchoir sur laquelle le chiffre est brodé. Les boutons de nacre, qui servent à les fermer, sont cousus.

Nous devons dire que ce sont les couleurs criardes qui dominent pour les cravates : on a itiventé des teintes violettes et vertes, qui emplissent les vitrines de nos che­misiers du boulevard et ornent ensuite nos élégants.

Avec la cravate-écharpe on fait un large plastron, un

Col liatit rabattu.

Manchette droite avec boutons à chaînettes

nœud-marin aussipetit que possible, ou on lapasse dans la bague en faisant bouffer les deux bouts dans l'ouver­ture du gilet.

Le nœud-papillon en soie ou en oxford, semblable aux chemises de couleur, se porte presque exclusivement avec le col nouveau.

L'épingle de cravate se pique au milieu du nœud-plastron et au bas du petit nœud-marin, mais ne se porte jamais autrement. C'est une grosse faute contre le bon goût que de les mettre avec les petits nœuds.

L'habit se porte encore à châ­le rond et quelques élégants font faire les revers en moire, comme sur le modèle que nous donnons dans la gravure représentant des toilettes de mariage. Mais c'est une nouveauté qui n'est pas encore adoptée. Le smoching con­serve sa forme ancienne. Les jeu­nes gens le portent plus que les hommes. Les revers sont toujours en soie. Le chapeauen feutre noir souple, doublé en soie blanche ou noire est ce qui se porte avec ce vêtement.

La cravate pour le soir est lar­ge et très peu empesée; lors­qu'elle est trop raide, combien le nœud est difficile à faire, sans

qu'elle soit chiffonnée. Elle se fait toujours en batiste, aussi en piqué blanc, les bouts carrés et légèrement en forme papillon, ce qui nermet de faire un nœud plus élégant.

N'oublions jamais de fixer nos cravates, à droite et à gauche, par de petites épingles, à tête noire ou dorée pour les cravates de couleur, et à tête imitation de perle pour les blanches, et veillons à ce que le chemisier place der­rière le col le petit cordon sous lequel doit passer la cra­vate.

Ainsi, vous éviterez d'avoir descravat(S qui remontent dans le cou, ce qui prête auridicule, et comme le disait un poète :

Ridicule une fois, on vous le croit toujours.

UN HABIT NOIR.

s S s i j E i ? ^

Snaooking pour jeunes gens.

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Les Salons de Peinture

AMMS la foule n'est venue en telle affluen­ce visiter les Salons de peinture que de­puis que ces deux Salons sont réunis en un seul.

C'est un succès pour les artistes, mais c'est en même temps pour eux une leçon dont, espérons-le, ils sauront profiter et qui les amènera à réfléchir avant de se diviser, comme ils nous en menaçaient,

non plus en deux mais en trois ou quatre Salons. Le public montre, par son empressement, que toutes ces

discussions soi-disant artistiques, mais qui sont bien plutôt des questions d'intérêt, ne le touchent nullement. Sans s'in­former si tel tableau appartient à tel ou tel groupe, sans même se demander s'il se trouve dans une salle de la So­ciété nationale ou de la Société non nationale, le public va tout bonnement à ce qui l'attire, à ce qui le charme ou l'émeut, se trompant quelquefois, c'est possible, mais sans parti pris et de bonne foi toujours.

Beaucoup de grandes toiles d'abord. Le reproche que l'on peut adresser à la plupart des artistes qui, n'ayant pas à peindre une œuvre destinée à décorer un monument, s'a­donnent a la peinture gigantesque, c'est le manque de con­viction : ils ne donnent pas à leurs tableaux d'aussi grandes dimensions parce qu'ils les croient nécessaires aux sujets qu'ils abordent, mais bien parce qu'ils veulent à toute force être regardés; ils y arrivent ; on regarde, mais on passe...

Que d'efforts et souvent que de talent dépensé en pure perte.

Depuis le succès de Cyrano de Bergerac, les cadets de Gascogne semblent avoir pris Paris d'assaut et voila M. Jean-Paul Laurens, d'actualité avec son plafond destiné à la Ga­lerie des Illustres, à Toulouse : Toulouse contre Montfort. La campagne contre les Albigeois tire à sa fin. Le cruel Simon de Montfort est tombé frappé d'une pierre devant les remparts. Raymond VII a repris possession de ses États; l'espoir renaît, un hosannah s'élève vers le Dieu de justice

LA MODE ILLUSTRÉE, JOURNAL DE LA FAMILLE. 265

et de bonté qui fait triompher les opprimés des sectaires, farouches pourvoyeurs de gibets et de bûchers.

M. Laurens a sjmbolisé la scène : dans un ciel immense des anges, des saints, des saintes, det> moines glorifient le Seigneur tandis que l'agneau soutient la lance qui vient de percer le lion sanglant. Bien i.|ue le talent de M. Laurens se trouve plus a l'aise avec des figures réelles, sa toile est d'un grand caractère décoratif, d'un dessin consciencieux et d'une couleur toujours harmonieuse.

