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"-""" -- ) DO 551 ER Conseil de développement bioalimentaire de Lanaudière DE PRESSE 2010-2011

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Conseil de développement bioalimentaire de Lanaudière

DE PRESSE

2010-2011

Le 19 août 2010 - L’Image de Lanaudière

Un premier liv:::L recettes pour La Courgerie

Des courges dans votre assiette!

Pascale Coutu et Pierre Tremblay, heureux producteurs et transforma­

teurs agroalimentaires, lanceront, en primeur, leur premier livre de recettes, Des Courges dans votre assiette, lors des Fêtes gourmandes de Lanaudièrel

Myreille Barrette myrei [email protected]

Sur leur chemin vers la réussite avec leur en­treprise, La Courgerie, le dynamique couple bayollais a décidé de partager leur savoir-faire et leur gourmandise pour vous permettre de laisser entrer plus souvent les cucurbitacées dans votre cuisine!

Photo: Myreille Barrette.

Pascale Coutu et Pierre Tremblay.

Les grands esprits se rencontrent

Le début de cette nouvelle aventure a commencé lors d'un bon souper convivial entre amis auquel faisaient partie la coordonnatrice à la mise en marché et à la pro­motion du Conseil de déve­loppement bioalimentaire de Lanaudière, Annie Cossette, et le photographe joliettain Chris­tian Rouleau. Pendant cette soirée où tous les rêves sont permis, Pascale lance dans la conversation : • Ça fait longtemps qu'on y pense Pierre et moi et là, nous sommes vrai­ment décidés! Si un éditeur veut faire un livre sur les courges, nous sommes prêts! Il y a

toujours des gens qui nous demandent de l'information sur comment les préparer, com­ment les cuisiner, comment les choisir, etc. Si on fait de quoi, on va le faire "hof'! • C'est dans ces termes que Pascale s'était exprimée avec la ferveur qui la caractérise. À cette idée lancée sous le sceau de la confidence amicale, Annie lui a demandé quarante-huit heures pour mijoter tout ça. Branchée dans le milieu des communications et de l'industrie agroalimentaire, cette dernière téléphone à une collègue éditrice aux Éditions Goélette, Ingrid Remazeilles. • À l'intérieur de dix jours, le contrat était signé et nous étions déjà en train de travailler sur le livre de recettes! • ajoute Pascale dans un grand éclat de rire! Les étoiles étaient bien alignées entre ces trois femmes pour réaliser un livre abondamment illustré par les très belles photos de Christian Rouleau et dont près de 200 recettes sont concoctées par Pierre et Pascale. L'implication du photographe lanaudois dans ce projet allait de soi, car M. Rouleau collabore depuis neuf ans aux outils de communication de La Courgerie.

Cuisiner la courge d'hiver

L'ouvrage explique notamment les rudiments sur la façon de cuisiner la courge d'hiver à partir du moment où vous la choisissez jusqu'à dans votre assiette. Mme Coutu mentionne • Ce sont des plats de tous les

jours afin de mettre de la courge partout, du déjeuner jusqu'au dessert du soir en passant par le casse­croûte! • Il y en a donc pour tous les goûts, des recettes santé ou très gourmandes, à l'image de notre quotidien.

En primeur

Disponible en librairie dès le 16 septembre au coût de 24.95 $, il sera offert en

primeur aux Fêtes gourmandes les 20, 21 et 22 août.

Pierre et Pascale profiteront de l'occasion pour faire des démonstrations culinaires (samedi 13 h et 16 h et dimanche 13 hl. Bien sûr, les délicieux produits de la ferme de La Courgerie, seront aussi aux rendez-vous ..

encha~~us/:~ CANARDS MAUREL-COU QMBE

et pro UltS exq UlS ANNIE COSSETTE

Avant mêrm d'mrrver dlez wmrds fv\3urel-Coolcmoo, à St-Jean-de­fvUtm, le ctBrrœ iJiJère. Les rangs St-Guilaume et S3cré-Cœur smt fX!rrTl les plus beaux de la région avec leurs lXIysages bJcoliques d3ns les a'lamps vallonnés qui raPiJel13nt l'Irlande on y ap3rçoit de norra-eux d1evaux et de jolies balles de pg.il es." On ccrrprend a~érœnt VlurqLd le OJupe Yvanne fvt3urel pt fJ,grtin r)llllr:mœ Cl sllrmrmp en adletlnt cette ferrrette ayant alJiX!rtenu à Henri Bernard, bien cmnu des cu~inières québéco~es Vlur ses ém~ms télév~ées dam les années 1 970, I~ ont donc chdsi ce site p:JJr réaliser leur aventure: élever des camrds à foie gras et le faire aplXéder aux goorrœts de tcus le.3 haizol1S.

A prioIi, rien no d,o,tim.it Yvanœ M.urd, arti,tc­!Culptrurc ttan;u<c, ct M",tin OJulorrbc, travaillant dm, le dormiœ du voyage , i devenir prodœtcur, agric ole!, Cc rêve e!t p:orti d'uno idù un peu folle l:orrie en boutade :ùe« qu'il, ckrchucnt un pr ojet co= , C'ét.it en 2002 ct YVaIIDO habitut . 10I! CI>o c<e en FraI>X , C' Clt

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au téléphoœ, tout cnthou,ia,!C, quo Martin lu • fu: part de $On idee, Yv:mr>O • in!tant.œm:nt cru tu pr ojet et co~é i y tr.vuller, Quatre 1lll>X' ont été nOcC!!urC! .fin de ré :w= cc projet, le tcmp ' qu'YV 1nl>;O 'ppreIll>O le mOtier par de! "'age' en Fraœe ct le tcmp' de trouver la fermo ide:ùe,

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i:ri~i·l~ !~ii'I!!;I~~lii!;~;; !li~ifi~Filr~i~i[!~tl: ~ f~t R-fl~~~- "" ~",Qn O~a"~' ''l f!0Q~g..- ~ ~",00~ ~ " ~ Q:;~~o.~R~S "n~~~ . ... -foR e ,;,- ~§~'Eft"~gtfd':,;::~2.~F~~§ .i!e§h~~~~~;g~f',S~i;(g,~~~R§~irg o·~ ~ · ~~:<:: ~'a°<lo ~ ~ ....,~ofloo ~ ~i!~'''o §~·ffe.~o~ft"ft"~_~~gSor§ff~.or

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juillet 2010 - Le Journal agricole - L’Action

l'Expo retrouve enfin son élan Grâce aux chevaux et au beau temps

louis Pelletier info!anaudiere@transcontfnenta(.c3 '

Après avoir connu un (r.~ux

de 2 800 entrées en 2009 à cause de la pluie, l'Expo Ri,ve­

Nord a réussi cette année à atteindre s'on objectif de , 5 000 visiteurs grâc~ au beau temps qui s'est maintenu du jeudi au dimanche et l'ajout d'une nouveauté :.u programme,les chevaux de toutes tailles,

Tous les participants étaient prêts à 18 heures, le jeudi 24 juin, mais la foule n'était pas au rendez-vous. Pour tant, l'admission était gratuite. A part quelques dizaines de familles intéressées par les jeux gonflables, les visiteurs se faisaient rares à la ferme-école de Saint-Thomas. Karine Sainte-Marie ,'et son band n'ont pas eu l'assistance à la hauteur de leur talent À l' évidence, les fêtes du 23 juin ~n avaient épuisé plus d'un.