De l'allégorie radieuse de Toulouse contre Montfort, M. Rochegrosse nous fait descendre dans le drame sinistre : l'Ass.Tssmat de l'empereur Gela. Caracalla fait tuer son frère dans les bras de sa mère; Géta s'est réfugié contre la mu­raille, à demi caché par sa mère; pressés les uns contre les autres, le poignard levé, cherchant tous à frapper au risque de se frapper eux mêmes, les assassins forment comme une grappe humaine au milieu de laquelle Caracalla se dresse implacable. La composition est fort belle, d'un mouvement audacieux, et la couleui, volontairement tenue dans une gamme pour ainsi dire sanglante : murailles rouges, dra­peries violettes et cuirasses brunes, ajoute a l'effet drama­tique du tableau.

Sainl-Quentin pris d'assaut. — l'exode; — 29 août i55~, par M. Tattegrain est une excellente page d'histoire. Ce n'est pas la première fois que M. Tattegrain, dont les succès fu­rent si grands avec des tableaux de la vie maritime, aborde la peinture d'histoire, il le fait aujourd'hui a\ec autant de bonheur que jadis , mettant dans ses reconstitutions les mêmes accents de vie et de nature qui faisaient le mérite des scènes qu'il avait prises sur le vif, sans que ce souci de la vérité nuise en rien à l'effet dramatique.

M. Henri Martin possède a un haut degré le sentiment de la décoration et il est impossible de ne pas rendre justice à ses magnifiques qualités de peintre et de coloriste, mais il est permis de regretter le parti pris de son exécution ha­chée, qui fait de sa peinture une sorte de mosaïque, ainsi que l'indécision trop grande de ses figures dans la toile qu'il intitule : Sérénité.

M. Besnard est un artiste très personnel aussi, on lui doit des œuvres pleines de charme, mais il nous parait mériter, cette année, les mêmes reproches que M. Heari Martin; à force do vouloir être délicat et vaporeux M. Besnard est trop resté dans le vague et, dans son plafond : les Idées,\t% femmes qui poursuivent les étoiles ne sont plus que des taches flottant dans le ciel.

Tout cela est symbole et synthèse, nous le savons, mais peut-être nos artistes abusent-ils un peu trop pour le mo­ment du synthétique et du symbolique. Voyez M. Carrière qui n'aperçoit dans la nature ni air, ni couleur, ni lumière et dont les figures ressemblent à une eau-forte de Rembrandt dont on aurait sali les chairs; remarque^ que M. Carrière n'a pas l'excuse de faire de la peinture décorative qui ne s'accorde pas avec les exigences de la realité, les envois de M. Carrière sont de petites dimensions^ il leur donne pour litres : VÈlude, le Réveil, un Porlrcit; c'est donc la nature que M. Carrière veut nous représenter, c'est donc la nature qu'il voit ainsi, cela est d'autant plus regrettable que M. Carrière possède de réelles qualités de souplesse dans la facture et d'énergie dans le dessin.

Le contraste n'est pas loin : La pose de la première pierre da l'ont Alexandre IH est une page pleine de lumière et de ^ic qui fait honneur a M. Roll. Le peintre a choisi le mo­ment où des jeunes filles traversent la Seine dans un bateau et viennent offrir des fleurs à l'Impératrice de Russie. Le groLpe, très heureux, des jeunes filles en toilettes blanches, enlevé à la scène ce qu'elle aurait pu avoir de trop officiel et a permis à. M. Roll de montrer une fois de plus ses qua-htés de coloriste fin et délicat.

On combat l'alcoolisme partout, des sociétés se fondent, des conférences sont faites aux instituteurs et aux institu­trices, pas une école qui ne possède son image ou tous les dangers de l'alcool sont soulignés avec soin; voilà la croi­sade qui franchit maintenant les portes du Salon.

Les intentions de M. Jules Adler sont indiscutables, il n'a pas voulu seulement peindre une scène dramatique, il a voulu se faire moraliste, ce qui, du reste, ne l'a pas empêché ie nous donner un excellent tableau ou les types fidèlement observés sont rendus avec une grande force : une femme tenant son enfant par la main, détourne la tête avec dégoût et tristesse en passant devant un cabaret; tout un drame se devine : l'homme est la, abruti devant son absinthe, dépen­sant l'argent de sa paye et la misère est au logis; c'est la vieille histoire, toujours nouvelle, malheureusement, tou-jouis poignante.

Les femmes peintres forment, cette année encoroau Salon, ui.o phalange intéressante à la tête de laquelle nous avons le plaisir de rencontrer, cette année, une très grande artiste qui n'avait pas exposé depuis bien longtemps : M"° Rosa Bonheur. Le tableau de la doyenne des femmes peintres est en tous points digne de son talent et l'on demeure surpris de trouver la même verve, la même même sûreté de main chez cette artiste dont les premiers envois remontent à plus de cinquante ans.

Le S lion actuel offre cette particularité assez rare de rassembler trois peintres presque octogénaires et dont les œuvres sont aussi bel les , aussi intéressantes, aussi jeunes, que celles qu'ils produisaient dans la force de l'âge : M"" Rosa Bonheur dont nous venons de parler, M. Ilarpignies qui expose Fin d'une belle journée et La Lo're près Sancerre, deux toiles importantes et savoureuses, et M. IléSert, dont les deux portraits, celui d'une femme et

celui d'un enfant, sont d'une fraîcheur délicieuse et d'un charme infini.

Les peintres de portraits sont comme toujours très nom­breux et beaucoup d'entre eux ont exposé des œuvres abso­lument remarquables. M. Benjamin-Constant, un maître incontesté, remporte un éclatant succès avec le Portrait de M"" ƒ. Von Deryvies, d'une grande finesse de ton, d'une harmonie parfaite, à la fois décoratif et vrai et qui peut être opposé aux meilleurs portraits du siècle.

M. Bonnat dans le Portrait de JM"° D..., est toujours le peintre robuste et victorieux qui, sans perdre aucune de ses qualités, saitéclaircir sa palette et assouplir son pinceau pour rendre des tons de chairs délicats et des étoffes cha­toyantes; les mains croisées sur la robe sont un pur chef-d'œuvre.

Un jeune, M Maxence, se place au premier rang avec un portrait d'officier d'un dessin irréprochable et d'une bril­lante facture; M. Gorguet s'est souvenu de la façon la plus heureuse des jolis portraits de Clouet; M. Marcel Baschet nous donne : Portraits et Portrait de M"" G... et de ses en­fants, parfaits de dessin et de couleur agréable; la première de ces toiles est, par son importance un véritable tableau qui, outre les qualités de peintre que toutes les œuvres de M. Baschet ont révélées, denote aussi une grande science de l'arrangement et un goût parfait.

■Voilà ensuite un vivant portrait de M. Roll, un charmant portrait de jeune femme par M. Üagnan­Bouveret ; les Por­

traits de M"'° Daniel Lesueur et de M. Ballot­Beaupré, par M'"" Beaury­Saurel; le Portrait de M°" Georges Montor­

gueil, par M. Morisot; les portraits de M. Benner, de M. Jules Lefebvre, de M"" MathiUe Mueden, de M. Cour­

tois, de M. 'Weerts, les têtes si exquises de M. Aman­

Jean; un portrait du peintre d'affiches Chéret, dans une pose un peu contournée, par M. Blanche; le portrait de M. Paul DescJianel, par M. Fournier, e t c . .

Bien d'autres œuvres se recommandent encore a l'atten­

tion et nous citerons avant de terminer ce premier article : La porte Maillot, de M. Luigi Loir qui excelle dans ces effets crépusculaires; un très intéressant Jeu de croquet, par M. Robert Little ; L'étude chez grand'mère, de M"° Clé­

mentine Fiérard; Emeratuie, et l'Eveil du poète, de M. Ga. briel, Ferrler qui s'est fait le représentant des Grâces; Le livre, et Les Muets, de M. Robert­Fleury ; le Cheval mort, de M"" Absan ; Les femmes et le secret, de M"'° Achille Fould ; un Intérieur picard, plein de sincérité et d'une grande jus­

tesse de ton de M. Jules Hoquet; la Madona dette Graue, de M. Maurice Bompard; La Prière, et Pendant la moisson, de 31"° Achenbach; Vu amateur de HvrM, excellent morceau par M"" Éva Level; Phœbé, et un portrait de M"" Pomey­

Ballue; Deux mères, de M. Cayron; Une marchande de fleurs, de M"" Madeleine Carpentier ; une Idylle, deM. Guédy ; Les bords du Loing et l'église de Moret, de M. Guillemet, dont le talent est toujours aussi sincère et aussi vigoureux; un très beau portrait de femme de M""" Delacroix­Garnier; la Petite boudeuse, si charmante et si spirituelle de M"^ Mé­

lanie Besson, et un Souvenir d'enfance, de M. Brispot, souvenir bien amusant pour le public mais qui a dû laisser une impression bien désagréable à l'auteur.

ALEMS L E X M A I S T R E .