Le 25 juin, la journée des garderies, a plutôt été celles des jeunes familles qui ont été nombreuses à envahir le site pour visiter notamment la petite ferme. . Samedi soir, le méchoui de l'Expo a conr~u

un [Tanc succès tout cbmme ·la soirée

Juillet 20 10 Journal Agricole - ~Action wwwJaction.com ' Page l

d'aJ~1<lteurs. «Samedi et dimanche, les cheva llX O?t été tellement populaires qu'on a manqué cl estrades), a commenté la coordonnatrice de l'événement. Lucie Duches'ne.

"_ ~>Dimanche.la messe sous le chapiteau a été çl1~,tée p,ar, Raymond GraveL eatl110sphère e~~i;\éte%~~~.Avant d:èntrer sous le chapiteau, kç§!éQraJ)tgrillalt une cigarette, "Mon s!lul défailt», a-i-il confié d'Wl air complice. '

Au cours de l'inauguration, le président de J,,-F,édération de l'Union des produçteurs

agricoles de Lanalldière, Gilbert Mathieu a souligné tout le bénévolat que représente 'çe re~dez-vous. «Pourtant, ce n'est pas l'ouvrage qUI manque ces temps-ci à la fermé. »

L e président de l'Expo, Michel Désy de $amte-Geneviève--de-Berthier, a lui aussi souligné la collaboration des nombreux p,artenaires et bénévoles de l'événement. LExpo, a-t-il assuré, sera de retour en 201 L " (En première page1 jugement d'un veau

, Ayrshire présenté par Laura Dupuis, sept ans et demIe, de Samt-Jacques-de-Montcalm.)

juillet 2010 - Le Journal agricole - L’Action

David Guillemette d~ 8écancour avait amené ce poney âgé de près de sept ans.

Le 25 juillet 2010 - L’Action

Le 5 juillet 2010 - Le Journal agricole

D éveloppemen t b io alimentaire grâce au CITAL

ar Ann&.Ma rie 0 uquette Voir tous les articles de Anne-Marie Ouquette Article mis en ligne le 5 juillet 2010 à 16:57 Soyez le premier à co mm enter cet article

le Centre d'innovation en tra nsform ation des alim ents de lanaudière (C ITAl) est né, il y a quatre ans , collaboration fructue us e du Cégep régional de lanaudière à Joliette et du Cons eil de développement bio alimentaire de lanaudière (CDBl). Cet outil d'expansion permet à plusieurs entreprises de la région de croître en nou s offrant des produits de qualité et gagne ains i à être largem ent découvert .

De p lus en plus de produit s

a l im entaires lanaudois sur nos

tablettes sont passés par le CITAL. En effet, p l us d 'une cinquantaine de

projets ont été generes grâce à l 'encadrem ent qu'offre 1 e centre.

Gabriel le Du val, coordonnatrice de

proj ets au CITAl ment io nne : « En tant

que coordonnat rice de projet, il faut

bien aiguil ler les transformateurs de la région sur la qualité et la traçabilité et

je sais qu'i 1 s'agit parfoi s d'une seul e

petite erreur de transformation pour

tout faire basculer la notor iété de l 'e ntrepri se . »

Sur 10 photo (de gouche " droit e) : Madame 0 ominique Cournoyer, directrice du

C ég e p à JOli ett e, Madame G a brielle 0 uval , coordonnatrice P roduit s/Prae éd é s et Mon sieur

Beno ît Riuest , directeur général du C OBl.

le CITAl a pour mission de favoriser l'ém ergence, la croissance et le

développement des entreprises agroa limenta ires . Pour ce f aire, le ce ntre mise sur

des act ivi tés de recher che appliquée et de transfert technologique en mettant à la

disposition des nouveau x entrepreneurs les équipements et service s du com p lexe

agroa lim entaire du Cégep régional de lanaud ière à Jo liette . Ces instal l ation s sont

offert es en 1 ocatio n au x entrepri ses en pré -dém ar rage 0 u qui souh aitent

développer un produit. l 'exp ert ise du CDBl alliée à ce comp l e xe, doté de quatre usines a lim entaire s (carnés, laitier, végétaux, céréa l ier) d ' une salle d ' éva l uation

senso r iel le et d'une cuisine expérimental e, perm et l a conception de nouveau x

produits t out en min im i sant les ri sques d'i nvest issem ent s.

Ce sont des tests de standardisation, d'évaluation sensorielle, de mise à l'échelle et

d'estimation de durée de vie qui améliorent le produit. Ceci se traduit, entre

autres, par un meilleur rendement, une assurance sur la qualité du produit et

permet ainsi à l'entreprise de se démarquer. Au CITAl, la plupart des projets

engendrent de nouveaux emplois ou nécessitent des investissements dans le

bâtiment et dans l'achat d'équipements. De plus, plusieurs produits sont

commercialisés et peuvent remplacer ceux importés.

Benoit Rivest, directeur général du CDBl et Dominique Cournoyer, directrice du

Cégep à Joliette, sont hautement satisfaits du parcours de ce projet. Monsieur

Rivest mentionne à ce propos: « le CITAl est une façon pour le CDBl de dynamiser

le secteur bio alimentaire concrètement. Si la promotion de nos produits a toujours

été au centre de nos activités, s'assurer de la qualité, contribuer à développer des

produits est une facette que nous sommes très fiers d'avoir mise en place. »

Madame Cournoyer ajoute : « Pour le Cégep, l'accès à des équipements de

transformation et des instruments d'analyse de haute technologie, dans les locaux

du Complexe agroalimentaire du Cégep, s'inscrit tout à fait dans notre mission de

formation, de recherche, de soutien au démarrage et au développement

d'entreprises du secteur. » (A.M.D)

1er juillet 2010 - La Terre de chez nous

Banc d'essai • ••

une ,promotion efficace? JULIE ROY

Plusieurs réglons au Québec organisent çhaque année un banc d 'essai qui réunit prodUCleurs agricoles. chefs cuisiniers el é(udianls en cuisine. Dans bien des cas, l'expérience se passe tellement bIen que J'évènement est au menu d'année en année. Touterols, même si la recelte Il fait ses preuves la }ournée même de l'activ1lé. œrtain5se questionnent sur les bénéfices llong terme d'une telle union.