'm pïik mitumntk ht mm^m

oRu.iNi de la Mandoline n'est pas an­

cienne, elle dérive du Luth, du Thé­

orbe ou archiluth, de la Guitare et de la Mandore, son nom vient de Man­

dola qui signifie moitié d'amande. Aux X1V°, XV' et XVI" siècles, elle

eut une certaine vogue, mais son rè­

gne ne dura pas. Dans les concerts de cour, l'usage de la Mandoline ne

figure que peu. C'était le Luth et la Guitare qui lui étaient préférés, leurs ressources d'harmonie et d'ajcompagnement étant

plus complètes. La Mandohne ou des instruments ayant par la forme un

rapprochement avec elle se rencontrent en d'autres pays et a des époques assez reculées. Le Kiran (mandoline arabe, ne diffère que par la tête du manche qui est renversée en arrière comme pour la Mandore. Le Canibrye est une sorte de mandoline arabe. La Baglama, mandoline d'enfant en usage en Arabie. L'Inchambie, mandoline africaine. Le Kaber­Tourti, mandoline turque; le nombre des cordes varie de S à 8. La Mandore, intermédiaire entre la Guitare et le Luth 8 cordes, se jouait beaucoup par les Napolitains au XVI1° siècle, les bords sont découpés en festons; on s'en sert aussi dans l'Inde. Le Tambour, mandoline persane, 8 cordes. Le Tambour Bourzouck, 6 cordes, 26 cases. Le Tambour Boulghary, mandoline bulgare.

Les Russes ont la Bandera ; en Autriche, la Guizla est une sorte do Mandoline. Plusieurs spécimens de quelques­unes

des Mandolines ci­dessus, se voient au Conservatoire Na­

tional de musique de Paris. Au X V I i r siècle, Pierre Denis, maître de musique des

dames de St­Cyr (1780) voulut réhabihter la Mandoline dont il jouait avec une rare perfection ; il publia, à cet effet, une méthode et des exercices; ces efforts ne furent pas cou­

ronnés de succès, et il ne parvint pas a tirer l'instrument de l'oubli où il était tombé.

De nos jours la Mandoline est très en vogue, elle est peut­

être celui des instruments à cordes (après le Violon et le Vio­

loncelle) le plus joué. Les Italiens et les Espagnols restant les admirateurs de la Mandoline, prirent l'initiative de la fabrication de cet instrument, aussi les JMandolines dites Napolitaines ont une réputation universelle. C'est cette Mandoline, la plus répandue; le corps est bombé, uni ou à côtes creuses. Dix­huit cases de métal garnissent le manche et une partie de la table d'harmonie. La tête du manche est légèrement renversée en arrière, la table d'harmonie est en sapin, une plaque d'écaillé garantit les égratignures du plectre. Il y a 8 cordes accordées à l'unisson par deux, savoir : Sol, corde filée métal sur acier. Ré, dito. La et i\li, en acier. Depuis peu on fabrique pour les La et Mi, des cordes en acier nickelés ou en acier doré. Le son ne paraît rien gagner sur celle en acier; si ce n'est qu'il y a avantage contre la rouille.

La Mandohne espagnole, qu'on appelle Banduria a 6 dou­

bles cordes, elle est plus courte de manche, la largeur du manche égale celui de la Guitare, la caisse est plate dessous, la forme n'est pas tout a fait la môme. Très usitée depuis le XVIII ' siècle.

La Mandoline dite Milanaise a six cordes simples dont la moitié est en boyau, mais cette dernière n'est répandue que dans le Piémont et peu connue en France.

Le choix d'une Mandoline est très important pour avoir un bon résultat dans les études. Je conseille donc d'avoir soin de donner la préférence à une Mandoline dont les cordes sont le plus rapprochées que possible des barres de la touche, la pression des doigts se trouvera réduite notable­

ment surtout lorsqu'on jouera à partir de la troisième posi­

tion, l'éloignement des cordes constitue une réelle difficulté pour exécuter avec netteté les sons. Veillez aussi à la dis­

tance régulière entre les doubles cordes et leurs intervalles: quand ily a trop d'écartement, surtout pour les Mi et les La, le trémolo uniforme ne s'obtient pas facilement, il produira un effet de tic­tac qui n'a rien du trémolo.

Pour la tenue de la Mandoline représentée par le dessin,

^ ' j ^ ' . i ^ ' ^ i '

je donne la position assise comme la plus agréable, on peut aussi jouer debout, l'élève se livrant de temps en temps à cette deuxième position, tiendra ou apprendra à tenir avec plus d'assurance son instrument. C'est une condition essen­

tielle pour bien apprendre à jouer. Je ne suis pas partisan du ruban fixé à la Mandoline, l'élevé ne s'attache pas à la tenue de son instrument, le peu de stabilité qu'il offre ne permet pas d'arriver à rendre des pianissimos très fins, de même pour l'emploi du Trémolo sur double note ou triple note, l'instrument fixé par le ruban suit par des va et vient les mouvements faits par la main droite. Il est nécessaire que la partie bombée s'appuie au corps et le dessous sur la jambe droite, l'avant­bras droit sur le bord de la caisse. On peut aussi croiser la jambe, ou se servir d'un tabouret.

La main gauche doit tenir sans effort l'extrémité du manche qui serre légèrement entre le pouce et l'index à la base des doigts. Le pouce restera toujours redressé il ne joue pas, tous les autres doigts sont employés. Éviter que la paume de la main ne vienne toucher au manche de la Mandoline pendant que les doigts vont et viennent sur le clavier. Les doigts devront tomber le plus possible perpendiculairement sur les touches.

Toutes les gammes de la premiere position se feront sans déplacer le pouce; s'habituer dès le début a faire le Si, sur la corde Mi, par le 4' doigt et voir même le Do au­dessus de la portée, sans déplacer la main, pour s'habituer à faire les extensions. Pour toutes les autres positions, la main gauche viendra se placer à la première note de la position in­

diquée.

l'rofesseur de Cithare.

(.4 suivre.)

A. SCHOPFER, Citliaiibte de l'Opéra,

de Mandoline et de Guitare.

-é^^==>).s4^|34<=^-

2€6 LA MODE ILLUSTRÉE, JOURNAL DE LA FAMILLE.

n ne saurait trop répandre cette idée, que des soins réguliers, intelligents et purement hy­giéniques sont les seuls qui soient vraiment efficaces pour l'entretien et la conservation de la beauté; tandis que les moyens factices, auxquels tant de femmes ont la faiblesse de

recourir, trompent infailliblement les désirs et les espéran­ces et ne sont, pour la plupart, que des pièges tendus à l'ignorance et à la crédulité. Les spécifiques qui s'adressent au teint et a la peau sont peut être de tous, les plus dange­reux, et ceux qui font le plus de dupes. Nous ne nous lasse­rons donc pas de répéter à nos lectrices, que, ce qui vaut mieux que tous les fards, cosmétiques et eaux de Jouvence, ce sont les bains et les douches, ou les ablutions abondan­tes et fréquentes, faites avec de l'eau tiède additionnée d'une préparation antiseptique, tonique et légèrement astringente. Une des meilleures qu'on puisse indiquer à cet effet est la Salolinc­Larozc. Grâce au salol et à la lavande qui en font la base, elle réunit à des vertus stérilisantes de premier ordre, l'agrément d'un parfum délicieux; elle rafraîchit Ja peau en la purifiant et procure un grand bien­être. La .Saloline­Laroze {2 fr. So le flacon) se trouve dans les magasins de nouveautés et chez J. P. Laroze, 2, rue des Lions Sainl­Paul qui expédie franco les envois à destination de la France.

Les ablutions terminées,on passera sur le visage et sur le cou, soit un linge fin, soit un peu d'ouate hydrophile imbibés de Rosée Orkilia; l'action pénétrante de ce produit esthé­tique assouplit la peau, l'affine, la satine; en la garantissant des influences atmosphériques, elle la préserve des irrita­tions, des efflorescences, du hâle, voire même des rides, que provoquent presque toujours les changements de climat et es stations prolongées au grand air, sous l'ardeur du soleil.

Lenthéric à qui l'on doit cette trouvaille, insiste pour que l'on complète les bons effets de la Rosée Orkilia (5 francs le flacon) en adoptant la Poudra de riz Orindée, dans laquelle se retrouvent les mêmes principes hygiéniques, et qui possède en même temps des qualités de finesse et d'adhérence ex­ceptionnelles. La Poudre de riz Orkidée (3 francs la boîte) se fait en trois teintes, blanche, rosée, rachel. Lorsque ces nuances ne correspondent pas d'une façon suffisante à celle de la carnation, un mélange judicieux permet d'obtenir exac­tement le ton cherché. La rosée Orkilia et la Poudre de riz Orkidée. se trouvent chez Lent/iéric, 245, rue Saint­IIonoré.

Deux questions importantes autant que délicates : 1" doit­on recourir aux teintures lorsque les cheveux commencent à blanchir? Sans hésiter nous répondrons, non. Les tein­tures sont des palliatifs dangereux dont l'emploi peut avoir les plus graves conséquences, et dont le résultat certain est la calvitie à brève échéance, accompagnée le plus sou­vent de maladies persistantes du cuir chevelu. Nous ne connaissons qu'un seul procédé de recoloration qui soit absolument inoffensif, tout en donnant de merveilleux ré­sultats; ce sont des applications de Poudre Capillus ; agis­sant à sec, elle n'a aucun des inconvénients des teintures liquides, et l'expérience a prouvé d'une façon peremptoire que son innocuité est absolue. La P(;«.fr(; Capillus (,' francs la boite) (."> fr. 5o en paquet recommandé) se trouve à la Parfumerie do Ninon {3i, rue du Quatre­Septembre). 2" Quels sont les dentifrices qu'il convient d'employer pour les soins hygiéniques de la bouche? En est­îl qui soient réellement propres à entretenir la beauté des dents, et à prévenir les accidents locaux qui les altèrent et les dé­truisent? Les Hénédiclins du Mont Mujella, que tant de pro­duits spéciaux ont rendus célèbres, sont en mesure de répondre victorieusement à cette question qui a fait l'objet de leurs plus actives recherches. Fidèles à leur méthode, qui consiste à emprunter uniquement aux plantes leurs moyens curatifs, les Pères du Mont Majella, sont parvenus à composer une Poudre (3 francs),une Pâte (3 fr. 5o) et une Eau (3 francs) dont l'emploi simultané constitue le traite­ment le plus efficace pour l'entretien et la conservation des dents. En cas de rage de dents , l'application d'un coton imbibé é'Eli.\ir calme instantanément la douleur. Pour se procurer les produits des Bénédictins du Mont Majella, adresser ses demandes à M. E. Senet, administrateur, }5, rue du Quatre­Seplembre.