Les formules de promo!lon varient évi­demment d'une région à l'autrc, mals nor­malemént la formule classique du banc d'essai lente d'atteindre trois' obJeçdfs; elle permelll des étudiants de travaUJer avec des chefs, qui eux découvrent de nou­veaux produIts et les producteurs en prg­filent pour élabUr des maillages d'affaires. «Des chefs m'ont dit qu'Us profllalell! de l'occasion pour se nouver des stagiaires el un élUdlam m'a confié avoir fait son stage dans un restauram et y travailler mainte­nant grâce au banc d'essai _, souligne Annie Cossette, coordonnatrice mise en marché/promotion au Conseil de déve­loppement bloalimentaire de Lanaudière.

La Fédération de l'UPA Rive-Nord danJ !e secteur de III .Capitllle-No.tlonaie cruit tellement en cet évènement qu'elle a dé­cidé de poursuivre cette tradition même. après la disparition du Conseil de l'agricul­ture et de l'agroallmentaire pour le déve­Ioppemem de. la région de . Québec (CAADRQ), qui s'occupait de l'organisa­tion de cette activité Jusqu'au moment de sa fermeiure .• Dans la région, c'est une aCtivité que l'on soutient depuis plusieurs années el, 10Utes les fols, nous avons de Douvelles entreprises avec de nouvea.ux produits. Il y a une sensibilité el une fierté ! utiliser les produits locaux _, mentionne Françoise 60Sslroy, de la Fédération de l'UPA.

Des Impacts difficiles à chiffrer

SI Mme B05Siroy mentionne qu'une en­trep'rlse oe micropousses du nom de Ver­tigo gourmet a réussi /1 développer Ion marché du cOté des restaurateurs grâce, entre autres, à celle activité, peu de tables agroalimcntaires ont fait des études sur les véritables bénéfices' d' un tel évènement. Dans le but de maintenir l'intérêt et l'en­gagement des chefs, le Conseil de déve­

loppement allmentalre de l'agglomération de Longueu!! (CDBAL) 'a de son côté fait paraitre 23 rubriques de recettes dans les . d ifférents Journaux locaux. A chaque pa­rution, un chef cuisinier, un établissement

et un ou des produits du Québec étaient mis en vedette.

Toutefois, force est de constater qu'Il n'est pas toujours facile d'établir dei maillages d'affaires durables enrre P!O­ducleurs et restau rateurs." En falsam un petltsondagesur l'Intérêt, on s'est aperçu que les liens d'a ffaires que l'on upérait au-delà de chacun des aleHers ri~ se fal­saleR! pas beaucoup. On servait cie bou­gie d'allumage pour les faire entrer en contact les uns avec les autres, mals on. constaté Que les producteurs n'étalent pas proactlfs il relancer les chefl par la suite. C'est une des raisons qui fait que le projet fera relâche en 20 10 ~, laconte Simon Théroux, adjoint à la dire<tlon de la Corporallon de développement agroa­

Umentalre du Centre-du-Québec. D'autre part, M. Théroux menllonne que bien que les chefs soient très ouverts aux pro­duits régionaux, Ils vivenl des difficultés quand vient le moment de l'approvlslon­nemeR! .• On comprend aisément par exemple qu'un producteur ne peut pas

. abattre 25 urfs rouges Juste parce qu'on lui commande 50 metS pour un banquet.

Il doit aussi ê tre en mesure d'écouler toutes les aut res parties de chaqLie bête. Cela nous a conscientisés à un au lre as­pect que nous étudierons, solI la distribu­tion des produits régionaux .• Sur ce point, le chef André-Paul Moreau, lors d' une rencontre avec des producteurs de grands gibiers, a mentionné que ceux-cl doivent développer des recettes pour va­loriser loutes les parties de leurs anl­maUL • Pensez alŒ Joues ou encore au sang, avec lequel Il est possible de faire du boudin.. ~::

Même s' II est difficile de chl(frer écono­miquement parlant la tenue à:~ls évè­

, nements. un fait demeure, Us permettent réellement aux élUdlants et aux chefs de connaltre des produits de leur région. ., Quelques-uns de ces étudiants vont dé­venir chefs ultérieurement et .'ils revien­

. nent dans la région deux" /1 trois ans plus tard, Ils vont être sensibilisés /l l'ullllsa­lion-des produits d 'Ici _, souligne M:me Cossê.tte-du CDBL/ Du côté de.-produc­teurs, ceux-cl peuvent compter sur cette belle vi tri ne pour faire va loIr leurs pro­duits. « C'est une sensibilisat ion globale aux produits régionaux. dont on ne peul chiffrer l'Impact, mals c'est un évènement gagnant qui aide quelques-unes des ving­taines de nouvelles entreprises qui s'éta­blissent chaque année . JO, argue Mme Cossette.

Un banc d'essai est une activité qui convie des cuisiniers, des producteun locaul et des,étudlants an cuisine. '

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1er juillet 2010 - La Terre de chez nous

J'es.sal permet une lJenslbUl..,t1on globale QIU produl"réglonQIU, dont on ne (rer l'impacl.

U ne activité multifacette De prime abord, un banc d'essaI est lUle

activité qui convie des cuitsinlers, des pro· ducteurs locaux el des étudiants en cui· sIne, mals l'innovation Il été plus d'une fois au rende~'vous. En effet, quelques réglons ont déddé de modifier la traditionnelle formulf. Premièrement, cJnlllnes l'ont carrément rebaptisé d'un autre vocable, conunec'est le cas pour le Cenue-du·Qué· bec quia décidé'd'appeler cet 6vènemcnt ~ Atelier culinaire des -saveurs centrl·

i coises ~. D'autres ont profité de l'occasion ~ pour organiser un comb3t de chefs avec ~ une limite de temps pow: dth-elopper une '!. recette. Parlant de chefs, généralement ~ cinq ousix cuisiniers iOnt conv!1><; 11 rfl rpn, 1:1 dez·vous, mals Il la Thble agroaillnentaire ~ du Saguenay- l.ac-5alnt-Jean on a plutÔt !il fait appel au savoir-faire de pas un, malsde

! Ijl~7~'~h~'f"~P~,o~,~,",~.o~nnlI'~"'~PO~"'~'~'~""Jj"~"~·~'i· __ q~W~cW~"'~~"'~'~'I~OU~'~"~P~rod~WlfL1Du~oO~~~"'~ __ ~~~~~~~~~~~~~~~ ...1 bles bioalîmentalres, il étalt aUMi plUl fa- eonvl\"CS,généralementlesgensqukedé-~ elle d'imposer certains produltsou d'avoir lectent de CCl. repas sont: des dlsutbuteurs, ~ Wl. thème comme la canreberge, compte des Journalistes et des gens triés ,ur le

;.