L'emploi de la vaseline s'est tellement généralisé; on sait si bien aujourd'hui les bons effets qu'on en peut obtenir dans une foule de circonstances, qu'il est nicessaire d'en avoir toujours sous la main ; mais il est fort imporlant de ne faire usage que d'une vaseline vraiment pure et natu­relle, et ayant bien, par suite, toutes les propriétés antiseptiques qui lui sont propres. La « Vaseline" ('liesebrough est la seule qui offre des garanties ab­solument sûres, et telles, que toutes les sommités médicales la recomman­dent et l'ont adoptée. On la trouve à la Parfumerie Colgate, 2­, rue des Pyramides (Paris). C'est là également, que toutes nos élégantes vont chercher actuellement leur Parfumerie : Les Savons, Poudres, de riz. Eaux de toilette. Sachets, portant la marque « Vioris » obtiennent en particulier le plus grand succès. L'Extrait « Vio­ris « pour le mouchoir, est absolument exquis; d'une suavité délicieuse, en même temps que d'une persistance exceptionnelle il laisse, une fois évaporé, une odeur de violette qui est un véritable charme (­I fr. 5() le flacon).

Voici que nous entrons dans la saison des villégiatures et des voyages; le moment nous semble donc opportun pour mettre nos lectrices en garde contre les dangers qui vont

résulter de ce changement de vie et de milieu et pour leur rappeler les précautions dont il est indispensable de s'en­tourer pour les conjurer. La grande préoccupation, celle qui doit peut être primer toutes les autres, c'est d'assu­rer à la chère maisonnée des eaux d'alimentation pures et saines; car nul n'ignore aujourd'hui, que l'eau est l'un des véhicules les plus redoutables des microhes pathogènes. Aussi, ne doit­on jamais quitter son chez­soi sans s'être muni 'Alcool de Mentlie de Ricglès. Ce cordial, a)ant la propriété de stériliser l'eau, met à l'abri de toutes les affections gastro­intestinales et typhiques que provoque l'absorption des eaux polluées ou de mauvaise qualité. En tout temps d'ailleurs, l'Alcool de Mentlie de Ricglès mêlé à l'eau, au thé, au lait, constitue la boisson la plus rafraîchissante, la plus sto­machique, la plus réconfortante et la plus agréable; avis aux cyclistes et à tous ceux qui s'adonnent aux exercices de sport: l'Alcool de Menthe de Ricqlès peut être pris impunément en pleine transpiration; tout en procurant à la bouche une sen­sation exquise de fraîcheur, il a sur les fonctions de la peau une action salutaire et relève instantanément les forces dé­primées.

Autre recommandation essentielle : ces chambres d'hôtel, ces maisons meublées, où vous allez vous établir et sé­journer, qui vous dit, iVIesdames, qu'elles n'ont pas été con­taminées, et que les hôtes inconnus qui y ont passé avant vous n'y ont pas laissé des germes infectieux? Faites donc, en cas de départ , une ample provision de Sels de Paris : sous un très petit volume, c'est le plus puissant des anti­septiques. Dès que vous aurez pris possession de vos ap­partements, mettez­en partout; dans les t iroirs, entre les matelas; répandez­en dans les accessoires de toilette; ayez­en, en permanence, dans une soucoupe que vous pla­cerez près de vous. Pour le voyage même, il est bon d'a­voir un flacon de poche rempli de Sels de Paris : en le dé­bouchant de temps à autre, on purifie l'air de la voiture ou du compartiment que l'on occupe.

N'oubliez pas non plus. Mesdames, que les Sels de Paris concassés sont bien supérieurs au camphre et à la naphta­line pour la conservation des lainages et des fourrures : ils stérilisent les larves d'insectes, quelles que soient l'éléva­tion de la température: et ont le grand avantage de ré­pandre une odeur agréable : lilas, héliotrope, verveine, vio­lette, etc., chacun peut choisir son parfum préféré. Les Sels de Paris se trouvent dans tous les grands magasins de nouveautés. En adressant sa demande à la Société des Sels de Pans, 3y, avenue du Roule, on recevra contre mandat de 3 fr. 75 un kilog. de sels assortis.

Nous rappelons à nos lectrices qu'elles trouveiont en ce moment chez Roullier frères, 27, rue du Quatre­Septembre une merveilleuse collection de toutes les plus jolies nou­veautés d'été. Faut­il leur dire encore que, si nous ne nous lassons pas de leur recommander cette maison, c'est que nous avons la certitude que notre insistance ne nous vaudra que des remerciments? La maison Rouiller frères s'est fait une loi, en effet, de ne vendre que des articles exclusifs, dont la qualité et la fabrication défient toute concurrence; c'est le type, devenu fort rare aujourd'hui, de la vraie maison de confiance, où l'on peut faire ses achats les yeux fermés, pour ainsi dire, sachant bien qu'on n'aura pas de déception. Voici tout un choix de lainages et de soieries en faveur desquels nous sollicitons particulièrement l'atten­tion de nos lectrices :

Pour costumes­tailleurs dont le degré d'élégance sera déterminé par le choix de la teinte : la Popeline Vigoureux (7 fr. 25; largeur i mètre 20). Pour robes de ville : les Gre­nadas (3 fr. 75; largeur o mètre 70) belle étoffe soyeuse, extrêmement solide; se fait en teintes claires et foncées. Étoffes très légères , transparentes : Jaspé soie de Lyon (10 fr. 25; largeur i mètre 20); Voile brise (6fr. 75; largeur i mètre 20).

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LA MODE ILLUSTRÉE JOURNAL DE LA FAMILLE 267

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AVIS Nous commencerons dans le prochain nu­

méro : R a n c u n e , roman inédit de M. D'ES-CRENNES.

Nous publions dans co numéro lo dessin du siège du 4» fauteuil Louis XV­Louis XVI.

Le dessin du premier fauteuil a paru dans lo supplément du n° 48 do l'année 1895.

Le dessin du deuxième fauteuil a paru dans le supplément du n» 18 de l'année 1897.

Le troisième fauteuil est composé des motifs du milieu du canapé, parus dans les n° 52 de l'année 1897 et n° 11 de l'année 1898.

r\ rs- ­H

PATE DE FRUITS , COINGS, ABRICOTS, PRUNES.

Prenez de beaux coings bien mûrs ; pelez­les et mettez­les cuire dans une bassine de cuivre contenant assez d'eau pour c^u'ils baignent; on reconnaît qu'ds sont assez cuits quand ils s'amollissent sous le doigt. Réduisez­les alors en purée en les écrasant et les faisant passer au travers d'un fin tamis de crin. (Pour qu'ils passent plus facile­ment il faut qu'ils soient bouillants, aussi est­il préféra­ble de les écraser un à un.)

Cette opération faite, pesez la pâte obtenueetremettez­la dans la bassine avec un poids égal de sucre en pou­dre (il vaut mieux préparer le sucre en poudre soi­même, celui du commerce n'étant pas pur).

R E B U S

Au deuxième ou troisième bouillon, retirez la pâte qui est cuite et versez­la dans des plats creux. Le lendemain, ou le surlendemain, selon le temps, elle s'est raffermie, il n'y a plus alors qu'à a découper en morceaux, à la sau­poudrer de sucre en poudre ou cristallisé et la laisser en­core sécher un ou deux jours avant de la mettre en boites, et la garder en lieu sec.

CÈPES A LA BORDELAISE

Ayez de l'eau bouillante dans une marmite, vous la salez et vous y jetez les cèpes que vous avez eu som de peler. Laissez­les jeter deux ou trois bouillons en les maintenant dans l'eau avec une cuillère; retirez­les et posez les à mesure, sur une serviette du côté de la queue, puis pendant qu'ils sont encore bouillants, mettez­les dans la poêle et dans l'huile bouillante. Quand ils sont cuits, dressez­les sur un plat et jetez dans la poêle un hachis composé d'une partie des queues, d'un peu d'ail et de persil.

CÈPES A LA BÉARNAISE Il faut apprêter les cèpes exactement comme à la Bor­

delaise, sauf qu'il faut absolument n'y mettre que l'huile nécessaire pour les faire cuire, car on ne l'emploie pas après. Quand ils sont cuits on les enlève de l'huile et on les place dans un plat allant au feu, on verse dessus une béchamel blanche, on les met sur de la cendre chaude et on place dessus un four de campagne ou un couvercle chaud, pour faire prendre couleur. Il faut un peu de muscade dans la béchamel.

Autre recette .Mettez­les au sel sans les peler, puis dans une casse­

role avec de l'huile, à froid, ajoutez les pieds des champi­gnons, que vous avez eu soin de hacher très fin, ainsi que du persil et un peu d'ail, laissez cuire au moins une heure et demie à très petit feu ; au moment de servir, enlevez l'huile qu'il y a de trop.