Le 27 mai 2010 - La Terre de chez-nous

Le 26 mai 2010 - L’Action du mercredi

,Plus de 6S0 convives à la Grande-Tablée

La Grande .. Tablée du Conseil de Le directeur général du CDBL, Benoit développement de Lanaudière a intéressé Rivest, est enthousiasmé par cet cette année plus de 650 personnes lo rs de événement devenu un incontournable soirées étalées du 12 au 28 mai. À quelques dans Lanaudière. JOUIS des dernieJ;s rendez-vous, une porte- «Pour l'édition 2010, nous avons ajouté Farole de l'év~nement)Annie, Cassette, était - une septième soirée afin qu'une centaine.de fière de constater qu'il ne rest~lit qu'une personnes de plus puissent participer à vingtaine de billets à 65 $ par couvert. l'événement. Un service hors pair, des mets

Un communiqué précise que le menu de succulents préparés à partir de produits l'édition 2010 a été concocté par Marie-Ève régionaux, une aUlbiance conviviale, le tout Dubeau, chef-propriétaire du restaurant Le à un prix abordable, que demander de Saucier à Joliette. mieux ?»

Ce délicieux repas gastronomique neuf Cette activité, a-t-il ajouté, constitue une services, élaboré à partir de produits excellente vitrine pour les producteurs et lanaudois, comporte' des produits d'une transformateurs d'ici. vingtaine de producteurs et de La présidente du CDBL, Annette Cou tu, transformateurs. Le repas est cuisiné par les a pour sa part souligné que Lanaudière étudiants finissants en. cuisine sous la regorge, du nord au sud, de délicieux

. supervision de Marie-Ève "Dubeau et des produits régionaux. «La Grande Tablée est .professeurs de l'Académie d'hôtellerie et de une opportunité pour faire découvrir tourisme de Lanaudière. Le service est certaÏns de nos produits locaux et ainsi assure par les finissants en service de la sensibiliser les gens à acheter de plus en plus restauration. les produits lanaudo~s.» (l.P.)

Dir€ctrÎC€ adjointe du Centre mult;serv;ce des Sa,!"ares, Louise Patry · est ici efl compagnie de Benoit Riv~t, du chef invitée MÇ/rie-Eve Dubeau, de Annette Couru

et d'une étudiant€ en service de l'Académie, Cynthia Rhéaume.

Le 18 mai 2010 - www.connexion-lanaudiere.ca

Capsule Flash Connexion

La Grande Tablée 2010: une expérience gastronomique aux saveurs lanaudoises

L'inauguration des sept soirées de la Grande Tablée 2010 a eu lieu le 12 mai. Le

Conseil de développement bioalimentaire de Lanaudière (CDBL) est très fier de cette

dernière édition. Le menu de cette année a été concocté par la chef invitée, madame

Marie Ève Dubeau, chef-propriétaire du restaurant Le Saucier, à Joliette.

Ce délicieux repas gastronomique neuf services, élaboré à partir de produits

lanaudois, comporte les produits d'une vingtaine de producteurs et transformateurs.

Le repas est cuisiné par les étudiants finissants en cuisine sous la supervision de madame Dubeau et des professeurs de l'Académie d'hôtellerie et de tourisme de

Lanaudière. Le service est assuré par les finissants en service de la restauration.

Monsieur Benoit Rivest, directeur général du CDBL, nous parle avec enthousiasme de

l'évènement: «Auparavant, c'était plus de 600 personnes qui découvraient des

produits lanaudois et diverses façons de les apprêter. Pour l'édition 2010, nous avons

ajouté une septième soirée afin qu'une centaine d'autres personnes puissent participer à l'évènement. C'est vraiment incroyable de constater comment La Grande Tablée est

devenue un incontournable dans Lanaudière. Un service hors pair, des mets

succulents préparés à partir de produits régionaux, une ambiance conviviale, le tout à

un prix abordable, quoi demander de mieux? De plus, cela s'inscrit directement dans

la mission du CDBL, soit de développer et dynamiser le milieu bioalimentaire de

Lanaudière, car cette activité représente une excellente vitrine pour les producteurs et transformateurs d'ici».

Pour sa part, madame Annette Coutu, présidente du CDBL, tient à souligner: «Notre belle région regorge, du nord au sud, de délicieux produits régionaux. La Grande

Tablée est une opportunité pour faire découvrir certains de nos produits locaux et ainsi

sensibiliser les gens à acheter de plus en plus les produits de Lanaudière».

Cet évènement se déroule sur sept jours (les 12, 13, 14, 20, 21, 27 et 28 mai

prochains). Quelques places sont encore disponibles pour les 20 et 27 mai. Avis aux

intéressés qui n'auront qu'à composer le 450 753-7486, au poste 235. À 65$ par

personne, c'est vraiment une occasion à ne pas manquer!

Le 17 mai 2010 - L’IMAGE de LANAUDIÈRE

La femme derrière la 5e édition, delo'Grc;nde Tablée

1"'I~~~i~~~j~~~:r~:ri~~~n~'~:i~t~~~:~~'~1~f~~ . ,.lJil~yres permettent de dévoiler celte foce cae,M~gui n'èst pas nécessàirement percepti­blel9~ d~une première 'rencontre. À traverSl~W cré9fci9n, nous pouvons percerâ la fois le n'lyS" t~reije leurpersonnalité,Jeurs traits de carac­tèrè<çlinsi que les leifmotivs de .leur monde cféati,f.CuÎsiner c'est de Tart. C'est à la fois 10 passion et l'amour desàliments>de la diversité d,es parfums et des COJ.ÎlèJJ(S;·.

Myreill~~~rr~tte .

prix:';qtlorclable, quoi demanderde mieux?'(Je plU!~; ce Id s'inlscrit direGtement dans la misslcim uUyVIUL., soit de d.éveloppèré dynamiser 'le mit lieubioalilllentairedeLapol,ldiêre, car cett~ac"' tivifé représente ,une e~ceHénte vitrine POU( .les' producteursettraru3formoteursdïci. » '

l.êJ,~hef invitée dei'êditio~2010 '

'ÙQr§qUe je suis allée' à" la ,repcbntre delaêlief i~vitéèdéla 5e édition de La Grande Tablée, ~(Jri?:ÈveDùbeau, j'avais la curiosité de décou­YDf,le visage de la femme derrière ces bijol.l)cde petits'plats exquis dont mes papilles gustatives ,avaient conservé un si délicieux souvenir. Je me sUisgrésentée . à son mignon . et chaleqreux rEl~t~prant Le Saucier. Marie-Ève Dubeau s'of­fairail à transporter les vivres procurés aux qua­tre',çd\os de la région qui, souS ses mains de p , ', e, 'se transformeraient sans l'ombre' d' ......... te; en plats succulents pour ses fidèles cliènts, . Toute menue et un brin timide, cette jeunefemme dans la trentaine est une sur­pr~n~pte.etaudacieuse chef cuisinier certes, ','fuQisé~piemènf .. chef d'entreprise .. , Ce petit en-

,1leJestaurant Le$oucier, est tout à fait à ..ge, «~Nou,s q'avons pas beauco e BIH~ieur9 s9irSC~fl$équtifsôqne·centaine de

~~i.~~~~~~~!:~~I~E,:~~:~~~:;':~~ pomonn,,;!, ~;:o1fl~~!,=~~; .. / Marina Bourdage§, assure le servioeoux vingtaine de producteurs et

t,s, Elles forment à~lles seules une éqiJipe Le repas est cuisiné par les tr~s polyvalente ! « ttant donné que mon en cuisine sous la supervi-re9.tqprant est trop petit; je ne peux bé"néflcier Dubeau et des professeurs de

s~rjbutiond~:~produits des distributeurs, d'hôtellerie et de tou,rismede ne mûiqwi dQi§faire les commissiofl9 et ", ta,lnOudièlie, Le service est assuré par les finis­

' ·~.p.ir~J~aisdu jour disponi!l!l~s sants en service de la restauration, Quelques ,e~l;)~ff: untravail de lonQliJe places sont encore disponibles pour les soirs

,.Rb. . ~ :~~t:w9Q<; r.el~;'~r le (jé\! de éomposer "les . . ,plats 'de La Granoe Tablée avec essen­tiellement des produits régionaux préparés/par I~sét~piantsfiniss.ants en cuisine d'établissec menNèprésentait U"nËe~J>,érience el1 sojtrès en-

riclh.is.~?gnte et un retour auxsouroes, Malgré §es, 'responsabilités de·Cestàurateurèt de professeure à l'école de rA~

d'hôtellerie et de tourisme de ' elle. d.laccepté l'offre du Conseilqe

bibalimentdirede tanauciièrei:le à la relève son savoir-faire,«JfQi

à la même école que ces élèves, j:éc tai.sdonc en terrain de connaissance, .'POWf llloi,le:plusdifficiiedanscettè expérience, a été de transmettre ce que j'avais dans ma tête, de leur faire comprendre ce que j'imaginais comme plat, » Avec son petit restaurant qui accueille tout au plus vingt personnes, MariecÈve Dubeau a assumé le mandat de La Grande Tablée avec brio en préparant un menu seryipendaht

du 27 et 28 mai prochains, Avis aux intéressés uront qu'à composer' le 450 753-7486

, iq~!UP~\$"'tOe 235, À 6(5.$ par personne, c'est vrai~ l'une occasion à ne pas manquer!

Le 6 mai 2010 - La Terre de chez-nous

LANAUDIÈRE

Des panneaux pour informer

Douze entreprises agrotouristiques de la région de Lanaudière amélioreront l'expé­I:ience des visiteurs grâce à des panneaux d'interprétation. Grâce à ces panneaux, les visiteurs en apprendront plus sur l'histo­rique de l'entreprise, les procédés de pro­duction et de transformation, etc.

Ce projet a été initié par le Centre de dé­veloppement bioalimentâire de Lanau­dière, ·appuyé financièrement par le

ministère de l'Agriculture du Québec (MAPAQ), les Sociétés d'aide au dévelop­pement des communautés (SADC) de la région et de la fédération régionale. Les entreprises devaient fournir les textes et les photos requis à la prod.uction de trois panneaux. Elles "bénéficiaient eq,suite . d'une formation par un expert, de l'aide d'un graphiste sénior et d'une impression de qualité. R.F.

Grâce à ce-panneau d'interprétation de grande qualité, les visiteurs de la Chèvrerie Barrousse de Saint-:Cuthbert pourront en savoir plus sur la production fromagèr~.

Mai 2010 - www.sadc-autray.qc.ca

GRANDE TABLÉE 2010 - CONSEIL DE DÉVELOPPEMENT BIOALIMENTAIRE DE LANAUDIÈRE (CDBL)

12 mai au 28 mai 201 0

Coût: 65 $ par personne, taxes incluses

Lieu: Académie d'hôtellerie et de Tourrisme de Lanaudière

La chef invitée cette année est Maire-Ève Dubeau, chef propriétaire de l'excellent restaurant Le Saucier, à Joliette.

Son menu, huit services, sera divulgé bientôt.

La Grande Tablée 2010 se déroulera les 12, 13, 14, 20, 21, 27 et 28 mai prochain à l'Académie d'hôtellerie et de

Tourisme de Lanaudière.

Pour information ou réservation, n'hésitez pas à communiquer avec madame Annie Cossette au 450 753-7486, poste

242.

Le 28 avril - La Revue

La MRC Les Moulins dans votre assiette Les saveurs et les talents de chez

nous étaient à l'honneur le 22 mars, lors du banc d'essai organisé par le Conseil de développement bioalimen­taire de lanaudière (CDBl) et l'A­cadémie d'hôtellerie et de tourisme de lanaudière mettant en vedette la MRC les Moulins.

Sous le thème «Cuisine urbaine, fantaisies culinaires», le grand public était convié à un magnifique repas cinq services, concocté avec la collaboration de cinq chefs de la ré­gion, de cinq producteurs ainsi que des étu­diants de l'Académie, et ce, dans le but de faire connaître les produits lanaudois ainsi que les entrepreneurs de la MRC.

De succulentes collaborations Cinq équipes composées de chefs et pro­

ducteurs de la région, assistés des étudiants en cuisine de l'Académie, ont été mises à l'épreuve pour nous faire déguster leur plat respectif: la perle de Jepily farcie à la wakame et gelée de coriandre et limette, une collaboration de Mario Julien, chef au Club de golf Le Mirage de Terrebonne, et Lyne Béchard, de Jepily de Mascouche; le saumon en croûte de sésame et salsa aux couleurs Méchant Mix, d'Alex et Alain de Terrebonne et de leurs produits Méchant Mix; le veau aux deux façons: le confit et le filet et ses complices aux deux betteraves, une œuvre de Mario Julien et Marco Crevier,

Mario Julien, du Club de golf Le Mirage, Micha,ël Panousis, étudiant, Lyne Béchard, de Jepily, 1 et Etienne Malo, étudiant, sont fiers de leur plat.

du Club de golf Le Mirage de Terrebonne, et de Daniel Samson, d'Écolait de Terrebonne; la déclinaison de fleurs sur duel de chèvre, un plat du chef Benjamin Alarie, du Sucrier Fou de Terrebonne, et d'Élise Durocher, de Fleurs et Délices de Terrebonne; et enfin la gourmandise Érabeille, une collaboration de Michel Brochet et Jérôme Hervé, de La Pe­tite Gourmande de Terrebonne, et de Jean­Claude Pelletier, des Délices Érabeille de Mascouche.