Les fonds d'artichauts arrangés comme les cèpes à la Bordelaise sont excellents.

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L'HYPNOTISME EN DEFAUT — Désormais plus d'Ea\i de Cologne Prlmiale. Lo sujet s'(!t'e//(an( irusquement: Ah ça! je ne puis pas!

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N" 157,010, Saónr­el­Loire. Un homme n'i­ntre jamai.s dans un salon, en portant son pardessus sur le bras : da«s quel but se produirait cette cxliihition.' On pourrait croire que c'est afm de faire voir que l'an possède un pardessus. —N" 167,442, .S'.ï!)Oîe.Pour cette transformation de lampes, s 'adresser au Service des Acliats, rne .lacob, 56, ou bien chei' l iamier, rue l îonaparte; on peut de­mander tel patron que l'on désire (même en dehors de ceux pu­bliés dans le .journal) moyenn.ant l'envoi de 1 fr. 50; j 'a i vu net­tiiyer du bois de palissandre verni, avec des tampons de linge imbibes d'eau pure ; mais il faut opérer très vivement, et aussitôt, essuyer le bois; une c£rtaine force musculaire est nécessaire ; ce nettoyage ne peut être fait que par des hommes . — N" 150,110, Mcvrtlie­ol­Mo.^ellf. Les dessins de travaux avec leurs explica­tions, ne s'improvisent pas ; et ne peuvent par conséquent figurer dans le //rocfiain numero; une pèlerine qui réunit toutes les conditions désirées par notre abonnée a paru dans le n" 52 de l 'année 1898: exécutée avec de la laine fine, ses proportions con­viennent à tous les âges, puisque l'on peut à volonté, les augmen­ter ou les diminuer ; prière de consulter ou se procurer ce nu­

méro. — N° 259,467, Suisse.' Com­ine tous les autres dessins : piquer les contours et les poncer; nous étudions plusieurs pro­cédés, et nous ind'iquerons celui qui nous semblera le plus satis­faisant. — N" 162,662, Côtes­du­Xord. ("est à un ébéniste qu'il faut s 'adresser , et quoique liomme du métier, je doute qu'il réussisse, surtout si ces taches sont anciennes; si des médecins qui ont nécessa i rement fait des études médicales, ne peuvent réussir d.ms ce cas, comment pourrais­je, n'ayant aucune notion de médecine, être plus heureuse qu'eux? Je crois, cependant, que l'on pourrait at ténuer l 'inconvénient en faisant de l'exercice, chaque jour un peu p?M.ç d'exercice. —N» 158,017, Seine. Tout cela se porte. — Turin. Paris n'envoie pas faire du travail, même hors Paris : il peut le faire exécuter sur place, sous sa direction et sa survei l lance; comment en enverrait­il , à l 'é tranger, engageant des correspondances, faisant des envois qui pourraient être en retard, et qui en tout cas, imposeraient des frais'? — N" 166, Es­pai/ne. ('es conserves s e font dans des usines, avec les degrés d'ébulWtion réglée mathémat iquemen t ; avec des ouvriers soudeurs, employés à la fermeture hermétique des boites; tout cela fait défaut aux j iarticuliers; on peut exécuter beaucoup de choses... mais non toutes. — N» 1,618, Finistère. Je crois que l'on pourrait obtenir ce résultat , en lavant la soie avec du savon séricn­sapo, que l'on trouve à prix peu élevé, à la parfumerie Ninon, rue du Quatre­Septembre, 31; on pourrait tout au moins essayer sur nos échan­til lons; s'adresser pour cette toile au Service des Acliats ; je pense sans pouvoir l'affirmer, mon travail ne me permet tan t pas de m'en occuper, que l'on y peu t demander des échantil lons; le savon sérico­sapo, ser t e'fî outre à laver et net toyer tous les ti.ssus de

soie, les rubans, etc. —­ K» 5, Cote­d'Or. Après un an de deuil, une veuve peut rendre toutes les visites, y compris celles du jour de l 'an; cela n'est point payé; des collaborateurs sont chargés de cette sorte d'articles. — N° 144,587, Hautes­Pyrenees, lias roses ; jaquet te ou boJéro. — N" 131,97!), Ardi'clie. II n'en est qu'un, et il n'est pas facile : piquer les contours des dessins, y passer un nouet contenant de la craie ou du bleu d'indigo ; enlever le dessin ; fixer les contours avec du blanc, ou du bleu; oui pour ces jupes sur t ransparent . — N» 149,851, Isl­re. Le« bonis de patrons peu­ven servir, tant que l'on en a, fussent­ils de l'année préoédentc; on de­mande le patron des costumes d'enfante en les désignant ainsi : 1"­, 2" ets» grandeur. — N" 153,322, Algérie. On fera ces chemi­settes, mais sans t ransparent ; comme les manches d'une robe.

EMMI'LIXE RAYMOND.

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