À chaque service, le chef et les étudiants venaient présenter leur démarche, le pro­ducteur impliqué et ses produits. À l'instar des étudiants en cuisine, ceux du service de table et de la sommellerie ont été impliqués dans l'événement. D'intéressantes retombées

Le banc d'essai existe depuis longtemps, mais sa formule a évolué au fil des années. Autrefois, on n'y invitait que les médias, les producteurs, les étudiants et les chefs. Au­jourd 'hui, ces événements de dégustation et

Daniel Samson, d'Écolait, et Marco Crevier, 1 du Club de golf Le Mirage, en plein travail.

de découvertes sont ouverts au grand pu­blic. Ces échanges portent leurs fruits et en­traînent d'intéressantes retombées: les étu­diants apprennent à travailler avec les pro­duits locaux, et certains d'entre eux, deve­nus chefs à leur tour, participent au banc d'essai. Le volet grand public permet égaie­ment de faire connaître «Goûtez Lanau­dière» et «Les chemins de campagne».(MC)

Le 14 avril 2010 - L’Action du mercredi

La campagne d'achat local Goûtez Lanaudière ! Une façon d'adopter les produits d'ici

La campagne Goûtez Lanaudière !,' axée sur l'achat de produits alimentaires locaux, s'inscrit dans la foulée de la campagne du ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec (MAPAQ), Mettez le Québec dans votre assiette. Le MAPAQ est. d'ailleurs l'un des partenaires les plus importants du Conseil de dévelop­pement bioalimentaire de Lanaudière (CDBL) dans cette initiative.

Goûtez Lanaudière! regroupe 21 entre­prises et 25 détaillants qui offrent des pro­duits de la région. En magasin, les produits des entreprises participantes sont identifiés sur les tablettes afin que le consommateur puisse facilement les identifier ... et les met­tre dans son panier.

Comment savoir que l'on retrouve des produits de la région à notre supermarché habituel? Les détaillants qui offrent des pro­duits de la région auront, d'ici quelques semaines, une affiche Goûtez Lanaudière! dans leur vitrine. Une bannière « L'achat local, ça GOmmence ici! » sera également visi­ble dans les premières secondes de l'entrée au supermarché, question de rappeler que des produits de la région sont disponibles dans ce

magasin. Quant aux produits eux-mêmes, ils seront identifiés sur les tablettes avec une éti­quette Goûtez Lanaudière! Finalement, des affiches mettant en vedette des produits.de la région les mettront en évidence, et ce, juste au-dessus de leur emplacement dans les supermarchés et certaines boutiques.

Le Répertoire Goûtez Lanaudière! est aussi âisponible dans les supermarchés et les conunerces spécialisés en alimentation de la région, ainsi que chez les producteurs/trans­forma.teurs eux-mêmes. Le site internet

www.goutezlanaudiere.ca est aussi . une source non négligeable d'informations sur les produits de la région.

L'agroalimentaire est un secteur d'activi­té- économique qui permet de maintenir plus de 23 700 emplois dans la région de Lanaudière, dans des champs d'activités diversifiés, ce qui fait de nous l'une des régions qui offre l'une des plus grandes Variétés de produits au Québec.

Source: Conseil de développement bioa­limentaire de Lanaudière

Le 14 avril 2010 - L’Action du mercredi

Banc d'essai tout en saveurs •

MRC des Moulins

ouis Pelletier [email protected]

L'Académie d'hôtellerie et cie tourisme de Lanaudière, en partenariat avec le Conseil de développement bioalimentaire vient de souUgner le talent des.chefs et producteurs ' de la MlC des Moulins dans le cadre d'un banc d'essai intitulé «Cuisine urbaine, fan-taisies culinaires.» .

. Les convives ont pllnotamment appré­cier un saumon en croùte' èle sésame et " salsa aux couleurs Méchant Mix, du veau servi en confit et ·en filet puis un dessert mi-sucré, mi-salé, avec }soupçon d/épices, baptisé « La Gourmandise Érabeille. »

Daniel Samson d'Écolait de Terrebonne a apprécié la rencontre~ la chance d'expli­guer en cuisine que la viande de veau ne

• • •

Pour préparer une,déclinaison de fleurs comestibles sur duel de chèvre,'

Benjarrûn Alarie a fait équipe avec Éric Carpentier di Le Gardeur, Stéphane Bayeur de Berthiervi/le et Élise Durocher de Fleurs et

Délices de Terrebonne. Photo [eJourno[

coûte pas plus cher que d'autres. mieux connu sous le nom du Sucrier Fou. Jean-Claude Pelletier de Délices « C'est, dit-il, mon deuxième banc d'essai.

Erabeille de Mascouche en était à son troÏ'- C'est devenu un incontournable: le défi de - sième banc d' ~sai. « Ce n'est jamais pareil, développer du nouveau tout en épaulant la . J'apprécie le vole~ créativité. Je revi~s relève. »

pour les idées de produits à q'ffrir aux Le sixième et dernier banc d'essai de la consommateurs. » saison a eu lieu réceIllltlent. Le dîner

C'est aussil' avis de Benjamin Alaire des « Érable et gastronomie » mettait en vedet­Aliments MB Signature de Terrebonne . te des produits de la MRC Montcalm.

Avril - Parcours

• le 0 e

La vinothérapie Version québécoise ANNIE caSSETTE

Propriétaire du magnifique vignoble de L'Île Ronde, Jocelyn Lafortune est passionné par les vignes et leurs fruits depuis de nombreuses années. ('est en effet dès qu'il planta en 1995 ses premières vignes sur cette île du St-Laurent à St-Sulpice qu'il fut fasciné par tout l'univers entourant le raisin et sa vinification. Se concentrant en premier lieu sur sa mission première, créer des vins de qualité, c'est doucement qu'il s'est intéressé aux autres propriétés du raisin. Le Domaine de l'Île Ronde, innove en la toute produits

2007 avec le lancement de premlere ligne québécoise de en vinothérapie.

" ~ r ces matières vivantes, , , a lie, le marc, je me suis

menté. J'ai appris que a fait environ quinze ans

maintenant que la vinothérapie est con ue en Europe, mais que son utilisation remonte à bien avant. Imaginez, on dit que dès le XVII< siècle, les nobles sous le règne du Roi Soleil appliquaient sur leur visage du vin vieilli afin de redonner à leur teint de l'éclat. Si le projet de créer notre ligne de produits m'a trotté dans la tête pendant de nombreuses années, il me fallait quelqu 'un digne de confiance pour le mener à terme. C'est en 2006 que j'ai pris contact avec Linda Larose, une esthéticienne et amie, afin de mettre sur pied le projet VieNoble. Cette dernière nous relate cette rencontre. « Tout

de suite, j'ai réalisé l'éventail de possibilités. Si l' idée initiale de Jocelyn était de sortir un nombre restreint de produits, je lui ai expliqué l'importance d'avoir une gamme complète. En esthétique, chaque étape, du nettoyage à l'hydratation, est importante et l'utilisation d'un produit inapproprié dans le processus nuit aux résultats. »

Les deux partenaires mentionnent également la qualité de la matière première. Depuis sa fondation, le Domaine de l'Île Ronde applique un mode de culture raisonné, limitant au minimum l'utilisation de pesticides et d 'herbicides. « Nous avons adopté ces pratiques initialement par respect pour l'environnement. En étant sur une île, l' impact est plus direct sur le milieu de vie », nous informe M. Lafortune. « En plus, je suis

104 PARCOURS ART & ART DE VIVRE

Avril - Parcours

Jocelyn Lafortune et Linda Larose

convaincu que pour les vins, cela fait une différence importante sur leur qualité. Cette décision initiale est primordiale aussi lorsqu'on sait qu'en vinothérapie, la matière première se retrouve en concentration importante sur la peau des gens. »

LES PRODUITS VIENOBLE

Énormément d'heures en recherche et développement ont été consacrées afin de créer des produits sains, sans colorant, sans parfum, avec un maximum de matières actives naturelles. Contrairement à la tendance du marché, qui différencie les produits masculins des produits féminins, il a été convenu d'offrir une gamme unisexe.

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Traditionnellement, en vinothérapie, c'est essentiellement le marc, le moût, les pépins et la feuille de vigne qui sont utilisés. Dans le cas de VieN ob le, les bourgeons de fleurs de vigne, la lie et les bourbes sont également utilisés. Afin d'offrir des produits de qualité supérieure, la plupart des produits présentent un minimum de 20 % à 25 % de matières actives, allant jusqu'à 100 %. Ces matières premières contiennent des antioxydants puissants tels des polyphénols, des tanins, des AHA, du resvératrol, de l'anthocyane, qui luttent contre la dégradation et l'oxydation des cellules. La gamme, qui est composée de dix produits, allant du pain de savon, au fluide hydratant, aux crèmes pour le visage et le corps, sans oublier les baumes à lèvres, permet d'offrir les produits adéquats quel que soit le type de peau.

VINOSPA

C'est à la demande du milieu qu'ont été crees les soins VinoSpa. Pour vivre une expérience de vinothérapie hors de l'ordinaire, il est désormais possible de retrouver ces produits de soins dans des spas au Québec. Pour se faire traiter aux petits soins, on y offre le facial L'angélique, l'exfoliant corporel antioxydant aux cristaux de raisin, l'enveloppement corporel antioxydant à la poudre de vin et un traitement en balnéothérapie avec l'infusion de raisin, de moût et de marc. Une façon luxueuse de profiter de toutes les vertus reminéralisantes, antioxydantes et hydratantes

PARCOURS

reliées à la vinothérapie. C'est la réputée Auberge Sacacomi qui, la première, a offert ce type de traitement au Québec.

« Le Québec est notre premier marché », rapporte Jocelyn Lafortune. « Mais nous avons été approchés par la France, l'Espagne et les États­Unis pour y exporter nos produits. Ces projets devraient se concrétiser en 2011. » Une situation plutôt inusitée lorsqu'on réalise que ces trois pays ont en commun la notoriété de leur production vinicole. Comme quoi la vision, l'innovation et la créativité sont souvent les clefs de la réussite . •

LA GAMME COMPLÈTE VIENOBLE

FllJide hydratant visage Idéal pour les peaux mixtes à grasses, répare et adoucit les peaux fragilisées par les cosmétiques tout en atténuant les signes de vieillissement. Contient du vin et de l'extrait de palma rosa. Ne contient aucune huile.

Crème hydratante visage Convient aux peaux normales à sèches. Onctueuse, inodore et offrant une légère protection solaire. Contient notamment du vin et de l'huile de pépins de raisin reconnus pour leurs effets nourrissants, apaisants et régénérateurs

Crème contolJr des yeux Nourrit et diminue l'apparence des rides, apaise les paupières gonflées. Le vin, l'huile de raisin , les bourgeons et les feuilles de vigne figurent parmi les ingrédients énergétiques de cette crème exceptionnellement douce. Celle-ci agit sur le fragile pourtour des yeux pour nourrir la peau et diminuer l'apparence des rides.

Démaqui llant yelJX et lèvres Enlève le maquillage durable ou hydrofuge sans laisser de résidus. Contient du vin et de l'hui le de pépins de raisin .

pain de savon au vin Nettoie en douceur le visage et le corps, tonifie et protège les peaux sensibles et sujettes à l'acné, contient de la lie de vin et de l'huile de pépins de raisin.

Exfoliant visage Des cristaux de raisin qui exfolient tous les types de peaux sans les dessécher. Déloge les cel lules mortes et les impuretés du visage, hydrate et nourrit l'épiderme.

Crème hydratante corps Hydrate et nourrit la peau. Inodore et incolore.

Baume à lèvres Au vin blanc et au vin rouge (cette dernière tinte légèrement les lèvres). Hydrate, protège et revitalise les lèvres. Contient des cristaux de lie de vin et de l'huile de pépins de raisin. Rehausse les rouges à lèvres ou les sourires au naturel.

vienoble.com

ART & ART D E V 1 V R E 105

Le 31 mars 2010 - L’Action du mercredi

Le Québec n'arrivera pas à rembourser sa dette

G.neviève Biais moliniud~t.al(;l

Jamais le Québec n'arrivera à rembourser la totalité de sa dette. C'est du ~oins ce que croient plus de quatre Lanaudois sur cinq.

Le sondage L',Action-Hebdos Québec nous apprend que; scion leur âge, certains répondants semblent plus r~ignés que d 'autres.

Les personnes âgées de 50 à 64 ans ont pratiquement toutes perdu espoir devoir, un jour, la dette publique de 130 milliards de doUars 5' effacer. .

Environ 91 % d'entre elles sont com-aÎn­eues que la province n'arrivera pas à payer,

Mondialisation: les Lanaudois divisés Geneviève Blais inf~tinentalCi

Dans le cadre du sondage L'Action-H,ebdos Québec, les Lanaudois ont été invités à se pro­noncer sur l'impact que la mondialisation des marchés il sur l'économie du Québec. les avis s,ont plus que partagés.

Envjrol1 39% des répondants croient que la globalisation n'a tout si mplement pas d'incidence sur l'économie de la province.

À peine moins nombreux sont ceux qui voient d ' un bon œi l ce phénomène ... cl ceux qui y sont défavorables. En effet, un peu moins du tiers de la population lanau­doise se range derrière chacun de ces deux points de vue. Si les opinions sdnt divisées dans Lanaudière, eUes le sont a.ussi' à

wfjour, les sommes dues. Chez les 18 à 24 ans, les positions sont '

légèrement plus partagées. > . Plus d'un jeune lanaudois SUl"cinq garde confiance en la capacité de remboursement du Ql!ébec.

C'est légèrement supérieur aux résultats enregistrés à l'échelle provinciale>

Seuls les jeunes adultes des Laurentides ct.de la région de'la Capitale-Nationale sont aussi confiants. •

Mais même si ces données contras­tent légèrement avec les prises de posi­tio n des autres groupes d'âge, il reste que la grande majorité de ces citoyens, comme des Québécois en général , sont très sceptiques.

..... ""

l'échelle provinciale, comme si les QuébécOis n'arrivaient pas à s'entendre sur ce sujet:

Dans la région, ce sont les 18-24 ans qui montrent.le plus de réticence à l'ég>ard de cette tendance. Et la réticence se manifeste très discrètement.

En effet, seulement 37% d'entre eux cro ient que la mondialisation a un impact négatif su r le Québec.

À titre comparatif, plus de la moitié des jeunes (57%) de la région de la Chaudière­Appalaches ont ~ris position en ce ~ens.

Sondage L'Action-Hebdos Québec

Le 31 mars 2010 - L’Action du mercredi

Les Lanaudois disent oui aux prod~its locaux

Gtnevieve Blait ~ontintnt.w.

Les Lanaudois ont entendu le cri du cœur lancé en déœmbrc dernier par le cmcus desdéputés et les intervenants économi· ques de la région. Thui comme une majorité de Québérois, ils disent oui li la consonmlation locale et

. voient en cette délT!arche un~ façon de lutter contre les'gaz à effet de serre.

Plus de 61 % des gens de Lanaudière, soil trois per$OnJlCS sur cinq, sont convaincus de la néces$ilé d'opter pour les pro­duits locaux. Selon euk, il s'agit d'une solution concrète et d'un pas vers l)aVânt, !JOur l'envi-, ronn('Jll(:nL , , Les p'l~~ .f.ufL.er~~W~!~~~I~ âgés parta-

gent œ tlt Vl$IonJ ~,~ -r .. ~r:' . Une tendance observable également 11

l'échelle provinciale. . Ce que révèle le sondage et qui est particu­

lièrement iotéressant .. c'est que.ce n'est pas nécessairement cl) territoires ruraux que lesc résultats SOniles plus significatifs.

Environ 68% des Montréa1aisont dit croire que la consommation de produits locaux permet de freiner l'émission de gaz 11 effet de serre.

L'enthousiasme est réd, mais il est tout de même important de mentionner qu'environ un citoyen surd nq a fait preuve"de réserve par rapport 11 cette question. . En effet, 20% des Québécois et 21 % des l.anauaois ne voient pas le lien entre les pro­duits locaux: et la poUulÎOri aunosphérique.

C est dans la ~ion montréalaise que le plus fort taux de rIponse posItive a été enregistré. . L'environnement,

Facile de se procurer des produits agricoles

Genevièvt 8lais ~~_"'to

Les efforts misde l'avant afin de fa~ la promo­tion des produits issus de l'agriculture portent fruit dans Lanaudière. Une majorilédccitoyens estiment farilede se procurerviandes, volailles, fruits et légumes, et. ce, presque loute l'année.

Le sondage révèleque 79% de la population bnaudoise est de cet avis.

Est-œ parce que les agriculteurs sont nom­breux sur le territoire? Est-œ parce que lescam­pagnes de mise en valeur des produits locaux bndes par le Conseil de développement bioa­limentaire de Lanaudière (CDBL) sont effica­œs? Le portrait dressé par L'Action-Hebdos QuéN<: ne le dit pas. La forte réponse des gens du territoire laisse toutefois penser que oui.

En effet, le résultat lanaudois est l'un des plus élcvh de la province, tout juste derriè­re çelui de la r~on du Centre-du-Québec (80%).

Tous les citoyens, les plus jeunes comme les plus Agés. s'entendent sur Çe1te question.

rien pour nuire à "économie

Protéger l'environnement ne met pas un frcin au dt.doppcnlCllt >!cooomique et à l'emplQi C'est ce que pensem le5 trois quarts des Lana~

Les ré$u.ltatsdu sondage L'Action-Hebdos Qutbec sont éIoqUl'lll$. Sur le territoire, oomn>td<msl'mscmbledu Qu&ec, w>tmafo­rÎté de citoytru (n%) croÎent que les gestes

\lC'l'tsne.n~.t~à]'~r~]'écot;K?t~ni li l'ao:b au travail. ' ........ ~

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Ici, l'Je sont les atnl:s de 65 ans et plus qui sont les plusoollvainCllS. Lcsautragroopesd'lIgeles suivt:nt de près. .

Mars 2010 - www.lexpressmontcalm.com

CDBL : la Grande Tablée La Grande Tablée 2010 aura lieu: les 12, 13, 14, 20, 21, 27 et 28 mai. Les billets, au coût de 65 $/personne taxes incluses, sont disponibles aux bureaux du CDBL. Pour réservation, communiquez Annie Cossette au 450 753-7486, poste 242.

Le 19 février 2010 - www.hrimag.com

La Grande Tablée 2010 vous attend par Ginette Poulin

Le Conseil de développement bioalimentaire de Lanaudière (CDBL) et l'Académie d'hôtellerie et de tourisme de Lanaudière sont heureux d'annoncer la participation de Marie-Ève Dubeau, chef propriétaire du restaurant Le Saucier, à Joliette, à l'événement La Grande Tablée 2010.

Pour un total de sept soirées gastronomiques, qui auront lieu les 12, 13, 14,20, 21, 27 et 28 mai prochains, Mme Dubeau élaborera un menu de 8 à 10 services à partir des produits d'une vingtaine de producteurs et transformateurs de la région. Aidée par les professeurs de l'Académie, elle supervisera le travail des étudiants en cuisine d'établissement afin d'offrir une expérience culinaire mémorable aux amateurs de bonne chère.

« C'est vraiment incroyable de constater comment ces soirées sont devenues des incontournables dans Lanaudière. » explique Benoit Rivest, directeur général du CDBL. « Cette année, c'est près de 700 personnes qui vont découvrir d'autres produits lanaudois et diverses façons de les apprêter. »

Les billets, au coût de 65 $ par personne (taxes incluses), sont disponibles au bureau du CDBL. Pour réserver, communiquez avec Annie Cossette au 450 753-7486, poste 242.